Le Saviez-Vous ► Pourquoi la fameuse Zone 51 est-elle maintenue secrète ?


La zone 51 est une base militaire des États-Unis qui a fait les choux gras des films à science-fictions. Personnes ne savent vraiment ce qui se passe dans cette zone ultra secrète, sauf que c’est un endroit qui sert d’expérience militaire. Mais comme tout bons secrets, les théories du complots y va bon train avec les extraterrestres. Un jour ou l’autre des gens voudront avoir le coeur net, espérons que cela n’ira pas juste à l’affrontement,
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Pourquoi la fameuse Zone 51 est-elle maintenue secrète ?

par Olivier

La Zone 51 est l’objet de tous les fantasmes et toutes les théories les plus rocambolesques. Cela est aussi lié au fait que de nombreuses séries américaines de science fiction ont utilisé cette Zone 51 secrète pour faire croire qu’il y aurait différents objets extraterrestres détenus et cachés par le gouvernement américain.

Cette Zone 51 (Area 51) est une aire géographique située dans le désert du Nevada aux États-Unis. C’est là que se trouve une base militaire secrète qui expérimente du matériel militaire. C’est seulement depuis 2013 qu’on a déclassifié des documents secrets… Preuve s’il en était de l’omerta sur ce sujet.

Lieu d’atterrissage alien ?

Le milieu ufologique (les personnes qui parlent et travaillent autour des OVNIS) est fortement influencé par les théories conspirationnistes et reprend la Zone 51 en expliquant que cela serait comme une zone où un complot serait mis en place.

La Zone 51 est un rectangle d’approximativement 155 km² en plein dans le désert du Nevada. Les cartes ne l’indiquent pas, Google Map met une tête d’extraterrestre lors du passage de la souris sur ladite zone. Cette zone est véritablement sujette à tous les questionnements, car il s’y passe des phénomènes inexpliqués.

zone 51 secreteCrédits : MartinStr/Pixabay

Cette base militaire fut mise en place au départ par le président Truman pour expérimenter des appareils militaires de haute performance. L’US Air Force a toujours nié l’existence de cette zone. On ne sait pas s’il s’agit d’un simple laboratoire scientifique ou d’une station spatiale en contact avec une civilisation extraterrestre.

Il s’agit là d’un emplacement placé sous très haute protection : la base est interdite dans un périmètre de 40 km autour : barrières, panneaux « Warning », caméras, détecteurs de présence. Les capteurs sont placés de façon à ce que toute intrusion entraîne la sortie de troupes au sol et d’appareils volants pour trouver la personne.

Le mystère persiste

Tous les passionnés d’ufologie (un peu illuminés, il faut l’avouer) connaissent le pic Tikaboo. Il s’agit d’un emplacement situé en hauteur (2300 m) d’où on peut voir la base. C’est un lieu accessible au public et les curieux tentent de percer l’énigme de ce lieu atypique. Beaucoup tentent d’apercevoir des preuves de l’existence d’une vie extraterrestre, telles que des soucoupes volantes. On parle également de phénomènes paranormaux inexpliqués.

Si une telle protection existe et qu’une telle sûreté s’impose, c’est qu’il doit y avoir des choses à cacher. Mais nul ne sait de quoi il s’agit. Jusqu’en 1970, c’est la CIA (les services secrets américains) qui s’occupait de cette Zone 51. De plus les employés de cette Zone 51 secrète doivent signer une charte de confidentialité absolue.

Il faut cependant rester calme, prendre du recul et ne pas tomber dans le complotisme. Mais à voir ce qui figure sur Internet, il y a un nombre très élevé de théories, de suppositions, de fantasmes sur cette Zone 51. Il y a eu des études expliquant que les théories du complot depuis la création de la série américaine X-FILES (Aux frontières du réel), servaient à critiquer l’État et ses institutions dans le but de plus libéraliser encore

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Peut-être que dans les années qui viennent, nous découvrirons les mystères de cet endroit intriguant…

Sources : Wikipédia, Paranormal-info, Enigmeshistoire

https://lesavaistu.fr/

L’esprit et le corps humains pourront-ils supporter une mission de trois ans sur Mars?


On sait que l’espace n’est pas vraiment fait pour l’être humain, sachant qu’il y a des conséquences sur les astronomes subissent quand ils reviennent sur Terre après un long séjour dans l’espace pour plus ou moins 6 mois. Un aller-retour sur Mars quelles conséquences sur le corps et sur la santé mentale. Un voyage qui prend 3 ans, loin des siens, l’environnement complètement différent, c’est ce que la NASA veut tester prochainement
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L’esprit et le corps humains pourront-ils supporter une mission de trois ans sur Mars?

 

Mars | Kevin Gill via Flickr CC License by

Mars | Kevin Gill via Flickr CC License by

Repéré par Thomas Messias

Repéré sur The Hindu

La NASA lancera en 2018 une série d’expérimentations destinées à étudier l’impact d’un tel périple sur la santé physique et mentale de celles et ceux qui y prendront part

Aux dernières nouvelles, et à condition de partir au bon moment il faudrait environ 260 jours à une mission terrienne pour atteindre la planète Mars.

Tous les 1,6 ans, la distance entre les deux planètes atteint une valeur proche de son minimum (environ 55 millions de kilomètres), alors qu’elle est en moyenne de 76 millions de kilomètres. Dans le meilleur des cas, un voyage aller-retour prendrait donc environ 520 jours, soit un an et cinq mois. 

La NASA, qui projette d’envoyer des êtres humains sur Mars aux alentours de 2030, table donc sur des missions d’une durée approximative de trois ans. À titre de comparaison, rappelons que la mission spatiale de Thomas Pesquet a duré 196 jours, soit environ six mois et demi. C’est pourquoi sera lancée courant 2018 une série d’expérimentations destinées à étudier les conséquences d’un tel voyage sur l’esprit et le corps de ceux (et celles, espérons-le) qu’elle désignera pour aller explorer la planète rouge.

L’objectif est d’étudier différents facteurs sur trois groupes de dix astronautes, l’un sur une mission courte (deux mois), le deuxième sur une mission standard (six mois), et le dernier sur une mission d’une durée d’un an. La NASA liste cinq grandes familles de dangers pouvant atteindre les participants et participantes d’une telle mission :

– Les radiations spatiales, qui sont à l’origine de défaillances cardiaques
– L’isolation et le confinement
– La sensation d’éloignement par rapport à la Terre
– Les champs de gravité et leur absence
– Les environnements hostiles

La NASA lancera dès le 4 janvier prochain un appel à destination des scientifiques qui souhaiteraient proposer des sujets et critères d’étude sur un tel échantillon de 30 personnes. Elle sélectionnera entre 15 et 18 propositions à la fin de l’été, qui permettront à leurs auteures et auteurs de se voir attribuer des subventions pour une durée maximale de sept ans.

http://www.slate.fr

Le Saviez-Vous ► Les 48 personnes les plus maléfiques ayant foulé cette Terre.


