Gluten 101


Avant de choisir un régime sans gluten, mieux vaut en parler avec son médecin à savoir s’il y a possibilité d’être intolérant ou sensible au gluten avant de bannir certains produits dans son alimentation, car il faut éviter les carences de certaines vitamines et minéraux
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Gluten 101

 

Gluten

Photo: iStock by Getty Images

Doit-on bannir le gluten de son alimentation? Et ces maux de ventre sont-ils un signe d’intolérance ou de sensibilité? Des réponses afin de dissiper toute confusion.

20 juin. 2017 Chantal Éthier

 

Qu’est-ce que l’intolérance au gluten ?

Le gluten est une protéine contenue dans le blé, l’épeautre, le kamut, le seigle et l’orge. C’est elle qui donne, entre autres, de la texture et du volume aux produits de boulangerie. Chez 1 % de la population, cette protéine entraîne une destruction d’origine inflammatoire de l’intestin grêle – on parle alors d’intolérance au gluten ou de maladie cœliaque.

« Avec pour conséquences des douleurs abdominales, de la diarrhée, des éruptions cutanées et des carences en vitamines et en minéraux », indique le Dr Idriss Djilali-Saïah, immunologiste au CHU Sainte-Justine.

Les symptômes varient d’un individu à l’autre et sont parfois si légers qu’ils passent inaperçus. Sur 10 personnes affectées, 9 ne le sauraient pas, selon la Fondation québécoise de la maladie cœliaque.

Pourquoi l’autodiagnostic est-il dangereux ?

La seule façon de savoir si l’on est atteint de la maladie cœliaque est de subir des tests sanguins et une biopsie de l’intestin. Retirer le gluten de son alimentation sans avoir reçu un diagnostic peut atténuer les symptômes, mais les dommages causés à l’intestin vont se poursuivre en sourdine.

« La moindre molécule de blé peut causer de l’inflammation, dit la nutritionniste Nicole LeBlanc. C’est une maladie sérieuse, qui ne se traite pas seulement en achetant du pain sans gluten. Pour éviter la contamination avec les céréales proscrites, par exemple, il faut utiliser un grille-pain différent de celui du reste de la famille. »

Sans être intolérantes, certaines personnes se disent « sensibles » au gluten. Est-ce possible ?

« Même si aucun test ne permet de le détecter, ce syndrome existe bel et bien », précise le Dr Idriss Djilali-Saïah.

Les symptômes ressentis sont similaires à ceux de la maladie cœliaque, mais sans les dommages à l’intestin grêle.

« Par contre, on a découvert une certaine forme d’inflammation de la paroi intestinale des gens sensibles au gluten. Et les biopsies de ces patients diffèrent légèrement de la normale. »

On croit qu’une flore intestinale perturbée et une paroi intestinale trop perméable feraient partie des causes. La sensibilité au gluten toucherait moins de 6 % de la population. Le tiers des gens atteints du syndrome du côlon irritable seraient en réalité sensibles au gluten. On a également découvert que le retrait de cette protéine améliore la condition des patients atteints de troubles inflammatoires de l’intestin, comme la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse.

Le blé contient-il plus de gluten qu’auparavant ?

Les experts ne s’entendent pas sur la question. Ce qui est certain, c’est que le pain en contient davantage, car on ajoute du gluten au moment de sa fabrication pour le rendre plus moelleux. Le blé et l’orge sont également utilisés comme agent épaississant ou rehausseur de goût dans les sauces, soupes, assaisonnements de légumes surgelés, saucisses, cretons

Les aliments sans gluten sont-ils plus santé ?

Pas nécessairement, d’après la nutritionniste Nicole LeBlanc.

« Pour donner de la texture au pain, aux biscuits et aux craquelins, le gluten est souvent remplacé par du gras, du sucre et de l’amidon. Alors, quand on opte pour une diète sans gluten, il faut d’abord choisir des aliments qui n’ont pas été transformés », dit-elle.

