En Alaska, elle trouve une surprenante créature marine


En Alaska, une pêcheuse a trouvé un animal marin qui vit généralement en profondeur, une étoile de mer assez particulière. Elle peut mesurer jusqu’à 70 cm et vivre jusqu’à 35 ans. Elle a une autre particularité, celle de survivre 28 heures hors de l’eau.
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En Alaska, elle trouve une surprenante créature marine

Un animal marin, similaire à une étoile de mer, a été retrouvé par une pêcheuse en Alaska.

  • Par Stacie Arena

Très vite, les internautes ont donné de plus amples informations sur l’animal. Il s’agit en fait d’une étoile de mer baptisée “basket star” qui respire et se nourrit à l’aide de ses nombreuses tentacules. Habituellement situées dans des fonds marins très profonds, ces “étoiles panier peuvent mesurer jusqu’à 70 cm de longueur et vivre jusqu’à 35 ans. Leurs longues tentacules leur permettent d’attraper du plancton ingéré par un petit orifice situé au dos de l’étoile.

Plusieurs internautes ont remis en cause la vidéo de Sarah Vasser-Alford, estimant que l’animal était en danger de mort à l’air pur. Une théorie fausse puisque les “basket star” peuvent survivre hors de l’eau plus de 28 heures.

https://www.huffingtonpost.fr/

Ce drone marin va s’attaquer aux étoiles de mer voraces pour protéger la Grande Barrière de corail !


Il y a des drones qui peuvent très utile pour l’environnement. Le drone :  RangerBot permet en effet de venir en aide au corail. Il pourra débarrasser des étoiles de mer qui blanchissent les coraux. En plus, il pourra donner des informations sur la qualité de l’eau et de la pollution.
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Ce drone marin va s’attaquer aux étoiles de mer voraces pour protéger la Grande Barrière de corail !

 

par Yohan Demeure

 

Le corail est entre autres mis en péril par une étoile de mer vorace, et c’est pour venir à bout de celle-ci que le drone océanique RangerBot a été mis au point. Par ailleurs, cette machine pourra également remplir d’autres missions.

Bien qu’un prototype du RangerBot (à l’époque baptisé COTSBot) avait été dévoilé en 2015 par une équipe de chercheurs de l’Université de technologie (QUT) du Queensland (Australie), le drone a réellement été lancé ce 31 août 2018. En grande partie financé par Google, ce projet – dont le développement a duré une décennie – vise à protéger la Grande Barrière de corail.

Couvrant une superficie de 348 700 km² soit la taille de l’Italie, la Grande Barrière de corail a été en proie en 2016 et 2017 à d’importants épisodes de blanchiment de ses coraux, concernant spécialement une zone de 2300 km de distance. Ceci est la conséquence de la hausse de la température de l’eau imputée au réchauffement climatique, et donc aux activités humaines.

En revanche, il existe une autre cause de cette destruction : l’acanthaster pourpre(ou couronne d’épines), une étoile de mer invasive et particulièrement vorace s’attaquant aux coraux. Ainsi, le RangerBot a été pensé pour combattre cette étoile de mer, comme le montre la vidéo présente en fin d’article.

« RangerBot est le premier système robotique du monde spécifiquement conçu pour les environnements de récifs coralliens, se servant uniquement de la vision de robot pour la navigation en temps réel, l’évitement d’obstacles, et des missions scientifiques complexes », a déclaré le professeur Matthew Dunbabin, directeur du projet.

Ainsi, le RangerBot pourra pratiquer des injections fatales aux étoiles de mer, mais pas seulement. En effet, le drone marin sera également en mesure de surveiller les autres espèces invasives, la qualité de l’eau, l’ensablement des coraux ainsi que la pollution. Enfin, celui-ci pourra cartographier des zones de récifs à une échelle encore inédite jusqu’à aujourd’hui.

Sources : Huffington PostSciences et Avenir

https://sciencepost.fr/

Il pleut des fruits de mer sur cette ville chinoise pendant une violente tempête


Qu’est-ce qu’on mange ? Une cité balnéaire a eu des fruits mers qui ont tombé du ciel causé probablement par une tornade dont les vents on transporter jusqu’en pleine ville des crevettes, étoiles de mer, pieuvre …
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Il pleut des fruits de mer sur cette ville chinoise pendant une violente tempête

Crédits : Weibo

par  Ulyces

Sortez couverts, des averses de pieuvres et d’étoiles de mer sont à prévoir. Ce qui ressemble à un remake chinois de Tempête de boulettes géantes s’est pourtant produit en vrai, mercredi 13 juin, dans la ville côtière de Qingdao.

