Non, l’eau n’est pas la boisson la plus hydratante


Il faut boire de l’eau tout le monde est d’accord, mais côté hydratation, il semble qu’il serait en 2e position. Car il n’y a pas de petites quantités de protéines, gras et de sucre (naturel), ce n’est ni l’alcool, café, thé, tisane, boisson gazeuse … il reste donc ???
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Non, l’eau n’est pas la boisson la plus hydratante

Si vous avez le choix entre un soda et de l'eau, choisissez toujours de l'eau pour vous hydrater. | Andrej Lišakov via Unsplash

Si vous avez le choix entre un soda et de l’eau, choisissez toujours de l’eau pour vous hydrater. | Andrej Lišakov via Unsplash

Repéré par Mathilda Hautbois

Repéré sur CNN

Et vous ne vous doutez certainement pas de celle qui l’est.

L’eau n’est pas la boisson qui hydrate le plus, selon une étude de l’université St Andrews en Écosse qui a comparé les propriétés d’hydratation de plusieurs boissons différentes. Les résultats ont révélé que même si l’effet de l’eau est plus rapide sur le corps, qu’elle soit bue dans sa version plate ou pétillante, les boissons contenant un peu de sucre, de gras ou de protéines hydratent le corps mieux et plus longtemps.

Ce phénomène serait lié à la façon dont nous réagissons aux liquides, selon Ronald Maughan, professeur à l’école de médecine St Andrews et auteur de l’étude: il ne suffit pas de boire. Encore faut-il que ce qui est bu soit absorbé par le circuit sanguin et gagne le reste du corps.

Le lait, grand vainqueur

La composition des liquides est justement un facteur qui favorise leur action sur l’organisme. Le lait s’est avéré être plus efficace en la matière que l’eau, grâce au lactose, aux protéines et aux matières grasses qu’il contient. Gâce au sodium qu’il contient, le lait agit comme le ferait une éponge en réduisant la production d’urine et en retenant plus longtemps l’eau dans le corps. Les solutés de réhydratation orale favorisent également la rétention d’eau par l’organisme, car ils contiennent des petites quantités de sucre, ainsi que du sodium et du potassium.

D’après Melissa Majumdar, diététicienne, coach personnelle et porte-parole de l’Academy of Nutrition and Dietetics, «cette étude nous confirme beaucoup de choses que nous savions déjà: les électrolytes –tels que le sodium et le potassium– contribuent à une meilleure hydratation, tandis que les calories contenues dans les boissons entraînent une vidange gastrique plus lente, donc une miction plus lente.»

Les jus de fruits et les sodas restent toutefois moins hydratants que l’eau et le lait, et apportent des sucres et des calories supplémentaires, a expliqué Melissa Majumdar. Si vous avez le choix entre un soda et de l’eau, choisissez toujours de l’eau pour vous hydrater.

En ce qui concerne l’alcool, qui fait beaucoup uriner, l’hydratation dépend de la quantité totale de boisson absorbée.

«La bière entraînerait moins de pertes d’eau que le whisky, parce que vous ingérez plus de liquide avec la bière», a expliqué Ronald Maughan avant d’ajouter que «les boissons avec de l’alcool fort déshydratent, pas les boissons alcoolisées diluées.»

Quant au café, cela dépend de la quantité de caféine consommée. Selon l’étude, un petit noir ordinaire serait aussi efficace que l’eau pour vous réhydrater.

http://www.slate.fr/

Le Saviez-vous ► L’eau de coco utilisée pendant la guerre du Pacifique


Dans un des films de Jacki Chan, quand il avait perdu la mémoire et atterri dans une tribu indigène, il a utilisé la noix de coco comme intraveineuse lors d’un accident de course automobile.
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L’eau de coco utilisée pendant la guerre du Pacifique

 

L’eau de coco, presque transparente et légèrement sucrée est complètement dénuée de gras et contient très peu de calories et est très riches en vitamines et surtout minéraux et électrolytes.

