Combien de minutes dois-je courir pour ce chocolat?


Sur les étiquettes des aliments, il est noté les calories par portions. Je crois que noter le temps qu’il faut pour dépenser ce que l’on mange, cela aiderait sûrement à faire de meilleurs choix.
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Combien de minutes dois-je courir pour ce chocolat?


WIKOSKI VIA GETTY IMAGES

Le calcul des calories : une autre fausse bonne idée.

By Agence Science-Presse

Plutôt que d’écrire le nombre de calories sur une étiquette, ne serait-il pas plus utile d’écrire la quantité d’exercice à faire pour compenser?

Ainsi, « quatre heures de marche » pourrait s’avérer un meilleur avertissement que le nombre de calories d’une pizza. C’est ce qu’allèguent des chercheurs de l’Université Loughborough, en Angleterre. Leur analyse de 14 études sur l’impact des étiquettes leur fait conclure que ce type d’information pourrait réduire la consommation moyenne d’une personne de 200 calories par jour.

L’auteure principale, Amanda Daley, déclare que certains seraient en fait « choqués » d’apprendre combien d’heures d’exercices il leur faudrait pour brûler les calories associées à certains aliments.

L’équation ne sera toutefois pas aussi simple à tous les coups. Les experts en médecine du sport ont découvert ces dernières années qu’une quantité accrue d’exercice ne se traduit pas automatiquement en une réduction de poids, un phénomène dont les racines peuvent être tantôt liées au métabolisme de chacun, tantôt au fait que, passé un certain seuil, un exercice intense ne fait pas plus de différence qu’un exercice léger. Et c’est sans compter la psychologie : un exercice intense le matin peut conduire une personne à marcher beaucoup moins que d’habitude le reste de la journée… même avec un gâteau au chocolat.

https://quebec.huffingtonpost.ca

Notre prénom influence-t-il notre vie?


Plusieurs sont sûrement d’accord que le choix d’un prénom d’un enfant est important et faire un mauvais choix, cela pourrait être très négatif pour l’enfant. Que ce soit un nom difficile à prononcer ou un nom connu mais avec une orthographe non conventionnel cela peut porter préjudice pendant toute une vie
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Notre prénom influence-t-il notre vie?

 

Le choix du prénom fait toujours l'objet d'un débat lorsqu'on attend un enfant.... (Photomontage La Presse)

PHOTOMONTAGE LA PRESSE

 

OLIVIA LÉVY
La Presse

Le choix du prénom fait toujours l’objet d’un débat lorsqu’on attend un enfant. Avant de l’appeler Flaurance, Plume, Hannibal ou Benjamyn, sachez que trop d’originalité pourrait avoir un impact néfaste sur la vie de votre progéniture.

Comme un tatouage

Dans son livre Le pouvoir des prénoms, paru il y a quelques mois, l’auteure Anne Laure Sellier démontre, études à l’appui, à quel point notre prénom influence notre vie et que son choix est d’une importance capitale. Entrevue.

«Le choix du prénom de vos enfants est la décision la plus grave et fondamentale que vous aurez à prendre dans votre vie, lance d’emblée Anne Laure Sellier, professeure et chercheuse en sciences cognitives à HEC Paris. On a désormais des données scientifiques et on sait que le prénom influence notre vie. On espère que ça va responsabiliser les parents, poursuit-elle. Car notre prénom, c’est l’acte fondateur de notre existence et une étiquette sociale que nous traînons toute notre vie.»

La professeure indique qu’il y a la volonté chez plusieurs parents d’hyper-individualiser l’enfant, de le rendre unique en lui donnant par exemple un prénom original.

«Le culte de l’individu est à son paroxysme, mais ils ne se rendent pas compte de la portée de l’influence du prénom sur le plan psychologique, car le prénom, c’est comme un tatouage», explique Mme Sellier.

Elle ajoute qu’il a une influence sur notre vie personnelle et professionnelle, voire intime.

«C’est logique, quand on y pense. On vous appelle par votre prénom 20 fois par jour depuis que vous êtes petit, on y met des intonations particulières, ça conditionne vos réactions et votre façon de vous comporter et, avec le temps, ça finit par forger votre personnalité et façonner votre vie, soutient-elle. Aujourd’hui, on a des données scientifiques, on a des outils, notamment avec l’intelligence artificielle, qui mesure ce qu’on peut apprendre sur la véritable portée du prénom.»