On connaît certains tortionnaires, tueurs, psychopathes, et j’en passe parmi ces 48 personnes et ce bien avant l’ère d’Internet. Qui on pense en premier parmi les pires tortionnaires de l’histoire, Hitler ? Peut-être Genghis Khan ? Vlad III l’Empaleur ? Il y en a d’autres surtout des hommes mais aussi quelques femmes. Ils sont guidés par la soif du pouvoir, la folie, la religion mal interprétée, la perfection, une idéologie … Ils ont utilisé le génocide, la torture, la vengeance et le meurtre gratuit,
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Les 48 personnes les plus maléfiques ayant foulé cette Terre.

 

Elizabeth Báthory

Vous avez vu le film « Hostel » ? Oubliez-le. Avez-vous entendu parler du conte « Dracula » ? Vlad III l’Empaleur était le personnage principal, mais Elizabeth Báthory a également inspiré cette histoire. Elle était friande de sang, en particulier de celui des jeunes filles. Plus de 650 corps de jeunes filles torturées et assassinées par ses mains ont été découverts enterrés sous sa demeure, le Čachtice Castle. Certaines légendes disent qu’elle était même cannibale, bien que cela n’a jamais été prouvé.

Talaat Pasha

Les jeunes Américains d’origines arméniennes aiment porter un t-shirt portant la mention « Tuck Furkey ». C’est un hommage au génocide commis par les anciens dirigeants du pays, lorsque c’était encore l’Empire ottoman. Le sultan de l’Empire ottoman du début du XXe siècle, Talaat Pasha a supervisé la torture, le viol, et le génocide de presque 1,5 million d’arméniens.

Josef Mengele

Certaines personnes ne sont pas nées pour diriger. Elles restent derrière les leaders. Mengele n’a peut-être pas guidé le comportement ou la rhétorique d’Adolf Hitler, mais il l’a presque surpassé. Mengele est l’homme maléfique derrière Auschwitz, qu’il a dirigé durant la Seconde Guerre mondiale. Des centaines de milliers de personnes y ont trouvé la mort dans les chambres gaz, 400 000 d’entre eux étaient juifs, mais cela ne s’arrête pas là. Mengele a supervisé d’horribles expérimentations scientifiques sur les prisonniers du camp.

Reinhard Heydrich

Un autre homme de main, même Hitler décrivait Heydrich comme « l’homme au cœur d’acier ».Les historiens s’accordent généralement sur le fait qu’il s’agissait de la personnalité la plus sombre au sein de l’élite nazie. Lorsque l’Allemagne nazie a eu besoin de trouver un endroit où mettre sa population juive, il a organisé le déplacement de 60 000 d’entre eux vers les ghettos de Pologne, puis vers les camps de la mort. Il est décédé d’une septicémie à l’hôpital de Prague. Avec un peu de chance, c’était horrible.

Oussama ben Laden

Né dans une famille aisée et ayant fait ses études aux États-Unis, Ben Laden a créé le groupe islamiste Al-Qaïda. Bien que les théoriciens du complot en débattent, l’histoire retient que Ben Laden est l’homme qui se cache derrière les attaques terroristes du 11 septembre, durant lesquelles deux avions se sont écrasés sur le World Trade Center à New York et un autre sur le Pentagone. Il a été abattu par les troupes d’élite américaines durant la présidence d’Obama.

Saddam Hussein

Premièrement, cet homme a tué plus de 2 millions de membres de son propre peuple lors de nombreux actes de génocide religieux. Il a élevé deux fils malfaisants, dont un qui a organisé l’un des plus importants vols de banque de l’histoire. Les deux fils de Saddam Hussein sont morts avant lui, et il a été pendu pour ses crimes contre l’humanité.

Heinrich Himmler

Quand Heinrich Himmler était étendu sur son lit d’hôpital à Prague, c’est Himmler, son ami, qui veillait sur lui. Himmler a presque failli détrôner Heydrch en matière de mal. Entre six et sept personnes sont mortes de ses mains. Pour renforcer la folie de sa soif de sang, Himmler appréciait les soirées calmes dans sa maison décorée de meubles réalisés avec les os et la peau de ses victimes.

« Allo, Ed Gein ? C’est Heinrich ! Tu peux me réexpliquer comment étirer la peau ? »

Adolf Eichmann

Le plus grand regret d’Eichmann concernant la Seconde Guerre mondiale était le massacre des juifs. Il déplorait le fait que les nazis n’arrivaient pas à en tuer davantage. C’est le type qui a dit :

« Si on m’avait dit que mon propre père était un traitre et que je devais le tuer, je l’aurai fait ».

Nous pouvons lui attribuer la mort de six millions de juifs. En 1960 il est passé en procès à Jérusalem et a été pendu pour ses crimes en 1962.

Maximilien Robespierre

Robespierre a été un rouage essentiel dans la machine de la Révolution française, il pensait qu’il était plus simple de tuer les gens que de leur pardonner. Sur une période de 10 mois, Robespierre a exécuté sans jugement, y compris certains de ses amis proches.

Kim Il Sung

Vous vous souvenez du conflit coréen, que l’on appelle parfois guerre de Corée, même si elle n’a jamais été officiellement reconnue comme telle ? Ce conflit a impliqué presque autant de nations que les guerres mondiales. Soutenu par les Soviétiques et la Chine, Sung était à la tête de l’invasion de la Corée du Sud. Cet évènement a entraîné la mort de 3 millions de personnes.

L’ayatollah Rouhollah Khomeini

Avant le renversement du gouvernement du Shah d’Iran, Khomeini s’exprimait contre le Shat et les États-Unis. Ses protestations l’ont mené en prison, puis en exil, mais il est revenu triomphant en Iran. Il a pris le pouvoir du pays, avant d’imposer des lois religieuses qui affectent toujours le pays. Sous le régime de Khomeini, les Iraniens risquaient la torture et l’emprisonnement s’ils s’opposaient à lui.

L’empereur Hirohito

Bien avant que nous soyons alliés avec le Japon, bien avant l’explosion des deux plus grosses bombes jamais larguées sur la planète, le Japon était un empire. Hirohito était l’empereur derrière d’énormes crimes contre l’humanité, le génocide des Chinois, des Indonésiens, des Coréens, des Indochinois, et des Philippins. Sous son commandement, les soldats ont violé plus de 200 000 femmes. Plutôt que de les capturer, ils tuaient les prisonniers de guerre et forçaient les pères à violer leurs femmes et leurs filles.

Néron

 

Rome a connu de nombreux dirigeants, nombre d’entre eux étaient doués pour faire de leur mieux pour diriger durant des périodes moins civilisées. Néro n’était pas un de ceux-là. Avant que Rome ne se convertisse au christianisme, Néro passait ses journées à torturer les chrétiens de différentes manières : empoisonnement, coups de couteau, feu, et parfois, crucifixion. Il a même imputé le grand incendie de Rome à ces chrétiens.

