Cet ouvrier indien a mira­cu­leu­se­ment survécu après s’être empalé le crâne sur une tige de fer


Quand ce n’est pas ton heure, alors même des accidents aussi atroce, ne vient pas à bout faire mourir une personne. Cet ouvrier a une chance inouï de ne pas avoir de traumatismes crâniens.
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Cet ouvrier indien a mira­cu­leu­se­ment survécu après s’être empalé le crâne sur une tige de fer

 

par  Laura Boudoux

En Inde, un ouvrier de 21 ans a mira­cu­leu­se­ment survécu à un impres­sion­nant acci­dent du travail. Le 10 avril 2019, alors qu’il se trou­vait sur un site de construc­tion en chan­tier, Sanjay Bahe est tombé et son crâne a été trans­percé par une longue tige de fer, rapporte CNN. Tran­sporté aux urgences, il a rapi­de­ment été trans­féré vers un service spécia­lisé, à Nagpur, dans l’État de Maha­ra­sh­tra.

« Il était en état de choc lorsqu’il a été admis aux urgences. L’opé­ra­tion a duré 90 minutes », témoigne le Dr Pramod Giri, le neuro­chi­rur­gien qui a sauvé Sanjay Bahe.

La tige était entrée dans la région tempo­rale droite du cerveau, et elle est ressor­tie par le lobe fron­tal gauche, manquant ainsi de quelques milli­mètres un canal sanguin impor­tant. Six docteurs ont parti­cipé à la procé­dure, et Sanjay Bahe s’est fina­le­ment réveillé quelques heures après la fin de l’opé­ra­tion, sans aucun trau­ma­tisme crânien.

L’ou­vrier devrait sortir de l’hô­pi­tal à la fin de la semaine, pour profi­ter de sa survie « mira­cu­leuse ». 

« Le patient se porte bien et nous prenons soin de préve­nir toute ménin­gite », précise Pramod Giri.

Il s’agit en effet de l’une des compli­ca­tions les plus fréquentes « qui puissent arri­ver dans ce genre de cas ».

Source : CNN

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Le Saviez-Vous ► Dracula a-t-il vraiment existé ?


C’est un Irlandais qui a écrit un livre à succès Dracula, puis s’est suivi de film à diverses époques. Il s’est inspiré comme beaucoup le savent de Vlad l’Empaleur, un être cruel qui a vécu entre 1431-1476. Le rapport avec Dracula qui boit le sang et ne peut être tué que par des objets précis ? On sait que Vlad était sanguinaire, il empalait tout ceux qu’il voulait, mais c’est surtout à sa mort que le personnage Dracula prend tout son sens alors que la mémoire de Vlad L’Empaleur a survécu grâce aux mythes
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Dracula a-t-il vraiment existé ?

 

Crédits : U.S Air Force / Gustavo Castillo

Teint pâle, dents pointues… Nul besoin de faire une description plus détaillée pour que chacun sache de qui nous allons parler ! Effectivement, le célèbre vampire est sans aucun doute un des monstres les plus représentés dans la culture populaire. Mais savez-vous réellement d’où vient Dracula ?

En 1897, le livre éponyme de l’irlandais Bram Stoker rencontre un succès fulgurant et devient une des œuvres phares de la littérature gothique, très à la mode à l’époque. Dans ce roman épistolaire, les lecteurs découvrent un monstre capable de prendre plusieurs formes, avide de sang et sur le point de créer une armée de vampires à son service. Le mythe de Dracula est né. Les nombreux thèmes abordés dans l’œuvre tels que la mort, la folie ou encore l’érotisme laissent place à une multitude d’interprétations que les cinéastes s’empressent d’adapter. Du Nosferatu de Murnau à la saga Twilight, les descendants de Dracula ont beaucoup évolué.

Mais vous pouvez dès maintenant ranger votre pieu, vos gousses d’ail et votre eau bénite, Dracula n’a jamais existé en tant que tel ! Pour créer son personnage, Bram Stoker s’est en fait inspiré de Vlad Tepes, plus connu sous le nom de Vlad L’Empaleur. Si en termes d’horreur son nom n’a rien à envier au fameux comte, il se trouve que ce prince savait lui aussi se montrer diabolique. en 1431, probablement en Transylvanie, il devient prince de Valachie (une province au sud de l’actuelle Roumanie) en 1436 et s’affirme au fil des ans comme une figure historique cruciale de la défense contre l’invasion ottomane dans la région. Rien qui puisse inspirer une histoire de vampires, me direz-vous.

