Un complotiste condamné à dédommager le père d’une victime de fusillade


Il y a des gens qui sont vraiment fou. La fusillade aux États-Unis qui a ciblé des enfants d’une école primaire aux États-Unis, il y a des gens qui prétendent que cela fait partie des théories du complot. En autre un professeur de philo dans une université qui a écrit un livre accusant le père d’une victime d’avoir fait un faux certificat de décès. En plus d’avoir perdu son fils par un imbécile avec une arme, les parents ont dû subir de la diffamation, du harcèlement et des menaces de mort. Même si le père a gagné, le professeur continu a croire ses idioties
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Un complotiste condamné à dédommager le père d’une victime de fusillade


Mémorial pour les victimes de la fusillade de l'école de Sandy Hook, à Newtown dans le Connecticut. | Emmanuel Dunand / AFP

Mémorial pour les victimes de la fusillade de l’école de Sandy Hook, à Newtown dans le Connecticut. | Emmanuel Dunand / AFP

Repéré par Claire Levenson

Repéré sur CBS

L’auteur d’un livre niant la réalité de la fusillade de Sandy Hook devra payer plusieurs centaines de milliers de dollars au père d’un enfant décédé ce jour-là.

Leonard Pozner, dont le fils Noah a été tué à l’âge de 6 ans lors de la fusillade de Sandy Hook en 2012, vient de remporter son procès en diffamation contre James Fetzer, le coauteur d’un livre intitulé Personne n’est mort à Sandy Hook. Ce complotiste, un ancien professeur de philosophie à l’Université du Minnesota, avait accusé Pozner d’avoir créé un faux certificat de décès pour son fils Noah. Il vient d’être condamné à verser 450.000 dollars (406.000 euros) de dommages et intérêts à Pozner.

Dans son livre, Fetzer défend la thèse selon laquelle la fusillade de l’école de Sandy Hook (qui a fait vingt-six morts) est un faux incident mis en scène par le gouvernement Obama afin de renforcer le contrôle des armes à feu. En septembre, Pozner avait déjà obtenu un dédommagement de la part de l’autre coauteur du livre, Mike Palacek, qui avait accepté la conclusion du tribunal selon laquelle «le certificat de décès de Noah Pozner était authentique».

Des parents harcelés et menacés de mort

Au vu de la situation financière de Fetzer, le père de Noah a précisé qu’il ne recevrait probablement jamais les 450.000 dollars mais que cette décision de justice créait un précédent important:

«Cela envoie un message aux menteurs, aux complotistes et autres, qui utilisent internet pour revictimiser et terroriser des personnes vulnérables, que leurs actions ont des conséquences.»

Très rapidement après la fusillade en 2012, les parents des victimes ont commencé à être harcelés par des complotistes persuadés que le massacre n’avait jamais eu lieu et que tous ces parents en deuil étaient des acteurs et actrices. Pour riposter, Leonard Pozner, qui a été menacé de mort, a créé une association contre le harcèlement des proches des victimes de fusillade. Avec d’autres parents, il a porté plainte contre plusieurs figures complotistes, comme l’animateur Alex Jones, dont le site InfoWars a diffusé de nombreux mensonges sur Sandy Hook.

Quant à James Fetzer, qui pense aussi que les attentats du 11 septembre 2001 ont été orchestrés par les gouvernements américains et israéliens, il a dit qu’il ferait appel dans la mesure où il considère sa condamnation comme une «défaite pour la recherche collaborative faite par des citoyens journalistes contre l’influence des “fake news”».

http://www.slate.fr

Une fillette de 6 ans arrêtée après avoir piqué une crise de colère à l’école


Heu !!! Bien qu’une crise d’enfant est parfois difficile à gérer et qu’un coup de pied a un adulte ou même un autre enfant devrait avoir une conséquence…. L’arrestation, poursuivie de coup et blessure et tout le processus de la détention d’une fillette de 6 ans par la police américaine et un peu trop extrême.
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Une fillette de 6 ans arrêtée après avoir piqué une crise de colère à l’école


Kaia, une petite fille de 6 ans originaire de Floride, a été menottée et conduite dans un centre de détention après avoir piqué une crise de colère en classe. Choquée par les faits, sa grand-mère a contacté la presse

Ce jeudi 19 septembre, Meralyn Kirkland a reçu un appel de l’école primaire de sa petite-fille Kaia pour lui informer que cette dernière avait été placée en garde à vue. La fillette de 6 ans a été arrêtée après avoir piqué une crise de colère en classe et avoir donné un coup de pied à un membre du personnel de l’établissement. Elle a été menottée et conduite dans un centre de détention juvénile d’Orlando, à plus de 12 kilomètres de son école, où ses empreintes digitales ont été relevées et où elle a été photographiée comme une criminelle, selon le rapport des forces de l’ordre.