Elle cite une étude américaine réalisée par les économistes Saku Aura et Gregory D. Hess qui a démontré que certaines caractéristiques des prénoms ont une influence sur la réussite dans la vie. Par exemple, le nombre de syllabes, l’orthographe conventionnelle ou pas, les prénoms d’origine africaine ou non, si le prénom est fréquemment répertorié à l’échelle nationale, si c’est un surnom (Bob, Mike)… Leurs analyses (sur 6000 personnes) révèlent que les caractéristiques du prénom peuvent prédire le statut social, le niveau d’études et le salaire de la personne.

Selon Anne Laure Sellier, notre visage pourrait même porter les traces de notre prénom. Elle indique que la manifestation de notre prénom sur notre visage est l’aboutissement d’années de travail inconscient.

Elle écrit que «si le stéréotype d’une Julie correspond à celui d’une fille souriante et lumineuse, les gens vont s’adresser à Julie en s’attendant à ce visage. Julie, par imitation inconsciente, se met à sourire à la hauteur des attentes de son interlocuteur. Sur plusieurs années de ce comportement répété, au cours de milliers d’interactions avec les autres qui – à l’intérieur de notre groupe culturel – partagent ce stéréotype de Julie, notre Julie finit par porter la marque permanente d’un visage lumineux et souriant. Afin d’être reconnus et acceptés par les autres, on se met dans le pli de la représentation que les autres se font de notre prénom. C’est comme les couples qui finissent par se ressembler».

La mauvaise intuition des parents

Anne Laure Sellier signale que l’intuition des jeunes parents est souvent mauvaise parce qu’on souhaite à nos enfants un destin hors du commun.

«On se dit: « Je ne vais quand même pas l’appeler Louis. » Alors, on est tenté de changer l’orthographe du prénom. Or, une des choses qui portent le plus préjudice, c’est lorsque vous donnez un prénom classique et que vous en changez l’orthographe. C’est la pire chose à faire, car toute votre vie, il devra épeler son prénom, prévient-elle. Ce sera Louys avec « y », sauf que ce petit truc en plus qu’on pense extraordinaire, ça va devenir un petit truc en moins pour la personne.»

Un prénom trop hors du commun peut aussi nuire à son détenteur.

 «Quand on répète son prénom deux ou trois fois et que les gens ne l’ont pas encore compris, vous imaginez l’enfer? L’effort que ça va demander à la société de systématiquement bien comprendre le prénom porte préjudice à la personne, explique la professeure. Sur le plan du cerveau, ce qui relève de l’inconscient, on aimera moins la personne simplement parce que c’est dur de toujours buter sur son prénom.»

On a tous envie d’avoir ou de donner un prénom extraordinaire à notre enfant, mais la chercheuse met en garde, car un enfant a besoin de simplicité et surtout d’être accepté.

«C’est déjà difficile pour un adolescent de se constituer une personnalité, il ne faudrait pas que le prénom vienne compliquer les choses.»

Depuis que son livre est sorti, elle n’imaginait pas recevoir autant de commentaires de gens qui ont souffert à cause de leur prénom et qui n’ont pas osé le changer.

«Changer de prénom, serait-ce un reniement de soi? Un tabou social? Un travail de justification trop complexe? Des parents qui ne l’accepteraient pas? En tout cas, socialement, une chose est certaine, ce n’est pas bien admis.»

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Le pouvoir des prénoms. Anne Laure Sellier. Éditions Héliopoles.

«Comment tu t’épelles?»

Témoignages de trois personnes qui doivent vivre avec un prénom inhabituel.

Kayou Lepage, né en 1972

«C’est lourd à porter et, surtout, je ne suis pas aussi excentrique que mon prénom. Ça m’oblige presque à développer une originalité parce qu’on se dit qu’avec un prénom comme celui-là, je suis forcément excentrique, alors que je suis réservé. Je ne m’identifie pas du tout à mon prénom. J’aurais pu le changer, mais en même temps, c’est si intime. Mes parents ont ajouté le prénom Aleksi (oui, oui, avec un « k ») parce qu’à l’école, on riait de moi.

«Mes parents étaient des hippies qui utilisaient l’orthographe phonétique. Kayou est une référence à la chanson de Gilles Vigneault, Caillou Lapierre.»