La cité balnéaire de la province du Shandong, à l’est du pays, a été balayée par une violente tempête qui a donné lieu à des scènes spectaculaires : le vent fait voltiger dans les airs de pauvres créatures marines qui n’ont pas dû comprendre ce qui leur arrivait.

Crédits : Weibo

C’est le site coréen Insight qui a repéré les photos partagées massivement sur le réseau social chinois Weibo. Pris au piège d’une pluie battante, les automobilistes ont photographié des pieuvres, des étoiles de mer et des crevettes tombées du ciel pour atterrir sur leur pare-brise. D’après les météorologues locaux crustacés et céphalopodes ont été emportés dans les airs par une tornade marine qui s’est ensuite abattue sur la ville.

Crédits : Weibo

Crédits : Weibo

Source : Insight

http://www.ulyces.co/

Grande barrière: des chercheurs réussissent à transplanter du corail


On sait que les coraux ont la vie difficile à cause des menaces des changements climatiques, aux activités de l’être humain et d’espèces invasives. Des chercheurs ont réussi une nouvelle méthode qui semble très prometteuse pour transplanter des nouveaux coraux
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Grande barrière: des chercheurs réussissent à transplanter du corail

 

Vue des airs de la Grande barrière de... (PHOTO ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE)

Vue des airs de la Grande barrière de corail australienne.

PHOTO ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE

 

Agence France-Presse
SYDNEY

Des scientifiques ont réussi à élever du corail de la Grande barrière de corail en Australie et à le transplanter dans une autre zone de ce joyau du patrimoine mondial, un projet qui leur donne l’espoir de restaurer les écosystèmes endommagés à travers le monde.

Les chercheurs de l’Université australienne Southern Cross, qui ont rendu publique leur étude dimanche, ont collecté fin 2016 de grandes quantité d’ovules et de sperme de coraux à Heron Island, au large de la côte orientale.

Ils ont produit des quantités massives de larves qu’ils ont ensuite transplantées dans des zones endommagées de la Grande barrière, qui est menacée par le réchauffement climatique.

Huit mois plus tard, les scientifiques ont constaté que le corail juvénile avait survécu et grandi.

« La réussite de cette nouvelle recherche ne s’applique pas seulement à la Grande barrière de corail, elle a potentiellement une pertinence internationale », a déclaré Peter Harrison, directeur des recherches.

« Elle montre qu’on peut restaurer et réparer des populations coralliennes endommagées, dans des endroits où la production naturelle de larves a été compromise ».

« Jardinage corallien »

Cette technique est différente de la méthode utilisée actuellement dite du « jardinage corallien » qui consiste à casser des branches de corail sain pour les réimplanter sur des récifs, dans l’espoir qu’elles repousseront, ou de l’élevage de corail dans des pépinières, souligne M. Harrison.

La méthode avait été testée auparavant avec succès aux Philippines sur un récif fortement endommagé par la pêche à la dynamite.

Le chercheur s’est dit optimiste quant à la possibilité qu’elle puisse être utilisée à grande échelle.

« Les résultats sont très prometteurs. Nos travaux montrent que l’apport de fortes densités de larves permet l’obtention de davantage de coraux ».

Inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1981, la Grande barrière s’étend sur environ 345 000 km2 le long de la côte australienne et constitue le plus vaste ensemble corallien du monde avec 3000 « systèmes » récifaux et des centaines d’îles tropicales.

Mais elle est menacée par la récurrence de graves épisodes de blanchissement de ses coraux provoqués par le réchauffement climatique, par les activités industrielles ou agricoles ou encore par l’acanthaster pourpre, une étoile de mer invasive.

http://www.lapresse.ca/

Le vinaigre : arme fatale contre l’étoile de mer qui décime les coraux


Une éradication une espèce pour en sauver une autre, alors que l’être humain est aussi responsables de la détérioration de la Grande barrière de corail. Cependant, je peux comprendre l’importance de trouver une solution contre les étoiles de mer, surtout qu’une femelle pond à chaque saison 65 millions d’oeufs qui seront potentiellement des mangeurs de corail. Reste que le choix de l’arme serait le vinaigre, donc aucun produit chimique qui nuirait a l’environnement
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Le vinaigre : arme fatale contre l’étoile de mer qui décime les coraux

étoile de mer

L’Acanthaster planci est une espèce invasive qui se nourrit des coraux.

