Le Saviez-Vous ► 7 signes d’AVC à reconnaître


Si une chose qu’on veut éviter, c’est bien un AVC, un ami qui probablement se reconnaitra a fait un AVC qui m’avait beaucoup inquiété étant donné qu’il était l’autre côté de l’océan, mais il s’en est bien tiré, alors que mon voisin lui a perdu ses mots. L’autre jour, il me disait quelque chose, j’ai eu des problèmes a le comprendre jusqu’à temps qu’il a dit les filles, il voulait avoir des nouvelles de mes petites filles que je m’occupe quand papa et maman travaillent. Il y a des signes qui peuvent nous prévenir que quelque chose cloche .. Il faut agir très vite, car plus on attend, le cerveau perd plus d’un million de cellules à la minute
Nuage

 

7 signes d’AVC à reconnaître

 

Les signes d’un AVC sont souvent confondus avec d’autres problèmes de santé, ce qui retarde le traitement. Pourtant, en agissant rapidement, on peut diminuer le risque de lésions au cerveau.

PAR ALYSSA JUNG

N’ignorez jamais ces signes d’un AVC

À chaque minute qui passe lors d’un AVC, votre cerveau perd quelque 1,9 million de cellules. Chaque heure sans traitement le fait vieillir d’environ trois ans et demi. Plus un accident vasculaire cérébral dure ou plus le patient reste non traité, plus il court le risque d’avoir des difficultés d’élocution, des pertes de mémoire ou des changements de comportement. Plus l’intervention est rapide, meilleur est le choix des traitements : on limite ainsi les lésions cérébrales et on améliore les chances d’une récupération plus complète.

« Un accident vasculaire cérébral fait toujours peur. L’ignorer retarde la prise en charge. À l’urgence, quand je demande aux victimes d’un AVC pourquoi ils ont attendu pour appeler le 911, la réponse la plus courante est qu’ils ont voulu voir si ça s’en irait, » dit Carolyn Brockington, MD, directrice du centre des AVC du Mount Sinai à New York.

Il y a deux types d’AVC. Dans l’AVC ischémique, des vaisseaux bloqués entraînent une diminution du flux sanguin au cerveau. Dans l’AVC hémorragique, il y a rupture d’une artère et le sang se répand dans les tissus cérébraux. Les symptômes peuvent être les mêmes pour les deux types. Il est important d’appeler le 911 dès que vous remarquez des signes potentiels.

Vous voyez double, vous pensez que c’est de l’épuisement

Des problèmes de vision – voir double, vision floue ou perte de la vision d’un œil – peuvent être le signe d’un AVC, mais beaucoup de gens mettent cela sur le compte de la vieillesse ou de la fatigue.

« Voir deux images est très inhabituel pour quelqu’un qui est fatigué ou qui a lu trop longtemps », explique la Dre Brockington.

Un vaisseau sanguin bloqué pourrait réduire la quantité d’oxygène à l’œil, ce qui entraînerait des problèmes de vision sans autre signe d’AVC.

Votre bras est engourdi : vous croyez que c’est parce que vous avez pris une mauvaise position

Si vous vous réveillez d’une sieste, le bras ou la jambe engourdie, il est facile de supposer que cela est dû à un nerf comprimé.

« Ne vous dites pas que vous êtes hypocondriaque. Si vous sentez votre bras soudainement ankylosé ou faible, et que la sensation ne disparaît pas en quelques minutes, composez le 911 », dit Ralph Sacco, MD, professeur de neurologie à la faculté de médecine de l’Université de Miami.

Si votre flux sanguin diminuait dans les artères qui courent de votre colonne vertébrale à l’arrière de votre tête, vous ressentiriez un engourdissement ou une faiblesse sur tout un côté du corps.

Vous avez des difficultés à articuler : vous pensez que c’est dû à vos médicaments

« Les analgésiques, par exemple, peuvent provoquer des troubles de l’élocution. C’est pourquoi les gens pensent d’abord à leurs médicaments plutôt qu’à un accident vasculaire cérébral, » dit le Dr Sacco.

Mais si ce n’est pas un effet secondaire que vous avez habituellement, il peut s’agir d’un AVC et il vous faut immédiatement demander de l’aide, recommande-t-il.

Vous titubez : vous assumez que c’est l’alcool

« Les gens pensent qu’ils ont des problèmes d’équilibre, parce qu’ils ont bu de l’alcool, mais cela n’a pas de sens, dit le Dr Brockington. Vous n’allez pas trébucher à cause d’un verre pris plus tôt dans la journée. Mais une diminution du débit sanguin au cerveau pourrait avoir cet effet. »

Si tout à coup, vous vous mettez à tituber, à ne plus pouvoir marcher droit ou à avoir un étourdissement soudain, n’attendez pas que ça passe : faites immédiatement le 911.

