Faire des appels à l’aide d’un assistant vocal peut vous exposer à des arnaques


Les assistants vocaux, comme celui de Google, Siri ou Alexa peuvent être bien utile, enfin en espérant que les écoutes des assistants ont cessé. Les arnaqueurs y voient aussi un moyen pour leurs escroqueries. Si on cherche un numéro de téléphone d’une entreprise, mieux vaut ne pas passer par les assistants, car rien ne garantis que ce soit le bon numéro, mieux vaut aller directement sur les sites officiels.
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Faire des appels à l’aide d’un assistant vocal peut vous exposer à des arnaques

Un iPhone 4S avec l'assistant personnel Siri.

L’algorithme peut accidentellement sélectionner un faux numéro quand on fait une recherche vocale.

PHOTO : REUTERS / SUZANNE PLUNKETT

Radio-Canada

Des assistants vocaux comme Siri, Alexa et l’Assistant Google peuvent aider à trouver rapidement des informations ou faire jouer votre chanson préférée, mais l’organisme de protection des consommateurs Better Business Bureau (BBB) recommande de ne pas s’en servir pour faire des appels à des entreprises, puisqu’il est possible de se faire arnaquer.

Plusieurs personnes ont raconté à l’organisme s’être fait diriger vers des arnaqueurs lorsqu’elles tentaient de joindre des entreprises au téléphone par l’entremise de leur assistant vocal.

Des escrocs créent de faux numéros de service à la clientèle et tentent de les propulser au sommet des résultats des moteurs de recherche, souvent en achetant des publicités. Quand Siri, Alexa, ou un autre appareil fait une recherche vocale, l’algorithme peut accidentellement sélectionner un faux numéro, fait savoir le BBB dans une publication sur son site web(Nouvelle fenêtre).

Une femme a récemment rapporté à l’organisme qu’un escroc lui avait demandé d’envoyer 400 $ sous forme de carte de crédit prépayée alors qu’elle voulait changer de siège auprès d’une compagnie aérienne. L’opérateur à l’autre bout du fil lui avait alors indiqué qu’une promotion spéciale était en cours.

Une autre personne a raconté être tombée sur un arnaqueur pendant qu’elle tentait, à l’aide de Siri, d’appeler le soutien technique au sujet de son imprimante.

Le BBB conseille au public de se rendre sur le site web officiel d’une entreprise qu’il désirerait appeler afin de trouver son vrai numéro de téléphone. Les informations exactes se trouvent également sur vos factures ou sur les courriels de confirmation que vous recevez des entreprises.

L’organisme indique également qu’il est préférable de faire ses transactions en ligne à l’aide d’une carte de crédit, puisqu’il est possible de contester les paiements s’il y a fraude. Les transactions faites par virement ou par carte de crédit prépayée sont presque impossibles à retracer.

https://ici.radio-canada.ca

La famille Walton, propriétaire de Walmart, gagne 4 millions par heure


C’est normal que les grandes entreprises puissent faire des profits, mais ce qui est choquant et le mot est faible, quand ces profits sont gigantesques, les employés sont souvent payés au salaire minimum, alors qu’ils pourraient être mieux payés. Juste Walmart, en 2018, leurs profits a été de 191 milliards de dollars.. Imaginez 25 familles les plus fortunées possèdent 1 400 milliards de dollars d’actifs, ils seraient bien capables de grande chose pour l’autrui … comme diminuer la faim et la pauvreté dans le monde.
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La famille Walton, propriétaire de Walmart, gagne 4 millions par heure


Les Walton sont la famille la plus riche du monde, grâce à la prospérité de...

RICK T. WILKING VIA GETTY IMAGESLes Walton sont la famille la plus riche du monde, grâce à la prospérité de leur entreprise familiale: Walmart.

En comparaison, un employé moyen de leur entreprise gagne, lui, 11 dollars par heure.

  • Par Paul Guyonnet,

70 000 dollars par minute, 4 millions par heure et 100 millions par jour. Voici ce qu’ont empoché les Walton en 2018, a rapporté l’agence de presse spécialisée en questions économiques Bloomberg, en cette mi-août. 

Cette famille, descendant des frères Bud et Sam Walton, fait depuis des années parmi les plus riches de la planète. La raison de leur succès financier? Les supermarchés Walmart, principale chaîne des États-Unis et véritable colosse mondial. 

Les Walton figurent ainsi en tête du palmarès des familles les plus riches du monde établi par Bloomberg. Depuis juin 2018, la fortune cumulée des membres de la famille a effectivement progressé de manière stupéfiante, gonflant de 39 milliards de dollars pour atteindre 191 milliards. 