©YANN HUBERT / BIOSPHOTO

Alors que des étoiles de mer invasives continuent de détruire la grande barrière de corail, des scientifiques ont découvert que le vinaigre pourrait bien être leur kryptonite. 

La grande barrière de corail fait face à une espèce d’étoile de mer invasive, l’Acanthaster planci ou “couronne du Christ” ou encore “coussin de belle-mère”. Elle se nourrit des coraux et occasionne d’importants dégâts sur cet écosystème déjà fragile qui s’étend sur 345.000 km2 le long de la côte australienne. Recouverte de piquants dont le venin est toxique pour l’homme, elle peut mesurer jusqu’à 1 m et détruire 90% des zones qu’elles recouvrent. 

D’ordinaire, pour lutter contre ce spécimen, des produits chimiques coûteux sont utilisés, comme le formol, le sulfate de cuivre et le bisulfate de sodium. Une méthode qui s’avère contre productive puisque ces substances occasionnent des dégâts aux autres organismes marins. Mais des scientifiques pourraient bien avoir découvert un moyen plus efficace, plus propre et moins coûteux… le vinaigre.

La chercheuse Lisa Bostrom-Einarsson de l’Université James Cook a mené une expérience sur quatre sites durant six semaines. Au bout de 48h, la scientifique a constaté la mort des Acanthaster qui avaient reçu une injection de vinaigre. Mieux, les organismes environnants n’ont apparemment subi aucun dommage.

« Nous avons pris en compte l’importance de la couverture corallienne, l’abondance et la diversité de poissons, les maladies des poissons, l’abondance des invertébrés avant, pendant et après la période d’étude de six semaines et nous n’avons remarqué aucun impact négatif », explique-t-elle.

Gros bémol

Si cette technique a visiblement démontré son efficacité, à l’heure actuelle, la méthode consiste à injecter une dose de vinaigre à chaque étoile de mer. Un travail titanesque puisque :

« Il y a des millions d’étoiles de mer sur la Grande barrière et chaque femelle produit chaque saison 65 millions d’œufs », a observé Lisa Bostrom-Einarsson.

Ce qui rend pour le moment inenvisageable une éradication uniquement par ce biais.

Sans surprise, tous les coraux n’auront donc pas la chance de subir ce traitement. Fred Nucifora, responsable du tourisme au sein de la Great Barrier Reef Marine Park Autority (GBRMPA), a déclaré à l’AFP que les traitements au vinaigre seraient mis en œuvre sur des récifs identifiés comme ayant une valeur en termes de patrimoine ou de tourisme. Le GBRMPA a d’ailleurs autorisé son utilisation et les entreprises du secteur touristique peuvent dès maintenant faire une demande de permis.

Un arsenal atypique 

Ce n’est pas la première fois que des scientifiques travaillent à détruire ce parasite. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’à défaut de pouvoir l’éradiquer à grande échelle, les moyens frappent par leur originalité. En 2015 un biologiste français Pascal Dumas publiait ses travaux avançant que l’étoile de mer avait un deuxième talon d’Achille 100% naturel, le citron. Plus original encore, OTSbot (Crown-Of-Thorns Starfish bot).

Ce robot équipé de deux caméras stéréoscopiques embarque un logiciel de vision par ordinateur et identifie automatiquement les couronnes d’épines et leur injecte une dose fatale d’acide biliaire. En plus de souffrir du « coussin de belle-mère » elle est victime de l’activité agricole et industrielle et subit depuis plusieurs années des épisodes de blanchissement à répétition dus aux conditions climatiques, dont elle peine à se remettre. 

https://www.sciencesetavenir.fr

Des coraux blanchis de la Grande barrière sont condamnés


La Grande Barriere blanchi et c’est le deuxième épisode très rapproché qui risque de détruire définitivement ces coraux. Ses ennemis : El Niño, les vents violents des cyclones qui lui sont naturels et la barrière peut s’en remettre, mais si on ajoute les changements climatiques, les ruissèlements de l’agriculture, du développement écologique et une forte augmentation d’une espèce d’étoiles de mer, tout cela est trop  pour les coraux
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Des coraux blanchis de la Grande barrière sont condamnés

 

Le blanchissement des coraux est un phénomène de... (PHOTO AFP)

Le blanchissement des coraux est un phénomène de dépérissement qui se traduit par une décoloration. Il est provoqué par la hausse de la température de l’eau.