Vous l’avez « au bout de la langue » : c’est sûrement la fatigue

Quand les personnes ont du mal à trouver le mot juste ou perdent le fil de leur pensée, ils s’imaginent qu’ils sont fatigués, raconte le Dr Brockington. Mais les déficits cognitifs soudains sont un signe courant d’AVC.

« Vous pouvez chercher un mot de temps à autre, mais si cela vous arrive pendant un long moment, que vous ne trouvez rien à dire ou que vous êtes incapable de parler, ce n’est plus normal », dit-il.

Dans certains cas, la personne qui fait un AVC ne se rend pas compte que quelque chose cloche, c’est donc aux proches de déclencher l’alarme.

« La partie du cerveau qui ne fonctionne pas bien altère la perception du patient et sa capacité de raisonner, » ajoute le Dr Sacco.

Ce mal de tête lancinant doit être une migraine, vous dites-vous

C’est peut-être une migraine, mais si vous n’êtes pas migraineux, ce pourrait être un AVC.

« Une migraine peut masquer un AVC parce que les symptômes neurologiques sont les mêmes, dit le Dr Sacco. Je recommande aux gens de considérer qu’il s’agit d’un accident vasculaire cérébral et d’appeler à l’aide. Nous nous occuperons de faire la différence. »

http://selection.readersdigest.ca/

7 signes d’AVC à reconnaître


N’importe qui peux faire un AVC et plus une personne attend pour demander de l’aide, plus les dégâts au cerveau peuvent être irréversibles. Il y a des signes avant-coureurs qui peut nous alerter, il est important d’en prendre note
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7 signes d’AVC à reconnaître

 

PAR ALYSSA JUNG

Les signes d’un AVC sont souvent confondus avec d’autres problèmes de santé, ce qui retarde le traitement. Pourtant, en agissant rapidement, on peut diminuer le risque de lésions au cerveau.

N’ignorez jamais ces signes d’un AVC

À chaque minute qui passe lors d’un AVC, votre cerveau perd quelque 1,9 million de cellules. Chaque heure sans traitement le fait vieillir d’environ trois ans et demi. Plus un accident vasculaire cérébral dure ou plus le patient reste non traité, plus il court le risque d’avoir des difficultés d’élocution, des pertes de mémoire ou des changements de comportement. Plus l’intervention est rapide, meilleur est le choix des traitements : on limite ainsi les lésions cérébrales et on améliore les chances d’une récupération plus complète.

« Un accident vasculaire cérébral fait toujours peur. L’ignorer retarde la prise en charge. À l’urgence, quand je demande aux victimes d’un AVC pourquoi ils ont attendu pour appeler le 911, la réponse la plus courante est qu’ils ont voulu voir si ça s’en irait, » dit Carolyn Brockington, MD, directrice du centre des AVC du Mount Sinai à New York.

Il y a deux types d’AVC. Dans l’AVC ischémique, des vaisseaux bloqués entraînent une diminution du flux sanguin au cerveau. Dans l’AVC hémorragique, il y a rupture d’une artère et le sang se répand dans les tissus cérébraux. Les symptômes peuvent être les mêmes pour les deux types. Il est important d’appeler le 911 dès que vous remarquez des signes potentiels.

AVC : Vous voyez double, vous pensez que c’est de l’épuisement

Des problèmes de vision – voir double, vision floue ou perte de la vision d’un œil – peuvent être le signe d’un AVC, mais beaucoup de gens mettent cela sur le compte de la vieillesse ou de la fatigue.

« Voir deux images est très inhabituel pour quelqu’un qui est fatigué ou qui a lu trop longtemps », explique la Dre Brockington.

Un vaisseau sanguin bloqué pourrait réduire la quantité d’oxygène à l’œil, ce qui entraînerait des problèmes de vision sans autre signe d’AVC.

Votre bras est engourdi : vous croyez que c’est parce que vous avez pris une mauvaise position

Si vous vous réveillez d’une sieste, le bras ou la jambe engourdie, il est facile de supposer que cela est dû à un nerf comprimé.

« Ne vous dites pas que vous êtes hypocondriaque. Si vous sentez votre bras soudainement ankylosé ou faible, et que la sensation ne disparaît pas en quelques minutes, composez le 911 », dit Ralph Sacco, MD, professeur de neurologie à la faculté de médecine de l’Université de Miami.

Si votre flux sanguin diminuait dans les artères qui courent de votre colonne vertébrale à l’arrière de votre tête, vous ressentiriez un engourdissement ou une faiblesse sur tout un côté du corps.