L’orthographe de Kayou rend les choses encore plus compliquées.

«C’est complexe de me présenter à de nouvelles personnes… Les gens se demandent si c’est mon vrai nom, d’où ça vient, pourquoi. Je dois raconter ma vie chaque fois et je répète la même histoire depuis 45 ans. C’est épuisant! Les gens me disent aussi que mes parents devaient en fumer du bon. Heureusement que je ne fais pas de politique ou que je ne suis pas devenu avocat. Maître Kayou, ça ne fait pas très sérieux.»

Il a publié un roman, et l’éditrice a refusé qu’il signe Kayou.

«Alors je l’ai publié sous Aleksi K. Lepage.»

«Le seul avantage est que Kayou, c’est sympathique et on dirait un surnom. Ça me distingue vraiment. Kayou, c’est clair que c’est moi, il n’y a pas de doute!»

Notons qu’il est l’inspiration derrière le nom du personnage pour enfants Caillou. Sa créatrice était sa voisine.

Anie Deslauriers, née en 1984

Elle confie qu’elle passe sa vie à épeler son prénom et que malgré les années qui passent, elle ne s’habitue pas.

«Depuis que je suis toute petite à l’école, on me demande s’il n’y a pas une erreur dans l’orthographe de mon prénom: « Tu es sûre qu’il n’y a pas deux « n »? » C’est ce que j’entends au quotidien.

«Je n’en veux pas à mes parents. Je leur en ai parlé et je leur ai demandé à quoi ils avaient pensé. Mes parents sont enseignants et savent pourtant ce que c’est qu’épeler! C’est ma mère qui a décidé de m’appeler Anie. C’était en hommage à une de ses étudiantes (avec deux « n »). Elle s’est dit qu’au pire, ça forgerait mon caractère.

«J’ai une fille qui s’appelle Ophélie et ma mère m’a dit: « Tu devrais l’écrire Aufélie. » J’ai répondu NON!!! Je ne veux surtout pas qu’elle passe sa vie à épeler son prénom. Si je devais revenir en arrière, je dirais à ma mère de garder les deux « n ».»

Chrystian Guy, né en 1970

Sa mère pensait qu’elle attendait une fille et voulait l’appeler Chrystine, qui s’est transformé en Chrystian à sa naissance.

«Ma mère a choisi des orthographes différentes pour tous ses enfants : mon frère, c’est Erick, et ma soeur, Karoline. Je n’aime pas mon prénom. Je n’aime pas que les gens m’appellent par mon prénom, ça m’agresse de l’entendre. Le pire, c’est que j’ai découvert lorsque je me suis marié, à 30 ans, qu’à l’État civil, mon prénom s’écrit avec un « i » et sur mon baptistaire avec un « y ». Ma mère m’a confié qu’elle a ajouté le « y » lors de mon baptême. Incroyable!

«Ça fait désormais partie de mon brand, moi qui travaille en marketing. Le fait d’avoir cette originalité a aussi des avantages, car tout le monde se souvient de moi et j’ai une bonne histoire à raconter. À 47 ans, je ne changerais plus de prénom. Je voulais le faire à 20 ans, mais mon père m’avait prévenu que ça ferait trop de peine à ma mère.»

https://www.lapresse.ca/

Le Saviez-Vous ► 21 solutions pour verdir votre quotidien et protéger la planète


On ne peut pas changer le monde, mais nous pouvons changer notre bout d’espace a nous. Si chacun faisait un effort en temps que particulier, nous pourrions faire de grandes choses pour la planète
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21 solutions pour verdir votre quotidien et protéger la planète

 

Cet article a initialement été publié sur le webzine Mode de vie & compagnie de la Fondation David Suzuki.

À l’aube de la COP21, la plus importante conférence mondiale sur le climat de notre histoire, Mode de vie & compagnie vous propose 21 solutions simples et efficaces pour réduire votre empreinte carbone, protéger la planète et améliorer votre qualité de vie!

En transit

1. Marchez, faites du vélo, de la trottinette ou de la planche à roulettes. Vous contribuerez à réduire les émissions de gaz à effet de serre… et retrouverez la forme!

2. Sensibilisez votre famille, vos amis et vos collègues à l’importance de prendre les transports en commun pour le bien de l’environnement… et pour sauver des sous!