PHOTO AFP

 

GLENDA KWEK
Agence France-Presse
Sydney

Les coraux de la Grande barrière qui ont subi pour la seconde année consécutive un phénomène de blanchissement dû à la hausse des températures n’ont aucune chance de s’en remettre, avertissent lundi des scientifiques australiens.

Des chercheurs ont annoncé en mars que les récifs de la Grande barrière de corail, en Australie, avaient connu un épisode de blanchissement sans précédent, et ce pour la deuxième année de suite.

Et leurs craintes ont été confirmées par des observations aériennes de ce site inscrit au patrimoine de l’Humanité depuis 1981.

L’écosystème qui s’étend sur 2300 km – le plus grand du monde – avait déjà subi en 2016 son plus grave épisode de blanchissement jamais enregistré, en raison du réchauffement des températures de l’océan en mars et avril.

«Des coraux qui ont blanchi ne sont pas nécessairement morts. Mais dans la partie centrale (de la Grande barrière) nous nous attendons à des pertes très élevées», a déclaré James Kerry, biologiste à l’Université James Cook, qui a coordonné les observations aériennes.

«Il faut au moins une décennie pour le rétablissement total des coraux qui grandissent le plus vite», a-t-il expliqué.

«Alors deux épisodes graves de blanchissement à 12 mois d’intervalle font que les récifs endommagés en 2016 n’ont aucune chance de se rétablir».

1500 kilomètres impactés 

Le blanchissement des coraux est un phénomène de dépérissement qui se traduit par une décoloration. Il est provoqué par la hausse de la température de l’eau qui entraîne l’expulsion des algues symbiotiques qui donnent au corail sa couleur et ses nutriments.

Les récifs peuvent s’en remettre si l’eau refroidit, mais ils peuvent aussi mourir si le phénomène persiste.

L’épisode de blanchissement en cours est le quatrième après ceux de 1998, 2002 et 2016.

Entre l’année dernière et cette année, 1500 kilomètres de récifs ont été affectés par le blanchissement, a déclaré Terry Hughes, de l’Université James Cook.

 «Ce qui fait que seul le tiers sud du récif est indemne».

«Le blanchissement est lié aux températures record provoquées par le réchauffement climatique», a-t-il expliqué.

«Cette année, nous assistons à un épisode de blanchissement très marqué alors même qu’El Niño ne sévit pas», a-t-il ajouté en référence au phénomène météorologique irrégulier, revenant tous les quatre à six ans, et qui provoque des hausses de températures dans le Pacifique, des fortes pluies dans certaines zones, des sécheresses ailleurs.

Menaces multiples 

El Niño avait été montré du doigt pour son impact sur la Grande barrière lors du premier grand épisode de blanchissement global observé en 1998, ainsi qu’en 2016.

La Grande Barrière est aussi menacée par le réchauffement climatique, les ruissellements agricoles, le développement économique et la prolifération des acanthasters, étoiles de mer qui détruisent les coraux.

Elle a probablement également souffert du passage, le mois dernier, du cyclone Debbie qui était passé sur la partie sud de la Grande barrière qui n’a pas été très touchée par le blanchissement.

Les scientifiques craignent que ses vents violents et les courants n’aient endommagé les coraux. Mais les dégâts provoqués par Debbie n’ont pas encore été évalués.

«Il est évident que le récif est confronté à de nombreux défis, le plus pressant étant le réchauffement climatique», a déclaré M. Hughes.

«Plus les températures vont augmenter et plus fréquents seront les épisodes de blanchissement», a-t-il poursuivi. «La solution est de réduire les émissions carbone, mais le temps presse».

L’Australie assure qu’elle n’a jamais fait autant d’efforts pour protéger la barrière, en s’engageant à dépenser plus de deux milliards de dollars australiens sur dix ans.

