Le Saviez-Vous ► Pourquoi le noir est-il la couleur du deuil ?


Le noir est associé au deuil. L’origine de cette coutume nous vient de l’Europe, par la reine Anne de Bretagne. Aujourd’hui, je crois qu’on ne ressent plus cette nécessité de s’habiller en noir lors des enterrements, sauf dans les films …
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Pourquoi le noir est-il la couleur du deuil ?

Cette tradition remonte à une ancienne reine française. [©HBO]

Par CNEWS –

Il est de coutume, en France et dans certains autres pays, de s’habiller en noir lors d’un enterrement.

C’est à la reine Anne de Bretagne (1477-1514), épouse du roi Charles VIII, que l’on doit cette tradition. Celle-ci avait l’habitude de porter des habits noirs, qui rappelaient la simplicité des vêtements des paysans bretons.

Lors des obsèques de son premier enfant, en 1495, elle a exigé que les personnes présentes arborent cette couleur. Mais c’est lors de l’enterrement de son époux que sa tenue a marqué les esprits. Elle a été la première à se vêtir de noir, et non de blanc, comme c’était la tradition, lors d’une cérémonie funéraire en l’honneur d’un monarque.

A sa mort, Louis XII, son second époux, s’est lui-même vêtu de sombre. Une coutume qui a été reprise par la noblesse, avant de se répandre à la société jusqu’à nos jours.

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Le Saviez-Vous ► Catacombes : Que font ces six millions de squelettes dans des tunnels sous la ville de Paris ?


Paris, surnommé  »Ville lumière ». Paris a quand même connu des sombres moments au cours de son histoire. Dans cette ville, il y a un tout un réseau de tunnels qui abrite 6 millions de squelettes. Il faut dire qu’à une époque Paris était en pleine expansion, les maladies aussi, ainsi que des morts. Le cimetière des Innocents était surpeuplé, des inondations remontaient des morts en décomposition. C’était une catastrophe en santé publique. Les tunnels sous terre étaient la solution idéale à l’époque.
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Catacombes : Que font ces six millions de squelettes dans des tunnels sous la ville de Paris ?


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| Pierre Antoine

Jonathan Paiano

Presque tout le monde connaît Paris comme étant la “Ville lumière”, un centre mondial de l’art, de la mode, de la culture, et de l’amour, bien que certains événement récents soient venus ternir un peu cette image. Quoi qu’il en soit, il en est autrement sous la surface de la ville : un réseau de tunnels sombres et remplis d’ossements humains, ceux de 6 millions de Parisiens.

Paris est une ville qui a su profiter de l’essor industriel pour croître davantage, attirant de plus en plus de monde venu de l’extérieur de ses murs, mais elle souffrait alors de nombreux problèmes. Parmi ceux auxquels elle faisait face, comme de nombreuses autres villes dans la même situation de développement, il y avait les maladies. Et le nombre de morts augmentait presque exponentiellement en raison de la population toujours plus grandissante. Vers la fin du XVIIIe siècle, cette situation a finalement abouti à des cimetières surchargés.

L’un des plus grands cimetières parisiens des années 1700, les Innocents, était devenu un lieu où les odeurs fétides des corps en décomposition n’étaient plus supportables, le sol étant incapable de faire face à la demande provoquée par le surpeuplement de la ville.

L’odeur était si mauvaise que selon les écrits, les parfumeurs locaux avaient du mal à vendre leurs produits. En mai 1780, le cimetière était littéralement plein à craquer. Petite anecdote : un mur d’une cave d’une propriété bordant le cimetière s’est ouvert sous la pression des enterrements excessifs et des pluies de printemps, entraînant une inondation de corps à moitié décomposés et des maladies.

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Vue d’artiste du cimetière des Innocents en 1550, par Theodor Josef Hubert Hoffbauer. Crédits : Wikimedia Commons/Domaine public

En quelques mois, les autorités ont ordonné la fermeture des Innocents et des autres cimetières de la ville. Plus aucun corps ne pouvait alors être enterré dans la capitale. Avec la menace de la santé publique toujours imminente, la ville a également décidé de supprimer le contenu des cimetières actuels.

C’est là qu’un plan “efficace” a fait surface. Il faut savoir que jadis, la ville abritait un certain nombre de vieilles mines et carrières, ce qui était parfait pour un ossuaire souterrain servant à entreposer les morts. Entre 1787 et 1814 (en grande partie), des os ont été placés dans les profondeurs des mines. 