Caligula

Il était aussi fou que peuvent l’être les gouvernants, Hollywood a même immortalisé et dramatisé les actes de tortures déments perpétrés par Caligula. L’homme se prenait pour un dieu, intouchable. Ses actes de meurtre allaient si loin, il a massacré quelques-uns de ses alliés les plus proches, sciant ainsi la branche sur laquelle il était assis.

Attila le Hun

Le célèbre souverain du Ve siècle, Attila semait la peur au sein de l’Empire romain, de l’Orient comme de l’Occident. Lorsque Sainte Ursule, qui s’appelait alors Ursule, a refusé d’épouser Attila, il ne s’est pas laissé démonter. Pour Attila, cela signifiait tuer Ursule et 10 000 de ses compagnons.

Genghis Khan

Les historiens pensent qu’entre 10 et 30 pour cent de la population mondiale a disparu sous le règne de Genghis Khan. Il a massacré des dizaines de millions de personnes (entre 20 et 60 millions). Dans un récit d’un massacre, il a tué 700 000 personnes.

Léopold II de Belgique

De l’extérieur, le monde pensait que le roi Léopold développait le Congo, éduquait et nourrissait le peuple. Mais à l’intérieur des frontières, les hommes de Léopold torturaient et massacraient environ la moitié de la population de l’État indépendant du Congo.

Tomas de Torquemada

Torquemada, un frère dominicain, était le premier Grand Inquisiteur de l’Inquisition espagnole du XVXe siècle. Torquemada a eu un rôle clef dans le passage du décret de l’Alhambra, qui a conduit à l’expulsion de 40 000 juifs d’Espagne en 1492. Ceux qui sont restés se sont convertis au catholicisme, avec de nombreux musulmans ou ils ont été torturés et tués.

Mao Tsé-Tung

Mao, l’ancien dictateur chinois, est responsable de la mort d’environ 70 millions de personnes. Lorsqu’il était au pouvoir, la Chine a subi la pire famine et le pire génocide de l’histoire.

Ivan le Terrible

Vous n’obtenez pas un surnom comme « terrible » en envoyant des fleurs. Ivan a été intronisé grand-prince de Vladimir et de Moscou en 1533. Le lendemain il a développé un sentiment accru de paranoïa. Pour calmer ses peurs, il s’en est pris au peuple de Russie. Il a forcé des milliers de personnes à quitter leurs maisons afin de les torturer ailleurs. Ses moyens de torture intégraient toutes les douleurs imaginables, y compris le fait de faire frire les torturés vivants.

Idi Amin Dada

L’un des dictateurs les plus brutaux de tous les temps, Amin Dada est responsable de la mort de 300 à 500 000 de ses concitoyens ougandais. Les meurtres étaient brutaux, et effectués à l’aide masses. Ils étaient souvent diffusés à la télévision pour que tout le monde puisse les regarder, dans l’optique de diriger par la crainte.

Pol Pot

Les mains de Pol Pot portent les taches de sang de 3 millions de Cambodgiens, environ un tiers de la population du pays en 1979. Les cibles étaient toute personne pouvant correspondre à la définition de l’ennemi, ce qui comprenait, sans se limiter à, toute personne liée à l’ancien gouvernement, les Cambodgiens éduqués ou même ceux qui portaient des lunettes ou appartenaient à d’autres ethnies, et tous ceux qui ne pouvaient pas contribuer à l’idéologie du dictateur. Comme les balles étaient une ressource rare, Pol Pot a formé ses hommes à tuer autant que possible avec leurs mains ou à avec des bâtons. Les autres sont morts de la famine, de maladies ou d’épuisement.

Adolf Hitler

Vous vous inquiétez sans doute de ne pas voir apparaître ce nom dans cette liste. Hitler était le chef du parti nazi, qui a pris le pouvoir une fois élu par les Allemands. Il est responsable de la mort directe de 11 millions de personnes, mais la Seconde Guerre mondiale en a tué plus de 50 millions.

Joseph Staline

L’homme, que de nombreuses personnes considèrent comme responsable d’avoir terni l’idéal socialiste, a dirigé l’Union soviétique des années 20 jusqu’en 1953. Son commandement est responsable de la mort de 40 millions de personnes. Staline est celui qui a dit un jour :

 « … une mort est une tragédie, un million de morts est une simple statistique ».

Vlad III l’Empaleur

Vous vous souvenez de ce type évoqué il y a quelques lignes, non ? Vlad est celui que nous connaissons sous le surnom affectueux de Dracula. Il n’avait pas de crocs, mais avait la réputation de faire bien pire que les célèbres morsures. Vlad aimait empaler ses victimes sur des piquets, à travers le moindre orifice. Ils mourraient sur le poteau, se vidant de leur sang dans une douleur atroce. La légende dit qu’il rôtissait des enfants devant leurs parents, avant de leur faire manger leur progéniture.

Delphine LaLaurie

Marie Delphine Lalaurie a vécu au début du XIXe siècle et est plus connue sous le nom de Madame Blanque. Elle appartenait au milieu mondain créole de La Nouvelle-Orléans et était une tueuse série, tristement célèbre pour avoir torturé et tué plusieurs de ses esclaves domestiques. Lorsque sa demeure est partie en flammes le 10 avril 1834, les pompiers sont entrés dans la maison pour y trouver sept de ses esclaves brutalement mutilés et au seuil de la mort. Après un tollé public, Madame Blanque s’est retirée en exil volontaire en France. Sa maison existe encore et, selon la rumeur, est hantée.

Ilse Koch

Surnommée « la chienne de Buchenwald » ou « la sorcière de Buchenwald », et d’autres sobriquets hauts en couleur, Ilse Kocj était la femme de Karl-Otto Koch, le commandant des camps de concentration de Buchenwald et de Majdanek durant la Seconde Guerre mondiale. Elle a participé aux expérimentations effectuées sur les victimes des camps, et on lui attribue le fait d’avoir dépecé des victimes tatouées afin de conserver des souvenirs.

Shirō Ishii

Shirō Ishii était microbiologiste, officier médical de l’armée japonaise et directeur de l’Unité 731, une unité de guerre biologique de l’Armée impériale japonaise. Il a œuvré durant la Seconde Guerre sino-japonaise, un conflit opposant le Japon et la Chine, et a mené des expérimentations sur plus de 10 000 sujets humains. La majorité de ces tests ce sont avérés être fatals.

Oliver Cromwell

Oliver Cromwell était un militaire et homme politique anglais très religieux, il s’était autoproclamé « Moïse puritain » et pensait que c’était Dieu qui guidait ses conquêtes militaires. Durant sa carrière, il a été responsable de la dissolution du parlement par la force et a mené une invasion de l’Irlande. Pendant cette campagne, il a massacré des milliers d’Irlandais, affirmant qu’il s’agissait du « Jugement de Dieu », car ils étaient catholiques, il a interdit le catholicisme et a emprisonné les prêtres. Il a déporté plus de 50 000 Irlandais en tant que prisonnier de guerre et serviteurs, il est tenu responsable de la mort de près de la moitié de la population irlandaise de l’époque.