Est-ce que des maux de ventre après l’ingestion de pain ou de pâtes de blé sont un signe probant de sensibilité au gluten ?

« Certaines personnes qui se croient sensibles au gluten vont éviter le pain et se sentir effectivement mieux, explique le Dr Mickaël Bouin, gastroentérologue au CHUM. Mais, en fait, elles pourraient réagir aux fructanes, des sucres ­présents dans le blé, le seigle et l’orge. »

On a réuni sous l’acronyme FODMAPs des sucres difficiles à digérer qui, chez certains, provoquent des gaz et des douleurs abdominales. Le fructane en fait partie. (On trouve également ce sucre dans les oignons, les échalotes et les artichauts.)

Selon le Dr Bouin, la découverte des FODMAPs ne remet pas en question l’existence de la sensibilité au gluten.

« Certains malaises intestinaux ont des causes multiples qu’on commence seulement à mieux comprendre. »

Comment détecter le gluten qui se cache dans les aliments transformés ?

« Sur la liste des ingrédients, les mentions protéines végétales hydrolysées, extraits de levure, malt, sirop de malt ou amidon modifié ­signifient que ce produit peut contenir du ­gluten », explique la nutritionniste Nicole LeBlanc.

Que peut-on mettre dans son assiette quand on souffre d’intolérance ou de sensibilité au gluten ?

Des céréales naturellement sans gluten, comme le millet, le quinoa, le riz, le maïs, l’avoine non contaminée [cette céréale est souvent en contact avec le blé au moment de sa commercialisation]

De même que des produits nature : yogourt, viandes, poisson, fruits de mer, légumineuses, œufs, noix, graines, tofu, fruits et légumes.

 « J’ai moi-même reçu un diagnostic de maladie cœliaque il y a 17 ans, confie la nutritionniste. Et, croyez-moi, il y a tout de même moyen de bien manger… »

http://fr.chatelaine.com

Une femme allergique à presque tout, même son conjoint


Bon, moi qui croyait connaitre une personne avec des allergies bizarres, mais cette jeune personne bat tous les records. Être allergique à presque tout même aux odeurs et à son mari, cela ne doit pas être facile a vivre
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Une femme allergique à presque tout, même son conjoint

 

Une femme allergique à presque tout, même son conjoint

Johanna Watkins et son conjoint Scott.Photo GoFundMe

Johanna Watkins n’a pas quitté sa chambre depuis presque un an, et la raison est simple: elle est allergique à pratiquement tout, même son conjoint.

La femme de 29 ans, qui habite à Minneapolis, est atteinte du syndrome d’activation mastocytaire, a rapporté la chaîne Fox 9. Cette maladie déclenche une série de réactions allergiques quand son corps est en contact avec des odeurs, des substances chimiques ou une centaine d’autres choses.

Et la liste inclut son mari.

«Je ne peux pas m’approcher d’elle. Je ne peux pas l’enlacer sans lui faire du mal», a expliqué à la chaîne américaine son conjoint, Scott.

La femme vit dans une pièce dans laquelle on trouve plusieurs purificateurs d’air.

«Dès que la porte ouvre, je peux le sentir, a-t-elle raconté à la journaliste de Fox. Mon corps se met en mode attaque. Ma gorge se serre automatiquement.»

Elle souffre également d’autres symptômes, notamment des éruptions cutanées ou des douleurs aux os. Les seules personnes qu’elle peut fréquenter sont ses sœurs et ses frères, qui ne lui causent aucune réaction particulière.

Et sa diète est plutôt répétitive: elle ne peut manger que de l’agneau haché, du rôti d’épaule de bœuf, des concombres et des carottes.

Son mari a démarré une page sur le site de sociofinancement GoFundMe pour amasser 118 000 $ US afin de lui construire un espace sécuritaire qui l’empêcherait d’être en contact avec des allergènes. Il approche de son objectif: plus de 100 000 $ US avaient déjà été amassés mercredi soir.