“J’ai dit: ‘Comment ça, elle a été arrêtée?’, et on m’a répondu: ‘Il y a eu un incident à l’école, elle a frappé quelqu’un’”, a raconté Meralyn à la télévision locale  WFLA-TV, avant d’ajouter, abasourdie: “Elle est poursuivie pour coups et blessures!”

“Aucun enfant de 6 ans ne devrait pouvoir dire qu’il a été menotté et qu’il se trouvait à l’arrière d’une voiture de police qui l’emmenait dans un centre pour mineurs afin de prendre ses empreintes digitales et se faire prendre en photo”, a-t-elle ajouté.

Selon le site d’information local Click Orlando, un deuxième enfant âgé de 8 ans a également été arrêté par le même policier ce jour-là. Une enquête interne est en cours.

https://www.7sur7.be

En Chine, des écoles financées par l’industrie du tabac


L’industrie du tabac en Chine aide à faire face à la pauvreté et reconstruire des écoles rurales. En plus, ils osent écrire «Le génie provient du labeur, le tabac vous aide à exceller». Comment peut-on écrire des âneries, sachant très bien les effets néfastes du tabac.
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En Chine, des écoles financées par l’industrie du tabac


Un enfant souffle la fumée d'une cigarette, à Beijing, en Chine, en 1998 | Chai Hin Goh / AFP

Un enfant souffle la fumée d’une cigarette, à Beijing, en Chine, en 1998 | Chai Hin Goh / AFP

Repéré par Léa Polverini

Repéré sur The Conversation

La première productrice mondiale de tabac investit dans les écoles primaires des zones rurales de la Chine, et cherche à exporter ce modèle à l’étranger.

«Le génie provient du labeur, le tabac vous aide à exceller», peut-on lire sur les murs d’une école primaire du Sichuan, en Chine. Si le slogan semble tout droit sorti d’une mauvaise dystopie, il reflète le quotidien d’une petite partie de la Chine rurale, où la plus grande industrie du tabac au monde investit dans la création d’écoles.

La China Tobacco, ou Bureau du monopole national du tabac, qui détient 40% de la production mondiale de cigarettes et revend ses produits à plus de 300 millions de fumeurs chinois, est une entreprise tenue par le gouvernement et dont le pouvoir financier aussi bien que politique est considérable. Étant censée suivre les orientations du gouvernement chinois, son investissement dans le milieu scolaire s’inscrit dans l’objectif de réduction de la pauvreté formulé par celui-là: c’est le projet «Hope» («Espoir»), qui vise au développement des zones rurales à travers la création d’écoles primaires.

Une «responsabilité sociale»?

Nombre de ces écoles ont été construites à la suite du terrible séisme de 2008qui avait ravagé la province du Sichuan. Il n’existe pas de données officielles exactes, mais on estime leur nombre à plus de cent. Parrainage oblige, elles sont nommées d’après le fabricant de tabac, on retrouve ainsi l’école primaire «Sichuan Tobacco Hope», ou la «Yingkesong Hope». Cette initiative, présentée comme l’exigence et le fruit d’une responsabilité sociale, procure surtout des vitrines studieuses à l’industrie du tabac

Entre charité et propagande, le cœur des parents et des écolier·es balance. Un groupe d’universitaires du Peking Medical Union College et de la Simon Fraser University ayant mené une étude dans un village du Yunnan où se tient l’une de ces «écoles du tabac» a noté que l’opinion publique était largement favorable à ce type de projet. De fait, cela contribue à financer les fournitures scolaires, les bibliothèques, les bourses d’étude, et parfois même des primes destinées aux enseignant·es.

Parmi les directeur·ices d’écoles et les instituteur·ices interrogées, la plupart mettent l’accent sur la «gentillesse» de l’industrie envers la communauté et témoignent de leur «gratitude», constatant les avantages ainsi apportés aux élèves. Des élèves ont quant à eux exprimé leur souhait d’«étudier dur pour rembourser» l’entreprise.

Ou une «propagande déguisée»?

Certains parents restent plus sceptiques, évoquant une «propagande déguisée». Mais dans des régions où les gouvernements locaux manquent de moyens pour offrir des infrastructures de qualité à la population, le dilemme moral semble insoluble: «le tabac, c’est mauvais, mais l’argent, c’est de l’argent», résume un parent.

