Cette fillette de 10 ans vient d’es­ca­la­der une falaise de 900 mètres


C’est tout un exploit pour une jeune fille de 10 ans d’escalader l’El Capitan dans le parc national de Yosemite aux États-Unis. Elle serait la plus jeune personne à conquérir cette paroi d’une hauteur de 900 mètres.
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Cette fillette de 10 ans vient d’es­ca­la­der une falaise de 900 mètres

Crédits : Mike Schnei­ter

par  Mathilda Caron

À tout juste 10 ans, Selah Schnei­ter devient la plus jeune personne personne au monde à avoir esca­ladé les 900 mètres d’El Capi­tan, l’une des plus célèbres parois de la planète située dans le parc natio­nal du Yose­mite, rappor­tait le maga­zine Outside le 13 juin.


El Capi­tan, l’un des big walls les plus célèbres au monde

Accom­pa­gnée de son père et d’un ami de la famille, la jeune fille, origi­naire de Glenn Spring dans le Colo­rado, a mis cinq jours à réali­ser cet exploit. Elle avoue avoir eu quelques frayeurs pendant l’es­ca­lade mais avoir été très heureuse à l’ar­ri­vée. « Je veux une pizza », a-t-elle dit en rigo­lant, une fois au sommet.

Crédits : Mike Schnei­ter

« J’étais inquiète quant à sa capa­cité de réali­ser un tel effort physique au vu de son si petit corps, mais je suis très fière d’elle », confie Joy, sa mère.

Ses parents sont tombés amou­reux il y a 15 ans en esca­la­dant El Capi­tan, ce qui explique sûre­ment que Selah ait l’es­ca­lade dans le sang…

Source : Outside Maga­zine

L:e Saviez-Vous ► Homme vs animal : qui est le plus fort ?


L’être humain aurait parfois besoin d’une leçon d’humilité face aux autres espèces qui font partie de ce monde. Sommes-nous aussi performants en tout, que ce soit la vitesse, notre ADN, notre force etc. ?
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Homme vs animal : qui est le plus fort ?

 

 

L’Homme, cet étrange animal, existe depuis 2,5 millions d’années, depuis les premières tailles de pierre d’Homo habilis. L’humanité a connu depuis des phases très difficiles et, parmi la douzaine d’espèces du genre Homo, une seule subsiste encore aujourd’hui : la nôtre.

Pourtant, les scientifiques estiment qu’elle a frôlé l’extinction il y a plusieurs dizaines de milliers d’années, quand la population se résumait à quelques milliers d’âmes, réparties sur le territoire africain. Homo sapiens a résisté… et même mieux que cela, puisqu’il a depuis colonisé tous les continents, tous les milieux, et s’est adapté à tous les climats. L’humanité compte aujourd’hui plus de 7 milliards de membres et gouverne le monde.

Une domination sans partage due à des capacités supérieures à tous les niveaux ? Même pas, comme le révèle ce diaporama. L’Homme n’est pas le plus grand, ni le plus fort. Il n’a pas le plus gros cerveau. Il n’est pas celui qui vit le plus longtemps. On peut toujours lui opposer un animal qui fait mieux. L’occasion pour nous de faire preuve d’un peu d’humilité…

On vous dit souvent que vous avez une cervelle de moineau ? C’est un très beau compliment ! Pendant longtemps, pour se rassurer, l’espèce humaine a considéré que l’intelligence était fonction du rapport entre la taille du cerveau et la taille du corps… et elle croyait être la championne, selon ce critère.

C’est faux ! Le cerveau humain, représenté ici par Albert Einstein, ne compte que pour 2 à 2,5 % du poids du corps alors que chez le moineau, la proportion s’élève à 7 % !

© Skeeze, Wikipédia, DP et InformiguelCarreño, CC by-sa 4.0

Le guépard peut se moquer en regardant courir Usain Bolt, recordman du monde du 100 m (9 secondes 58 centièmes) et du 200 m (19 secondes 19 centièmes). Certes, le Jamaïcain reste l’Homme le plus rapide de l’histoire. Lorsqu’il a réalisé ces exploits, il a parcouru la ligne droite à la vitesse moyenne de 37,58 km/h départ arrêté, avoisinant les 45 km/h après environ 80 m de course.