Le Marquis de Sade

Vous connaissez le mot « sadisme » ? Oui, il vient de cet homme. Le Marquis de Sade était connu pour son sadisme sexuel intense. Au cours de sa vie, il a écrit un ensemble d’œuvres philophiques et érotiques mettant l’accent sur la violence, la criminalité et le blasphème. Il a également été interné à trois reprises en asiles pour des atrocités sexuelles sur des femmes, dont le viol et la torture brutale.

Richard Kuklinski

Richard Leonard Kuklinski était un tueur à gages américain du début des années 2000 reconnu coupable de cinq meurtres. Les médias l’ont surnommé « Ice Man », car il aimait congeler ses victimes pour dissimuler le moment du décès. Bien qu’il ait été seulement condamné pour cinq meurtres, il a travaillé pour la mafia et revendique avoir tué plus de 250 hommes dans sa vie.

Charles Cullen

Charles Cullen était appelé le « killer nurse » (« l’infirmier tueur »). Durant sa carrière d’infirmier, il a été confirmé qu’il avait tué 40 patients. Durant ses entretiens avec des psychiatres professionnels et des journalistes, il était évident qu’il avait assassiné bien plus de personnes. On estime qu’il a été responsable de plus de 400 victimes, ce qui en ferait l’un des tueurs en série les plus prolifiques de l’histoire américaine.

Albert Fish

Hamilton Howard « Albert » Fish a vécu au début du XXe siècle et était un tueur en série américaine. Il a eu plusieurs pseudonymes, dont « le loup-garou de Wysteria », « l’homme-gris », « le maniaque à la lune », « le vampire de Brooklyn », et le plus connu : le croque-mitaine. Il se vantait du fait qu’au cours de sa vie il avait violé et mangé plus de 100 enfants. Il a finalement avoué trois de ses meurtres et a été exécuté par chaise électrique.

Jack l’Éventreur

Jack l’Éventreur est probablement le plus connu des tueurs en série non identifiés de l’histoire. Pendant l’ère victorienne, Jack l’Éventreur parcourait les rues de l’est de Londres. Cinq meurtres sont considérés comme étant l’œuvre de Jack l’Éventreur. Il ciblait des prostitués, les tuant en leur coupant la gorge et l’abdomen.

Kermit Gosnell

Kermit Gosnell a vécu durant la deuxième moitié du XXe siècle. Il a été accusé du meurtre de trois enfants nés vivants durant des tentatives d’avortements. Ses collègues et lui ont été jugés pour plusieurs chefs d’accusation, dont avortements illégaux. Un nouveau chef d’inculpation pour meurtre a été ajouté, après qu’il ait été jugé responsable de la mort d’une de ses patientes après un avortement. Il a été condamné à une peine d’emprisonnement à vie sans libération conditionnelle.

Feliks Dzierżyński

Feliks Edmundovich Dzierżyński surnommé « Félix de fer » était connu pour avoir créé la police secrète russe et l’avoir administrée. Durant la Terreur rouge, les forces secrètes russes ont été responsables de milliers d’exécutions massives. Leurs victimes étaient abattues sans procès dans ses sous-sols et sur des places publiques. Dzierżyński a déclaré à propos de ses opérations et de ses décisions :

« Nous représentons la terreur organisée, cela doit être affirmé très clairement ».

Jon Burge

Jon Graham Burge est un ancien détective de la police de Chicago qui a été accusé de nombreux crimes en 2009. Il a utilisé la torture sur plus de 200 suspects afro-américains afin d’obtenir des informations. Les supplices incluaient des lacérations, des raclées, et des brûlures au second degré. Des années 80 au début des années 2000, il a été accusé de nombreux faits de brutalité policière. Il a fallu attendre 2001 pour qu’une enquête soit ouverte, et il a finalement été arrêté en 2008 et condamné en 2009.

Raspoutine

Grigori Raspoutine était un mystique et saint homme autoproclamé russe qui a réussi à s’insérer dans la famille royale des Romanov avant la Révolution bolchévique. Il a utilisé son influence pour contrôler la famille Romanov de l’intérieur, et selon certaines théories les a même menés à leur perte.

Charles Manson

Charles Manson est un gourou et meurtrier américain qui a été reconnu coupable de sept meurtres différents. Il a guidé la Manson Family, une communauté responsable du meurtre de l’actrice Sharon Tate, et d’une tentative d’assassinat du président Gerald Ford.

Miyuki Ishikawa

Miyuki Ishikawa était une sage-femme japonaise reconnue coupable du meurtre de presque 200 nourrissons dans les années 40. Ces morts étaient principalement dues à la négligence, et elle pensait leur faire une faveur, car ils étaient nés de familles défavorisées et elle considérait qu’ils n’auraient jamais une bonne vie. Elle reste l’un des tueurs les plus prolifiques de l’histoire japonaise.

Dariya Nikolayevna Saltykova

À l’instar d’Elizabeth Bathory, Dariya Nikolayevna Saltykova était une noble russe et une sadique qui a tué et torturé plus de 100 de ses serfs, principalement des femmes et des filles. Comme la peine de mort était proscrite en Russie en 1754, elle a été exposée à Moscou pour être ridiculisée sur la place publique avant d’être emprisonnée à vie.

Ted Bundy

Ted Bundy était un tueur en série américaine responsable de trente morts dans sept États différents. Certains chercheurs estiment que le nombre de victimes était plus important. Bundy était un assassin, violeur, nécrophile et voleur. Il a décapité douze de ses victimes. Il a simplement battu à mort certaines d’entre elles durant leur sommeil. Son biographe le décrit comme

« un sociopathe sadique qui tirait son plaisir de la douleur ressentie par un autre humain et du contrôle qu’il avait sur ses victimes, au moment de la mort, et même après »

Eugen Haagen

Eugen Haagen était un des nombreux médecins nazis qui tenait des dossiers de ses patients qui cherchaient à exterminer tous ceux qui ne correspondaient pas à l’idéal biologique nazi. Il a également effectué des centaines d’expérimentations sur ses victimes.

Joseph Goebbels

Joseph Goebbels était le ministre de la propagande du Reich durant la Deuxième Guerre mondiale, en plus d’être un ami proche d’Hitler. Il chantait les louanges d’Hitler, le considérant comme un dirigeant infaillible et prestigieux. Goebbels évoquait régulièrement l’Holocauste avec Hitler, et il soutenait sans réserve cette extermination systématique.

Le tueur du Zodiaque

Le tueur du Zodiaque opérait dans le nord de la Californie dans les années 60 et 70. Il était responsable de la mort de quatre hommes et trois femmes âgés de 16 à 29 ans. On pense également qu’il a fait quatre autres victimes, mais cela n’a jamais été confirmé. Le mode opératoire variait, allant des coups de couteau répétés aux coups de feu. Bien que de nombreuses personnes aient été soupçonnées, le tueur du Zodiaque n’a jamais été retrouvé.