11 dollars de l’heure pour leurs employés

Des chiffres ahurissants, qui ont fait bondir plus d’un homme politique aux États-Unis. Parmi eux, le sénateur du Vermont et candidat à l’investiture démocrate pour la présidentielle de 2020 Bernie Sanders s’est notamment insurgé.

«Vous n’avez plus d’excuse», a-t-il tweeté à l’adresse des Walton. «Payez vos employés un salaire décent, au moins 15 dollars de l’heure.»

Pour le moment, un employé moyen de Walmart est rémunéré à hauteur de 11 dollars de l’heure seulement.

Derrière les Walton, la famille Mars (derrière les friandises du même nom et toute une industrie alimentaire) se sont enrichis de 37 milliards de dollars l’an passé pour atteindre 127 milliards de fortune cumulée, et les Koch (qui ont des activités dans le pétrole) ont accru la leur de 26 milliards pour arriver à 125. 

Dans le monde, Bloomberg ajoute que les 25 familles les plus fortunées possèdent 1 400 milliards de dollars d’actifs. Une dernière information: depuis que vous avez commencé la lecture de cet article, les Walton sont devenus plus riches d’environ 200 000 dollars. Rien que ça. 

Ce texte a été publié originalement dans le HuffPost France.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Le secteur privé allonge les millions pour reconstruire Notre-Dame


Je trouve cela génial cet élan de générosité pour aider la France à reconstruire Notre-Dame de Paris, mais ce qui m’agace un peu, c’est de voir autant de personnes et d’organismes se lever pour apporter leur aide envers un monument qui certes est important par son symbole et son histoire, alors que la famine avance un peu partout dans le monde .. On s’entend que je suis peiné et je suis tout coeur avec les Français, car c’est un drame qui touche chacun d,entre eux, cependant, je ne peux m’empêcher de faire une réflexion sur la misère humaine, l’environnement et les animaux en danger ..
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Le secteur privé allonge les millions pour reconstruire Notre-Dame

 

L'incendie de Notre-Dame-de-Paris est l'un des pires sinistres... (PHOTO  AFP)

 

L’incendie de Notre-Dame-de-Paris est l’un des pires sinistres ayant touché le patrimoine historique français depuis la Seconde Guerre mondiale.

PHOTO AFP

PIERRE DONADIEU
Agence France-Presse
Paris

 

Les dons promis par plusieurs grandes fortunes et entreprises pour la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de Paris, dévastée la veille par le feu, tournait mardi soir autour des 700 millions d’euros, auxquels doivent être ajoutés plusieurs engagements corporatifs.

Les trois plus grandes fortunes françaises ont donné à elles seules un demi-milliard d’euros pour la reconstruction de Notre-Dame.

La première place du podium est partagée entre les familles Arnault et Bettencourt.

Avec le numéro un mondial du luxe LVMH, la première a annoncé un «don» de 200 millions d’euros et a proposé que l’entreprise mette à disposition ses «équipes créatives, architecturales, financières» pour aider au travail de reconstruction et de collecte de fonds.

Les Bettencourt ont annoncé quant à eux deux dons de 100 millions d’euros, l’un via l’Oréal et l’autre via leur fondation.

À la troisième place, la famille d’industriels Pinault, qui possède le groupe Kering, a annoncé débloquer 100 millions d’euros via sa société d’investissement Artemis.

Via son holding familial, le géant français de l’affichage publicitaire JCDecaux a promis 20 millions d’euros. La société assure également une «visibilité nationale et internationale» aux appels à la souscription grâce à ses emplacements publicitaires.

«Très touchés» par l’incendie, Martin et Olivier Bouygues ont annoncé se mobiliser «à titre personnel» avec un don de 10 millions d’euros via leur holding familial, SCDM.

Le milliardaire Marc Ladreit de Lacharrière, qui contrôle la société d’investissement Fimalac, a lui aussi débloqué 10 millions d’euros, «pour la restauration de la flèche, symbole de la cathédrale», tombée dans l’incendie de lundi.

Des dons d’entreprises françaises

Le PDG du groupe Total Patrick Pouyanné a annoncé sur Twitter que le groupe, qui se présente comme le «premier mécène de la Fondation du patrimoine», allait faire un «don spécial» de 100 millions d’euros.

Les banques ont aussi mis la main à la poche : BNP Paribas a annoncé débloquer 20 millions d’euros, le groupe BPCE et la Société Générale ont promis chacun 10 millions d’euros et Crédit Agricole, via sa fondation, a annoncé un don de 5 millions d’euros pour les mesures de sauvegarde d’urgence.