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La rosacée, une maladie à démystifier


 

La rosacée est une inflammation de la peau qui peut être très invalidante. Il y a des traitements, mais pas de guérison à ce jour. Elle aurait un lien avec certaines maladies comme le Parkinson, les troubles gastriques, maladie cardio-vasculaire et autre
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La rosacée, une maladie à démystifier

Au Canada, environ deux millions de personnes souffrent de rosacée, une... (ILLUSTRATION LA PRESSE)

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IRIS GAGNON-PARADIS

La Presse

Au Canada, environ deux millions de personnes souffrent de rosacée, une inflammation de la peau caractérisée par des rougeurs et des éruptions cutanées au visage. Le hic : la plupart l’ignorent. Alors qu’avril 2016 a été nommé Mois de la sensibilisation de la rosacée au pays, Pause vous présente quelques faits méconnus sur cette mystérieuse maladie.

Le rouge aux joues

Souvent associée – à tort – à l’alcoolisme, la rosacée a autant des répercussions physiques que psychologiques. Avec le Dr Jason Rivers, dermatologue de Vancouver spécialisé en rosacée et porte-parole pour la Société canadienne de l’acné et de la rosacée, nous avons tenté de démystifier cette maladie encore mal comprise.

Facteurs génétiques

La rosacée est bien mystérieuse : encore aujourd’hui, la science ne comprend pas exactement ce qui est responsable de l’apparition de cette maladie chronique de la peau (qui n’est aucunement contagieuse). La rosacée apparaît généralement chez les adultes qui ont entre 30 et 50 ans et est davantage commune chez les femmes et les gens à la peau claire.

« Ce que nous savons, c’est que la génétique semble jouer un grand rôle et que les gens qui en sont atteints ont une peau qui réagit énormément aux facteurs externes, ce qui contribue à augmenter l’inflammation. La cathélicidine, une molécule en lien avec le système immunitaire, semble être plus active chez les personnes qui souffrent de rosacée, causant l’inflammation de la peau », explique le Dr Rivers.

Symptômes visibles

La rosacée est caractérisée par des rougeurs qui peuvent apparaître et disparaître dans la partie centrale du visage – surtout les joues -, une peau rugueuse et des veines apparentes.

« Avec le temps, les rougeurs vont devenir permanentes, et des petites bosses et boutons peuvent apparaître. Plus rarement, dans environ 5 % des cas, les tissus vont enfler et bosseler dans la région nasale, une forme avancée de rosacée qui s’appelle rhinophyma, longtemps associée à l’alcoolisme », détaille le dermatologue. La maladie empire avec le temps si elle n’est pas traitée.

Acné

La rosacée est souvent confondue avec l’acné d’adulte. Une méprise qui n’arrange pas les choses, puisque les produits contre l’acné peuvent irriter davantage la peau sensible et réactive des personnes atteintes de rosacée. Comment les différencier ?

« La rosacée affecte surtout les joues, alors que l’acné peut se retrouver un peu partout sur le visage, le cou, la poitrine et le dos », donne en exemple le Dr Rivers.

Les boutons acnéiques seront aussi plus pustuleux en général. Le mieux est de consulter un dermatologue pour en avoir le coeur net.

Yeux

Chez environ 50 % des gens atteints de rosacée, la maladie va aussi toucher les yeux, un trouble nommé rosacée oculaire. Parfois, la rosacée touche seulement la région oculaire (et non la peau), rendant le diagnostic encore plus difficile à établir. Quels sont les symptômes ? Rougeurs, démangeaisons, orgelets, sensation d’irritation, de sécheresse ou de sable dans l’oeil, sensibilité à la lumière, énumère le Dr Rivers.

« Dans certains cas, cela peut même affecter la vision », ajoute-t-il.