3. Faites du covoiturage. Une étude révèle que si vous covoiturez sur un trajet de 20 km par jour avec trois de vos voisins, vous réduirez vos émissions de CO2 de 75 % tout en économisant chacun plus de 360 $ d’essence par année.

4. Réduisez la distance de vos déplacements quotidiens en choisissant un logement à moins de 30 minutes à pied, à bicyclette ou en transport en commun de votre travail et en magasinant près de chez vous… pour sauver du temps et la planète!

5. Pour votre prochain achat de voiture, choisissez une voiture à haut rendement énergétique. Les voitures offrant le meilleur rendement demeurent les véhicules électriques et les hybrides qui fonctionnent à la fois à l’électricité et à l’essence.

À la maison

6. Vérifiez les fuites d’air le long de vos murs, fenêtres et portes, et colmatez-les. Elles totalisent jusqu’à 40 % des pertes de chaleur de votre demeure.

7. Isolez tout et bien : le toit, les planchers, les murs et le sous-sol. Bonus : en plus d’économiser de l’énergie, vous serez plus au frais durant les mois chauds et plus au chaud durant la saison froide.

8. Évitez la consommation fantôme en débranchant les appareils électroniques lorsque vous ne les utilisez pas et réunissez tous les appareils qui nécessitent d’être rechargé sur un même bloc d’alimentation.

9. Remplacez vos ampoules à incandescence par des ampoules fluorescentes compactes; elles sont plus durables et vous sauveront de l’argent à long terme.

10. Si vous achetez une maison, confirmez que celle-ci adhère à la norme R-2000, elle utilisera le tiers de l’énergie consommée par une construction ordinaire.

11. Optez toujours pour des appareils ménagers «EnergyStar», plus efficaces que leurs ancêtres.

12. Demandez à votre fournisseur d’électricité de changer votre abonnement pour un approvisionnement en électricité propre et renouvelable, comme celle provenant des parcs éoliens. S’il n’offre pas encore cette possibilité, demandez-lui de l’offrir ou magasinez un nouveau fournisseur écolo!

Dans la cuisine

13. Choisissez des aliments situés au bas de la chaîne alimentaire : mangez des repas sans viande au moins un jour par semaine.

14. Lisez les étiquettes. Les produits locaux et biologiques demeurent toujours le choix par excellence; sinon, optez pour des produits locaux.

15. Évitez les aliments transformés et emballés. Dites aux commerçants et aux fabricants de biens que vous souhaitez obtenir des produits ayant peu d’emballage.

16. Réduisez vos déchets. Évitez d’envoyer les déchets de cuisine et de jardin dans les dépotoirs en pratiquant le compostage et le recyclage du papier, du plastique, du métal et du verre.

Au quotidien

17. Amorcez le changement dans votre communauté. Invitez vos voisins et amis à vous épauler pour mettre en place les changements que vous aimeriez voir se produire dans votre entourage.

18. Contactez les médias. Écrivez une lettre à l’éditeur, un article éditorial (sur un enjeu d’actualité), téléphonez à une tribune de la radio ou de la télévision. Si vous organisez un événement spécial dans votre communauté, informez les médias régionaux et faites-leur savoir qu’ils peuvent vous rencontrer pour un entretien. Pensez également aux médias alternatifs (les bulletins de clubs, les publications syndicales, ou les cahiers culturels).

19. Signez régulièrement les pétitions qui circulent dans vos réseaux et qui demandent aux différents paliers de gouvernement de protéger notre climat, comme celui-ci (de la Fondation David Suzuki).

20. Faites connaître vos préoccupations aux politiciens. Les politiciens ont besoin de notre vote; ils sont très attentifs à l’opinion publique et suivent de près les problématiques soulevées par les électeurs. Votre opinion compte!

21. Consultez le webzine Mode de vie & compagnie de la Fondation David Suzuki pour découvrir plus de conseils pour réduire votre empreinte carbone et protéger la planète!

http://quebec.huffingtonpost.ca/

5 TRUCS À FAIRE AVEC LES BÂTONNETS DE «POPSICLES»


Avec l’été, les popsicles sont très en demande, Aujourd’hui, on peut les faire maison qui seront un peu plus santé, sinon ils font partie du panier d’épicerie ..
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5 TRUCS À FAIRE AVEC LES BÂTONNETS DE «POPSICLES»

Si votre famille et vous adorez les «popsicles», vous aimerez leur bâtonnet encore plus. Découvrez comment ils peuvent occuper vos enfants durant les journées de pluie, vous aidez avec la décoration intérieure et plus encore.