La composition en électrolytes est tellement similaire à celle du plasma sanguin que les chirurgiens l’utilisaient en transfusion sanguine, pour soigner les soldats blessés durant la guerre du Pacifique.

http://www.masantenaturelle.com

10 affirmations sur l’entraînement


Il y a des affirmations qui ne sont pas toujours vrais en matière de santé physique mais qui pourtant persiste malgré tout … On a juste a penser que certains pensent que si on sue .. alors on perds des calories .. si ca serait si simple
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10 affirmations sur l’entraînement

 

Selon les nouvelles directives canadiennes en matière d'activité... (Photo: Photos.com)

Selon les nouvelles directives canadiennes en matière d’activité physique, «pour favoriser la santé, les adultes âgés de 18 à 64 ans devraient faire chaque semaine au moins 150 minutes d’activité physique aérobie d’intensité modérée à élevée par séances d’au moins 10 minutes».

PHOTO: PHOTOS.COM

SOPHIE ALLARD
La Presse

Les vacances d’été sont bel et bien terminées. La routine de la rentrée est installée. Ça y est. Il est temps, dites-vous, de vous remettre en forme. Comment s’entraîner, quels en sont les bienfaits santé et les trucs pour ne pas lâcher? Pas si simple! La Presse vous lance sur quelques pistes et vous présente 10 affirmations – vraies ou fausses – sur l’entraînement.

1. On élimine les toxines par la sueur.

FAUX

Lors d’une activité physique intense, on transpire un bon coup, c’est vrai. Durant un effort extrême, des personnes sécrètent jusqu’à 3 litres de sueur par heure! «Ça fait sortir le méchant», entend-on. Cela dit, la sueur n’est rien d’autre que de l’eau et des minéraux (électrolytes). Pas de toxines! Une étude menée en 1962 le confirmait déjà.

«Qu’est-ce qu’une toxine? C’est tout simplement ce qui est toxique pour notre corps, comme les métaux lourds tels que le mercure et le plomb», indique Pierre-Mary Toussaint, kinésiologue et coauteur du livre Mythes et réalités sur l’entraînement physique.

«Le foie et les reins sont les grands filtres de l’organisme, pas la sueur par l’activité physique.»

La fonction de la sueur: la thermorégulation, pas la détoxication.

2. Pour une bonne santé, on doit bouger 150 minutes par semaine.

VRAI et FAUX

Selon les nouvelles directives canadiennes en matière d’activité physique, «pour favoriser la santé, les adultes âgés de 18 à 64 ans devraient faire chaque semaine au moins 150 minutes d’activité physique aérobie d’intensité modérée à élevée par séances d’au moins 10 minutes».

Il faut pour cela transpirer un peu et respirer plus fort (modéré) ou transpirer et être essoufflé (élevé).

«On laisse croire qu’il y a un seuil sous lequel bouger ne vaut rien et au-dessus duquel c’est la félicité. C’est plus complexe», nuance Guy Thibault. Docteur en physiologie de l’exercice, il est chercheur à la Direction du sport et de l’activité physique, du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport.

«Pour une personne sédentaire qui augmente un peu son niveau d’activité physique, sans atteindre les normes, les bienfaits sont déjà énormes.»

À l’inverse, la personne qui bouge déjà ne bouge pas forcément assez, avance-t-il.

«On mise beaucoup sur l’aptitude cardiovasculaire, mais plusieurs déterminants de la condition physique sont tout aussi importants, comme la force et l’endurance musculaire, la flexibilité, la santé osseuse. La natation et le cyclisme, c’est génial pour votre santé cardiovasculaire, mais c’est bon à rien pour votre santé osseuse, parce que le corps est soutenu.»

La clé? Varier les activités pour une condition physique optimale.

3. Les courbatures sont nécessaires à l’entraînement.

FAUX

Les courbatures sont des douleurs musculaires, généralement sans gravité, qui surviennent environ 48 heures après un exercice intense et inhabituel, par exemple une longue randonnée en descente. Elles sont fréquentes après une période d’inactivité. Nécessaires pour autant, les courbatures? Au contraire. Elles nuiraient même à la performance, parce que le corps met alors plus de temps à récupérer et donc plus de temps à s’améliorer. Elles augmentent aussi le risque de blessures si on exige trop de ses muscles déjà affligés.

Comment prévenir?