Vous avez des difficultés à articuler : vous pensez que c’est dû à vos médicaments

« Les analgésiques, par exemple, peuvent provoquer des troubles de l’élocution. C’est pourquoi les gens pensent d’abord à leurs médicaments plutôt qu’à un accident vasculaire cérébral, » dit le Dr Sacco.

Mais si ce n’est pas un effet secondaire que vous avez habituellement, il peut s’agir d’un AVC et il vous faut immédiatement demander de l’aide, recommande-t-il.

Vous titubez : vous assumez que c’est l’alcool

« Les gens pensent qu’ils ont des problèmes d’équilibre, parce qu’ils ont bu de l’alcool, mais cela n’a pas de sens, dit le Dr Brockington. Vous n’allez pas trébucher à cause d’un verre pris plus tôt dans la journée. Mais une diminution du débit sanguin au cerveau pourrait avoir cet effet. »

Si tout à coup, vous vous mettez à tituber, à ne plus pouvoir marcher droit ou à avoir un étourdissement soudain, n’attendez pas que ça passe : faites immédiatement le 911.

Vous l’avez « au bout de la langue » : c’est sûrement la fatigue

Quand les personnes ont du mal à trouver le mot juste ou perdent le fil de leur pensée, ils s’imaginent qu’ils sont fatigués, raconte le Dr Brockington. Mais les déficits cognitifs soudains sont un signe courant d’AVC.

« Vous pouvez chercher un mot de temps à autre, mais si cela vous arrive pendant un long moment, que vous ne trouvez rien à dire ou que vous êtes incapable de parler, ce n’est plus normal », dit-il.

Dans certains cas, la personne qui fait un AVC ne se rend pas compte que quelque chose cloche, c’est donc aux proches de déclencher l’alarme.

« La partie du cerveau qui ne fonctionne pas bien altère la perception du patient et sa capacité de raisonner, » ajoute le Dr Sacco.

Ce mal de tête lancinant doit être une migraine, vous dites-vous

C’est peut-être une migraine, mais si vous n’êtes pas migraineux, ce pourrait être un AVC.

« Une migraine peut masquer un AVC parce que les symptômes neurologiques sont les mêmes, dit le Dr Sacco. Je recommande aux gens de considérer qu’il s’agit d’un accident vasculaire cérébral et d’appeler à l’aide. Nous nous occuperons de faire la différence. »

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La maladie de Raynaud: le froid qui fait mal aux doigts


Il y a plus de femmes que d’hommes et ceux qui en souffrent sont surtout dans les pays froids. La maladie de Renaud donne froid aux doigts
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La maladie de Raynaud: le froid qui fait mal aux doigts

 

Il faisait froid lors d'un des derniers discours d'Obama pour sa première campagne, en Pennsylvanie en octobre 2008. REUTERS/Jason Reed

Il faisait froid lors d’un des derniers discours d’Obama pour sa première campagne, en Pennsylvanie en octobre 2008. REUTERS/Jason Reed

Elle se caractérise par une insensibilité et une douleur pénible aux doigts provoquées par le froid. Reconnaître ses symptômes est facile: les doigts deviennent blanc ivoire. Mais que faire en pratique?

C’est la maladie du froid par excellence –du froid et parfois du stress. Depuis très précisément 150 ans, elle est connue des médecins sous le nom de «maladie de Raynaud».

Son diagnostic peut aisément être fait par ceux qui en souffrent soit, dit-on, entre 5% et 10% de la population. C’est, par temps de froid, une brutale et très désagréable sensation: les doigts deviennent à la fois douloureux et insensibles. Ils sont bientôt pâles, ivoires, comme morts. Les deux mains sont touchées de manière symétrique.

C’est en quelque sorte avoir l’onglée plus facilement que ses semblables. La vie ne reviendra dans ces extrémités qu’au bout de quelques minutes (quelques dizaines parfois) sous l’effet de la chaleur. Dans certains cas, les orteils, mais aussi le nez, les lèvres et les lobes d’oreilles peuvent être concernés. On ne confondra pas avec les engelures et leurs papules violacées et douloureuses. Les symptômes sont suffisamment caractéristiques pour que l’on ne se trompe pas sur la nature du mal.

C’est aussi une expérience particulièrement désagréable pour tous ceux qui en sont atteints –toutes celles plus précisément, puisque la maladie de Raynaud touche le plus souvent les femmes (70% à 90%).

Par définition, c’est aussi une maladie que l’on rencontre nettement plus fréquemment dans les pays froids.

Une asphyxie

En cas de doute, on peut faire le test de la «provocation au froid» en plaçant les deux mains en immersion dans de l’eau glacée et en observant ensuite les changements de couleur.