Tiré de Produits ordinaires, usages extraordinaires, Sélection du Reader’s Digest, 2007

Le saviez-vous?

En 1905, à l’âge de 11 ans, Frank Epperson inventa les «popsicles». Ils furent mis sur le marché en 1923 sous le nom de «Eppsicles».

Voir aussi L’origine des popsicles

Apprendre l’alphabet aux enfants

Autorisez vos tout-petits à tracer des lettres avec des bâtonnets de bois dans de la crème à raser, de la crème fouettée ou du yogourt pour s’entraîner à écrire de façon ludique.

Brochettes pour enfants

Pour amuser vos enfants,  embrochez des morceaux de saucisse, de tomate, de melon… sur des bâtonnets de bois. Vous pouvez aussi les laisser étaler tout seuls leur pâte à tartiner favorite avec un bâtonnet.

Étiqueter des plantations

Avec un marqueur indélébile, écrivez sur des bâtonnets de bois le nom des graines que vous avez plantées.

Repérer une couleur de peinture

Lorsque vous peignez une pièce, plongez un bâtonnet dans le pot de peinture et laissez sécher. Notez dessus le nom de la peinture et la pièce dans laquelle vous l’avez utilisée, et conservez précieusement ces références qui pourront vous être utiles ultérieurement. Cet échantillon vous aidera aussi à choisir tissus, objets décoratifs, etc.

Improviser une attelle

Utilisez un bâtonnet de bois pour soutenir un doigt blessé en attendant que vous arriviez à l’hôpital. Fixez-le à l’aide de ruban adhésif pour bien maintenir le doigt.

http://selection.readersdigest.ca

Truc express ► Décoller les étiquettes


On peut recycler des pots pour nos besoins, mais on n’aime pas nécessairement les étiquettes et encore moins les traces de colles qui reste quand on essaie d’enlever avec de l’eau chaude .. Voici un petit truc facile
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Décoller les étiquettes

 

Pour décoller les étiquettes sur presque n’importe quel support, il suffit d’utiliser un sèche-cheveux et éventuellement un couteau.

Brancher le sèche-cheveux et chauffer le bord de l’étiquette pendant environ 5 secondes. Choisir de préférence un coin, c’est plus facile pour la suite des opérations. Glisser ensuite délicatement votre ongle ou le couteau (ou un coupe-papier) sous le coin de l’étiquette et tout en continuant à chauffer, décoller tout doucement l’étiquette.

C’est un truc couramment utilisé dans certaines grandes surfaces pour décoller les étiquettes des livres et ça marche super bien sans laisser de trace de colle sur les couvertures des livres. Je l’ai testé avec d’autres étiquettes et ça marche bien aussi…

http://www.trucsmaison.com

Achat vert: des produits afficheront leur bilan carbone


Si les gens comprennent bien ce qu’est l’empreinte carbone lors de leur achats, il se peut que cela puisse faire la différence. De toute façon, plus nous connaitrons les produits québécois, mieux notre économie se portera ainsi que l’environnement
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Achat vert: des produits afficheront leur bilan carbone

Achat vert: des produits afficheront leur bilan carbone

 

Dix entreprises participent au projet-pilote visant à identifier le «bilan carbone» de produits: Yoplait, Bell, Chantiers Chibougamau, Rio Tinto Alcan, Alcoa, Aluminerie Alouette, Fibrek, Enerkem, Interplast et Laboratoire M2.

photo Stéphane Champagne

Sylvain Larocque
La Presse Canadienne

Si tout va comme prévu, les consommateurs québécois pourront, d’ici quelques années, connaître le «bilan carbone» de chacun des produits qu’ils achètent.

Imitant des pays comme la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni, le Japon, la Corée du Sud, la Thaïlande et la Suède, le gouvernement du Québec a lancé lundi un projet pilote qui doit mener à l’implantation à large échelle de la certification de l’«empreinte carbone» des produits et des services.

