Ces sneakers sont faites en chewing-gum recyclé


Qui aurait eu l’idée de recycler la gomme à mâcher ? Pourtant, au Pays-Bas, ils le font. Avec des gommes ramassées sur les trottoirs d’Amsterdam, ils ont fait des semelles d’espadrilles. Il parait même qu’ils en font des porte-clés, des poubelles, et même des bottes.
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Ces sneakers sont faites en chewing-gum recyclé

 

Crédits : Gumshoe

par  Nicolas Prouillac

Les dessous de tables de classe et les trottoirs des villes sont les cimetières des chewing-gums, c’est bien connu et cela coûte des millions d’euros aux mairies des grandes villes à nettoyer. Que voulez-vous, on adore ça. La fin de vie de la pâte à mâcher est pourtant souvent dégoûtante, irrespectueuse des autres et surtout de l’environnement.

Mais comment recycler ces délicieuses boules gluantes ? La réponse est venue d’une collaboration entre l’organisation néerlandaise Iamsterdam, le designer Explicit Wear et l’entreprise Gumdrop : ils en font des sneakers. Présentée par The Verge ce 24 avril, la semelle de la Gumshoe est intégralement faite en chewing-gum recyclé – et recyclable. Sans coller.

Crédits : Gumshoe

Gumdrop n’en est pas à son premier coup d’essai en matière de recyclage de chewing-gum, c’est même le leitmotiv de la compagnie. Ils ont inventé une technologie baptisée Gum-Tec qui permet de déconstruire les éléments de la pâte à mâcher pour les recomposer en un matériau durable, dont ils ont fait jusqu’ici des bottes, des poubelles ou des porte-clés d’un rose bubble gum du meilleur effet.

« Nous avons découvert que le chewing-gum est constitué de caoutchouc synthétique. En exploitant ses propriétés, nous avons réussi à créer un nouveau type de caoutchouc », explique la designeuse Anna Bullus, directrice de Gumdrop.

Le chewing-gum recyclé qui compose la semelle de la Gumshoe vient directement des trottoirs d’Amsterdam. Les lignes tracées sur le plat de la semelle ? C’est un plan schématique de la ville. Jonathan Van Loon, un membre de l’équipe, a confié à The Verge que tout est parti d’une volonté d’attirer le regard des habitants de Dam sur le problème. 

« C’est comme ça que nous avons eu l’idée de créer un objet auxquels ils tiennent », dit-il.

Quoi de plus populaire auprès des jeunes urbains que des sneakers ?

L’équipe de Gumdrop assure que la semelle de la Gumshoe est intégralement faite en chewing-gum recyclé – le reste étant du cuir. Il paraîtrait même qu’elle en aurait l’odeur, sans la viscosité. Elles seront mises en vente en juin prochain pour 190 € la paire, en rose, noir ou rouge.

Source : The Verge

http://www.ulyces.co/

Les ancêtres des espadrilles Adidas portées par une momie de 1500 ans?


Il y a des gens qui ont vraiment de l’imagination à revendre !!!
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Les ancêtres des espadrilles Adidas portées par une momie de 1500 ans?

 

Des internautes croient avoir trouvé la preuve que le voyage dans le temps est possible, après qu’une photo d’une momie de 1500 ans semblant porter des espadrilles Adidas soit devenue virale.

Sur la photo, trois rayures pâles sur les pieds de la momie évoquent le design des iconiques espadrilles de la marque allemande.

momie adidas

Les restes momifiés ont été retrouvés dans les montagnes de l’Altaï, en Asie centrale,par des chercheurs mongoles.

Il s’agirait du premier cimetière turc entièrement préservé découvert en Asie centrale. Comme ils n’ont pas trouvé d’arc dans le tombeau de la momie, les chercheurs croient que celle-ci pourrait être une femme.

Une chose est certaine: il ne s’agit pas de Marty McFly, de Retour vers le futur. On sait tous qu’il porte des Nike.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Commerce – La folie pour des espadrilles griffées


Payez 300 dollars pour des espadrilles non mais ou on va là !!! Ah oui ils sont griffées mais cela demeure quand même juste des espadrilles. Elles n’ont pas le pouvoir de vous faire marcher ou courir plus vite .. !  Gaspillage d’argent .. en plus les personnes qui viennent de loin .. le 300 dollars est vite dépassé. C’est de la surconsommation, de l’exagération
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Commerce – La folie pour des espadrilles griffées

 

Des dizaines de fanatiques et de collectionneurs ont dormi à la belle étoile pour une paire d’espadrilles signées Kanye West. Ils n’ont pas hésité à attendre devant un magasin de la rue Rideau, à Ottawa, pendant quelques jours.

Certains acheteurs sont même venus de très loin afin de mettre la main sur une paire, comme Chris Cabello du New Jersey qui a campé quatre jours sur la rue Rideau.

Moins de 3000 paires de ces espadrilles vendues par le groupe Nike sont disponibles dans le monde. Elles se trouvent dans certains magasins seulement dont une demi-douzaine au pays.

Le propriétaire du commerce de la rue Rideau a refusé de dévoiler le nombre de paires disponibles à Ottawa.

Les souliers se sont envolées en moins de 10 minutes. Le gérant de la boutique, Naj Peterson, n’a pas été surpris de cet engouement.