Une étude menée il y a quelques années en France auprès d’une petite centaine de patients volontaires a montré que le nombre de crises augmente de manière significative lors des refroidissements de la température en cours de journée ou encore en période automnale, lorsque le taux d’humidité relative augmente dans l’atmosphère. L’hiver, le nombre des crises double lorsque la température diminue significativement au cours de la journée (avoisinant les 0°C) avec une humidité relative supérieure à 80%.

Pourquoi un tel phénomène? La brutale sensation de froid et la douleur sont dues à une réduction puis à l’arrêt de la circulation sanguine dans les extrémités des doigts. Et cet arrêt est lui-même la conséquence de la constriction des artérioles qui assurent l’arrivée sanguine dans ces territoires excessivement sensibles. C’est ni plus ni moins une asphyxie. La douleur disparaîtra lorsque ces artérioles auront retrouvé leur lumière et que le sang circulera à nouveau, apportant chaleur et vie.

Quand l’accident asphyxiant survient au niveau du cœur, l’arrêt de la circulation sanguine artérielle provoque un infarctus. Plus haut, au niveau du système nerveux central, c’est l’accident vasculaire cérébral. Ici, plus en périphérie, au niveau des doigts c’est une sensation de picotement, d’engourdissement et de brûlure.

Les conséquences ne sont en rien comparables à celles sur le cœur et le cerveau. Après réchauffement, les doigts passent de la couleur ivoire au bleu-violet, les douleurs s’accentuent souvent quelques instants avant de finalement disparaître.

Les médecins classent la maladie de Raynaud dans les «acrosyndromes».

Ils la définissent aussi comme un «trouble vasomoteur paroxystique» correspondant à «un arrêt brutal et transitoire de la circulation artérielle dans les extrémités digitales, se traduisant par des modifications de coloration des doigts associées des sensations de doigts morts». Le phénomène peut être décomposé en phase «syncopale» (doigts blancs), phase «cyanique» (doigts bleus) puis de «dilatation réactionnelle» (doigts rouges).

Attention à ne pas confondre la maladie de Raynaud et le «syndrome» du même nom. Dans le premier cas, le phénomène est dit «primaire» (sans cause particulière). Dans l’autre, il est la conséquence de différentes affections (dont des maladies professionnelles «maladie des engins vibrants», usage intensif des claviers, expositions répétées au froid, intoxication par le chlorure de polyvinyle).

Comment se réchauffer?

Que faire en pratique? Se protéger du froid bien sûr. Porter des gants protecteurs conservant la chaleur. Une solution simple pour réchauffer les doigts privés de sang consiste à les plonger dans de l’eau tiède jusqu’à obtenir leur revascularisation.

En cas de gêne importante (ou faute de disposer d’eau tiède), on peut accélérer le retour du sang via la force centrifuge en décrivant avec le bras de grands arcs de cercles. Des petits dispositifs adaptés («chaufferettes») peuvent aussi se révéler très utiles. 

Dans tous les cas, la consommation de tabac est formellement contre-indiquée. Fumer déclenche le resserrement des vaisseaux sanguins, ce qui augmente le risque de crise, ainsi que l’intensité et la durée des symptômes. De plus, le tabagisme augmente le risque d’obstruction des petits vaisseaux.

Différentes spécialités pharmaceutiques peuvent également être utilisées (vasodilatateurs, inhibiteurs calciques, dérivés nitrés) ainsi que certaines médications moins officielles (extraits de ginko biloba, acupuncture, etc.). En toute hypothèse, le syndrome de Raynaud justifie une prise en charge nettement plus médicalisée pour diagnostiquer et traiter la maladie sous-jacente.

Jean-Yves Nau

http://www.slate.fr/

Dix symptômes à prendre au sérieux


Il arrive des jours que nous sentons pas très bien, mais certains symptômes ne devraient pas être pris à la légère, et consulté rapidement
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Dix symptômes à prendre au sérieux

 

Crampes, douleurs, saignements… On sait rarement quels symptômes prendre au sérieux. Voici les signes auxquels il ne faut pas faire la sourde oreille – même si certains peuvent sembler bénins…

Perte de poids inexpliquée

Perdre l’appétit et du poids de manière inexpliquée doit vous alerter…

Quelques kilos de moins peuvent être le symptôme d’une maladie sérieuse ! Des problèmes de thyroïde, un diabète, une affection digestive grave ou neurologique (Parkinson, par exemple), des soucis hépatiques, cardiaques, rénaux ou respiratoires sont parfois en cause.

En clair, si vous ne faites pas de régime, n’avez rien changé à vos habitudes alimentaires et mincissez au point de devoir réajuster votre ceinture de quelques crans… n’hésitez pas, consultez !