Un résultat pourtant bien lent pour un guépard (Acinonyx jubatus) qui franchirait la ligne du 100 mètres en un peu plus de 3 secondes lancé à sa vitesse maximale : 110 km/h. Il mettrait juste un peu plus de temps départ arrêté.

© Aktiv I Oslo.no, CC by-nc 2.0, JonathanC Photography, Shutterstock et Aki Sasaki, CC by-nc 2.0

Se rêvant appartenir à l’espèce la plus complexe, l’Homme a un temps estimé que son génome devait être composé de 100.000 gènes, travaillant de concert pour aboutir à une telle perfection. Quelle désillusion quand la carte du génome humain révéla qu’on ne disposait que de 23.000 gènes environ !

Surtout, quelle surprise lorsque l’on découvrit que la daphnie rouge (Daphnia pulex), une puce d’eau transparente de quelques millimètres, en possédait 31.000, soit 8.000 de plus…

Alors, le plus haut degré de complexité dépend-il vraiment du nombre de gènes ?

© Carl Sagan, DP et Paul Hebert, CC by 2.5

Robert Wadlow est reconnu comme étant l’Homme le plus grand du monde avec une taille de 2,72 mètres. Il souffrait d’une hypertrophie de l’hypophyse, ce qui se traduisait par une production excessive d’hormones de croissance, le transformant en géant. Il grandissait encore à 22 ans, lorsqu’il mourut.

Mais ce n’est rien comparé à ce que lui oppose le monde animal ! Si tout le monde pense à la girafe (plus grand animal terrestre qui dépasse allègrement les 5 m) ou à la baleine bleue (jusqu’à 30 m de long), on oublie souvent le ver lacet (Lineus longissimus) qui, malgré son petit centimètre de diamètre, détient le titre d’animal le plus long du monde. Certains spécimens dépassent les 55 m !

© Ollyy, Shutterstock et Helena Samuelsson, CC by 3.0

Dans chaque cellule humaine (à quelques exceptions près), on trouve un noyau d’ADN long de 3,2 milliards de paires de base. Si on le déplie, on obtient un filament d’environ un mètre, preuve qu’il est extrêmement compacté pour tenir dans une sphère de quelques micromètres.

Dans le règne animal, le plus fort de tous est un poisson étrange appelé protoptère éthiopien (Protopterus aethiopicus). Son génome se compose de 132,8 milliards de paires de base. Déplié, le filament d’ADN est long de 45 mètres !

© Luc Viatour et Daderot, DP

La vue est un sens particulièrement important pour l’espèce humaine. Nos ancêtres sautant de branches en branches, nous avons hérité de leur capacité à apprécier les distances et de leur sens du détail. Pourtant, les rapaces nous surpassent largement quand il est question de vision !

Doté de la meilleure vue du règne animal, un aigle peut distinguer un objet de 10 cm depuis 1 km de hauteur. À pareille distance, les yeux humains ne perçoivent que des objets de 26 cm. Cet oiseau voit donc 2,5 fois mieux que nous !

© ChristianGeorg, DP et Macro eye, Shutterstock

L’Homme est recouvert de poils mais, sur la majorité de son corps, ceux-ci sont très courts, ce qui donne l’illusion d’un singe nu, à l’exception de quelques régions, comme le pubis, les aisselles… et le sommet du crâne ! Là-haut, les cheveux se comptent en moyenne au nombre de 150.000, soit une densité de 500 par cm².

Une moyenne ridiculement faible à côté de la loutre de mer (Enhydra lutris) qui, elle, comprend aussi 150.000 poils… mais pour chaque cm² !

© Andrew Reding, CC by-nc 2.0 et Celso Pizzolato, Shutterstock

Chez la femme, la grossesse c’est 9 mois de bons et de moins bons moments : la douleur au moment de l’accouchement est forte et même à la limite de l’intolérable chez certaines. Pourtant, à la naissance, le bébé humain est presque un prématuré tant il n’est pas dégourdi. Une gestation plus longue se traduirait cependant par l’impossibilité physique de laisser passer un être aussi gros par les voies naturelles.