L’entrée a été construite juste à l’extérieur de la vieille porte de la ville, la bien nommée Barrière d’Enfer. Tandis que les squelettes étaient initialement entassés au hasard dans les carrières, ils ont finalement été placés de façon ordonnée et plus esthétique, comme vous pouvez le voir ci-dessous.

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Crédits : Kelli Hayden/ Shutterstock

Parmi les 6 millions de restes squelettiques de l’ossuaire, l’on y trouve des dizaines de personnages de l’histoire française, y compris de nombreuses figures décapitées de la Révolution française, tels que Georges Danton et Maximilien de Robespierre, ainsi que de célèbres artistes tels que Charles Perrault, connu pour avoir écrit des contes de fées comme Le petit chaperon rouge, Cendrillon, et La belle au bois dormant.

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Le manque de place dans les cimetières parisiens pourrait à l’avenir conduire à de nouveaux dépôts d’ossements. Crédits : Pierre Antoine

Les catacombes de Paris se situent à 20 mètres sous les rues, et environ 1.5 kilomètre de l’ossuaire peut toujours être visité. Depuis 1955, il est illégal de s’aventurer dans des galeries interdites, mais il est connu que les amateurs de sensations fortes se plongent plus profondément dans le labyrinthe par des entrées cachées.

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L’ac­teur Luke Perry a été enterré dans un costume écolo­gique en cham­pi­gnon


Personnellement, si vraiment, c’est moins polluant qu’un enterrement conventionnel, sans tombe ni embaumement, je trouve l’idée intéressante
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L’ac­teur Luke Perry a été enterré dans un costume écolo­gique en cham­pi­gnon

par  Mathilda Caron

Selon ses dernières volon­tés, feu l’ac­teur de Beverly Hills Luke Perry, décédé à 52 ans suite à un acci­dent vascu­laire céré­bral, a été enterré dans un costume biodé­gra­dable en cham­pi­gnon, rappor­tait BBC News le 5 mai.

Sophie Perry, sa fille, a annoncé cette nouvelle surpre­nante via un post Insta­gram dans lequel elle explique comment l’idée leur est venue et pourquoi c’est un exemple à suivre.

 « Il s’agit essen­tiel­le­ment d’une forme d’en­ter­re­ment respec­tueuse de l’en­vi­ron­ne­ment », explique-t-elle.

Le costume en cham­pi­gnon éco-friendly à 1 500 dollars n’a cepen­dant pas fait l’una­ni­mité : des inter­nautes ont répondu à la fille de l’ac­teur qu’ils trou­vaient cela « ridi­cule » et « dégoû­tant »…

Crédits : Coeio

Ce concept a été déve­loppé par Jae Rhim Lee, le fonda­teur de la start-up Coeio, une entre­prise de sépul­tures vertes basée en Cali­for­nie. Il affirme avoir trouvé un moyen de réduire les polluants toxiques du corps comme le mercure, souvent reje­tés lors de la décom­po­si­tion. Ces costumes sont égale­ment dispo­nibles pour les animaux de compa­gnie.

Source : BBC News

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Le cime­tière de Vienne vend des Lego pour que les enfants apprennent la mort en s’amu­sant


Quand survient la mort d’un proche, il est parfois difficile de parler de la mort aux jeunes enfants. Un musée funéraire à Venise propose des ensembles Lego pour s’initier a tout ce qui touche un enterrement.
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Le cime­tière de Vienne vend des Lego pour que les enfants apprennent la mort en s’amu­sant

 

Crédits : Bestat­tungs­mu­seum Wien

par  Nicolas Prouillac

Il n’est pas simple pour les parents d’abor­der la ques­tion de la mort avec leurs enfants.

En effet, comment faire pour ne pas terro­ri­ser les tout-petits quand on est soi-même pas très à l’aise avec la fin du film ? Pour venir en aide aux familles dans l’em­bar­ras, le Bestat­tungs­mu­seum (musée funé­raire) de Vienne vend des kits Lego pour permettre aux enfants de rejouer l’en­ter­re­ment de papy ou la créma­tion de mamie au pied de leur coffre à jouets.

Crédits Bestat­tungs­mu­seum Wien

On trouve par exemple un duo exca­va­teur et pierre tombale – sous laquelle on peut glis­ser un cercueil en bois – ; ou bien un four créma­toire aux flammes rouges, accom­pa­gné d’un employé barbu à la mine pati­bu­laire qui bran­dit ce qu’on imagine être une urne funé­raire. Sans oublier le corbillard à l’an­cienne et le four­gon de la morgue, qui trans­porte les morts au frais.