Troubles de la vue, faiblesse, engourdissement…

Faiblesse soudaine d’un membre, baisse brutale de la vue ou vision double, trouble de la sensibilité, de l’équilibre, engourdissement, difficultés d’élocution, paralysie et confusion mentale : tous peuvent être les premiers symptômes neurologiques d’un accident vasculaire-cérébral (AVC).

Si plusieurs de ces signes surviennent en même temps, et même s’ils disparaissent rapidement, faites immédiatement le numéro d’urgence !

Seule une prise en charge rapide par une équipe de professionnels de santé peut permettre de limiter les dommages au niveau du cerveau… et de vous sauver la vie.

Douleur dans la poitrine

Des douleurs durables dans la poitrine s’apparentant à un poids sur les côtes et pouvant durer de quelques minutes à quelques heures, sont très souvent le signe avant-coureurs d’un infarctus du myocarde.

Ces douleurs peuvent se propager dans le bras gauche, la mâchoire, s’accompagner de difficultés à respirer, de nausées et de vomissements ou de fièvre. Comme en cas d’AVC, il faut composer le numéro d’urgence sur-le-champ

Migraine violente

Une migraine soudaine et insupportable, plus douloureuse que toutes celles que vous avez connues auparavant, doit vous amener à consulter. Mieux vaut se rendre aux urgences.

Les cas d’anévrismes sont rares, mais ils ne sont pas nuls ! Liés à la faiblesse d’une paroi vasculaire se dilatant, ils peuvent comprimer les nerfs environnants et provoquer des douleurs, voire des troubles visuels, mais surtout, en cas de rupture, ils entraînent une hémorragie cérébrale qui peut être fatale… D’où l’intérêt de voir un médecin dès leurs premiers signes.

Douleur dans une jambe

Une crampe persistante ou une douleur diffuse au niveau d’un mollet, accompagnée de lourdeur, d’œdème et d’une coloration rougeâtre, doivent systématiquement alerter.

Ces symptômes peuvent être le signe d’un début de phlébite. Autrement dit : un caillot se trouve peut-être en train de migrer vers le cœur et les poumons, ce qui peut entraîner une embolie pulmonaire…

 

Constipation soudaine

Une constipation soudaine ne correspondant pas au rythme intestinal habituel (attention : tout le monde ne va pas à la selle chaque jour), peut être le symptôme d’une occlusion intestinale – motif d’hospitalisation très fréquent en France.

Avec l’arrêt du transit, les matières s’accumulent, distendent l’intestin et provoquent des douleurs abdominales violentes et des vomissements.

C’est une urgence… d’autant qu’une péritonite, voire une tumeur du côlon, peuvent être en cause.

Saignements vaginaux

Après la ménopause, des saignements vaginaux doivent être pris très au sérieux. Ils peuvent être le signe éventuel d’un cancer. On a trop souvent tendance à croire que de petites coupures sont en cause ou que quelque chose ne va pas au niveau des urines… mais il faut absolument consulter !

Des saignements post-ménopausiques signalent généralement la présence d’une tumeur au niveau de l’utérus… Tumeur qui, aujourd’hui, se soigne plutôt bien si elle est prise en charge dès son apparition.

Selles de couleur inhabituelle

Des selles de couleur noire doivent donner lieu à une consultation. Elles peuvent indiquer la présence d’une hémorragie liée à un ulcère de l’estomac ou dans le tube digestif. Il faut voir au plus vite un médecin car il est indispensable de stopper les saignements et de vérifier qu’un cancer n’est pas en cause.

Attention : la couleur des selles change en fonction de l’alimentation. Elles peuvent être très foncées, mais ce qui doit inquiéter, c’est une couleur goudron !

Maux de tête et raideur de la nuque

Des maux de tête accompagnés d’une raideur de la nuque et de fièvre (plus de 38,5 °C) sont les symptômes d’une affection redoutable, fulgurante et parfois mortelle… la méningite.

Il est souvent difficile de bien évaluer ses signes. Sachez cependant que ne pas pouvoir poser son menton sur sa poitrine est un symptôme à prendre au sérieux ! Dans ce cas, un traitement antibiotique en urgence s’impose afin d’éradiquer la bactérie responsable, avant qu’elle ne se propage à l’ensemble des méninges et du cerveau.

Gonflement du visage

Le gonflement rapide des tissus du visage, du pourtour de la bouche, de la langue ou de la gorge durant quelques minutes, voire durant plusieurs heures, doit donner lieu à une consultation médicale immédiate.

Il peut s’agir d’un oedème de Quincke, occasionné par une allergie à certains médicaments par exemple, et pouvant conduire à l’étouffement.

