Pourquoi des morses se jettent-ils du haut de falaises ?


Les morses sont très vulnérables aux changements climatiques. Généralement, ils vivent sur la glace, mais avec la fonte de leur territoire, il s’aventure vers les falaises avec grandes difficultés. Ou cela se complique, c’est au moment de descendre pour rejoindre la mer. Malheureusement, avec leur mauvaise vue, ils se jettent en haut d’une falaise courant à une mort certaine.

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Pourquoi des morses se jettent-ils du haut de falaises ?

Un segment choquant de Notre planète de Netflix a révélé le destin horrible des morses alors qu’ils dévalaient les hautes falaises

Un nouveau segment choquant de notre planète de Netflix a mis en évidence le destin horrible des morses forcés de plus en plus sur la côte alors que la glace de mer s’estompe. Les morses montent très haut sur les falaises et meurent

par Yohan Demeure, rédacteur scientifique

Un récent documentaire animalier diffusé par Netflix comporte une scène qui fait froid dans le dos. En effet, on y voit un morse se jeter d’une falaise et faire une chute de plusieurs dizaines de mètres de hauteur. Comment cela est-il possible ?

Une chute vertigineuse

Le documentaire Notre Planète diffusé par Netflix depuis peu a reçu de bonnes critiques. Dévoilant les merveilles de la Terre, la production n’oublie cependant pas de montrer certaines dérives. Une scène de ce documentaire questionne, cette dernière étant visible dans l’extrait disponible en fin d’article. En effet, il est possible d’y voir un morse d’Alaska s’aventurer sur la pente d’une falaise et sauter, avant d’entamer une longue chute jusqu’au sol.

Le réalisateur du documentaire David Attenborough explique que la vue d’un morse hors de l’eau est très mauvaise. En revanche, celui-ci est capable de sentir l’eau et en cas de fringale, prend naturellement la décision d’y retourner. Pourquoi les morses font alors ce genre de chute ?

Crédits : Pixnio

Les impacts du réchauffement climatique

Les morses sont en réalité perturbés par la fonte de la banquise dans le détroit de Béring, si bien que ces derniers tentent de se mettre à l’abri sur la terre ferme. Or, le rivage est très abrupt et les morses doivent malheureusement escalader des falaises qu’habituellement, ils n’oseraient pas affronter. Au moment de redescendre, la tâche se complique énormément et en désespoir de cause, les morses sautent en espérant atteindre l’eau.

Ce constat amer place les morses parmi les animaux les plus impactés par le réchauffement climatique. Ceux-ci vivent la plupart du temps sur la glace, où ils se reposent lorsqu’ils ne chassent pas. Avec la fonte de la glace, les morses tentent de rejoindre la terre ferme et c’est à ce moment-là qu’ils sont le plus vulnérables.

En 2017, nous évoquions déjà la situation des régions arctiques d’Amérique du Nord – notamment au Canada – où les populations de morses ou encore de caribous déclinent dangereusement. Le morse est presque éteint, alors qu’il représente également un moyen de survie pour les populations inuits.

Voici le passage de la chute du morse tiré du documentaire Notre Planète produit par Netflix :

Sources : The Daily Mail7 sur 7

https://sciencepost.fr/

Une ville engloutie découverte au beau milieu de l’océan


Au beau milieu de l’océan, une ville engloutie existe. En fait en 2016 l’île de Pohnpei fait partie du patrimoine de l’UNESCO. Sauf que les scientifiques ne savent pas grand chose, du fait qu’elle est en partie engloutie.
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Une ville engloutie découverte au beau milieu de l’océan

 

Christophe Da Silva
Source: Science Channel

Des falaises massives situées au beau milieu de l’océan Pacifique, de manière très structurées, comme si ce n’était pas un hasard. Des scientifiques sont en train d’étudier des ruines sur une île reculée de Pohnpei en Micronésie. Les murs de pierre donnent l’impression de cacher quelque chose de plus conséquent, selon Science Channel. L’emplacement mystérieux de Nan Madol pourrait cacher une ville engloutie qui ressemblerait à l’Atlantide, la mythique cité perdue.

Depuis 2016, l’ile de Pohnpei fait partie du patrimoine de l’UNESCO. Jusqu’à présent, on ne connaissait quasi rien de son origine. La raison est simple: elle est en partie engloutie.