Portrait anonyme de Vlad L’Empaleur, la figure qui a inspiré Dracula. Crédits : Wikimedia Commons / Public Domain

Mais c’est sans compter sur la méthode qu’il utilisait le plus pour punir ses ennemis, et de laquelle il tient son surnom. Vlad III a ainsi ordonné l’empalement de marchands, d’opposants militaires ou de nobles de la région. Il a notamment fait empaler autour de son château des officiers ottomans, lieu qui prendra le nom de « Forêt des pals » et qui va faire connaître aux alentours la cruauté de ce prince. Face à des émissaires ottomans qui refusent d’enlever leur turban devant lui, il les leur fait clouer sur la tête. Et la liste des tortures qui lui sont attribuées est longue, ce qui lui vaut le surnom de Dracula, qui signifie « diable » en langue valaque.

C’est à sa mort que la confusion entre Vlad L’Empaleur et Dracula prend réellement son sens. Tué en 1476 dans une embuscade, l’endroit où il est enterré reste un mystère, ce qui a fait dire à nombre de gens que Vlad Tepes n’était pas mort. Selon les histoires du folklore local, il continuerait à errer dans les montagnes des Carpates pour se repaître du sang de ses ennemis. Bram Stoker a ensuite repris cette légende à son compte pour créer son propre monstre assoiffé de sang, au point que Dracula est devenu plus célèbre que Vlad L’Empaleur, confondant ainsi mythe et réalité.

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Ces crânes ont été empalés sur des piques en Suède il y a 8000 ans


Quelle tristesse de mourir ainsi. Les archéologues on trouver des têtes empaler à des pics. Des adultes hommes et femmes ainsi qu’un nouveau-né. Les femmes ont reçues plusieurs coups à leurs têtes alors que les hommes n’ont été qu’une seule fois et ils ne sont pas mort de ce traitement, mais ont quand même été tué et exposé sur des pics
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Ces crânes ont été empalés sur des piques en Suède il y a 8000 ans

 

Crédits : Fredrik Hallgren (à gauche) Sara Gummeson (à droite)

par  Mehdi Karam

 

Du jamais vu en Suède. Entre 2009 et 2011, des résidus de dix crânes humains vieux de 8 000 ans (Mésolithique) ont été déterrés au centre du pays, sous une tourbière située à proximité du fleuve Motala Ström.

Leur analyse, publiée le 9 février dans la revue Antiquity par une équipe d’archéologues de l’université de Stockholm, rapporte la présence de signes importants de traumatismes, sans doute causés par un objet contondant, ainsi que des preuves que les crânes ont été empalés sur des pieux. Mais qu’est ce qui a bien pu arriver à ces gens ?

Crédits : Gummeson et al./Antiquity

À ce propos, les chercheurs sont complètement désarçonnés. Si tout laisse à penser qu’il aurait pu s’agir d’un rite cérémonial, reste à en déterminer la nature. Car les tombes où ont été découverts les ossements humains contenaient également des os d’au moins sept espèces d’animaux différentes – dont de sanglier, d’ours et de blaireau. Le fait qu’il n’y ait aucune trace laissée par le feu sur ces restes montre qu’ils n’ont pas été cuisinés. Neuf des dix crânes humains étaient ceux d’adultes, et le dernier celui d’un nouveau-né. Parmi ceux-ci, quatre ont été identifiés comme étant ceux d’hommes et deux auraient appartenu à des femmes.

Cette information a son importance, puisque les analyses montrent que les femmes ont été frappées plusieurs fois à l’arrière de la tête tandis que les hommes n’ont reçu qu’un seul coup, sur le sommet du crâne. Pourtant, ce ne serait pas la cause de la mort, assure à National Geographic Fredrik Hallgren, membre de l’équipe d’archéologues, qui déclare que

« ces gens n’ont pas été tués puis exposés sur des piques. Plus de la moitié d’entre eux ont d’abord guéri de ce traumatisme infligé à leur tête ».

Cette caractéristique laisse ainsi penser que des querelles pourraient avoir éclaté au sein d’un groupe.

Cela n’explique toutefois pas pourquoi les crânes ont été enterrés à part, au fond d’un lac, avec une pique enfoncée dedans. Espérons que les futures découvertes sur le site apporteront une certaine clarté à cette étrange histoire.

Sources : Antiquity / National Geographic

 

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Le Saviez-vous ►Petite leçon d’empalement par le prince Vlad Dracul de Valachie.


Un billet assez sadique si on considéré Vlad Dracula comme un des pires hommes que la Terre a porter. Ayant le pouvoir d’un pays, il a satisfait sont côté meurtrier et sanguinaire et les méthodes employées étaient vraiment d’une extrême violence
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Petite leçon d’empalement par le prince Vlad Dracul de Valachie.