L’éléphante, en revanche, doit donner naissance à un éléphanteau de plus de 100 kg, qui, très vite, apprend à marcher. Il faut donc le laisser plus longtemps dans l’utérus : jusqu’à 22 mois !

© Vasilyev Alexander et Andrzej Kubik, Shutterstock

Les centenaires sont de plus en plus nombreux. Les progrès de la médecine repoussent chaque année de 3 mois notre espérance de vie. L’aînée de l’humanité, Jeanne Calment, est morte à l’âge de 122 ans. Elle est née en 1875, avant même que Graham Bell n’invente le téléphone, et elle a fini par décéder en 1997, alors que les portables commençaient à coloniser le marché.

Si son existence a pu lui paraître longue, qu’en est-il des tortues géantes des Galápagos, qui atteignent assez régulièrement les 150 ans ? Et sans aucun médicament ! Décidément, Jean de la Fontaine avait raison, c’est toujours la tortue qui gagne à la fin…

© Bernard Gagnon, GFDL et Lena1, DP

L’espèce humaine peut se vanter d’avoir franchi les 2 m 45 par l’intermédiaire d’un homme : Javier Sotomayor. C’est déjà énorme, mais bien peu comparé à certains félins comme le puma ou le tigre, qui atteignent au moins 4 m.

Cela en devient ridicule en comparaison de la puce, si l’on ramène la performance à la taille de l’animal. L’insecte, qui mesure quelques millimètres, peut en effet sauter 300 fois sa taille. À l’échelle d’un homme d’1 m 80, cela équivaut à un saut de… 540 m. Le plus dur sera la chute !

© Marie-Lan Nguyen et Katja ZSM, CC by 3.0

L’Iranien Hossein Reza Zadeh a fait très fort à l’épaulé jeté en 2004, aux Jeux olympiques d’Athènes. La performance est immense : 263 kg portés à bout de bras.  Selon la Fédération internationale d’haltérophilie, aucun autre être humain n’a fait mieux. Mais ce gaillard de 190 kg n’a porté finalement que 1,4 fois son propre poids…

C’est déjà pas mal, mais cela amuserait le bousier s’il savait qu’on acclame ce genre de champions. Du haut de ses quelques grammes, l’insecte peut soulever des charges de l’ordre du kilogramme !

Le Britannique Robert Knell s’est livré à une expérience assez inédite pour regarder quelle charge relative le bousier pouvait supporter. Le scarabée portait sur son dos un récipient qui se remplissait d’eau au fur et à mesure. L’animal a finalement arrêté de marcher lorsqu’il portait sur ses épaules l’équivalent de 1.141 fois son propre poids… Il faudra encore beaucoup d’entraînement à Hossein Reza Zadeh avant de soulever 217 tonnes !

© Peter van der Sluijs, GFDL et Pixabay CCO

Le Brésilien César Cielo est le nageur le plus rapide de l’histoire, détenteur des records du monde du 50 m (20 secondes 91 centièmes) et du 100 m nage libre (46 secondes 91 centièmes). Sur cette seconde distance, il a nagé à 7,7 km/h : il est donc allé plus vite qu’un humain marchant.

Bel exploit, sachant malgré tout qu’il a bénéficié d’un plongeon et d’une coulée lui permettant d’améliorer un peu sa moyenne. À titre de comparaison, certains marlins, comme le voilier de l’Indo-Pacifique (Istiophorus platypterus) ici en photo, peuvent atteindre les… 110 km/h !

© Stockphoto mania, Refat, Shutterstock

Dans l’eau, soit on descend en profondeur, soit on tient longtemps, mais il est difficile pour l’Homme de faire les deux ! Ainsi, l’Autrichien Herbert Nitsch est descendu en apnée « no limit » jusqu’à 214 m de profondeur, record du monde homologué, au terme d’une plongée de 4 min 24. De son côté, le Français Stéphane Mifsud tient 11 mn 35 s la tête sous l’eau au niveau de la surface, sans bouger. Des performances surnaturelles !

Pourtant, il y a beaucoup mieux parmi les mammifères. Le cachalot va ainsi se nourrir jusqu’à 2.000 m de profondeur, après plus d’une heure sans être remonté respirer !