Des archéologues se sont penchés sur la question dans le documentaire ‘What on Earth? ». Ils expliquent que tous les rochers et les ruines sont connectés ensembles, avec d’innombrables canaux et rues. 600 îles forment une grande ville au beau milieu de l’océan Pacifique.

« Un vrai mystère »

Ces îles ne sont pas nées naturellement et forment même des figures géométriques.

« Un vrai mystère », s’interroge le scientifique McKoy dans le documentaire. « Construire une ville au milieu de l’océan, si loin du monde civilisé. Pourquoi faire ça? »

La population a locale a baptisé ce site Nan Madol, ce qui veut littéralement dire « espace entre ». Dit autrement: l’espace entre le continent et l’océan. Nan Madol aurait pu être une capitale, à la fois une ville sans pouvoir politique et un centre de rituels religieux.

Atlantide

Les premières pierres datent de 1180 avant JC, mises en place par la dynastie Saudeleur dont on ne connaît quasiment rien. Nan Madol fait inévitablement penser à l’Atlantide, une autre mythique cité perdue.

Dans son livre « Lemuria and Atlantis », Shirley Andrews a estimé que l’Atlantide n’est pas une légende et que le royaume de Platon a bel et bien existé.

http://www.7sur7.be

L’Inde détient le triste record de «morts par égoportrait»


Et bien, les égoportraits ne sont pas sans risques. L’Inde a un triste record de mort à cause des selfies. Cela faut-il la peine de risquer sa vie pour avoir des « j’aime » ou des commentaires sur les réseaux sociaux ?
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L’Inde détient le triste record de «morts par égoportrait»

 

76 personnes ont trouvé la mort ces deux... (photo ameya.murudkar/instagram)

 

76 personnes ont trouvé la mort ces deux dernières années en se prenant en photo en Inde, selon une étude publiée par l’Université américaine Carnegie Mellon et l’institut Indraprasth de la technologie de l’information à New Delhi.

PHOTO AMEYA.MURUDKAR/INSTAGRAM

Agence France-Presse
NEW DELHI

 

La prochaine fois que vous visiterez le Taj Mahal, que vous grimperez sur une falaise ou vous trouverez sur la trajectoire d’un train lancé à toute vitesse, ravisez-vous si vous trouvez que le cadre est idéal pour un égoportrait.

Car c’est dans ces trois situations, et bien d’autres, que 76 personnes ont trouvé la mort ces deux dernières années en se prenant en photo en Inde, le pays le plus meurtrier pour les amateurs de « selfies », selon une étude publiée par l’Université américaine Carnegie Mellon et l’institut Indraprasth de la technologie de l’information à New Delhi.

En quête de l’égoportrait parfait, plus de gens sont morts en Inde sur cette période que dans le reste du monde, selon les chercheurs qui ont identifié sur l’internet et les réseaux sociaux un total de 127 « morts par égoportrait » depuis mars 2014.

« Ce phénomène est tellement désastreux que durant la seule année 2015, il y a eu plus de morts dues aux « selfies » qu’aux attaques de requins à travers le monde », commentent les chercheurs sur leur blogue.

Selon l’étude publiée la semaine dernière, le moteur est le désir de collectionner le plus de « j’aime » et commentaires possibles sur les réseaux sociaux. Mais les chercheurs n’apportent pas d’explication sur le triste record détenu par l’Inde.

Dans le nord du pays, trois étudiants sont ainsi morts en essayant de prendre un égoportrait face à un train lancé à toute vitesse, selon l’étude.

Un autre étudiant a perdu la vie quand la falaise sur laquelle il était monté pour prendre une photo s’est écroulée : il a fait un plongeon de 18 mètres dans un ravin.

Au Taj Mahal, un touriste japonais est mort après avoir glissé sur les escaliers du célèbre mausolée de marbre blanc.

Le Pakistan occupe la deuxième place des « morts par égoportrait » avec neuf victimes, suivi des États-Unis avec huit morts et la Russie, six.

http://www.lapresse.ca/

Ce resto suspendu dans le vide va vous donner le vertige


Les projets les plus fous pour attirer les gens entre les murs d’un restaurant suspendus dans les airs en permanence. Cela vous tente de dîner alors qu’à vos pieds, c’est le vide ? De quoi a retourner l’estomac à l’envers
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Ce resto suspendu dans le vide va vous donner le vertige

 

Si vous ne craignez pas le vertige, ce restaurant est fait pour vous. Il s’agit du projet d’une agence d’architecture mexicaine, « Tall Arquitectos », qui a imaginé la construction d’un resto suspendu au niveau d’une des falaises des Barrancas del Cobre.