Ces écoles parrainées par l’industrie du tabac ne sont d’ailleurs pas réservées au seul territoire chinois. La China National Tobacco a déjà investi dans deux autres pays: au Zimbabwe, depuis 2005, et au Cambodge, à partir de 2013, à travers sa filiale Viniton Group.

http://www.slate.fr/

Chine: un homme blesse 20 écoliers à coups de marteau


Un contrat de travail qui finissait, mais la direction travaillait pour lui trouver un autre emploi pour un agent de maintenance. Lui, il est mécontent, et le fait savoir violemment en frappant au marteau des enfants d’âge primaire. Ce n’est pas les enfants qui pourtant ne sont la cause de la fin de son contrat. C’est cruel !
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Chine: un homme blesse 20 écoliers à coups de marteau

 

The Associated Press

Vingt enfants ont été blessés au marteau mardi matin à Beijing dans leur école primaire, dont quatre victimes de fractures du crâne, par un homme qui a été arrêté, a annoncé la municipalité.

L’attaque survenue à 11h17 (heure locale) a été violente, mais les jours des élèves ne sont pas en danger, a indiqué lors d’une conférence de presse Wang Shaofeng, le maire du district de Xicheng, où s’est produit l’incident.

L’ensemble des petits blessés a été conduit à l’hôpital, tandis que l’assaillant «a été interpellé sur les lieux par la police», a-t-il précisé.

Il s’agit d’un agent de maintenance employé par l’école et âgé de 49 ans. Son contrat de travail devait s’achever fin janvier, et l’établissement était en train de lui chercher un nouvel emploi.

Afin de «manifester son mécontentement», il s’est emparé d’un marteau pour frapper les élèves alors qu’ils étaient en cours, a précisé M. Wang.

Quatre enfants présentaient des fractures et un enfoncement du crâne, qui ont nécessité des opérations chirurgicales, a précisé Li Jia, un docteur et dirigeant de l’hôpital pékinois Xuanwu, où sont soignés des élèves.

«Nous ferons tout notre possible pour soigner les enfants blessés, punir sévèrement le criminel conformément à la loi, et prendre des mesures plus efficaces pour assurer la sécurité des écoles», a assuré le maire du district, qui s’est incliné en signe d’excuse envers les victimes et leurs parents.

Ce type d’attaque visant des établissements scolaires ou des étudiants n’est pas rare en Chine.

En novembre 2018, un jeune homme de 20 ans a tué un étudiant et en a blessé neuf autres ainsi que deux professeurs dans une école technique du Yunnan, une province du sud-ouest du pays.

La veille, un chômeur de 29 ans, avec des problèmes de couple selon les médias officiels, avait tué cinq enfants en fonçant sur eux alors qu’ils traversaient la rue devant une école élémentaire, dans la province du Liaoning (nord-est).

Déjà, en avril 2018, un homme armé d’un couteau avait tué neuf collégiens et en avait blessé 12 autres alors qu’ils rentraient chez eux, dans le nord de la Chine. L’homme, exécuté depuis, avait agi par vengeance après avoir été la cible de moqueries durant sa scolarité dans l’école visée.

En janvier 2017, c’est avec un couteau de cuisine qu’un homme avait blessé 11 enfants dans une école maternelle de la région du Guangxi (sud).

http://journalmetro.com/

Quand les enfants enseignent aux aînés


Un projet qui a commencé il y a 10 ans. Une belle initiative pour améliorer les contacts entre jeunes et aînés tout en apportant du positif autant pour les jeunes et les personnes âgées par l’entremise de la technologie
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Quand les enfants enseignent aux aînés

 

Des participants au projet Inter-âge

Des participants au projet Inter-âge Photo : Radio-Canada/Marie-France Bélanger

Depuis dix ans, des jeunes de sixième année initient des aînés aux rudiments de l’informatique et des médias sociaux. Ce projet a vu le jour à l’école primaire Wilfrid-Bastien, dans l’arrondissement Saint-Léonard, à Montréal.

Un texte de Marie-France Bélanger

Cette activité s’inscrit dans le cadre d’un projet plus vaste, baptisé Inter-âge, qui vise à rapprocher les générations.

Ce jour-là, dans une classe de l’école Wilfrid-Bastien, la petite Luciana Diaz aide son élève, Gilles Lebrun, à se familiariser avec sa tablette. Pendant ce temps, à la table voisine, un garçon montre à une dame de 81 ans comment faire un appel Facetime en Italie. Un peu plus loin, l’un de ses camarades rappelle à son « élève » comment envoyer un message par Messenger.