Crédits : Bestat­tungs­mu­seum Wien

Selon le porte-parole du musée Florian Keusch, les premiers kits Lego ont été imagi­nés en 2016. Alors histo­riques (calèche et corbillard), ils ont été rejoints en 2018 par des repré­sen­ta­tions modernes pour aider les enfants à comprendre ce qui est arrivé à leurs aïeux·les dispa­ru·es et faire leur deuil tout en s’amu­sant.

Source : Bestat­tungs­mu­seum

 

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Un cimetière pour humains au fond de l’océan en Floride


À part, que d’être un beau terrain de cache-cache, c’est présomptueux de vouloir payer autant pour être enterré dans l’océan Atlantique. Est-ce vraiment écologique ?
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Un cimetière pour humains au fond de l’océan en Floride

 

 

Le « Mémorial de Neptune » est un cimetière pour humains au large de la Floride, à Miami. Il a la particularité d’offrir une alternative à l’enterrement traditionnel. Les cercueils se transforment en corail au fur et à mesure des années.

Plus de 1500 défunts reposent déjà au fond de l’océan Atlantique dans ce « Mémorial de Neptune », un cimetière insolite qui offre un enterrement écologique et donne l’opportunité de donner la vie même après la mort. 

Dans cet écosystème à part entière, les tombes sont faites d’eau, de ciment et de cendres des défunts. C’est la plus grande barrière de corail artificielle du monde. Le site abrite jusqu’à 195 colonies de coraux et 56 espèces de poissons différentes.

2000 à 5000 dollars l’enterrement

Comme dans un cimetière « normal », les proches peuvent se recueillir sur les tombes des disparus. La seule différence est qu’il faut mettre un masque et des palmes. Certaines familles préfèrent rester sur le bateau et jeter des fleurs dans l’océan.

Ses fondateurs se sont inspirés de la cité engloutie d’Atlantis. Ce projet artistique est financé exclusivement par les clients. Pour avoir la chance de reposer dans ce lieu unique, il faut compter entre 2000 et 5000 dollars. Ce cimetière géant pourrait accueillir à terme jusqu’à 150.000 pierres tombales.

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En Inde, la police sauve un homme qui s’était enterré vivant pour devenir un dieu


C’est soit un gros manque d’éducation ou un problème psychiatrique que ces gens ont de croire qu’une personne enterrée peut se réincarner en un Dieu.
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En Inde, la police sauve un homme qui s’était enterré vivant pour devenir un dieu

 

par  Laura Boudoux

Il est resté huit heures sous terre, confiné par ses propres soins sous un monticule de boue et des dalles de béton.

En Inde, Deeraj Kharol s’est enterré lui-même pour atteindre le salut et être réincarné en dieu, rapporte le Times of India.

Alertés, mais également arrêtés par les villageois, entrés dans une sorte de transe et priant autour de la sépulture, les officiers ont dû expliquer calmement que Deeraj Kharol ne pourrait plus respirer s’il n’était pas immédiatement déterré. Si la police l’a finalement délivré au bout de quelques heures, le 11 octobre dernier, l’homme avait prévu de rester sous terre pendant trois jours.

Extirpé de sa tombe artisanale, l’Indien est sorti inconscient de son expérience et a rapidement été emmené dans un centre hospitalier pour être soigné. La police a annoncé que des poursuites seraient engagées contre Deeraj Kharol, mais aussi contre les habitants de ce petit village du Rajasthan qui l’ont aidé dans sa démarche.

À son réveil, l’homme a assuré qu’il était seul responsable de son acte, tout à fait conscient de sa dangerosité, et que les villageois ne l’avaient pas poussé à s’enterrer vivant. Deeraj Kharol, qui vit dans le temple de son village, a expliqué qu’il avait reçu l’instruction de se soumettre au rituel funéraire par un « pouvoir suprême ». Une équipe de police a été déployée, afin de faire de la prévention pour sensibiliser les populations environnantes contre de tels comportements.

Sources : Times of India / Pulse

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Les Romains utilisaient la magie pour empêcher le retour à la vie d’enfants « vampires »


Dans un cimetière dont les occupants sont des enfants, les scientifiques ont déterré les ossements d’un enfant de 10 ans, qui avait reçu une préparation particulière. Un enterrement de vampire pour probablement éviter qu’ils reviennent en mort-vivant. Dans d’autres excavations, des enfants ont été subis aussi des pratiques étranges d’enterrements qui sont reliés à la sorcellerie.
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Les Romains utilisaient la magie pour empêcher le retour à la vie d’enfants « vampires »

 

Crédits : David Pickel/Université Stanford

par  Laura Boudoux

Le corps retrouvé par les archéologues sur ce site romain est celui d’un enfant de 10 ans, atteint de la malaria, rapporte Forbes. Mais il ne s’agit pas de n’importe quel enfant, puisqu’il a bénéficié d’un « enterrement de vampire », annoncent les scientifiques, qui ont analysé sa dépouille durant l’été 2018. 