À terme, dans le secteur de la grande consommation, la quantité de CO2 générée tout au long du «cycle de vie» de chaque produit (fabrication, distribution, utilisation et disposition) serait indiquée (en grammes) sur l’emballage.

L’initiative vise à encourager les consommateurs à choisir les produits ayant le plus faible bilan carbone possible. Le gouvernement fait le pari que la certification et l’étiquetage carbone favoriseront les entreprises québécoises, puisque la principale source d’énergie de ces dernières est l’hydroélectricité, qui est très peu polluante.

«Quand quelqu’un veut acheter un produit québécois et qu’il voit que son empreinte carbone est moins importante que pour un produit chinois, par exemple, ça donne un avantage à nos entreprises», a déclaré lundi le ministre du Développement économique, Sam Hamad, lors d’un point de presse.

L’entreprise Ultima, qui fabrique les produits Yoplait, fait partie du projet pilote. Il a toutefois été impossible de savoir auprès de l’entreprise à partir de quand les consommateurs pourront voir le bilan carbone de leur yogourt sur les étiquettes.

Produits industriels

La même logique s’appliquera dans le secteur des produits industriels comme l’aluminium et le bois d’oeuvre. La certification carbone pourrait faciliter les ventes à des clients soucieux de l’environnement et pourrait même accroître les exportations dans certains pays.

Par contre, en l’absence d’un marché mondial du carbone, les produits dont la fabrication a généré moins d’émissions de gaz à effet de serre n’ont pas, sauf exceptions, une plus grande valeur économique que les autres.

À court terme, les entreprises québécoises ne pourront donc pas demander plus cher pour leurs produits, aussi écologiques soient-ils. Il faudra voir si le démarrage d’un marché commun du carbone Québec-Californie (Western Climate Initiative), l’an prochain, changera la donne.

Mais pour Jean Simard, pdg de l’Association de l’aluminium du Canada, il est important de monter dans le train tout de suite. Les trois producteurs québécois d’aluminium – Rio Tinto Alcan, Alcoa et Alouette – participeront au projet pilote annoncé lundi.

«On se dit « pourquoi ne pas faire reconnaître (les faibles émissions générées par la fabrication de l’aluminium québécois)? » Le jour où on pourra valoriser (la certification), on l’aura», a affirmé M. Simard.

En plus des alumineries, les entreprises Interplast (contenants d’oeufs en plastique), Fibrek (pâte à papier) et Chantiers Chibougamau (bois d’oeuvre) font partie du projet pilote.

La certification carbone est également applicable dans le secteur des services. Bell Canada s’en servira pour chiffrer l’avantage écologique que représente pour ses clients l’utilisation de ses deux centres de données québécois (sur six au Canada).

Enerkem (valorisation des déchets) et Laboratoire M2 (désinfection) feront de même dans leurs domaines d’activités.

L’un des principaux défis du projet pilote sera de choisir parmi les différentes méthodologies qui existent dans le monde quant au calcul, à la vérification, à la certification et à la communication des émissions de gaz à effet de serre.

Par ailleurs, les effets bénéfiques de ce qu’on appelle aussi l’«affichage environnemental» ne sont pas garantis.

En Thaïlande, par exemple, un organisme environnemental a récemment constaté que si l’impact a été favorable pour plusieurs entreprises qui vendent à d’autres entreprises, il a été «très faible» dans le secteur du commerce de détail en raison d’un manque de compréhension du grand public.

Au terme du projet pilote, Québec versera aux entreprises qui veulent faire certifier leurs produits à faible empreinte carbone une aide financière pouvant atteindre 40% des dépenses admissibles de commercialisation, et ce, jusqu’à concurrence de 150 000 dollars. Le gouvernement a réservé 24 millions de dollars au total à cet effet.

www.cyberpresse.ca

Traductions ratées!


Si nous attardions a certaines traductions, peut-être que nous aurions un certain dédain a consommer le produit. Il faut dire que la définition change complètement de l’idée que nous imaginons lors de l’achat … C’est je pense des traductions qui sont pire que s’ils auraient été fait avec Google ou Bing traduction …
Nuage

 

Traductions ratées!

Écrous mélangés…

Pas coffre-fort à micro-ondes…

Polissez la saucisse…

Fabriqué dans une usine sans blé…

Des traductions mal faites qu’on retrouve souvent sur les étiquettes de produits venant importés. Cherchez l’erreur dans ces quelques traductions ratées aussi exaspérantes que rigolotes.