Une fois par semaine, durant les heures de classe, une dizaine de jeunes de sixième année se transforment en professeurs d’informatique auprès de personnes âgées du centre des aînés du Réseau d’entraide de Saint-Léonard, comme Francine Goudreault.

« Au début, je trouvais ça spécial. Des élèves de sixième année qui sont nos professeurs. Mais j’adore ça! Quand je suis arrivée ici, je voulais apprendre les réseaux sociaux, je voulais apprendre YouTube », explique Mme Goudreault, nouvellement retraitée.

Fernande Forest participe à l’activité depuis septembre. Elle est maintenant capable de trouver des recettes sur Internet et d’envoyer des messages. Mais elle ne sait pas encore comment réserver une chambre d’hôtel ni acheter des vêtements sur le web. Ça viendra peut-être plus tard.

Selon Nicole Pedneault, du Centre des aînés du réseau d’entraide de Saint-Léonard, il est beaucoup moins gênant pour les aînés d’apprendre avec des jeunes. Après leurs cours, à l’école Wilfrid-Bastien, ils sont capables de faire plein de choses, explique Nicole Pedneault. Au départ, certains n’arrivaient même pas à ouvrir leur ordinateur, dit-elle.

Lutter contre les préjugés

Luciana Diaz et Gilles Lebrun

Luciana Diaz et Gilles Lebrun Photo : Radio-Canada/Marie-France Bélanger

Le projet Inter-âge se veut une occasion pour les jeunes non seulement de partager leurs habiletés technologiques, mais aussi d’abattre les préjugés.

« Moi, ça m’a appris à connaître les aînés. Je croyais qu’ils étaient plus sévères et méchants », explique Sarah, une des élèves de sixième année participant à l’activité.

Au fil des rencontres, des liens se tissent entre aînés et jeunes. C’est ce qui s’est passé entre Fernande Forest et le petit Daniel Ardiles.

J’ai adoré ce petit garçon-là. On a parlé de sa famille. On a parlé de ma famille. On a parlé de nos choses personnelles.Fernande Forest

C’est l’enseignant de sixième année Pierre Poulin qui a mis sur pied cette activité il y a dix ans, pour développer l’empathie chez ses élèves, particulièrement difficiles à l’époque.

Bien que cette activité soit facultative, chaque année, la majorité des jeunes de sa classe y participent. Selon Pierre Poulin, le projet profite tout particulièrement aux jeunes qui éprouvent des difficultés à l’école puisqu’il leur permet de vivre des succès auprès des aînés.

Le projet peut ainsi devenir une source de motivation. Pierre Poulin se souvient d’ailleurs de l’un de ses élèves qui un jour lui avait dit :

« Le mercredi, je porte mon t-shirt le plus propre parce que c’est Inter-âge ».

À elle seule, cette anecdote illustre les bienfaits de l’activité à son avis.

Après 10 ans, Pierre Poulin veut maintenant renouveler la formule.

Il souhaite que les jeunes puissent profiter des connaissances des aînés. Il aimerait que les personnes âgées puissent éventuellement produire de courtes vidéos sur des sujets qu’elles connaissent bien pour permettre aux élèves de profiter de leur immense savoir.

http://ici.radio-canada.ca/

La belle histoire du jour : des élèves créent un "banc des copains


Est-ce que cette solution qui est des plus simple pourrait être un atout pour les enfants plus timides à s’intégrer à des groupes pendant la récréation ? Si cela fonctionne, pourquoi pas ?Mais bon !  C’est quand même une idée issue des enfants de l’école primaire, alors peut-être.
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La belle histoire du jour : des élèves créent un « banc des copains« 

 

Des enfants sur un "banc des copains" aux Etats-Unis.

Des enfants sur un « banc des copains » aux Etats-Unis.

Photo: Mark Dolejs/AP/SIPA

ETATS-UNIS – Des élèves d’une école primaire de Pittsburg ont créé un « banc des copains » pour qu’aucun d’entre eux ne soit exclu au moment de la récré.

L’histoire est attendrissante. Un groupe d’enfants d’une école de Pittsburgh, situé dans l’Etat de Pennsylvanie aux Etats-Unis a créé un banc pour qu’aucun d’entre eux ne soit exclu de la cour de récréation. Appelé le « Buddy bench », c’est-à-dire le banc des copains, il permet aux élèves timides de s’assoir pour montrer aux autres qu’ils veulent participer aux jeux de la cour de récré sans avoir besoin de demander.