« Je n’ai jamais rien vu de pareil. C’est extrêmement étrange et mystérieux », confie l’archéologue David Soren, de l’université d’Arizona.

L’enfant a en effet été enterré avec une pierre dans la bouche, ce que les chercheurs interprètent comme un moyen d’empêcher le corps de revenir à la vie et d’infecter les vivants.

Les ossements ont été découverts dans un cimetière romain réservé aux enfants, dans la commune de Lugnano in Teverina, en Ombrie. Il est connu pour avoir accueilli les corps de nombreux bébés et jeunes Romains, morts de la malaria au Ve siècle.

« L’âge de cet enfant et sa disposition unique, avec la pierre dans la bouche, en font une anomalie au sein d’un cimetière déjà hors du commun. Cela ne fait que souligner à quel point le cimetière pour enfant de Lugnano est unique », estime David Pickel, le directeur des fouilles.

D’autres excavations ont en effet mis en relief des pratiques mystérieuses, liées à la sorcellerie. Les archéologues ont ainsi retrouvé des enfants enterrés avec des serres de corbeaux, des os de crapauds, des cendres placées dans des chaudrons en bronze, ou même des chiots sacrificiels.

Des usages censés éloigner le mal, et éviter que les malades ne reviennent hanter les vivants sous la forme de morts-vivants.

 « Nous savons que les Romains étaient très préoccupés par cela et étaient prêts à utiliser la magie pour empêcher le mal, et tout ce qui contamine le corps, de s’échapper », explique David Soren.

En 2009, une femme atteinte de la peste avait ainsi été retrouvée à Venise avec une brique dans la bouche. Finalement, il suffit de pas grand-chose pour empêcher une attaque zombie.

Sources : The Independent / Forbes

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Ce psychologue ukrainien enterre vivants ses patients pour les soigner


Une thérapie que je ne voudrais pas essayer. La seule fois que j’accepterais de me coucher dans un cercueil et être enterrée, sera que la vie me quittera.
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Ce psychologue ukrainien enterre vivants ses patients pour les soigner

 

Crédits : Andreï Zhelvetro

par  Malaurie Chokoualé

Imaginez que lors d’une séance chez le psy, celui-ci vous prescrive un séjour express dans un cercueil fraîchement recouvert par de la terre meuble pour vous tranquilliser.

C’est exactement ce qu’a décidé de proposer le psychologue de Kiev Andreï Zhelvetro. Le média britannique Mirror expliquait le 25 septembre que dans le cadre de ses thérapies psychologiques – sans pour autant préciser ce qu’il désire soigner –, Zhelvetro invite ses patients à se faire enterrer vivants, la tête paisiblement posée sur un coussin blanc, le regard vissé au couvercle.

Après d’ultimes goulées d’air frais, le patient s’allonge de tout son long dans la boîte. Zhelvetro commence alors à donner des pelletées énergiques jusqu’à recouvrir presque entièrement le cercueil ; seul un tuyau dépasse alors du monticule, donnant un peu d’air au « mort-vivant » du jour, pendant ses quelques heures sous terre. Andreï Zhelvetro raconte avoir créé ce traitement il y a quelques années – il aurait été la première personne à l’essayer. Selon lui, cette expérience, qu’il décrit comme une résurrection, aide à se sentir vivant.

Ce traitement pour le moins inhabituel a été rendu célèbre après qu’un villageois a trouvé douze cercueils vides abandonnés dans une forêt proche de la capitale, avec leurs tombes préalablement creusées. Après enquête, la police a réussi à remonter jusqu’à Zhelvetro, qui a admis sans complexe la nature de ses méthodes. La police a ensuite tenté de l’arrêter pour empêcher de nouvelles thérapies en boîte, mais personne n’a jamais voulu témoigner de son plein gré contre Zhelvetro et aucun blessé n’a jamais été regretté. Le psychologue a ainsi pu poursuivre ses activités.

On se demandait il y a quelques temps s’il y avait encore des risques d’être enterré vivant aujourd’hui, apparemment oui.