Il faut réagir au plus vite !

http://www.medisite.fr/

Ces symptômes peu connus qui montrent votre manque de vitamines


Il est clair qu’une alimentation variée et équilibrée apporte beaucoup de positif sur notre santé physique et mentale. Si certains symptômes apparaissent, il serait peut-être bon de vérifier si nous prenons le nécessaire pour le bon fonctionnement de notre corps
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Ces symptômes peu connus qui montrent votre manque de vitamines

Les vitamines sont nécessaires au métabolisme d’un organisme vivant. Lorsqu’elles sont insuffisantes, notre corps envoie des signaux.

Les vitamines sont des substances indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Elles interviennent en faible concentration dans de nombreux processus vitaux. Dans la plupart des cas, notre organisme est incapable de les synthétiser. Elles sont apportées par l’alimentation. Néanmoins, nous mangeons de plus en plus d’aliments transformés qui nous apportent de moins en moins de vitamines. Manquer de vitamines ne rend pas malade mais génère des dysfonctionnements corporels.  Quand nous manquons de vitamines, notre corps nous envoie des signaux d’alerte. Voici cinq signes peu connus qui témoignent de carences : 

Les fissures aux commissures des lèvres

La douleur aux coins des lèvres peut être gênante et douloureuse dans le quotidien : manger, boire. Elle traduit une carence en fer, zinc et vitamines B3, B2 et B12.

Le remède ? Manger de la volaille, du saumon, du thon, des œufs, des huîtres, des palourdes, des tomates séchées au soleil, des cacahuètes et des légumineuses comme les lentilles. Combiner ces aliments avec des légumes comme le brocoli, les poivrons rouges, le chou-fleur.  

Les irruptions cutanées, une peau sèche et écaillée sur votre visage (et parfois ailleurs), la perte de cheveux

Elle traduit une carence en vitamine B8 qui se retrouve surtout lorsque l’alimentation est riche en avidine (protéine présente dans le blanc d’œuf cru, car cette protéine consomme beaucoup de vitamine B8), selon le site guide-vitamines.org.

Le remède ? Faire bien cuire les œufs (la cuisson absorbe l’avidine), manger du saumon, des avocats, des champignons, du chou-fleur, du soja, des noix, des framboises et des bananes.

Les boutons sur les joues, les bras, les cuisses et les fesses

Ces symptômes traduisent une carence en acides gras essentiels et vitamines A et D.

Le remède ? Le lait enrichi et les produits laitiers, le foie, les œufs et les poissons gras, conseille le site repli santé. L’exposition au soleil aussi. Pour la vitamine A, salade et légumes colorés comme les carottes, les patates douces et poivrons rouges. Pour la vitamine D, des compléments alimentaires.

Le picotement, fourmillement et un engourdissement des mains, des pieds, ou ailleurs.

Ces effets mettent en évidence un besoin de vitamines B9, B6, et B12. C’est un problème directement lié aux nerfs périphériques. Ces symptômes peuvent être associés à l’anxiété, la dépression, l’anémie, la fatigue et les déséquilibres hormonaux, est-il écrit dans Business Insider.

Le remède ? Épinards, asperges, betteraves, haricots, œufs, poulpe, moules, palourdes, huîtres, et volaille.  

Grosses crampes musculaires sous forme d’élancements dans les pieds, les mollets, les arches des pieds, et le dos des jambes.

Pour éviter les crampes musculaires, il est important de s’assurer que nous avons assez de tous les sels minéraux. Le magnésium est le plus souvent pointé comme responsable des crampes, notamment parce que la carence en magnésium est relativement fréquente. Mais le potassium ou le calcium peuvent également être en cause. Attention, ce qui cause les crampes n’est pas seulement un manque de sels minéraux, mais un déséquilibre.

Le remède ? Une alimentation variée et surtout riche en fruits et légumes est la solution la plus facile : bananes, amandes, noisettes, courges, cerises, pommes, pamplemousses, brocoli, légumes verts à feuilles sombres comme le chou frisé, les épinards… Un complément alimentaire est peut-être aussi intéressant.

Marie Théobald

http://www.atlantico.fr/

 


CINQ BONNES RAISONS DE COURIR AUX URGENCES


Après un malaise, un accident, ou autre, on se demande si cela vaut la peine d’aller a l’urgence sachant qu’avec le système de santé que nous avons … l’attente pourrait être longue sauf qu’il est mieux de prévenir dans certains cas
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CINQ BONNES RAISONS DE COURIR AUX URGENCES

 

par Diane Peters pour readersdigest.ca

La plupart d’entre nous préfèrent éviter de se rendre aux urgences, mais certaines circonstances justifient entièrement le déplacement. Voilà, selon les experts des urgences canadiens, les cinq scénarios dans lesquels les urgences sont votre meilleur recours.