Les Barrancas del Cobre sont un peu le grand canyon mexicain. Situées au sud-ouest de l’État de Chihuahua, ces falaises atteignent jusqu’à 2500 mètres d’altitude.

Le restaurant, Biré Bitori, aurait droit à un design des plus épurés. Des plaques de verres feraient office d’une partie du sol à tel point que déjeuner dans le vide sera littéralement possible. C’est à faire peur, mais les trois architectes de l’agence Tall semblent plutôt savoir dans quoi ils s’engagent.

Sans compter que plusieurs restaurants suspendus (mais éphémères) ont vu le jour àParis ou Bruxelles et qu’aucun accident n’a été dénombré… On vous laisse découvrir le projet fou dans les photos ci-dessous :

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resto air

resto air

resto air

resto air

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Qui a sculpté ce visage de pierre? L’homme ou la nature?


Un mystère à résoudre au Canada. Un visage sculpté sur une falaise difficile d’accès. Probablement fait par une des tribus des Premières Nations
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Qui a sculpté ce visage de pierre? L’homme ou la nature?

 

Le mystère plane sur l’immense visage sculpté dans la pierre d’une inaccessible falaise de la Colombie-Britannique.

Est-ce que quelqu’un l’a sculpté et si oui, quand et comment? Est-ce que ce ne serait pas plutôt une formation rocheuse naturelle qui ressemble par hasard à un visage? Impossible encore de le savoir. 

Une falaise inaccessible

Pour répondre à la question, il faudrait pouvoir s’approcher du visage, mais il est entouré de falaises accidentées et d’eaux tumultueuses qui en complexifient l’accès. 

Les premiers explorateurs

Le visage est apparu une première fois en 2008, quand une kayakeuse américaine l’a photographié alors qu’elle pagayait près de Reeks Island, une petite île au large de Vancouver qui, comme plusieurs autres îles voisines, appartient aux Premières nations Tseshaht. 

La kayakeuse a ensuite envoyé ses photos à Parcs Canada, sans pouvoir préciser l’endroit où elles avaient été prises.

Pour le trouver, Parcs Canada a contacté les administrateurs de la nation Tseshaht et c’est ainsi que l’annonce de la découverte d’un visage sculpté dans la pierre est parvenue aux oreilles de Hank Gus, un gardien de plage autochtone Tseshaht qui l’a aussitôt cherché et finalement trouvé, il y a quelques semaines. 

Selon Gus, le visage est à 40 pieds du haut de la falaise et à une vingtaine à partir du bas, et est entouré de falaises rocheuses escarpées qui rendent l’approche très difficile, voire impossible.

Le visage du vent

Hank Gus croit que le visage de pierre symbolise le vent, puisqu’il semble être en train de souffler. Il fait un rapprochement avec une gravure sculptée dans la porte des bureaux de la nation Tseshaht.

« Ça ressemble vraiment à ce visage dans la roche, a-t-il déclaré. On l’appelle Ugi et on dit que lorsque le vent souffle, il partage l’histoire de nos ancêtres et la garde vivante ».

« Ugi », tel qu’il a été sculpté sur la porte en bois des bureaux de l’administration Tseshaht, celui qui souffle l’histoire des ancêtres, pour ne pas qu’on oublie.

 

La nation Tseshaht et Parcs Canada veulent résoudre le mystère de ce visage, un mystère qui, en attendant, risque d’attirer bien des Indiana Jones dans la région.

J’ai hâte de connaître la réponse. Je penche pour la nature, mais avec l’homme, on ne sait jamais.

http://www.sympatico.ca/

Le Saviez-Vous ► Le cimentière suspendu


Un cimetière hors du commun, qui ne prend pas de terrain. Probablement que le plus difficile est de suspendre les tombes sur le flan des falaises
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Le cimentière suspendu

À Sagada, sur l’île de Luzon aux Philippines, existe un cimetière pas comme les autres. Au lieu d’être enterrés sous terre, les cercueils se retrouvent suspendus aux falaises. La tradition, qui se perpétue depuis plus de 2 000 ans par le peuple Igorot, consiste en effet à enterrer leurs morts dans des cercueils attachés aux flancs des rochers. D’après leurs croyances, cette pratique les rapprocherait des esprits de leurs ancêtres et permettrait d’éviter aux corps d’être dévorés par des animaux sauvages.