Sources : Mirror Online

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Elle s’offre en sacrifice à son mari: on la retrouve enterrée vivante à côté de lui


Il y a 3 000 ans, une femme qui aurait probablement pris un poison pour être enterré auprès de son bien-aimé pour l’éternité. Selon les légistes, il aurait été impossible de mettre la femme coucher sur le flanc de l’homme tout en l’enlaçant.
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Elle s’offre en sacrifice à son mari: on la retrouve enterrée vivante à côté de lui

 

Source: Daily Mail

Les archéologues ont fait une découverte émouvante dans un petit village en Ukraine. Dans une tombe datant d’il y a environ 3.000 ans, les scientifiques ont retrouvé une femme et un homme enlacés. Les scientifiques déduisent de leurs positions respectives que la femme s’est fait enterrer vivante avec l’être aimé pour rester auprès de lui pour l’éternité.

La façon dont le couple qui a dû vivre à l’âge du bronze était allongé est très significative. Le corps de la femme repose sur celui de l’homme et ses bras et ses jambes l’enlacent tendrement. Un signe qui témoigne de l’amour qui unissait les deux êtres préhistoriques.

Poison?

On aurait pu imaginer que des congénères aient eux-mêmes disposé de la sorte le corps de la femme sur le flanc de son époux mais les légistes excluent cette hypothèse. Selon eux, il est impossible de manipuler le corps d’un mort de manière à lui donner une position aussi tendre.

« Il apparaît que la femme a d’elle-même décidé de mourir en se faisant enterrer vivante tout contre son mari », explique le professeur Mykola Bandrivsky.

Vu l’absence de signe de panique, la veuve éplorée a probablement bu du poison avant de rentrer dans la tombe et de se blottir contre son mari décédé. Le couple incarne l’amour éternel, s’émeuvent les chercheurs.

« Elle ne voulait sans doute pas devoir partager la vie d’un autre homme et recommencer sa vie. Donc elle a choisi de le rejoindre dans la mort et de rester son épouse pour toujours ». 

Amour éternel, croyance d’une époque

Si une telle découverte est toujours une émotion pour les archéologues, cette pratique n’est pas inédite pour l’époque en Europe.

« Les couples de la culture de Wysocko (du nom d’une localité où ont été découvertes 200 tombes et monuments datant de l’âge du fer) croyaient en l’âme et l’amour éternels, donc aussi après la mort », explique le professeur.

Ce don de soi pour l’éternité n’était pas à sens unique. Les hommes mouraient aussi par amour pour leur épouse. Dans d’autres tombes attribuées à cette culture spécifique (vers 800 avant JC), les archéologues ont en effet découvert un homme qui tenait les mains d’une femme et un autre dont les lèvres et le front touchaient la tête d’une femme. Dans une autre tombe, les amoureux étaient enlacés.

Leur amour était destiné à traverser des millénaires et aura réussi à faire battre le coeur de la génération qui les aura découverts, 3.000 ans plus tard.

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Disparu depuis des jours, il rentre chez lui à temps pour ses propres funérailles


Je n’ose pas imaginer ce qu’ils ont pu ressentir quand ils ont cru leur fils mort, et par la suite vivant. C’est une suite émotions qui devaient être très fortes.
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Disparu depuis des jours, il rentre chez lui à temps pour ses propres funérailles

 

par  Ulyces

Paye ton ascenseur émotif. Au Paraguay, lorsqu’un jeune homme de 20 ans porté disparu depuis trois jours est finalement rentré chez lui, il a trouvé sa famille en pleine funérailles. Les siennes. Ils avaient cru l’enterrer quelques heures plus tôt, raconte le journal argentin Perfil.

Juan Ramón Alfonso Penayo, un adolescent du village paraguayen de Santa Teresa, proche de la frontière avec le Brésil, a causé une tristesse effroyable à ses parents et ses proches en disparaissant sans crier gare le 14 juin. Sans nouvelles de lui, sa famille a contacté les autorités. Et le lendemain, la police les a prévenus qu’un corps avait été découvert dans les environs du village…

Seulement voilà, la victime – car il s’agissait probablement d’un meurtre lié au trafic de drogue – avait été brûlée par ses bourreaux après son assassinat. Après s’être rendus à la morgue à la demande des autorités pour identifier le corps, les parents, face au défunt défiguré par les flammes, ont cru reconnaître leur fils sur la table métallique. Frappés de plein fouet par la tragédie, ils ont organisé l’enterrement et les funérailles de leur fils le lendemain.

Juan est alors rentré à la maison en pleine veillée funèbre. S’il n’a pas confié à la police la raison précise de sa disparition, on peine à imaginer ce qu’ont dû ressentir ses parents, outre l’immense soulagement de le voir vivant. Le cadavre, lui, a été repris par la morgue, et personne n’est encore venu le réclamer.

Source : Perfil

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