La barrière et ses 345 000 kilomètres carrés ont évité de justesse en 2015 d’être placée par l’UNESCO sur sa liste des sites en péril.

http://www.lapresse.ca/

Les étoiles de mer décimées par une mystérieuse maladie


Les étoiles de mer semblent souffrir d’une maladie et qui empirent avec le temps du fait qu’il y a de plus en plus de morts. Cela affecte donc l’espèce et sans solution, ce serait un déséquilibre dans l’écosystème
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Les étoiles de mer décimées par une mystérieuse maladie

 

par zegreenweb,

Symbole maritime majeur, l’étoile de mer est présente dans tous les océans. Depuis quelques mois, précisément depuis le mois de juin, des étoiles de mer sont retrouvés mortes par douzaine le long de la côte ouest des Etats-Unis.

Le phénomène en lui-même n’a rien de bien nouveau. Cela fait plusieurs décennies que des étoiles de mer sont atteintes de ce syndrome, mais jamais en aussi grandes quantités. Les scientifiques sont dès lors sur le pont pour comprendre l’origine de cette maladie et les causes de cette propagation inhabituelle. Les taux de mortalité atteignent en effet des niveaux jamais observés auparavant, comme dans cette petite zone placée sous observation à côté de Santa Cruz où 90% des étoiles de mer ont été retrouvées mortes.

Les premiers signes visibles de la maladie sont la formation de petites lésions blanches sur leurs bras, qui s’étendent ensuite au reste du corps. En moins d’une semaine, l’étoile de mer est complètement désintégrée. Le risque, si cette hécatombe continue, est un déséquilibre profond de l’écosystème marin. Une équipe de biologistes marins et d’écologistes travaillent activement à la compréhension du phénomène, afin de pouvoir, souhaitons-le, l’endiguer. Sinon, c’est une véritable symbole de nos océans qui pourrait se faire de plus en plus rare.

http://www.zegreenweb.com/

 

Étoile de mer


Il y a les étoiles dans le ciel qui nous permet de rêver a des mondes lointains .. et des étoiles dans les mers qui elles font vivre divers aventures. Ces étoiles de mers sont de toutes grandeurs et de toutes couleurs … inimaginable
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Étoile de mer

 

Photographie par Wolcott Henry

Photographie par Paul Sutherland

Photographie par George Grall

Photographie par Wolcott Henry

Photographie par Paul Nicklen

Photographie par Walcott Henry

Photographie par Tim Laman

Photographie par Wolcott Henry

 

 

Photographie par Michael Melford

Photographie par Wolcott Henry

Photographie par Wolcott Henry

Photographie par Tim Laman

Photographie par Wolcott Henry

http://photography.nationalgeographic.com

D’étranges espèces sous-marines découvertes dans l’Antarctique


La mer dans ses profondeurs, ou l’eau devient une source chaude que l’être humain ne peut aller sans risquer d’être brûler a vif, des créatures y vivent. Des animaux marins qui peuvent affronter les pires conditions
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D’étranges espèces sous-marines découvertes dans l’Antarctique

© Shutterstock – Une étoile de mer a habituellement 5 branches.

Une étoile de mer à sept branches, une pieuvre de couleur claire et un crabe «yéti» aux pinces démesurées: des chercheurs britanniques ont découvert d’étranges espèces sous-marines vivant dans l’océan Antarctique à proximité de sources chaudes.

Selon la revue PloS Biology publiée cette semaine, ces espèces ont été découvertes pour la première fois en 2010 lorsqu’un robot sous-marin a visité des régions situées entre le continent antarctique et la pointe méridionale de l’Amérique du Sud.

Ces zones obscures situées à environ 2500 mètres de profondeur abritent des sources projetant des liquides dont la température peut dépasser les 380 degrés.

«Ces sources accueillent des animaux qu’on ne trouve nulle part ailleurs sur la planète et qui tirent leur énergie non pas du soleil mais d’éléments chimiques tels que le sulfate d’hydrogène», a déclaré le principal auteur de la recherche, Alex Rogers, de l’Université d’Oxford.

«La première étude de ces sources à proximité de l’Antarctique révèle une monde perdu chaud et obscur dans lequel s’épanouissent des communautés entières d’organismes jusqu’ici inconnus», a-t-il souligné.

Des sources chaudes au fond des océans avaient été découvertes pour la première fois en 1977 au large des Galapagos, dans le Pacifique.

Parmi les espèces découvertes figurent plusieurs types d’anémones de mer, des cirripèdes (genre de crustacés qui se fixe sur des rochers ou des organismes vivants), ainsi que des pieuvres. Les poissons sont rares dans ces zones, dont ils restent à la périphérie.

http://fr.canoe.ca