© Gabriel Barathieu, CC by-sa 2.0 et Dudarev Mikhailn, Shutterstock

Le 29 mai 1953, l’alpiniste néo-zélandais Edmund Hillary et le Sherpa Tensing Norgay devinrent les premiers êtres humains à atteindre le toit du monde, le mont Everest, qui culmine à 8.848 m. Des températures glaciales, des niveaux d’oxygène très bas… si haut, le terrain est très hostile.

Cela n’empêche pourtant pas les oies à tête barrée (Anser indicus) de voler en formation à des altitudes de 9.000 m !

© Travel Stock, Raju Soni, Shutterstock

L’Homme a toujours rêvé de prendre de la hauteur et s’amuse à grimper sur ce qu’il trouve en milieu naturel (falaises, roches, etc.). Certains s’attaquent même aux constructions humaines. C’est le cas par exemple d’Alain Robert, surnommé le Spiderman français, du fait des nombreux gratte-ciel qu’il a escaladés à mains nues et sans être assuré.

Pour le gecko, cette performance qui nous paraît inouïe relève de la normalité. Il possède des pattes extrêmement adhésives, montées de fines lamelles qui profitent des anfractuosités les plus fines du décor. Les chercheurs veulent s’en inspirer pour développer des robots tout-terrain.

© Photobac et Kittipong053, Shutterstock

Il est des animaux assez extraordinaires. Le genre Gerris regroupe différentes espèces d’insectes dotées d’une capacité spéciale : ils peuvent marcher sur l’eau. Ils profitent de leur légèreté et de terminaisons hydrophobes au bout de leurs pattes pour flotter, un peu comme s’il y avait de l’huile sur de l’eau.

Naturellement, il est impossible pour l’Homme de réaliser une telle performance. Alors, pour se donner l’illusion de dompter la nature, il s’est créé une planche de surf et la laisse courir devant les vagues.

© MarkMirror et Trubavin, Shutterstock

https://www.futura-sciences.com/

Un chaton devient le roi de l’escalade dans une salle de sport


Cette petite chatte, Lalah a voulu imiter des humains a grimper sur un mur d’escalade dans une salle de sport au Japon.. Elle monte comme une vraie pro ! Faut dire qu’elle adore grimper et ce mur est un idéal pour son entraînement
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Un chaton devient le roi de l’escalade dans une salle de sport

 

Il a escaladé la Tour Eiffel à mains nues et sans sécurité


Doit-on l’applaudir ? N’aurait-il pas fallu que lui et ses amis puissent avoir une peine exemplaire ? C’est beau vouloir prouver sa bravoure, mais un jour ou l’autre, un accident arrivera et qui sera accusé de négligence ?
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Il a escaladé la Tour Eiffel à mains nues et sans sécurité

huff

Si vous souffrez d’acrophobie (la peur du vide) ou tout simplement de vertige, la vidéo ci-dessous risque de vous retourner l’estomac. James Kingston est un jeune Britannique dont le passe-temps favori est l’escalade de bâtiments hors du commun, sans sécurité ni autorisation. Au début du mois de novembre, le grimpeur de gratte-ciel a décidé de s’attaquer aux 324 mètres de la Tour Eiffel.

L’aventurier s’est lancé dans une effarante ascension du grand monument parisien à main nue, en pleine nuit. Un exploit qu’il a partagé sur son compte YouTube, le 8 novembre dernier.

« La Tour Eiffel était l’un de mes objectifs depuis un certain temps », précise James Kingston dans la description de la vidéo.

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Accompagné de son équipe, il s’est introduit dans la fameuse tour en évitant de justesse la sécurité. A 1h du matin, ils ont commencé leur escalade en passant par la plate-forme supérieure entièrement éclairée. Durant plusieurs heures, James Kingston et ses acolytes se sont amusés sur le monument avant d’être repérés par la patrouille de sécurité. L’équipe est redescendue aux alentours de 9h du matin et accueillie par le service d’ordre.

« Nous avons été menottés et emmenés au poste de police du quartier où nous avons été détenus et interrogés pendant près de 6 heures avant d’être relâchés sans inculpation », raconte le grimpeur, toujours dans la description de sa vidéo.