L’assureur Axa France a suivi le mouvement de générosité lancé ces dernières heures, en «mobilisant dès maintenant une enveloppe de 10 millions d’euros» en signe de «solidarité». Le groupe souhaite par ailleurs travailler «en faveur d’une meilleure prévention et gestion des risques». Axa France est l’assureur de deux des entreprises présentes sur le chantier de Notre-Dame au moment de l’incendie.

La PDG de la Française des jeux, Stéphane Pallez, a annoncé que le groupe allait affecter «quelque 2 millions d’euros» du Loto de Pâques, pour l’édifice, «une estimation moyenne» de la part qui revient à l’entreprise sur le gros lot de 10 millions mis en jeu samedi.

Le géant informatique français Capgemini s’est dit «solidaire de l’effort national» et a annoncé verser un million d’euros. 

Vinci, Michelin et Air Liquide ont également annoncé souhaiter participer au financement, mais sans indiquer pour l’heure de montant.

Le patronat a également réagi : le Mouvement des entreprises de France (MEDEF) a appelé les entrepreneurs à participer à la collecte lancée par la Fondation du patrimoine, tandis que la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) «se tient à la disposition des pouvoirs publics pour mobiliser son réseau national d’artisans». 

Transport aérien gratuit

Groupama a annoncé offrir 1300 chênes qu’il prélèvera dans ses forêts normandes, «pour respecter le travail des Compagnons de l’époque», pour la «reconstruction de la charpente» de la cathédrale.

Saint-Gobain mettra «à disposition son expertise en matière de rénovation et de matériaux, notamment en matière de restauration de vitraux» dont certains ont explosé.

Air France assurera «le transport gratuit de tous les acteurs officiels qui participeront à la reconstruction». La compagnie aérienne mettra en place un système de collecte auprès de ses clients.

Électricité de France (EDF) propose de son côté d’apporter son expertise aux services de l’État, notamment dans «les réseaux électriques de secours et la sécurisation des chantiers électriques».

Le violoniste André Rieu a de son côté annoncé faire don de 700 tonnes d’acier, utilisées en éléments de décor reproduisant le château de Schönbrunn, en Autriche, à l’occasion du spectacle Une nuit romantique à Vienne, «afin d’aider à ériger l’échafaudage en vue de la restauration de la belle Notre-Dame».

Des dons de l’étranger

Par un tweet matinal aux États-Unis, Tim Cook, le patron d’Apple, a assuré que la firme à la pomme allait «donner pour les efforts de reconstruction afin d’aider à restaurer le précieux héritage de Notre-Dame», sans préciser de somme.

La milliardaire brésilienne Lily Safra et la fondation au nom de son mari Edmond Safra, banquier syro-brésilien décédé en 1999, ont pour leur part annoncé un don de 10 millions d’euros.

L’université catholique Notre-Dame-du-Lac, dans l’Indiana, a annoncé un don de 100 000 dollars pour «une église dont l’architecture gothique exquise a élevé vers Dieu les esprits et les coeurs pendant des siècles», selon son président.

La ville hongroise de Szeged a annoncé faire un don de 10 000 euros, s’estimant redevable à Paris. En 1879, la capitale française avait aidé à la reconstruction de cette ville du sud du pays, dévastée par une inondation.

En Côte d’Ivoire, c’est le roi de Krindjabo, capitale du royaume de Sanwi dans le sud-est du pays, qui a promis un «don» pour la reconstruction, sans préciser de montant. Un prince de son royaume avait été baptisé dans la cathédrale dans les années 1700.

https://www.lapresse.ca/

Ces entreprises britanniques implantent des micropuces sous la peau de leurs employés


Le Big Brother prend plusieurs formes et les micropuces implantés sur des employés me semble aller à l’encontre de la protection de la personne.
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Ces entreprises britanniques implantent des micropuces sous la peau de leurs employés

 

Selon une enquête du Guardian parue dimanche 11 novembre, de plus en plus d’entreprises britanniques implantent des micropuces dans les mains de leurs employés.

En effet, BioTeq fait partie des compagnies embauchées par des entreprises du Royaume-Uni pour implanter des puces RFID sous l’épiderme de leurs employés, qui peuvent ensuite les utiliser pour accéder aux bâtiments de l’entreprise ou encore stocker des données personnelles et/ou professionnelles.