Dépression

Les personnes atteintes de rosacée sont cinq fois plus à risque de souffrir de dépression que la population normale. Maladie stigmatisée – on croit souvent que les gens qui en souffrent prennent un verre de trop -, elle peut causer un grand tort à l’estime. En effet, 75 % des gens affectés par la maladie disent souffrir d’une faible estime de soi.

« J’avais même une patiente qui ne sortait carrément plus de sa maison », raconte le Dr Rivers.

En plus de causer souvent gêne ou honte liée à l’apparence, la rosacée est particulièrement inconfortable.

Facteurs déclencheurs

Si l’alcool n’est pas responsable de l’apparition de la rosacée, il a par contre été établi comme un facteur aggravant de la maladie, particulièrement le vin rouge. Il n’est pas le seul : les produits cosmétiques irritants (avec parfum, alcool, abrasifs), la caféine, les aliments épicés, les températures extrêmes, le stress et l’exposition aux UV sont les déclencheurs les plus communs de la maladie.

« Une personne qui souffre de rosacée ne réagira pas nécessairement à tous ces facteurs ; pour certains, c’est le vin rouge qui est le déclencheur », explique le dermatologue.

Hygiène de vie

« On peut contrôler la rosacée, mais il n’y a pas de remède qui existe à ce jour », affirme le Dr Rivers.

L’hygiène de vie joue pour beaucoup dans le contrôle de la maladie. Il est donc important d’adopter un mode de vie sain et d’éviter le plus possible les facteurs déclencheurs.

« Les gens doivent utiliser des produits doux pour la peau et des savons non irritants. L’application d’une crème solaire est aussi très importante », ajoute le dermatologue.

Traitements

Il existe quelques traitements sur ordonnance pour traiter la rosacée. Des crèmes comme la métronidazole ou encore celles aux stéroïdes ainsi que des antibiotiques en formulation topique ou à prendre par voie orale peuvent aussi être prescrits ; parmi eux, la tétracycline, la minocycline ou l’érythromycine. Certaines personnes ont aussi recours au laser pour traiter les veines rouges visibles sur le visage.

Un lien avec le parkinson?

On comprend encore mal, il est vrai, les mécanismes à l’oeuvre derrière la rosacée. Beaucoup d’études non seulement se penchent sur la maladie en tant que telle, mais examinent aussi son association avec d’autres maux comme le parkinson.

« Plusieurs études tendent à montrer un lien entre la rosacée et des maladies comme les troubles cardio-vasculaires, les reflux gastriques ou même le cancer de la peau. Ce n’est pas que la rosacée cause ces maladies, mais elle y est associée. »

« Cette association montre seulement que ces maladies sont plus communes chez les gens qui ont la rosacée, mais ce n’est pas une relation de cause à effet. C’est important de faire la différence », détaille le Dr Jason Rivers.

Une étude danoise publiée fin mars s’est penchée sur la relation entre la rosacée et la maladie de parkinson. C’est que, même si les processus de déclenchement de la rosacée restent encore à être éclaircis, il existe des preuves que l’activité élevée d’une enzyme nommée métalloprotéinase matricielle (qui décompose les protéines) jouerait un rôle dans la maladie. Une activité accrue de l’enzyme a aussi été observée chez des patients atteints de parkinson et d’autres troubles neurologiques dégénératifs, d’où l’intérêt de l’étude.

Utilisant les données de plus de 5,4 millions d’individus, les chercheurs ont observé un diagnostic de parkinson chez 22 387 d’entre eux et de rosacée chez 68 053 patients. L’incidence de la maladie de parkinson était de 3,54 pour 10 000 par an pour la population générale et de 7,62 pour 10 000 par an chez les personnes atteintes de rosacée. Les gens souffrant de rosacée ont aussi eu tendance à avoir la maladie de parkinson 2,4 ans plus tôt.

L’étude conclut que la rosacée constitue un facteur de risque indépendant pour la maladie de parkinson. Une association qui pourrait être due à des mécanismes pathogènes communs impliquant une activité élevée de la fameuse métalloprotéinase matricielle.