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Pas de chance, en français, le jasmin n’est pas « petit ange », mais « peu d’ange ».

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On le sait, en français, on trouve que les traductions sont parfois terribles. Mais ce n’est pas toujours mieux en anglais. Ce ne sont pas seulement les gâteaux qui sont compliqués!

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On se doute que ça été traduit assez librement… un peu trop même!

Organic-sand

Attention à vos dents, ces biscuits sablés ont été faits avec du sable!

Olives

Saviez-vous que les olives avaient des os?

Voici d’autres traductions déjà vues :

Épicée vers le haut pour spiced up

Beurre de cacao, pâte de caca, lait entier sec pour cocoa butter, cocoa mass, whole milk powder

Saveur de Canadienne pour Canadian Flavor

http://lafouinecuisine.ca

5 trucs à faire avec le vernis à ongles


Le vernis a ongle, n’est pas vraiment quelque chose que j’utilise mais d’un autre côté, il s’avère intéressant pour quelques petits travaux
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5 trucs à faire avec le vernis à ongles


Vous pensiez que le vernis à ongles n’étaient que pour vos ongles? Détrompez-vous! Découvrez comment vous pouvez économiser de l’argent en utilisant le vernis à ongle comme mastic un peu partout dans la maison.

Tiré de Produits ordinaires, usages extraordinaires, Sélection du Reader’s Digest, 2007

Pour garder le vernis à ongles bien liquide, conservez-le au réfrigérateur.

Imperméabiliser des étiquettes

Appliquez un peu de vernis incolore sur l’adresse du destinataire de votre paquet afin d’être certain qu’il arrivera à bon port quel que soit le temps.

Éliminer une verrue

Recouvrez la verrue de vernis incolore ; elle devrait disparaître ou largement diminuer en une semaine.

Stopper les mailles d’un collant

Ne retirez pas votre collant tout de suite : appliquez du vernis incolore sur les deux extrémités de la maille qui a filé et laissez sécher. Le collant résistera à plusieurs lavages sans filer davantage

Limiter un impact sur un pare-brise

Pour éviter que le petit éclat de votre pare-brise ne s’agrandisse, appliquez du vernis incolore dessus, des deux côtés de la vitre, en opérant à l’ombre. Faites sécher le pare-brise au soleil. Et prenez rapidement rendez-vous chez le garagiste.

Resserrer des vis



Pour maintenir les vis de vos tiroirs bien en place, appliquez un peu de vernis incolore sur leur filetage, insérez-les dans les trous et laissez bien sécher. Cette astuce fonctionne également pour empêcher que des écrous ou des boulons ne se desserrent ; servez-vous d’une clé pour les retirer.

http://selection.readersdigest.ca/

Dissuader les gens de choisir la malbouffe


Je trouve intéressant le nombre de temps pour éliminer les calories ingérés qui seraient inscrit sur les étiquettes sauf peut-être que cela augmenterait le problème pour ceux qui souffre de certaines maladies relié a la bouffe comme chez les anorexie ..
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Dissuader les gens de choisir la malbouffe

 

 

Dissuader les gens de choisir la malbouffe

© Shutterstock

Les étiquettes nutritionnelles devraient fournir d’autres informations plus dissuasives.

 

Les étiquettes nutritionnelles traditionnelles, affichant notamment le nombre de calories contenues dans les aliments, ne sont pas assez dissuasives, car la majorité des gens sous-estiment le nombre de calories et n’ont aucun repère pour bien comprendre les chiffres indiqués.

Des chercheurs de l’Université Johns Hopkins de Baltimore, aux États-Unis, ont trouvé un moyen efficace pour réduire la consommation de malbouffe et de boissons gazeuses chez des adolescents.

Les étiquettes affichaient la quantité d’exercice physique nécessaire pour brûler le nombre de calories ingérées. Par exemple: une bouteille de soda = près d’une heure de jogging. Avec ce type d’information, les chercheurs ont constaté que les jeunes étaient deux fois moins susceptibles de choisir les aliments malsains. Ces informations étaient plus concrètes et faciles à comprendre.

Il s’agirait donc d’une option intéressante à envisager pour dissuader les gens d’opter pour des choix moins santé.

http://fr.canoe.ca