cimetière suspendu

Aujourd’hui, seuls les plus anciens membres de la tribu ont cependant droit au privilège du cercueil suspendu. Ce rite serait également présent dans d’autres régions du monde, comme en Indonésie, ainsi qu’en Chine du Sud, d’où la coutume proviendrait.

http://www.canald.com/

La réouverture du nouveau Caminito del Rey


Heureusement qu’ils ont décidé de restaurer ce trajet dans cette falaise. Des téméraires empruntaient cet accès en ruine pour une ballade périlleuse voir mortelle
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La réouverture du nouveau Caminito del Rey

 

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Le Caminito del Rey ( Petit Chemin du Roi ) était un chemin abandonné construit à flanc de falaise dans le parc naturel de Los Ardales au sud de l’Espagne entre 1901 et 1905 pour permettre la construction de deux barrages hydroélectriques.

Sur plus de trois kilomètres est est creusé dans la roche ou construit avec des plaques de béton suspendues au dessus du vide par des rails enfoncés dans la roche, inutilisé à part par quelques randonneurs il s’est progressivement dégradé et effondré jusqu’à obliger les inconscients à marcher en équilibre sur des poutrelles métalliques de quelques centimètres de large pour pouvoir progresser à plusieurs endroit.

Vous pouvez avoir un aperçu de cette expérience vertigineuse dans

 

Suite à de nombreux accidents mortel il avait été fermé en 2001, ce qui n’empêchait pas les plus téméraires d’y accéder, et depuis 2010 il a été restauré et une nouvelle voie sécurisée a été construite juste au dessus sur la plupart du parcours pour permettre au public d’y accéder à partir du 28 mars.

Si vous voulez faire une balade impressionnante cet été vous savez maintenant où aller.

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http://www.laboiteverte.fr/

Un oisillon saute dans le vide à 120 mètres de haut!


Il y a des oiseaux qui commencent leur vie d’une manière dangereuse. Se lancer sans savoir voler du haut d’une falaise, il vraiment que l’instinct soit fort. Aussi petit qu’un oisillon, une falaise c’est pas mal haut
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Un oisillon saute dans le vide à 120 mètres de haut!

 

Seulement quelques heures après la naissance d’une oie bernache nonnette, l’oisillon doit sauter dans le vide depuis le sommet d’une falaise situé à 120 mètres de hauteur, pour manger et retrouver ses parents.

En effet, les bernaches construisent très souvent leur nid sur des falaises afin d’échapper aux prédateurs.

Incapables de voler, les oisillons peuvent tout de même compter sur leur poids léger ainsi que sur leurs plumes pour les protéger des impacts contre les rochers.

http://www.insoliteqc.com/

Le saviez-vous ► Les routes les plus dangereuses de la planète


Normalement emprunter des routes, c’est d’être assuré qu’elles soient sécuritaire .. Par contre a cause des terrains accidentés, de la météo certaines sont dangereuses .. et d’autres sont vraiment périlleuses et dire que certains y voient un défi a relevé pour le plaisir de braver la mort
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Les routes les plus dangereuses de la planète

 

Frédérique Sauvée

Tunnel de Guoliang, Chine

Photo Courtoisie http://www.ssqq.com

Creusé par des villageois qui souhaitaient sortir de leur isolement entre les montagnes, le tunnel de Guoliang est aussi spectaculaire qu’effrayant. La route traverse littéralement les falaises par une succession de tunnels et de passages ouverts sur le flanc de la montagne.

Inaugurée en 1977, la route n’a subi que très peu de travaux en 35 ans et souffre d’un manque cruel de sécurité. Le village de Guoliang est toutefois maintenant accessible, mais à quel prix?

 

 

Route de la Lena, Russie

À vos risques et périls - Les routes les plus dangereuses de la planète (2)
Photos Courtoisie http://www.ssqq.com

Dans la plupart des pays, conduire en hiver est toujours plus délicat qu’en été. En Sibérie, la route de la Lena qui traverse 1235 km entre Lakoutsk et Skovorodino s’avère bien plus hasardeuse à la belle saison, lorsque la glace dégèle.

Sur cette piste de terre, plus qu’une réelle route, les voitures et camions s’embourbent fatalement à la période des pluies dans ce qui devient une immense piscine de terre. Des centaines de véhicules sont pris chaque année dans ce piège, et cela parfois pendant plusieurs jours, ce qui lui a valu le surnom de «Russian Highway from Hell» («Autoroute russe de l’enfer»).