«Le moyen le plus efficace pour prévenir les courbatures est de ne jamais faire un exercice d’une longue durée ou d’une grande intensité sans s’y être préparé par une progression lente et bien dosée», écrit Guy Thibault dans son livre Entraînement cardio sports d’endurance et performance.

On devrait incorporer les nouveaux exercices sur une période d’une à deux semaines.

Le mal est fait? On réduit le volume et l’intensité de l’entraînement et on mise sur des sports complémentaires. On nage un peu après un marathon, par exemple. Si les massages ont parfois un effet positif,

«la cryothérapie, les étirements, l’homéopathie, les ultrasons et les courants électriques n’atténuent pas les courbatures ni les autres symptômes qui y sont associés», indiquent François Gazzano et Guy Thibault sur Savoir-Sport.org.

4. Grâce à la musculation, on maigrit à des endroits précis du corps.

FAUX

Des redressements assis pour un ventre plat? Cette fausse croyance perdure, semble-t-il. Chez Kino-Québec, les experts expliquent:

«Il n’est pas possible de faire fondre la graisse d’une région donnée du corps en effectuant des exercices sollicitant les muscles de cette région. Pour que l’exercice puisse faire maigrir localement, il faudrait que les muscles utilisent comme carburant le gras provenant des réserves voisines de graisse. Or, il n’y a pas d’échanges directs.»

Les muscles abdominaux n’utilisent pas le gras sous-cutané d’un ventre bedonnant. Même chose pour les muscles fessiers et la culotte de cheval.

«Pour maigrir, il n’y a pas de recette miracle: il faut une balance énergétique négative, soit dépenser plus d’énergie que l’on en consomme», souligne Pierre-Mary Toussaint.

5. On ne boit jamais trop d’eau.

FAUX

Dans des cas extrêmes – et rarissimes -, il arrive que trop boire d’eau puisse être dangereux, voire mortel. On parle alors d’hyponatrémie. Le phénomène se produit pendant des épreuves d’endurance de longue distance (sur plusieurs heures) et survient le plus souvent chez les sportifs mal préparés ou mal informés. Rarement l’élite. Quand le corps contient trop d’eau, la concentration de sodium, en étant diluée, devient trop faible, ce qui cause un déséquilibre sanguin.

Une étude publiée en 2005 dans le New England Journal of Medicine a révélé que, parmi 488 coureurs ayant participé au marathon de Boston en 2002, 13% souffraient d’hyponatrémie en fin de course. Au marathon de Londres en 2003, une autre étude a montré que 11 coureurs ont souffert d’hyponatrémie.

Comment la prévenir? La quantité d’eau consommée ne devrait pas excéder celle de l’eau dépensée (en sueur et urine). Aussi, les sportifs sont désormais invités à boire selon leurs signaux de soif, ce qui ne fait pas l’unanimité. Boire des boissons énergétiques, qui contiennent des électrolytes, peut aider à prévenir le manque de sodium. Si on est plus lourd après une séance d’entraînement qu’avant, c’est peut-être qu’on a trop bu…

6. La musculation augmente le métabolisme de base.

FAUX

«On a longtemps cru que la musculation augmentait le métabolisme de base, mais l’effet est si minime qu’il est imperceptible, indique Pierre-Mary Toussaint. Pour un kilo de muscles gagné à l’entraînement, on brûle à peine 15 calories de plus par jour.» Trois fois rien.

7. L’acide lactique (lactate) fait mal.

FAUX

Le lactate, sel de l’acide lactique, est accusé à tort de plusieurs maux chez les sportifs: douleur musculaire pendant l’effort, crampes, courbatures.

«Il existe plusieurs types de fatigue musculaire, c’est un phénomène complexe qu’on comprend encore mal. Mais le lactate n’est pas en cause», indique le kinésiologue Pierre-Mary Toussaint.

Des études ont d’ailleurs montré qu’il peut y avoir présence de lactate sans douleur. L’inverse est tout aussi vrai.

8. Bouger à moins de 50% de son VO2 max: ce n’est pas assez!

VRAI

Pour voir une amélioration de sa capacité cardiorespiratoire et musculaire, on doit s’entraîner à au moins 50% de son plein potentiel.