L. Ron Hubbard

L. Ron Hubbard est le fondateur de l’église de scientologie. Durant son existence, au sein de l’institut de Scientologie situé à Hollywood, en Californie, des milliers de personnes ont été endoctrinées, ont subi un lavage de cerveau, et ont même été torturées sous le prétexte de la religion. L’église de scientologie a soutiré des millions de dollars à ses adeptes. À la fin de sa vie, Hubbard était apparemment convaincu qu’il devenait fou, et a même fait appel à une aide psychiatrique.

Kim Jong-un

Kim Jong-un est le dictateur actuel de la Corée du Nord. Sous son règne, le régime nord-coréen a commis d’innombrables atrocités, dont des tortures, des exécutions publiques, et la création de camps de concentration. Kim Jong-un est également responsable de l’assassinat de son frère, Kim Jong-nam.

Théoneste Bagosora

Théoneste Bagosora est un ancien officier militaire rwandais responsable du génocide rwandais. Il pensait que la seule solution aux problèmes du Rwanda était d’éliminer les Tutsis. Plus de 1 000 000 de personnes ont été massacrées sous ses ordres. Il a été condamné à la prison à vie par le TPIR, mais après appel, sa sentence a été réduite à 35 ans d’emprisonnement.

http://bridoz.com

Des organes sur puce pour remplacer les animaux de labo?


On voudrait que les animaux ne soient plus des cobayes dans les laboratoires. Un pas est fait en ce sens grâce à la technologie qui vient d’ouvrir une voie en ce sens
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Des organes sur puce pour remplacer les animaux de labo?

 

Des organes sur puce pour remplacer les animaux de labo?

Les puces sont peut-être l’avenir de la recherche pharmaceutique.Photo Gentside

La fin des tests sur les animaux? Un rêve pour les défenseurs des animaux, une possibilité pour les chercheurs. En effet, l’expérimentation animale est de plus en plus décriée non seulement au niveau du traitement des sujets de laboratoire mais aussi des résultats obtenus qui ne seraient pas toujours fiables et concrets.

Depuis plusieurs années, des chercheurs travaillent ainsi à mettre au point des techniques alternatives. Donald Ingber, fondateur de l’Institut Wiss à  Harvard est l’un de ces scientifiques. Son laboratoire est spécialisé dans la modélisation d’organes humains sur des puces et il est aujourd’hui devenu capable de simuler les poumons, le foie ou encore le coeur.

DES ORGANES SUR MICRO-PUCES

Les puces sont peut-être l’avenir de la recherche pharmaceutique. En effet, les progrès en microfluidique ont permis aux chercheurs de construire des puces qui reproduisent les fonctions de certains organes humains. L’Institut Wyss a ainsi réussi à  créer une puce qui simule le fonctionnement des poumons grâce à une interface air-liquide.

Dans la partie air, sont présentes des bactéries et des cellules humaines de poumons et dans la partie liquide, dont les propriétés sont très proches du sang, des globules blancs. Grâce à  un système d’extension-contraction, la micropuce subit un mouvement proche de la respiration. Un modèle au plus proche de la réalité qui pourrait servir à  tester des médicaments, d’après ses inventeurs.

Lancés sur cette voie, de nombreux laboratoires améliorent les systèmes et diversifient les organes présents sur micro-puces. Ainsi, des médicaments pour diabétiques sont testés sur des puces pour contrôler leurs transferts dans les veines. Une amélioration non négligeable par rapport aux tests sur animaux qui restent un modèle imparfait.

DES EXPÉRIMENTATIONS ANIMALES DÉFENDUES

Néanmoins, des scientifiques continuent de défendre le processus d’expérimentation animale. Suite aux actions menées par des activistes, le CNRS a publié un communiqué expliquant l’importance de ces tests. Selon de nombreux scientifiques, les tests sur puces sont une grande amélioration pour la recherche car des résultats rapides peuvent être obtenus. Mais des faiblesses demeurent.

Ces modèles ne permettent notamment pas de visualiser la complexité des êtres vivants.

«En travaillant sur un système biologique reconstitué, les scientifiques ne peuvent pas observer l’entièreté de la réaction comme ils peuvent le faire avec le modèle animal», argumente le CNRS.

Un problème difficile à  surmonter même en améliorant les systèmes déjà  mis au point.

En attendant, les expérimentations animales coûtent de plus en plus cher et sont très fortement régulées et contrôlées. Il devient alors plus difficile d’obtenir la possibilité d’effectuer ces recherches. La solution des organes sur puces pourrait ainsi permettre à  de nombreux chercheurs d’obtenir un modèle facile à étudier et peu coûteux.

http://fr.canoe.ca/

Des hommes expérimentent les règles


3 gars ont accepté d’expérimenter un symptôme des règles. Le sang qui coulent peut importe l’heure, l’endroit ou ils sont. Ils ne peuvent expérimenter la douleur, l’humeur changeante, mais quand même, l’expérience a quand même fait réfléchir ces gars, personnellement, j’aurais ajouté une simulation de douleur comme cela a été fait chez les femmes enceintes
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Des hommes expérimentent les règles

 

Des hommes expérimentent les règles

Capture d’écran / YouTube

Maux de ventre, saignement, humeur changeante; si les femmes sont bien au fait des symptômes liés aux menstruations, les hommes ne peuvent qu’observer le tout de l’extérieur, sans vraiment comprendre.

L’équipe de BuzzFeed a décidé de remédier à cette injustice en demandant à trois gars d’expérimenter les règles. Pendant trois jours, le trio de volontaires a vaqué à ses occupations quotidiennes, mais avec un dispositif sur eux qui libérait de plus ou moins grandes quantités de «sang» – du jus de betterave – n’importe quand.

«Ça semble toujours être la fin du monde. Je veux comprendre pourquoi c’est aussi stressant d’avoir ses règles», explique l’un des trois hommes qui a participé à l’expérience.

Premier constat de ces messieurs : les serviettes hygiéniques, ce n’est ni confortable, ni parfaitement efficace! Aucune protection sous la main, caleçons et pantalons tâchés, plancher souillé; l’expérience vire au désastre, dès la première journée.

«Les serviettes sont très inconfortables. Savoir que du sang peut couler à n’importe quel moment pendant la journée est terrifiant», souligne l’un d’entre eux.

Les trois gars n’ont guère réussi à s’améliorer lors des deux autres journées.

«J’ai perdu trois paires de pantalons jusqu’ici», lance l’un d’entre eux, tandis qu’un autre avoue avoir «juste envie de rentrer chez moi et d’écouter des dessins animés».

En entrevue après l’expérience, les trois cobayes se font compatissants avec la gente féminine.

«Je ne crois pas que les tampons ou les serviettes devraient être un privilège de riche. Ça devrait être un droit [d’y avoir accès]», commente l’un d’eux, sous les regards approbatifs des deux autres.

«Ç’a été un inconvénient majeur pour moi, et je n’ai expérimenté qu’un symptôme des règles», relativise un autre.