Autre donnée intéressante tirée de l’étude : les gens atteints de rosacée qui prennent de la tétracycline, un antibiotique, semblent avoir de plus faibles chances d’avoir la maladie de parkinson. Dans tous les cas, les chercheurs indiquent que davantage de recherche est nécessaire pour comprendre les mécanismes à l’oeuvre dans cette association avec le parkinson et aussi sur l’effet de la tétracycline.

http://www.lapresse.ca/

Allergies alimentaires: que faire en cas d’urgence?


Une personne avec une ou des allergies alimentaires se doit d’avoir sur lui des médicaments en tout temps pour éviter une crise qui pourrait empirer pouvant aller jusqu’a la mortalité .. On peut ne pas être allergique a un aliment et le devenir plus tard ..
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Allergies alimentaires: que faire en cas d’urgence?

 

Ayez toujours sur vous un auto injecteur d’adrénaline pour pallier aux cas d’urgence

Les allergies alimentaires sont à la hausse, Santé Canada estimant qu’elles touchent environ 1,2 million de Canadiens. Si vous ou une personne de votre entourage faites une réaction allergique, savoir comment réagir peut faire toute la différence peut vous éviter bien des ennuis. Voici quelques renseignements utiles à connaître.

 

Initiation aux allergies alimentaires

Selon les experts, les allergies alimentaires touchent 6 à 8 % des enfants âgés de 4 ans et moins et environ 4 % des adultes. Les réactions allergiques vont de la simple éruption cutanée à la difficulté respiratoire. Elles entraînent 30 000 consultations à l’urgence et des dizaines de milliers d’autres réactions sont traitées à la maison. Ces allergies sont également responsables de quelque 150 décès par année causés par anaphylaxie, une réaction soudaine et grave pouvant être mortelle.

On estime que plus de160 aliment différents sont liés aux allergies, huit d’entre eux étant responsables de 90 % des réactions graves. Ces huit trouble-fêtes sont les arachides, les noix, le poisson, les fruits de mer (ces allergies ne disparaissent généralement pas à l’âge adulte), les œufs, le lait, le blé et le soya (en règle générale, les enfants cessent de souffrir de ces allergies lorsque leur système immunitaire et gastro-intestinal parvient à maturité).

« Ces aliments sont très courants dans l’alimentation, ce qui explique en partie le problème », précise Jonathan Bernstein, M.D., professeur au service d’immunologie et d’allergologie à la faculté de médecine de l’Université de Cincinnati

Que faire en cas d’urgence

L’anaphylaxie est le nom donné à une réaction allergique grave et soudaine qui peut être mortelle et affecter la peau, les voies respiratoires, le tractus gastro intestinal et le système cardiovasculaire. Le seul traitement existant et sûr consiste à éviter strictement les allergènes connus. En cas d’exposition accidentelle, soyez prêt à réagir:

Ayez toujours sur vous deux doses au moins d’adrénaline auto-injectable afin d’avoir le temps de vous rendre à l’hôpital. Une seule dose atténuera les symptômes qui mettent votre vie en danger, mais ne fait effet que durant 10 à 20 minutes.

 

  • « N’hésitez pas à prendre une dose d’adrénaline », précise David Fleischer, M.D., allergologue à Denver.

 

Cela ne risque pas de vous nuire et il est probablement plus sûr de ne pas attendre.

Ayez un médicament antihistaminique de type Benadryl, soit sous forme liquide ou en comprimé à dissolution rapide pour traiter les réactions bénignes. Si un antihistaminique peut vous soulager, il ne remplace pas l’adrénaline.

Portez un bracelet d’alerte médicale ou un bijou d’identification.

Appelez le 911 ou rendez vous directement à l’urgence (ne conduisez pas vous-même) et ce, même si vos symptômes disparaissent.

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