James Kingston et ses partenaires ont dû s’engager à ne pas visiter la construction pendant 3 ans. Une sanction qui n’a pas terni l’enthousiasme du jeune homme puisqu’il peut « maintenant officiellement barrer la tour Eiffel » de sa liste.

Ce n’est pas la première fois que le Britannique fait parler de lui. Il est aussi connu pour avoir grimpé la voûte au-dessus du Wembley Stadium de Londres, ou encore pour son backflip au sommet du pont de Moscou en Ukraine, à 120 mètres de hauteur.

Quoi qu’on dise de cette performance dangereuse et surtout illégale sur la Tour Eiffel, il faut reconnaître que James Kingston s’est offert la plus belle vue de la capitale française.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Une petite fille qui escalade les murs avant même de savoir marcher!


Un exploit pour un bébé doué ! Elle est très à l’aise à escalader les murs malgré son jeune âge
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Une petite fille qui escalade les murs avant même de savoir marcher!

 

Ellie pouvait escalader les murs avant ses premiers pas… et elle pratique maintenant cinq fois par semaine!

Ellie a grimpé son premier mur quand elle avait seulement huit mois. Papa Zak lui a même construit un mur d’escalade personnelle à côté de son lit.

Maintenant âgés de 20 mois, les vidéos d’escalade de Ellie ont des millions de vues! Apprendre à marcher est une étape importante pour tous les bébés. Mais avant qu’elle fasse ses premiers pas, Ellie a fait quelque chose d’encore plus incroyable… Elle monta son premier mur.

Avant qu’elle ne soit née, Ellie a été habitué à l’escalade, car sa mère a continué à escalader les murs tout au long de sa grossesse.

http://www.tropcute.com/

Au Texas, un ours escalade une falaise


On sait que les ours grimpent aux arbres, mais aux falaises, c’est une première pour moi. La falaise semble très abrupte, mais la mère et son petit ont réussi l’exploit
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Au Texas, un ours escalade une falaise

 

L’ourson en pleine escalade filmé par la touriste Stephanie Latimer. Crédit Stephanie Latimer

Par Arnaud Devillard

Une ourse noire et son ourson ont été filmés en train de grimper une paroi rocheuse du parc national de Big Bend, au Texas.

COUP DE CHANCE. Il n’y aurait que de huit à douze ours noirs (Ursus americanus) dans le parc national de Big Bend au Texas après que l’animal y a été traqué et décimé tout au long de la première moitié du vingtième siècle. C’est dire l’incroyable coup de chance d’une touriste américaine qui a réussi, non seulement à voir ces ours, mais aussi à les observer en train d’escalader tels des alpinistes la paroi à pic d’un canyon.

MAINS NUES. Le 21 mars 2014, en effet, Stephanie Latimer navigue en canoë kayak sur le Rio Grande dans le Santa Elena Canyon, à la frontière avec le Mexique au sud-ouest du parc, quand elle aperçoit deux silhouettes accrochées à une paroi rocheuse verticale du défilé. Il s’agit d’une ourse noire et de son ourson, surpris en train de littéralement escalader la falaise en utilisant les aspérités de la roche, comme le ferait un grimpeur à mains nues. La kayasite a aussitôt filmé la scène et l’a postée sur YouTube dans la foulée, où elle a un grand succès depuis.

 

AISANCE. On y voit les deux plantigrades se hisser, avec difficulté pour l’ourson mais avec une certaine aisance pour l’adulte, jusqu’à une corniche, où ils reprennent une marche standard à quatre pattes. Selon la kayakiste, il s’agirait plus exactement de mexican black bears, une sous-espèce de l’ours noir nord-américain et considérée comme en danger en vertu duEndangered Species Act de 1973.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Qu’est qu’on fait


Des évènements malheureux arrivent à tout le monde, des projets qui ne vont pas comme prévu voir même être un échec. Nous avons toujours deux choix a notre porté … Se plaindre ou se reprendre, Dire que ce n’est pas toujours possible, que cela dépend, ne font pas partie des choix
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Qu’est qu’on fait

 

 

« Nous pouvons jeter des pierres, nous plaindre d’elles, trébucher dessus, les escalader, ou les utiliser pour construire. »

William Arthur Ward