Le fondateur de BioTeq, Steven Northam, a déclaré que la majeure partie du travail de sa société était destiné aux personnes qui souhaitaient utiliser les puces pour accéder à leur maison et leur voiture. Mais il confesse avoir aussi fait implanter des puces RFID dans les mains de travailleurs des secteurs financier et technologique du Royaume-Uni. Ces micropuces ont également été expédiées dans d’autres pays intéressés, notamment en Espagne, en France, en Allemagne, au Japon et en Chine.

Les groupes de défense des droits des travailleurs au Royaume-Uni protestent contre cette tendance d’implantation de micropuces sur les travailleurs, qui, selon eux, menacent de donner aux employeurs de nouveaux outils pour surveiller leurs employés.

 « La micropuce va donner aux patrons encore plus de pouvoir et de contrôle sur leurs travailleurs », affirme Frances O’Grady, secrétaire générale du Trades Union Congress, avant d’ajouter :

« Les risques sont réels et les employeurs se doivent pas les oublier, ni faire pression sur le personnel pour qu’il accepte cette implantation. »

Reste à prouver que ce n’est pas déjà le cas.

Source : The Guardian

https://www.ulyces.co/

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Des entreprises américaines abandonnent la NRA


Depuis que les adolescents ont décidé de prendre en main des protestations contre le gouvernement américain et la NRA, on voit certaines choses bougés. Cela sera t’il suffisant pour qu’il y a un meilleur contrôle des armes ? En tout cas, pour le moment, et pour la première fois, la NRA perd des plumes
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Des entreprises américaines abandonnent la NRA

 

NEW YORK — Dans la foulée de la récente tuerie survenue dans un établissement scolaire de la Floride, certaines entreprises américaines remettent en question leurs investissements, partenariats et autres ententes avec l’industrie des armes à feu et sa porte-parole sur la scène publique, la National Rifle Association (NRA).

Des pétitions en ligne s’en prenant aux compagnies qui proposent des réductions aux membres de la NRA ont commencé à circuler et le mot-clic #BoycottNRA a la cote sur Twitter.

Pour une deuxième journée consécutive vendredi, certaines de ces sociétés, dont les noms apparaissent sur le site de la NRA, ont coupé les ponts avec l’organisation, qui continue à s’opposer farouchement à tout resserrement des règles régissant les armes à feu aux États-Unis.

Parmi ces entreprises figurent la compagnie de location d’automobile Hertz, qui a annoncé sur Twitter qu’elle mettait fin à son programme de réduction pour les membres de la NRA, la compagnie d’assurance MetLife et la société informatique Symantec, qui fabrique notamment l’antivirus Norton.

Les défections se sont produites un jour après que l’entreprise de location de voiture Enterprise, qui possède aussi Alamo et National, eut révélé qu’elle cesserait dorénavant d’offrir des réductions aux membres de la NRA et que la First National Bank of Omaha, l’une des plus importantes banques privées du pays, eut signalé qu’elle ne renouvellerait pas son entente de carte de crédit Visa avec la NRA.

La fusillade survenue le 14 février à l’école secondaire Marjory Stoneman Douglas à Parkland, au nord de Miami, a coûté la vie à 17 élèves et membres du personnel.

http://journalmetro.com/

«Un monde sans pollution c’est possible»


C’est bien d’en parler de la pollution, je me demande si c’est rassemblement donne vraiment du concret dans la réalité. Je crois que cela serait possible d’une planète sans pollution, du moins diminuer de beaucoup l’impact de la pollution qu’elle soit dans la mer, dans l’air que sur le sol. Mais cela doit vraiment se faire autant politique, les entreprises et par les citoyens
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«Un monde sans pollution c’est possible»

 

Par Dmitry Belyaev

Metro World News

Collaboration spéciale Erik Solheim

L’Assemblée des Nations unies pour l’environnement se tient présentement à Nairobi, capitale du Kenya. Métro a discuté avec le Norvégien Erik Solheim, directeur exécutif du Programme des Nations unies pour l’environnement depuis un an et demi, à propos du long chemin qu’il reste à faire quant aux changements climatiques et de l’ambitieux projet d’une planète sans pollution.

Quels types de pollution sont les plus tenaces aujourd’hui?

On veut se concentrer sur plusieurs sortes de pollution: air, terre, eau, océans, produits chimiques, etc. La pollution de l’air est un problème sérieux dans les métropoles, il faut vraiment que ça change. Elle cause de l’asthme, des cancers, des crises cardiaques… beaucoup de maladies, en fait. La pollution plastique, de son côté, détruit des écosystèmes et fait très mal aux océans.