Alors, on y va ou pas? La question de se rendre aux urgences surgit dès qu’une maladie ou une blessure survient. Quand un enfant ou un aîné est concerné, on penchera volontiers pour un excès de prudence. Chez une personne âgée, une petite infection, un rhume ou une chute peuvent rapidement déboucher sur de sérieuses complications. Chez les enfants, méfiez-vous d’une température qui dépasse 38,5 °C (101 °F), d’un état léthargique, de comportements anormaux et d’une apparence générale de maladie. Voilà cinq scénarios dans lesquels on n’hésitera pas

1. Vous ressentez soudain une vive douleur

Un élancement de douleur dans votre poitrine, votre ventre, votre tête ou ailleurs signale généralement quelque chose de sérieux. Si c’est dans la poitrine, vous êtes peut-être victime d’une crise cardiaque, surtout si vous avez plus de 35 ans. Les spécialistes des urgences voudront ausculter immédiatement ceux qui viennent à eux avec une douleur à la poitrine – notamment si la douleur persiste depuis plus de cinq minutes et si elle est associée à un essoufflement, à de la sueur, à des nausées ou à des vomissements – parce qu’ils pourraient sans doute limiter les dégâts en intervenant rapidement. Les victimes de crise cardiaque sont souvent réticentes à demander des soins, révèle Janet MacDonald, infirmière en chef au service des urgences de l’Hôpital général de Montréal. Elle se souvient d’un patient qui avait ressenti une douleur dans la poitrine en pelletant de la neige, mais qui n’avait pas consulté de médecin pendant plusieurs jours avant d’apprendre qu’il avait subi une légère attaque.

Le docteur Worthington recommande que même les jeunes gens consultent d’urgence en cas de douleur à la poitrine, car ils pourraient souffrir d’un poumon collabé ou d’un caillot dans les poumons. Des maux de tête survenant subitement – les pires que vous n’ayez jamais eus – peuvent être un symptôme d’un anévrisme cérébral. De puissants maux de ventre peuvent aussi révéler une crise d’appendicite ou un anévrisme abdominal. Les femmes ressentant de fortes douleurs stomacales peuvent être en train de faire une fausse couche ou une grossesse ectopique. Elles ne savaient peut-être même pas qu’elles étaient enceintes, mais ces cas, qui se présentent souvent accompagnés de saignements vaginaux, demandent des soins d’urgence.

2.Vous vous sentez engourdi, faible ou limité dans vos mouvements

Ces symptômes, notamment lorsqu’ils n’apparaissent que d’un côté de votre corps, accompagnés d’épisodes de cécité temporaire et de forts maux de tête, sont souvent des signes d’attaque.

« Beaucoup de gens restent à la maison, parce que ces symptômes vont et viennent », dit Janet MacDonald.

Les signes d’une attaque peuvent se manifester pendant une heure, puis disparaître un jour entier avant de réapparaître, car les attaques arrivent lorsque le cerveau ne reçoit plus assez d’oxygène à cause d’un vaisseau sanguin bouché, mais ce dernier n’est souvent pas entièrement bouché.

La plupart des attaques surviennent après 65 ans, alors si cela arrive à un membre de votre famille, emmenez-le vite aux urgences, tout en lui demandant autant d’informations que possible sur sa santé avant d’arriver à l’hôpital. Si possible, envoyez quelqu’un ramasser tous les médicaments d’ordonnance chez le malade, car les interactions médicamenteuses causent de graves problèmes aux aînés recevant des soins d’urgence.

3. Vous venez d’avoir un accident

Si vous avez été gravement blessé dans un accident, une ambulance vous emmènera invariablement aux urgences. En revanche, lorsque vous vous blessez sur une pente, au bord d’un lac ou dans des escaliers, le docteur Worthington vous invite à aller consulter si vous vous êtes violemment cogné la tête et avez perdu connaissance, si vous avez une longue ou profonde entaille, si vous saignez abondamment, si vous enflez rapidement ou si vous êtes incapable de vous appuyez sur un de vos membres. Ces blessures nécessitent une attention immédiate pour prévenir les risques d’infection ou d’autres complications.

Même si vous êtes capable de repartir par vos propres moyens après un accident, restez conscient que vous êtes sans doute en état de choc, que de ce fait vous ressentez moins fortement les douleurs et que des symptômes pourraient encore apparaître plus tard. Selon madame MacDonald, cela arrive souvent après un accident de voiture : les gens ressentent un essoufflement, pense qu’ils éprouvent simplement un choc nerveux, et quelques jours plus tard, ils se retrouvent aux urgences avec une côte cassée, voire un poumon perforé.