Pour voir la vidéo (en anglais seulement):

 

http://fr.canoe.ca/

Le Saviez-Vous ► Ces dessins douteux servaient pour les chirurgies à l’époque


Je suis bien contente que la médecine ai pu évoluer, car il fût un temps que passer sous les mains d’un médecin, c’était une épreuve quasi insurmontable surtout sans anesthésie et les médecins ne portaient pas de gants stériles, imaginez les multiples infections après une intervention
Nuage

 

Ces dessins douteux servaient pour les chirurgies à l’époque

 

PLANCHES ANATOMIQUES

The Huffington Post  |  Par Erin Schumaker

Pour arriver au niveau de la chirurgie moderne, la médecine a longtemps dû expérimenter. Et c’est au bout de nombreuses expériences que l’on a pu parvenir au niveau d’aujourd’hui.

Un livre retrace les « tâtonnements » de la médecine au travers de planches anatomiques qui décrivent, avec force détails, les opérations d’alors.

Le livre Crucial Interventions montre l’évolution de la chirurgie et compile les illustrations « magnifiquement » horribles. Et ces dessins techniques du 17e, 18e et 19e siècles vont vous faire aimer vivre au 21e siècle.

Détail qui a son importance, quand les planches ont été dessinées, l’anesthésie n’existait pas. Elle a été inventée en 1846 lorsque John Collins Warren a effectué la première opération réussie avec de l’éther sulfurique comme anesthésique auMassachusetts General Hospital.

S’il était difficile d’être professionnel de la santé, être patient l’était alors encore plus. La romancière Fanny Burney a décrit en 1811 sa mastectomie dont le diagnostic n’était peut-être pas exact. L’opération ressemble alors à une véritable scène de guerre:

Lorsque le terrible acier a été plongé dans la poitrine – a coupé à travers les veines, artères, chair, nerfs – je n’ai eu besoin d’aucune injonction pour ne pas retenir mes cris. J’ai commencé un cri sans interruption qui a duré le temps de l’incision- et je suis presque étonnée qu’il ne sonne pas encore dans mes oreilles. Si atroce était l’agonie.

Voici quelques exemples de ces planches. Attention, certaines images peuvent heurter.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Une greffe de tête réalisée chez le singe


Un greffe de coeur, de poumon, de peau, c’est une chose, mais une greffe de tête sur un autre corps !!! Frankenstein sera bientôt chose du possible. Je comprends que des personnes ont besoin d’une grande avancée médicale pour améliorer leur vie, peut-être que si j’étais a leur place, je voudrais tenter l’expérience, je ne sais pas, mais sur le plan psychologique, je me demande bien quelle sera les conséquences.. Bref, je suis mal à l’aise devant ce genre d’expérience
Nuage

 

Une greffe de tête réalisée chez le singe

 

L'opération actuelle a été inspirée des travaux du Dr Robert White, neurochirurgien américain qui a tenté des greffes de têtes de chien et de singe dans les années 1970. © Image courtesy of Dr. White

 

Par Elena Sender

L’opération actuelle a été inspirée des travaux du Dr Robert White, neurochirurgien américain qui a tenté des greffes de têtes de chien et de singe dans les années 1970. © Image courtesy of Dr. White

La greffe d’une tête de singe sur le corps d’un autre a été réalisée en Chine, après quantité de greffes réussies de têtes de souris. La preuve que cette transplantation de l’extrême est prête pour être appliquée à l’humain, selon les auteurs.

EXPLOIT. Ils l’ont fait ! Une greffe de tête de singe (vivant) sur le corps (vivant) d’un autre singe a été accomplie par le groupe du professeur XiaoPing Ren, de l’Université médicale de Harbin (Chine), spécialiste jusqu’ici de la greffe de tête… de souris. Avec succès : le singe a été maintenu en vie pendant 20 heures, le cerveau préservé ! L’opération a été réalisée en collaboration avec Sergio Canavero, professeur de neurosciences de cette même université. De quoi, selon ses auteurs, tester avec succès la méthode afin de rendre bientôt l’opération possible… pour l’homme ! Et ce… dès 2017.

« C’est une vraie victoire pour l’humanité », s’enthousiasme Sergio Canavero qui savoure ce moment après avoir été décrié il y a quelques années.

Une « greffe de tête », c’est-à-dire la transplantation d’une tête humaine (vivante) sur le corps d’un donneur (vivant en mort cérébrale), permettrait en effet selon lui de redonner par exemple l’usage d’un corps valide à des tétraplégiques, ces personnes paralysées des quatre membres. Voilà maintenant trois ans que le neurochirurgien d’origine italienne travaille à ce protocole nommé Heaven (head anastomosis venture) / AHBR (allogenic head body reconstruction), dont il a eu l’initiative alors qu’il était neurochirurgien à l’hôpital de Turin (Italie). Un projet qui, à son annonce, avait fait couler beaucoup d’encre tant il pose de questions éthiques autant – sinon davantage – que techniques.

Une procédure chirurgicale innovante

Inspiré des travaux du Dr Robert White, neurochirurgien américain qui tenta des greffes de têtes de chien et de singe dans les années 1970, Sergio Canavero a revisité la procédure chirurgicale. Pour rappel, elle consiste à détacher dans un premier temps les têtes des corps, puis à faire fusionner la moelle épinière du corps du donneur avec celle de la tête du receveur. Pour cela, Sergio Canavero propose un protocole (GEMINI) mettant en oeuvre le « raboutage » des nerfs du donneur et receveur associé aux propriétés extraordinaires du polyéthylène glycol (PEG), une substance qui induit la fusion des fibres nerveuses (axones) coupées. Puis une stimulation électrique permet de reconnecter les deux cordons nerveux. Parallèlement, une autre méthode vise à « protéger » le cerveau du donneur le temps de l’opération.

Notre objectif était de prouver que l’on pouvait protéger le cerveau. »

L’étape qui vient d’être franchie est déterminante. Prouvée chez la souris par le professeur XiaoPing Ren, la validité de l’opération vient en effet d’être démontrée chez le singe, autrement dit chez un primate très proche de l’homme, grâce aux apports de chercheurs venus d’horizons différents.

« Nous avons maintenu en vie le singe durant 20 heures, assure le professeur Ren. Notre objectif était de prouver que l’on pouvait protéger le cerveau. » C’est apparemment chose faite. 

Le professeur apporte quelques éclairages sur la technique employée.

« La stratégie de protection du cerveau a consisté en une hypothermie, et à l’établissement d’une circulation sanguine croisée entre donneur et receveur par un système de canules ».

Circulation croisée qui n’avait pas été mise en place Robert White en son temps. Par ailleurs une molécule, le perfluorocarbone (Perftoran), étudié par les professeurs russes Orlova et Maevsky de l’ITEP (Institute of theoretical and experimental physics) de Moscou, aurait été utilisée pour son action neuroprotectrice.

Selon Sergio Canavero, au contraire des souris, le singe n’a pas reçu, lui, la procédure Gemini, « en raison des lois éthiques qui ne permettent plus de garder plus d’un certain temps un animal dans ces conditions d’expérimentation. »

Selon le communiqué de Heaven, sept articles scientifiques ayant trait au protocole global auraient été acceptés simultanément dans deux revues universitaires prestigieuses, Surgery et SNC Neurosciences & Therapeutics et en voie de publication.