«Si on pédale lentement en lisant ou qu’on marche sur un tapis roulant tout en jasant allègrement, c’est qu’on s’entraîne à moins de 50% de sa capacité cardiovasculaire maximale. Mieux vaut réduire le temps passé au centre de conditionnement et y mettre un peu plus d’intensité», recommande Guy Thibault.

9. S’entraîner empire un rhume.

FAUX

«L’entraînement cardio à intensité moyenne n’empire pas les symptômes du rhume», écrit Guy Thibault dans Entraînement cardio – sports d’endurance et performance au terme d’une étude menée auprès de 34 jeunes adultes d’aptitude aérobie moyenne qui se sont entraînés 1 jour sur 2 pendant 10 jours (40 minutes, 70% du VO2 max), 16 autres se sont abstenus.

«Tous avaient été exposés au rhinovirus et avaient contracté une infection des voies respiratoires supérieures. Il n’y avait aucune différence significative dans l’intensité des symptômes entre les deux groupes.»

On continue donc de s’entraîner si les symptômes sont légers (écoulement nasal, léger mal de gorge). Par contre, si la toux est grasse, si la respiration est difficile et s’il y a courbatures, on prend une pause de quelques jours.

10. Pour s’améliorer, mieux vaut favoriser l’entraînement intermittent.

VRAI

L’entraînement intermittent consiste en une alternance de courtes périodes de repos et d’effort intensif.

«C’est la clé de la préparation physique, la formule la plus efficace pour améliorer les déterminants de la performance sportive», souligne Guy Thibault.

On s’améliore davantage et plus rapidement qu’au cours d’un entraînement en continu, selon les études. Pourquoi? Les moments de repos permettent un renouvellement de l’énergie en vue de l’effort suivant.

«En retardant la fatigue, on parvient à passer plus de temps à une intensité élevée, dit-il. Même les plus grands athlètes font de l’entraînement intermittent.»

Mieux encore: on brûle davantage de calories pour le même temps passé à bouger. Des intervalles courts, 30 secondes par exemple, seraient particulièrement efficaces.

(…)

http://www.lapresse.ca

Un senseur en papier qui détecte le VIH pour 10 cents?


Ca se peux-tu que des savants vont inventer quelque chose qui sera plus qu’,abordable et facile d’utilisation pour détecter certaines maladies graves ? Imaginez l’argent économiser en prélèvement a l’hôpital autant en argent qu’en temps … !!!
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Un senseur en papier qui détecte le VIH pour 10 cents?

image:http://assets.branchez-vous.net/admin/images/techno/origamisensor.jpg

La détection des maladies infectieuses, comme la malaria ou le VIH, requiert souvent des tests coûteux et complexes qui posent de nombreux problèmes, surtout dans les pays en voie de développement. Une équipe de l’Université du Texas a développé un senseur en papier plié, inspiré de l’art asiatique de l’origami, qui permettra de faire le travail en un rien de temps… Et à un prix dérisoire.

Grâce à sa configuration 3D, le senseur en papier plié offre plusieurs surfaces sur lesquelles on peut tester la présence de multiples molécules indicatrices de la présence d’une infection, mais aussi du diabète, etc. Le principe s’apparente à celui des tests de grossesse à domicile: une petite quantité de salive, de sang ou d’urine se mélange à un réactif enchâssé dans le papier, et on obtient un signal qui annonce la présence ou l’absence d’une maladie en quelques minutes.

Le prototype, qui teste la présence de glucose et d’une protéine simple, peut être fabriqué avec une imprimante de bureau ordinaire et plié en moins d’une minute, sans outil ni expertise particulière. Le produit fini pourrait facilement être fabriqué sur place, dans les pays où il serait utilisé, et coûter moins de 10 cents l’unité.

Les chercheurs ont aussi développé une méthode qui intègre une pile simple à base de papier d’aluminium à leur prototype. Les électrolytes présents dans l’urine activent cette batterie, qui peut alors alimenter des tests qui requièrent un peu d’énergie.

Source: Université du Texas, via PhysOrg.
Photo:
Alex Wang, Université du Texas.

http://www.branchez-vous.com