L’objectif d’un avenir sans pollution n’est-il pas utopique?

Absolument pas! L’humanité a résolu des problèmes bien plus grands par le passé. Il fut un temps où l’esclavage était normal. On a également réglé plusieurs problèmes sanitaires. C’est une question politique avant tout, en plus des entreprises qui investissent dans l’innovation.

Quand ce but pourra-t-il être atteint?

Je ne peux pas vous donner de date précise. Mais ce que je m’attends à voir, c’est une réduction de la pollution au cours des prochaines années. Le changement va être rapide.

Quelles mesures les États, le secteur privé et la société civile ont-elles prises récemment?

L’alliance de ces trois forces est essentielle pour une planète sans pollution, j’en suis persuadé. On a besoin de citoyens plus engagés. Les gouvernements doivent réguler les marchés et exiger des meilleurs produits de la part des entreprises: voitures électriques, autobus, métro dans les grandes villes. Et les entreprises doivent trouver des solutions techniques.

Vous espérez une société plus engagée…

Les citoyens doivent voter pour des politiciens «verts» quand c’est possible, demander à leurs gouvernements d’être exigeants en matière de lutte contre la pollution, qui est mortelle pour l’humanité! Ce n’est pas seulement une question d’environnement, c’est aussi une question de santé. Les gens doivent aussi montrer aux entreprises qu’ils ne veulent plus des vieux produits polluants.

Vous dites qu’il faudrait plus de véhicules électriques, mais leur arrivée sur le marché semble plus discrète qu’espéré. Que faudrait-il faire pour accélérer leur production et leur vente?

C’est avant tout politique. En Norvège, un tiers des voitures sont aujourd’hui électriques. La Chine a pris des dispositions pour que les citoyens entament leur transition vers des autos électriques. Quand il y aura un marché, les coûts baisseront et tous les constructeurs entreront dans la danse. Récemment, Ford et General Motors ont fait un pas en avant [NDLR: GM a notamment annoncé cet automne la commercialisation d’une vingtaine de véhicules électriques d’ici 2023], et, bien évidemment, la Chine, le Japon et l’Europe entrent en scène eux aussi.

La Chine, par l’intermédiaire de son président Xi Jinping, veut ressusciter la «route de la soie». En quoi ça consiste?

Historiquement, c’est une route commerciale entre la Chine et l’Europe, empruntée notamment par Marco Polo. Elle servait pour importer de la soie et des épices. L’initiative chinoise actuelle a une plus grosse dimension. Les Chinois veulent investir massivement dans le réseau ferroviaire, l’énergie, etc.

Jusqu’à demain se tient la troisième Assemblée des Nations unies pour l’environnement. Qu’a-t-elle accompli depuis sa mise en œuvre?

On souhaite que les États viennent afin de discuter des meilleures politiques pour combattre la pollution. On veut que les gouvernements et les entreprises s’engagent concrètement pour l’interdiction du plastique, la réduction de la pollution, par exemple.

Observez-vous vraiment des signes positifs?

Oui, notamment sur la pollution plastique. Le problème attire davantage l’attention. Des gouvernements prennent des résolutions plus strictes. Il y a quelques années, ce n’était même pas un problème.

L’ONU elle-même est en train d’engager quelques réformes…

La plus important d’entre elles est l’allégement de la bureaucratie.

Mais l’administration Trump pourrait réduire ses contributions aux Nations unies. Cela ne va-t-il pas affaiblir l’organisation?

C’est encore un peu tôt pour tirer des conclusions. Trump a parlé de coupes dans le budget de l’ONU, mais elles ne devraient pas passer au Congrès américain. Si on veut voir ses déclarations d’un œil positif, disons qu’il nous pousse à nous réformer, ce qui est essentiel à l’organisation.

Mais le président américain est aussi très critique envers la réalité même des changement climatiques…

Ses propos sont moins néfastes que ce que les gens craignaient. Le secteur privé va continuer d’aller de l’avant avec l’économie verte, peu importe ce qui se passe à la Maison-Blanche.

http://journalmetro.com/

Lisa installe une caméra cachée chez elle et attrape le réparateur la main dans le sac


C’est un gros problème quand on essaie d’économiser pour faire des réparations ou du nettoyage qui demande que ce soit des experts qui fasse le travail. Les entreprises ne sont pas tous honnêtes et ceux qui offrent des prix dérisoires, il faut faire des recherches surtout quand cela est douteux
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Lisa installe une caméra cachée chez elle et attrape le réparateur la main dans le sac

 

Si vous avez votre propre maison ou un appartement, vous savez à quel point cela peut être difficile de choisir la bonne entreprise quand il s’agit de réparer quelque chose chez vous. C’est très stressant, parce que si vous choisissez la mauvaise entreprise, elle pourrait faire un mauvais travail ou vous voler.