4. Votre maladie chronique empire

Si vous souffrez d’asthme, de diabète, d’épilepsie, d’insuffisance rénale, d’emphysème ou de fortes allergies, et que votre état s’aggrave, passez aux urgences.

Selon le docteur Alan Drummond, directeur médical du service des urgences au Perth and Smiths Falls District Hospital, dans l’Est de l’Ontario, les gens devraient toujours savoir la différence entre une petite aggravation qui demanderait un rendez-vous chez leur médecin, et un changement qui requiert des soins d’urgence. Une crise d’asthme, un taux de glucose sanguin très bas, une forte crise ou une piqûre de guêpe exigent une intervention rapide dans un service des urgences.

5. S’il y a maladie mentale

Si une personne a des antécédents de maladie mentale telle que la schizophrénie, la dépression ou un trouble bipolaire et qu’elle adopte un comportement un peu effrayant, ou dangereux pour elle ou pour les autres, les urgences pourront l’aider.

Par ailleurs, si quelqu’un qui consomme de la drogue change radicalement de comportement ou a un malaise, il pourrait avoir besoin de soins d’urgence.

Le personnel des urgences est entraîné à prendre en charge les crises, à apaiser les gens et à prévenir les suicides. Dans de tels cas, n’hésitez pas à faire appel à la police pour garantir un transport en toute sûreté vers l’hôpital.

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Quels sont les signes d’une phlébite ?


Les phlébites ne doivent pas être pris à la légère. Il y a plusieurs facteurs qui peuvent provoquer cette inflammation des veines mais certains peuvent être éviter … et les exercices comme la marche est un excellent atout pour activé le flot sanguin dans les jambes
Nuage

Quels sont les signes d’une phlébite ?

On parle de phlébite lorsqu’un caillot sanguin bloque plus ou moins complètement la circulation sanguine dans une veine. Si la veine en question n’est pas une veine superficielle, mais une veine profonde ou de gros calibre, il s’agit d’une urgence. Quels sont les signes ou symptômes à repérer?

La phlébite ou thrombose veineuse: superficielle ou profonde?


La phlébite superficielle (blocage de la circulation dans une petite veine, entraînant douleur et inconfort) n’est pas grave en soi, mais constitue un facteur de risque de phlébite profonde. Or cette dernière est une urgence car le caillot qui entrave la circulation dans une veine profonde ou de gros calibre peut se détacher, migrer dans la circulation et provoquer une embolie pulmonaire (le caillot va se loger dans une artère pulmonaire), accident grave et potentiellement mortel.

Quels sont les symptômes d’une phlébite?

Les signes d’une phlébite superficielle:

Une veine rouge, chaude, dure, en relief et donc bien visible en surface. Elle est aussi douloureuse ou sensible au toucher. La zone atteinte est parfois enflée, traduisant un œdème local.

Les signes d’une phlébite profonde:

Dans la moitié des cas, la phlébite profonde ne se manifeste par aucun signe. Sinon, il s’agit d’une douleur au niveau du mollet ou de la cuisse, ou bien de crampes, d’engourdissements, d’une sensation de chaleur ou d’un gonflement du mollet, de la cheville, voire de la jambe entière. La peau est brillante, dure et de couleur blanche ou légèrement bleutée. L’inflammation locale de la veine peut entraîner une fièvre légère (38°C). On repère également une phlébite grâce au signe de Homans: la douleur s’accentue lorsqu’on lève la pointe de pied vers le haut.

Ces symptômes doivent amener à consulter son médecin en extrême urgence car ils annoncent un risque élevé d’embolie pulmonaire, accident grave qui lui, se manifeste par une douleur dans la poitrine, un essoufflement, voire des crachats de sang et une perte de connaissance.

Quelles sont les personnes à risque de phlébite?

Les sujets à risques doivent être particulièrement attentifs aux signes de phlébite.

Voici les principaux facteurs de risques:

•L’insuffisance veineuse.
•Les varices.
•Une intervention chirurgicale nécessitant un alitement prolongé.
•Les positions immobiles de longue durée: voyages
(et notamment en avion), travail statique, etc.
•Les antécédents personnels de phlébite
(les récidives sont fréquentes), d’accident cardiaque, d’insuffisance cardiaque ou respiratoire.
•Les antécédents familiaux de phlébite ou d’embolie pulmonaire.
•Un trouble de la coagulation du sang.
•Les traitements hormonaux car ils augmentent la coagulation sanguine : contraception, traitement hormonal substitutif de la ménopause.
•Un cancer.
•La pose d’un cathéter dans une veine.
•La grossesse.
•L’obésité.
•L’âge.
•Le tabagisme.
•Etc.

Certains de ces facteurs de risques étant modifiables, on peut donc diminuer son risque de phlébite…

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