Soutenus par le rédacteur en chef Michael Sarr, ancien président de la société internationale de chirurgie qui y voit un réel intérêt pour « les implications en ce qui concerne la réparation neuronale chez des patients qui ont eu une section traumatique de la moelle épinière pour laquelle il n’y a encore aucun traitement et qui les maintien paralysés à vie. » 

Pour parer les questions éthiques que cette opération ne va pas manquer de soulever, Sergio Canavero a fait aussi appel à un philosophe, historien des idées, Guiliano Mori, qui travaille notamment  sur le changement d’identité après réception d’un nouveau corps.

Un Russe volontaire pour recevoir un nouveau corps

Car l’équipe n’a pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin ! Les premières études sur des cadavres humains ont déjà commencé en Chine et permis d’affiner le protocole. Déjà un patient, Valery Spriridonov, jeune russe de trente ans souffrant d’une grave maladie dégénérative est volontaire pour recevoir un nouveau corps. Reste que l’intervention exceptionnelle sera extrêmement coûteuse. Aussi l’équipe Heaven / AHBR cherche d’ores et déjà des bailleurs de fonds indépendants, « comme Mark Zuckerberg« , selon le communiqué, pour financer la procédure, en Russie ou ailleurs. Dans l’intervalle, le Vietnam a lui-même offert d’accueillir les futures greffes de tête. La première du genre pourrait avoir lieu fin 2017…

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Le scandale des chiens torturés par une faculté de médecine en Chine


Comment considérer l’humanité de ces futurs médecins quand on voit comment ils traitent ces chiens. Comment cautionner une université qui s’excuse sur le bout des lèvres de la cruauté envers les animaux sur son propre toit ? Comme Gandhi a dit :“On peut juger de la grandeur d’une nation par la façon dont les animaux y sont traités.”
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Le scandale des chiens torturés par une faculté de médecine en Chine

 

Les chiens étaient placés mourant sur le toit de l’un des bâtiments du campus. © China Xinhua News /

Par Anne-Sophie Tassart

Après la large diffusion d’une vidéo montrant plusieurs chiens dans un état de santé précaire, l’Université chinoise Xi’an Medical School reconnaît des actes de cruauté.

TORTURE. La Xi’an Medical School (Chine) est la cible de toutes les critiques depuis qu’une vidéo largement diffusée sur internet a mis en lumière l’état déplorable dans lequel cette faculté de médecine laisse les chiens dont elle se sert comme cobayes. Les animaux sont placés sur le toit d’un des bâtiments du campus, aucun abri ne les protègent des intempéries. Certains tremblent de froid, d’autres sont déjà morts. Il y a en a qui saignent encore et qui sont parcourus de spasmes.L’un d’entre eux tente tant bien que mal de se déplacer mais il faut pouvoir éviter les corps de ses congénères qui jonchent le sol. De toutes façons, il est trop maigre pour que les autres puissent réellement le sentir se déplacer… Ils sont une douzaine au milieu des déchets constitués essentiellement du matériel médical qui a servi aux expérimentations. La plupart présentent des plaies au ventre : ils ont été ouvert afin que les étudiants en médecine s’entraînent aux points de suture. Un des élèves qui a participé à ce type d’expérience indique que si les chiens ont tous un lien noué autour de la gueule, c’est pour empêcher des morsures pendant que les futurs médecins pratiquent les gestes chirurgicaux. Mais les animaux n’ont pas eu seulement la gueule d’attachée, leurs membres l’ont été également avec des linges médicaux. Un professeur qui souhaite garder l’anonymat confie qu’ils ont aussi été drogués.

Il est vrai que nous ne leur avons pas donné assez de soin » – la porte-parole de l’Université

La réaction de l’Université ? Selon le média News Xinhuanet, elle a présenté des excuses au début du mois de décembre 2015. Elle reconnaît les actes de cruauté dont elle est accusée mais maintient que l’utilisation de ses chiens pour les expérimentations cliniques était réglementaire. La porte-parole de la faculté de médecine, Xiong Dongmei, a annoncé que toutes les expériences sur les animaux ont été temporairement suspendues.

« Ces chiens ont été euthanasiés. Ils étaient sur le point de mourir quand la vidéo a été tournée. Il est vrai que nous ne leur avons pas donné assez de soin », a déclaré Dongmei.

Selon le Shanghaiist, en plus des chiens mourant, une vingtaine d’autres animaux attendaient de subir le même sort. Ces derniers ont été trouvé attachés à des canalisations, blottis les uns contre les autres. Officiellement, la Chine estime que les expériences cliniques ne doivent pas empêcher le soin des animaux et que la douleur administrée doit être minimale.

© China.org.cn / Twitter – Un linge était noué autour de la gueule des chiens pour les empêcher de mordre les étudiants.

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Les effrayantes expérimentations animales d’un laboratoire américain qui aide l’industrie de la viande à être plus rentable


Payer à l’insu de la population pour maltraiter des animaux lors d’expérimentation dans le but de rendre l’élevage encore plus productif tout en étant plus rentable. Je crois que les contribuables américains seraient déçus pour la plupart de savoir où va leur argent
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Les effrayantes expérimentations animales d’un laboratoire américain qui aide l’industrie de la viande à être plus rentable

 

<a href="https://www.flickr.com/photos/familyclan/15140832740">Barbecue ribs, pork</a> / David McSpadden via Flickr <a href="https://creativecommons.org/licenses/by/2.0/">CC License By</a>. Image d'illustration.

Barbecue ribs, pork / David McSpadden via Flickr CC License By. Image d’illustration.

par Claire Levenson

Pour baisser les coûts de la production de viande américaine, le laboratoire fédéralU.S. Meat Animal Center, financé par le contribuable américain, met en oeuvre des expérimentations choquantes sur les animaux depuis les années 1960, révèle une longue enquête du New York Times.

Dans ce centre, situé dans l’Etat du Nebraska, les scientifiques tentent notamment de créer des truies et des vaches qui ont des portées plus importantes et des grossesses à intervalles plus rapprochées, ainsi que des brebis «soins faciles» qui peuvent survivre et se reproduire sans trop d’intervention humaine.  

Pour en arriver là, la direction du laboratoire ne recule pas devant un taux très élevé de décès, maladies et malformations de leurs animaux. Pour rendre les vaches plus rentables, le centre a notamment tenté d’augmenter le taux de naissance de jumeaux. Depuis le début des années 1980, les scientifiques ont commencé à fertiliser des oeufs dans des vaches qui avaient donné naissance à des jumeaux en utilisant du sperme de taureaux pères de jumeaux. Ces embryons ont été implanté dans des vaches qui n’avaient pas encore donné naissance à des jumeaux. Au fil des générations, le pourcentage de jumeaux s’est multiplié: habituellement de trois paires pour 100 naissances, il a atteint 55 pour 100.

Mais dans son enquête, le journaliste Michael Moss évoque les terribles effets secondaires de ces expériences: 95% des femelles jumelles avaient des vagins déformés, et environ 16 pourcent des jumeaux et triplés mourraient, un taux quatre fois plus élevé que pour les naissances habituelles.