 

Route entre Louxor et Hurgada, Égypte

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Photo Fotolia

L’Égypte se place en troisième place des pays aux routes les plus mortelles selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santé, après l’Érythrée et les îles Cook. La plupart des gouvernements occidentaux demandent d’ailleurs à leurs touristes d’éviter les routes secondaires du pays. C’est le cas de la route qui mène de Louxor à Hurgada, tristement célèbre pour être la plus dangereuse du pays. Non seulement les automobilistes roulent tous feux éteints la nuit, mais des bandits et des terroristes y organisent des guets-apens et n’hésitent pas à tirer sur les voitures. Sans foi, ni loi dans ce Far-East…

 

Route des Yungas, Bolivie

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Photo celineo / Wikimedia Commons

L’Amérique du Sud compte de nombreux pays dans lesquels rouler est une activité périlleuse. La Bolivie remporte la palme avec sa Route des Yungas, réputée la plus dangereuse au monde, où décèdent 200 à 300 personnes chaque année, soit un véhicule toutes les deux semaines!

Étroite, sinueuse et accrochée dangereusement à la falaise, elle ne permet presque jamais à deux véhicules de se croiser sans tomber dans le précipice. Devenue une attraction touristique majeure pour le pays, la route est empruntée par des autobus de touristes et des cyclistes casse-cou qui souhaitent consciemment braver la mort.

NB : Le son de cette vidéo n’est pas très bon, il est préférable de diminuer le volume de vos hauts-parleurs.

Autoroute James Dalton, Alaska

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Photo Greg Bulla / Wikimedia Commons

Les routes du Grand Nord canadien et de l’Alaska n’ont rien à envier à ces dernières en termes de dangerosité! La pire d’entre elles est la route 11, la Dalton Highway, rendue célèbre par les émissions de convois routiers de l’extrême.

Longue de 666 kilomètres, elle traverse le nord de l’Alaska et ne passe que par trois villages d’une poignée d’habitants seulement. Construite pour rendre accessible le pipeline Trans-Alaska aux poids lourds, l’autoroute Dalton est déconseillée aux voitures, qui se font souffler par les vents dévastateurs qui la traversent l’hiver. Si vous souhaitez tout de même tenter le coup, apportez rations de survie et essence en quantité suffisante pour pallier le manque total de dépanneur sur la route.

http://fr.canoe.ca

Madère, l’île dans le vent


Une ile de falaise, de fleurs, de nuages, un petit paradis a visité .. au moins virtuellement mais qui donne le goût d’y mettre pied .. ne fut pour admirer la mer en hauteur et sa nature resplendissante
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Madère, l’île dans le vent

 

Au large du Maroc, l’île portugaise de Madère jouit d’un micro-climat subtropical propice à l’éclosion des plus beaux jardins de l’Atlantique.

© Hassan Benseliman – Fotolia

Madère offre au visiteur sa beauté rugueuse et sa nature généreuse, pour un réél dépaysement.

© Pierre Laville

Un bord de mer agréable toute l’année.

© Yvann K – Fotolia

Le climat de Madère permet toutes les cultures, toujours dans le même jardin, un coin aux couleurs de l’Orient a été aménagé.

© Christian Dubois

Un travail minutieux de taille a été fait, donnant au jardin des accents surréalistes.

© Paris Photo – Fotol

Un rayon de lumière entre les nuages fait ressortir le vert profond des pâturages et vignobles.

© Bruno CUSA

Dans le village de Santana se trouvent ces jolies chaumières devenues les symboles de l’archipel.

© Pierre Laville

Joli chemin offrant une vue imprenable sur la côte et l’océan.

© Yvann K – Fotolia

A l’intérieur de l’île, les promeneurs trouveront des forêts denses peuplées d’espèce tropicale comme les fougères arborescentes.

© Michel Jacquet

A Madère, l’océan Atlantique et ses forces sauvages sont omniprésents.

© Yvann K – Fotolia

 Pico do Arieiro et ses 1 810 mètres

© Pierre Laville

Une fleur exotique appelée couramment « oiseau du paradis » surmontée, pour l’occasion, d’un papillon monarque.

© Jacques Alvarez

Madère ressemble à un vaste jardin sauvage.

© Yvann K – Fotolia

Une agapanthe, fleur sauvage qui, déclinée en bleu ou en blanc,  se trouve communément le long des sentiers rocailleux de l’île.

© Michel JACQUET

http://www.linternaute.com