Évidemment, la majorité des entreprises et des entrepreneurs sont honnêtes, mais certains vous facturent une somme astronomique sans faire le travail correctement.

Pour aider à combattre cela, Lisa Guerrero, un reporteur d’Inside Edition, a décidé d’installer des caméras cachées pour prendre sur le fait certains réparateurs particulièrement malhonnêtes.

Lisa a prétendu être la propriétaire et a contacté deux entreprises spécialisées dans le nettoyage de conduits d’aération. Les deux entreprises avaient des offres spéciales et proposaient de nettoyer son système de ventilation pour un prix imbattable (environ 29 dollars). Mais Lisa savait que c’était probablement trop beau pour être vrai.

Avant l’arrivée des réparateurs, Lisa a demandé à des experts d’examiner les tuyaux. Ils ont trouvé qu’ils étaient seulement poussiéreux et qu’un simple nettoyage suffirait.

Pour tout couvrir, l’équipe a mis des caméras cachées dans tous les coins de la maison – même dans le grenier.

Quand le premier réparateur est passé, il a commencé à inspecter le système de ventilation. Mais les caméras cachées ont montré qu’il a passé plus de temps à fouiller dans les affaires de la propriétaire qu’à vérifier les conduits d’aération.

© YouTube/Inside Edition

Après l’inspection, l’homme s’est assis et a dit à Lisa que ça couterait plus cher qu’il ne le pensait à la base. Il lui a dit qu’il a trouvé beaucoup de poussière et qu’il faudrait faire un nettoyage à fond. Le nouveau total ? Sept cents dollars !

Mais Lisa et les experts avaient filmé son « inspection » et savaient que l’homme n’avait même pas regardé à tous les endroits qu’il affirmait être poussiéreux.

© YouTube/Inside Edition

Lisa a confronté l’homme et lui a demandé s’il avait essayé de l’arnaquer. Et après avoir évité quelques questions, l’homme s’est précipité vers la porte d’entrée.

© YouTube/Inside Edition

Puis, un second réparateur louche a inspecté le système de ventilation et a donné à Lisa une cotation encore plus élevée. Mais cette fois, elle l’a laissé compléter son travail pour voir ce qu’il ferait.

© YouTube/Inside Edition

Regardez cette vidéo pour voir les réparateurs “au travail,” et vous verrez leurs réactions quand Lisa les confronte :

 

Cela m’a rendue vraiment en colère ! En partie parce que ces réparateurs volent les propriétaires, mais aussi parce qu’ils détruisent la réputation des réparateurs et des entrepreneurs honnêtes.

Souvenez-vous de toujours faire des recherches sur une entreprise avant de l’embaucher, et faites des recherches en ligne pour voir les commentaires des autres clients. Si vous pensez que vous avez été arnaqué, demandez à une tierce partie d’enquêter sur le travail. Et s’il vous semble que le réparateur n’a pas fait le travail promis, contactez les autorités.

Publié par Newsner,

http://fr.newsner.com/

«Ronronthérapie»: des chats contre le stress au bureau à Tokyo


Je suis d’avis que des animaux domestiques au travail changent la dynamique des employés. Les chats sont à mon avis, les mieux placés par leur indépendance et leur quête de câlins. D’autres animaux aussi seraient douées pour faire diminuer le stress au travail. Il s’agit de trouver l’animal qui correspond le mieux aux groupes
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«Ronronthérapie»: des chats contre le stress au bureau à Tokyo

 

Plusieurs sociétés misent sur les animaux pour contribuer à... (Photo YOKO AKIYOSHI, Agence France-Presse)

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Plusieurs sociétés misent sur les animaux pour contribuer à réduire stress et anxiété.

PHOTO YOKO AKIYOSHI, AGENCE FRANCE-PRESSE

 

Agence France-Presse
Tokyo

Les entreprises japonaises sont connues pour leurs horaires interminables et des relations hiérarchiques souvent stressantes. L’une d’elles a trouvé une thérapie, un trait d’union entre collègues: les chats.

Dans le petit bureau de Tokyo de l’entreprise informatique Ferray, neuf félins ronronnants sautent sur les genoux des employés, pianotent de leurs délicats coussinets sur les claviers d’ordinateurs, dorment et mangent en toute liberté.