 

Vlad déjeunant devant des empalés / Portrait de Vlad.77

Vlad déjeunant devant des empalés / Portrait de Vlad. © DR

FRÉDÉRIC LEWINO ET GWENDOLINE DOS SANTOS

Vlad III Dracul, prince de Valachie, n’est pas du style à pardonner à ses ennemis. Lorsqu’il remonte sur le trône princier, dix ans après l’assassinat de son père et de son frère, il n’a qu’une idée en tête : se venger. Tous les boyards (aristocrates orthodoxes) ayant trempé dans le complot, il les fera embrocher sur un pal. Il a pris goût à ce divertissement en Turquie, où il a vécu plusieurs années en exil.

Vlad passe à l’action le dimanche de Pâques 1457, profitant de ce jour où toute la noblesse du pays se rassemble au château princier de Târgoviște pour fêter la résurrection du Christ. La cérémonie religieuse se déroule sans accroc. Les boyards assistent à l’office, assis sur leurs grosses fesses encore intactes. Ils n’imaginent pas un seul instant que la crucifixion vécue par le Christ relève d’un gentil exercice de relaxation en comparaison de ce qu’ils vont bientôt endurer.

Après la messe, les deux cents convives se rendent dans la salle du banquet pour manger, boire et danser dans une joyeuse ambiance. Seul Vlad reste silencieux. Les boyards auraient dû s’en inquiéter… En effet, après un signe discret du prince, la salle est envahie par plusieurs dizaines de gardes qui entourent les invités. Stupeur et effroi de l’assistance. Leur hôte se fait un plaisir de leur annoncer le clou de la fête : les chefs de famille connaîtront l’honneur du pal afin de payer leur trahison commise dix ans plus tôt. « Ça me troue le cul » murmure avec effroi Stéphane Bern …

Deux méthodes

À l’intention des personnes intéressées par l’artisanat de l’époque, et ayant le coeur bien accroché, voici une description du supplice du pal. En fait, les bourreaux ont le choix entre deux méthodes, chacune ayant ses avantages et ses inconvénients. La plus rudimentaire, préférée en leur temps par les Assyriens, consiste à planter le pal sur le sol, puis à déposer sur la pointe la victime, côté sternum. Il suffit alors d’exercer une petite pression sur le corps pour entamer le processus. Sous son propre poids, le supplicié s’empale de plus en plus. Pour faire durer le spectacle plusieurs jours, le pal a une forme conique, ce qui ralentit la descente de la victime. De son côté, le bourreau fait attention à ce qu’aucun organe vital ne soit endommagé au passage.

La méthode turque, choisie par Vlad, est plus raffinée. La personne est allongée sur le sol pour que le bourreau puisse lui enfoncer délicatement le pieu dans l’anus à l’aide d’un maillet en bois. Pas question pour le bourreau de taper comme un sourd, sinon l’homme en mourrait immédiatement et le plaisir en serait gâché. Le pieu doit progresser centimètre par centimètre. Tout l’art de l’exécuteur consiste à faire ressortir le pal du côté du thorax, de l’épaule ou encore dans la bouche sans tuer le patient. Cela demande un doigté exceptionnel et beaucoup d’entraînement. Un petit truc si vous désirez tenter l’expérience à l’occasion : prenez soin de ne pas tailler la pointe du pal, qui doit rester émoussée pour écarter délicatement les chairs sans les trouer. C’est seulement lorsque le corps est traversé de part en part que le pal est planté verticalement dans le sol. Les Turcs appréciaient cette mise à mort pour deux raisons : elle était économique, car elle ne réclamait qu’un peu de bois, et le spectacle de centaines, voire de milliers, d’empalés avait tendance à refroidir l’ardeur des adversaires.

Légendes

Lorsque tous les boyards de Valachie sont empalés devant les murailles de la ville, Vlad s’intéresse à leurs familles. Il ordonne à ses soldats de les entraîner dans une mortelle randonnée d’une centaine de kilomètres. Le chemin suivi est tellement escarpé que même des chamois s’y encorderaient. Par dizaines, les femmes, enfants et vieillards meurent d’épuisement. Enfin, les survivants arrivent dans une zone isolée où ils devront, durant des années, bâtir une forteresse.

Vlad III l’empaleur avait hérité de son père le qualificatif de Dracul, qui signifie dragon. En raison de son appartenance à l’ordre du Dragon (en latin : Societas Draconistrarum), réunissant les opposants à l’Empire ottoman. En 1896, l’écrivain irlandais Bram Stoker emprunte ce nom pour en affubler son vampire de héros, le comte Dracula. Mais la comparaison entre les deux hommes s’arrête là : le comte habite la Transylvanie (et pas la Valachie), il se régale de sang frais (pas le prince Dracul). À vrai dire, entre Dracul l’empaleur et Dracula le vampire, on se demande bien lequel des deux est le plus fréquentable…

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