Il indique que les espadrilles se vendent environ 300 $ la paire. (environs 233.00 euro)  Sur les sites de revente dans Internet, les prix peuvent grimper jusqu’à 2000 $. (1 554,00 euro)

Kanye West est un rappeur américain qui collabore avec Nike dans la fabrication du soulier. Les espadrilles vendues à Ottawa et ailleurs dans le monde, samedi, ont été baptisées Air Yeezy 3­. Deux autres modèles avaient déjà été créés depuis 2009.

D’après un reportage de Frédérica Dupuis.

http://actualites.ca.msn.com

Les souliers accrochés se multiplient


Si c’est une nouveauté a Trois-Rivières, c’est pas nouveau a Gatineau, car depuis quelques années ont voit ce genre d’ornement sur des fils électriques. La signification de ce geste ne semblent pas être vraiment compris, ce n’est que des hypothèses qu’on essaient d’expliquer de ces gestes .
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Les souliers accrochés se multiplient

Ce n'est plus une mais bien deux paires de souliers qu'on retrouve maintenant accrochées à un câble qui traverse la rue des Volontaires, près de l'intersection de la rue Bellefeuille.

Ce n’est plus une mais bien deux paires de souliers qu’on retrouve maintenant accrochées à un câble qui traverse la rue des Volontaires, près de l’intersection de la rue Bellefeuille.

Photo Sylvain Mayer

Martin Francoeur
Le Nouvelliste

(Trois-Rivières) Le mystérieux phénomène des souliers accrochés à des fils électriques, au-dessus de voies de circulation, semble prendre de l’ampleur. Au centre-ville de Trois-Rivières, on en retrouve désormais quatre paires dans un rayon d’une centaine de mètres, dans le secteur du pont Lejeune, de la rue des Volontaires et de la rue Bellefeuille

Les souliers accrochés se multiplient

Depuis quelques mois, cette paire de souliers suspendue au-dessus du pont Lejeune attire l’attention des citoyens et automobilistes.

Photo: Sylvain Mayer

Certaines de ces paires de chaussures sont là depuis plusieurs mois, alors que d’autres sont apparues dernièrement. Plusieurs citoyens ou automobilistes s’étonnent devant cet élément de décor incongru.

On ne sait pas exactement ce qui pousse des individus à accrocher ainsi des chaussures au-dessus de la voie publique, suspendues à des fils électriques ou des câbles de télécommunications. L’hypothèse selon laquelle les espadrilles suspendues pourraient en quelque sorte «marquer le territoire» de gangs de rue avait été rejetée, voire tournée en dérision, le mois dernier, par la Sécurité publique de Trois-Rivières.

Le Nouvelliste rapportait alors qu’une paire de souliers surplombait le pont Lejeune. À ce moment, une autre paire de chaussures était accrochée à un fil au-dessus de la rue des Volontaires, près de l’intersection de la rue Bellefeuille. Depuis, une autre paire s’est ajoutée à ce dernier endroit. Et on a vu apparaître une autre paire, toujours au-dessus de la rue des Volontaires mais un peu plus au sud, près de l’intersection de la rue Saint-Denis.

La paire qui surplombe le pont Lejeune est toujours là.

À la Ville de Trois-Rivières, on dit avoir remarqué la présence de ces souliers mais on ne semble pas s’en inquiéter.

«Ce qu’on nous dit, du côté de la sécurité publique, c’est qu’il n’y a pas de lien avec la présence de gangs de rue. Il pourrait y avoir d’autres significations à ce geste-là», explique le porte-parole de la Ville, Yvan Toutant.

La Ville a voulu faire enlever ces chaussures mais les fonctionnaires du service des travaux publics ont vite fait remarquer qu’il s’agissait de câbles au-dessus de la voie publique et qu’il existait une entente avec Hydro-Québec pour des interventions sur ces fils.

Du côté de la société d’État, on affirme qu’il y a bel et bien une «vigie» pour les objets qui sont suspendus aux câbles.

«On en enlève régulièrement. Au cours des derniers mois, on nous a rapporté la présence de chaussures sur des câbles. On a pour mandat de les enlever, peu importe de quel type de câble il s’agit», explique Christian Éthier, conseiller aux communications et aux collectivités pour Hydro-Québec en Mauricie. Même si les chaussures devaient se trouver sur des fils reliés au réseau de Bell ou de Cogeco, Hydro pourrait les enlever.

«C’est une question de sécurité, tout simplement», ajoute M. Éthier.

«Shoe tossing»

Il est possible, en effet, que la présence de chaussures au-dessus de la voie publique ne signifie pas nécessairement qu’il y a une problématique de gangs de rue dans le secteur. En fouillant un peu sur le phénomène, on apprend que le fait de retrouver des chaussures suspendues à des fils électriques ou à des câbles de télécommunications est appelé shoe tossing (lancer du soulier).

Le shoe tossing pourrait n’être qu’une forme d’art de rue, un peu comme les graffitis sur les murs. Il consiste à attacher ensemble deux souliers par leurs lacets, puis à les lancer dans les airs de façon à ce qu’ils s’accrochent aux fils électriques ou aux câbles de télécommunications.

Mais on recense aussi d’autres significations à ce geste. Outre l’hypothèse selon laquelle il pourrait s’agir d’un signe de la présence de gangs de rue, les souliers suspendus pourraient aussi constituer un moyen de repère pour la vente de stupéfiants.

De façon moins inquiétante, on apprend aussi que le shoe tossing pourrait aussi être un geste marquent un rite de passage, comme la fin d’une année universitaire, le passage du secondaire au collégial ou le fait d’avoir eu une première relation sexuelle…

http://www.cyberpresse.ca