Hidenobu Fukuda, qui dirige cette société, a introduit sa politique de «chats au bureau» en 2000 à la demande d’un de ses collaborateurs et autorisé les salariés à venir avec leur matou.

«Je donne aussi 5000 yens (40 euros) par mois à qui sauve un chat», ajoute-t-il.

D’autres sociétés ont également misé sur les animaux pour contribuer à réduire stress et anxiété.

Chez Oracle Japan, un bobtail nommé Candy s’est vu donner le titre d’«ambassadeur» chargé d’accueillir les hôtes et d’apaiser le personnel, peut-on lire sur le site internet. Le groupe américain a au Japon un chien de bureau depuis 1991 et Candy, le quatrième, a maintenant un compte Twitter et Instagram.

De son côté, la firme de ressources humaines et recrutement Pasona Group a «embauché» à plein temps deux chèvres en 2011 et deux alpagas en 2013, en partie à des fins thérapeutiques.

Tokyo a une soixantaine de cafés à chats officiellement reconnus où les félins naviguent parmi les clients.

Chez Ferray, Eri Ito est conquise: «des chats qui dorment juste à côté de nous, c’est apaisant».

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Trisomique, John a crée son entreprise de vente de chaussettes


 

Dire qu’il n’y a pas si longtemps, les trisomiques étaient considérer par plusieurs comme inutile. Il a fallu que les parents relèvent les manches et croient en leur enfant atteint de trisomie. L’autre jour, j’avais un billet sur une jeune fille atteint de trisomie qui a lancé sa propre affaire de boulangerie  avec sa mère, et voilà un jeune homme qui est chef de sa propre entreprise de chaussettes fantaisiste, grâce à son père … C’est un grand pas pour eux. Ils sont capables de participer à l’économie et ils ont tant à donner
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Trisomique, John a crée son entreprise de vente de chaussettes

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Atteint de trisomie 21, ce jeune homme est connu pour son amour des chaussettes colorées, rigolotes ou fantaisistes qu’il prend soin d’accorder chaque jour à son humeur matinale. Aidé de son père, il a fait de cette passion une petite entreprise : Les chaussettes folles de John, un magasin de chaussettes en ligne. Et ce qu’il propose, c’est de trouver chaussette à votre pied !

John Lee Cronin a toujours voulu faire affaire avec son père. Et s’il ne savait pas précisément dans quel domaine, une simple discussion autour de sa passion pour les chaussettes sera finalement une révélation.

Pour faire de son rêve d’entreprise une réalité, John, 21 ans, s’est associé à son père. Pendant que Mark Cronin l’aide à construire le site Internet, John travaille sur le design des produits. Et, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a une imagination débordante !

Les 500 modèles de chaussettes que propose le duo père-fils ont tous des motifs originaux, reflets d’une multitude de personnalités différentes. Des partitions de musique aux cochons volants en passant par les spéciales mariage… tous les goûts sont dans les chaussettes de John !

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Jeune chef d’entreprise engagé, John verse un pourcentage de ses ventes à des causes nobles comme le cancer du sein, la trisomie 21 ou l’autisme. Avec lui, chaque cause qui le touche a sa paire.

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Il verse aussi 5% de son chiffre d’affaire aux Jeux Olympiques spéciaux.

En effet, John est un athlète olympique spécial. Il n’y a qu’à voir la liste de sports dans lesquels John a concouru : raquette, basket-ball, soccer, hockey, bowling… Des expériences qui lui ont permis de devenir l’homme qu’il est aujourd’hui.

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Toutes les commandes passées sont chouchoutées. John assure la livraison des commandes locales et prépare les petits paquets en prenant soin de glisser une note manuscrite à l’attention de ses clients. Et il n’est pas rare de trouver quelques sucreries à l’intérieur…

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Comme tout chef d’entreprise, John a des responsabilités et travaille dur chaque jour. Il participe à des événements commerciaux, assure des rendez-vous avec des fournisseurs et crée même des vidéos de promotion sur le compte Facebook de son entreprise.

Les chaussettes de John rencontrent un vrai succès. La preuve : de 50 commandes par jour en février, l’entreprise a depuis passé la barre des 1 000 commandes par jour !

Envie de vous faire plaisir et de faire plaisir ? Pour acheter les chaussettes hautes en couleurs de John, ça se passe ici !