Même chose pour les truies, manipulées de sorte qu’elles aient des livrées de 14 petits, au lieu des huit en moyenne. Dans ces livrées trop grandes, des centaines de petits cochons du centre meurent écrasés ou étouffés chaque année.

Quant aux brebis, le centre a tenté de les rendre moins domestiquées et de voir si elles peuvent se débrouiller sans l’aide de bergers. Habituellement, les brebis sont gardées au chaud dans des granges pour accoucher, mais depuis une dizaine d’années, les scientifiques du U.S. Meat Animal Center les laissent seules dehors pour voir lesquelles résistent le mieux. Dans ce contexte, des centaines de petits meurent de faim, abandonnés ou mangés par des coyottes. Entre 25 et 30% des petits meurent, contre 10% dans les conditions habituelles.

De nombreux vétérinaires qui ont travaillé dans ce laboratoire ont plusieurs fois tenté de tirer la sonnette d’alarme, mais leurs critiques n’ont pas été prises en compte. L’idée des chercheurs du centre est de baisser les coûts de l’élevage, mais même les éleveurs sont choqués par ce genre de pratique, rapporte le journaliste du New York Times.

Le ministère de l’agriculture américain, qui régule pourtant ce type de pratiques lorsqu’il s’agit d’expériences médicales, donne presque carte blanche à ce laboratoire dans la mesure où la loi sur le bien-être des animaux ne s’applique pas aux recherches sur les animaux d’élevage.

La presse américaine a déjà réagi avec horreur à cette enquête. Dans Mother Jones, le journaliste Tom Philpott explique qu’au lieu de demander à ce que ce centre soit fermé, il faudrait peut être le convertir en laboratoire d’étude sur les fermes diversifiées, qui font à la fois de l’élevage et de l’agriculture, dans un système de rotation qui est moins dommageable à l’environnement que la monoculture intensive.

http://www.slate.fr/

6 volontaires testent les futures missions vers Mars


Et voilà que la Nasa continue ces expériences et tests pour un éventuel départ sur Mars One en 2030. Enfin, qu’ils le fassent ou non, je pense que ce genre d’expérience pourrait être bénéfique pour le côté psychologique, car même sur terre, c’est une situation qui pourrait être plausible pour diverses raisons
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6 volontaires testent les futures missions vers Mars

 

6 volontaires testent les futures missions vers Mars

Photo AFP

Jean-Louis Santini

 

WASHINGTON – Trois femmes et trois hommes sont enfermés depuis une semaine et pour huit mois dans un dôme isolé à Hawaii. Leur mission: préparer pour la NASA les futurs astronautes à vivre harmonieusement pendant un long périple vers Mars.

«On ne comprend pas encore complètement tous les risques psychologiques et les moyens de les éviter et la Nasa n’entreprendra pas de mission vers Mars tant que cela ne sera pas résolu», explique Kimberly Binsded, professeur de sciences informatiques à l’Université de Hawaii.

La NASA envisage le premier vol habité vers la planète rouge pas avant les années 2030, une mission d’au moins deux ans.

Kimberly Binsded est la principale responsable de cette expérience financée par l’agence spatiale américaine, menée dans le cadre du programme du «Hawaii Space Exploration Analog and Simulation», aussi appelé Hi-Seas.

Deux précédentes expériences avec également six volontaires, mais d’une durée de seulement deux et quatre mois, ont déjà eu lieu au Hi-Seas pour étudier l’alimentation, la préparation des repas et «l’ennui» suscité par le fait de toujours manger un peu la même chose.

Une dernière mission d’un an avec six autres personnes est prévue à partir d’août 2015.

La grand danger est le sentiment d’être isolé, ce qui peut conduire à la dépression et au dysfonctionnement du groupe contraint de vivre ensemble dans un espace restreint pendant une longue période et sans possibilité d’y échapper, ajoute la professeur Binsded.

De plus, vu la distance de Mars à la Terre, le temps des communications est long, jusqu’à vingt minutes dans les deux sens, ce qui complique le travail de l’équipe de contrôle sur la Terre pour aider et soutenir les astronautes en cas de crise, rappelle-t-elle précisant que cette mission se concentre sur «la cohésion de l’équipage et ses performances».

«C’est également le premier équipage du Dôme qui passera des fêtes importantes comme l’Action de grâce, Noël et le Nouvel an. Il sera intéressant de voir comment leur moral en sera affecté», relève la scientifique.

Les chercheurs expliquent qu’ils ont cherché à recruter des personnes – ils ont reçu 150 demandes pour cette expérience – dont le profil est proche de celui d’un astronaute, que ce soit pour les qualifications professionnelles que pour les traits psychologiques.

Huit minutes de douche

 

Le type de personnalité recherchée est celui de «quelqu’un avec des nerfs solides, de nature optimiste et qui se distrait aisément». «Les grands émotionnels» sont écartés d’emblée, soulignent-ils.

L’équipe a retenu la formule d’un nombre égal de femmes et d’hommes mais aurait pu aussi bien choisir d’avoir quatre hommes et deux femmes ou l’inverse, mais pas une seule femme ou un seul homme, est-il souligné.

Les membres du groupe sont assez jeunes, âgés de 26 à 38 ans, mais des personnes plus âgées ne sont pas rejetées pour autant. Ainsi, un des remplaçants a plus de 50 ans.

Les six volontaires disposent chacun d’une très petite chambre, juste la place d’un lit simple, d’une chaise et d’un mini-bureau.

Au total, le dôme fait 10 mètres de diamètre pour une superficie de 140 mètres carré sur deux niveaux. Il est installé à 2400 mètres d’altitude sur le volcan Mauna Loa, dont le sol rappelle celui de Mars.

Le courrier électronique est le seul moyen de communication avec l’extérieur. Les transmissions sont retardées vingt minutes pour simuler la situation sur Mars.

Ils n’ont droit qu’à huit minutes de douche par semaine et ne peuvent pas sortir à l’extérieur du dôme sans être dans un scaphandre spatial qui simule celui que porteraient des astronautes sur Mars, mais sans le système de maintient des fonctions vitales.

Les six participants, cinq Américains et une Canadienne, doivent faire quatre sorties par semaine de deux heures chacune pour mener des expériences scientifiques comme ils le feraient sur la planète rouge.

Le groupe est formé d’un ingénieur aérospatial de la Nasa, de deux étudiantes, dont une prépare sa maitrise d’ingénierie et l’autre son doctorat, d’un microbiologiste, d’un ingénieur des matériaux composites et d’une spécialiste des piles photovoltaïques qui cherche à monter son entreprise.

Cette dernière, Martha Lenio, une Canadienne de 34 ans, est le leader de l’équipe, retenue pour être le commandant de bord.

«Ils vont être soumis à toute une batterie de différents tests psychologiques pour sonder leur humeur, comment ils se comportent les uns avec les autres et examiner leurs capacités cognitives et comment ils changent au cours de cette expérience», a précisé la professeur Binsted

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