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Cultiver des champignons grâce aux déchets de cuisine en plein coeur de Montréal


Voilà une entreprise située à Montréal qui gagne à se faire connaître. Une femme à démarrer une culture de champignons en plein coeur de la ville. Elle recueille du marc à café et des résidus produits par la fermentation des céréales et dans des serres contrôlées, elle réussit à récolter 200 kilogrammes de pleurotes par semaine
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Cultiver des champignons grâce aux déchets de cuisine en plein coeur de Montréal

 

Les pleurotes poussent dans seaux troués.

Les pleurotes poussent dans seaux troués. Photo : Radio-Canada

Le reportage d’Olivier Bachand

À Montréal, deux jeunes femmes ont décidé de se lancer dans la culture de champignons en serre, dans l’arrondissement d’Hochelaga-Maisonneuve. Pour les faire pousser, elles utilisent des déchets de cuisine récupérés chez certains restaurateurs des environs. Portrait d’une entreprise qui exploite le concept d’économie circulaire.

De l’extérieur, l’entrepôt de la rue Moreau qui abrite l’entreprise Blanc de gris est plutôt banal.

C’est en ouvrant la porte que l’on découvre des installations plutôt inusitées : six serres dans lesquelles poussent des pleurotes.

Ce rêve un peu fou, devenu réalité il y a un an et demi, c’est celui de Dominique Lynch-Gauthier.

La jeune femme d’une trentaine d’années se met à rire quand on lui demande si elle avait envisagé une carrière dans la culture des champignons.

« Jamais! Non, jamais de la vie je n’aurais imaginé ça… Mais je suis contente, je suis heureuse, je ne regrette pas! »

Les pleurotes de Blanc de gris poussent dans seaux troués en plusieurs endroits sur les côtés et empilés les uns sur les autres.

Des champignons sont à divers stades de croissance dans quelque 1200 récipients, ce qui permet d’en récolter environ 200 kilogrammes par semaine.

Température, humidité, tout doit être réglé au quart de tour pour obtenir un produit de qualité.

Quelque 200 kg de champignons sont récoltés chaque semaine.

Quelque 200 kg de champignons sont récoltés chaque semaine. Photo : Radio-Canada

« Moi, je trouve ça beau, gris, un peu acier, un peu bleuté, la marge, quand elle est intacte… Souvent, c’est ça qui va se casser facilement, et puis les lamelles bien blanches aussi », explique Dominique, tout en montrant un pleurote fraîchement cueilli.

Elle a entraîné dans l’aventure son amie Lysiane Roy-Maheu, qui s’occupe davantage du volet ventes et marketing de l’entreprise.

Lysiane Roy-Maheu et Dominique Lynch-Gauthier ont créé l'entreprise Blanc de gris.

Lysiane Roy-Maheu et Dominique Lynch-Gauthier ont créé l’entreprise Blanc de gris. Photo : Radio-Canada

Cette dernière a été attirée par l’aspect environnemental du projet.

« C’est vraiment le fait d’aller dans le concept d’économie circulaire, donc de reprendre des résidus qui sont voués à l’enfouissement pour en faire de la nourriture », explique-t-elle.

L’économie circulaire

Blanc de gris applique le concept d’économie circulaire en fabriquant le substrat utilisé pour faire pousser les champignons à partir de déchets de cuisine.

L’entreprise s’approvisionne en marc de café dans plusieurs restaurants et récolte aussi des drêches de brasserie, c’est-à-dire des résidus produits par la fermentation des céréales, auprès d’un bar du secteur.

Par exemple, quand Lysiane va livrer des champignons au restaurant Au Petit Extra, dans Ville-Marie, elle ne repart pas les mains vides.

« Ils gardent le marc de café et quand je viens livrer les champignons, je repars avec le marc de café. C’est un bel échange… Moi, ça sert à faire pousser mes champignons par la suite. »

Quant au kilogramme de pleurotes livré, il va finir dans les assiettes des clients. Le chef du restaurant, Julien Laporte, a été conquis par le produit.

Une trentaine de restaurateurs achètent des champignons de cette petite entreprise montréalaise.

Une trentaine de restaurateurs achètent des champignons de cette petite entreprise montréalaise. Photo : Radio-Canada

« On a goûté ses champignons, qu’on a trouvés quand même exceptionnels. Ça n’a rien à voir avec le pleurote qu’on peut acheter en épicerie. C’est un champignon qui est plus croquant, qui a un goût de noisette », dit-il.

L’entreprise, qui fournit actuellement des pleurotes à une trentaine de restaurateurs, espère faire grimper sa clientèle.

Elle est aussi en train de mettre au point de nouveaux produits, comme des champignons marinés, pour les particuliers.

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