« L’école, les élèves, les parents ont compris que le ‘Buddy bench’ est un outil pour éduquer les enfants, leur apprendre à intégrer les autres et à promouvoir un environnement sauf, respectueux et responsable pour tous les enfants », a confié la directrice de l’école au Huffington Post.

« Un puissant outil anti-harcèlement »

Le concept est simple : les élèves qui veulent participer aux jeux et activités de la cour de récréation, mais qui sont timides, peuvent s’assoir sur le banc, qui se distingue des autres en raison de sa couleur rouge. Les autres élèves comprennent alors qu’ils ont besoin d’un coup de pouce pour participer.

« Le banc est un puissant outil anti-harcèlement », explique la directrice d’école. « Il construit l’estime de soi des élèves qui demandent aux autres de jouer avec eux. Et il en est de même pour celui qui tend la main à un autre laissé de côté ».

L’idée est née l’année précédente lorsque la directrice d’école dirigeait un groupe visant à aider les enfants à dépasser leur timidité et à développer leur confiance en soi. Un groupe de l’école primaire avait alors émis l’idée du banc. Le banc est depuis installé dans la cour de récréation de l’école, bien visible, et prêt à recevoir les premiers timides !

http://www.metronews.fr/

Mot-clic «je souhaite dire à mon prof» Des témoignages d’élèves bouleversants


Je trouve cette idée intéressante de dire anonymement ce que les enfants voudraient que le professeur sache. Ces mots permettent à mon avis de comprendre mieux ce que vivent les enfants qui peuvent être difficiles pour eux
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Mot-clic «je souhaite dire à mon prof»

Des témoignages d’élèves bouleversants

 

Des témoignagnes d'élèves bouleversants

Crédit photo : Capture d’écran Mailonline.com

Kyle Schwartz enseigne à Denver.

Une enseignante du Colorado a eu une idée géniale. Elle a demandé à ses élèves de 3e année ce qu’ils voulaient qu’elle sache sur eux.

À cette question fort simple en apparence, Kyle Schwartz a obtenu des réponses étonnantes, parfois sombres, souvent émouvantes.

Mme Schwartz enseigne depuis trois ans au sein d’un quartier défavorisé de Denver où de nombreux ménages vivent sous le seuil de la pauvreté, rapporte Mailonline.com.

Ses élèves n’étaient pas obligés de signer leur mot – qui commençait par «Je souhaiterais que mon professeur sache que…», mais ils étaient invités à être le plus honnêtes possible.

Après la lecture de ces réponses poignantes, l’enseignante a proposé à ses élèves de partager leurs témoignages de manière anonyme sur la twittosphère. Ainsi est né un projet de classe qui a donné lieu à des réponses sous le hashtag #IWishMyTeacherKnew.

Ces messages bouleversants ont rapidement attiré l’attention du monde entier et une collecte de fonds a été lancée pour aider ces élèves.

Voici quelques réponses données par les élèves:

 

«Je veux que ma prof sache que je n’ai pas d’amis pour jouer avec moi»

«Je veux que ma prof sache que je n’ai pas de crayon à la maison pour faire mes devoirs»

(Capture d’écran Mailonline)

«Je veux que ma prof sache que si mon carnet n’est pas signé c’est parce que ma mère n’est pas là souvent»

(Capture d’écran Mailonline)

«Je veux que ma prof sache que je veux aller à l’université»

(Capture d’écran Mailonline)

(

Capture d’écran Mailonline)

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Drogue: la vérité, toute la vérité aux enfants ?


Je crois aussi qu’on devrait commencer tôt a parler de la drogue aux enfants sans pour autant être sous une scène de terreur De toute façon, a l’école ils vont apprendre toutes sortes de choses et n’importe comment. Si nous avons un lien de confiance, il sera plus facile de mettre de l’ordre dans tous cela et nos jeunes peut-être feront le bon choix
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Drogue: la vérité, toute la vérité aux enfants ?

 

Leur avez-vous déjà dit que oui, le pot fait planer, mais que non, en... (Illustration Céline Bonte, La Presse)

 

ILLUSTRATION CÉLINE BONTE, LA PRESSE

SILVIA GALIPEAU
La Presse

Leur avez-vous déjà dit que oui, le pot fait planer, mais que non, en fumer, ce n’est pas la meilleure idée? Oui, à vos enfants, ceux-là mêmes que vous croyez à tort si jeunes encore. C’est pourtant ce que prônent les experts en la matière. Dire la vérité, toute la vérité, aux enfants. Et ce, dès le primaire. Parce qu’il n’y a pas d’âge pour être bien informé. Encore moins pour prendre des décisions éclairées.

«L’autre jour, dans la ruelle, il y avait un gars avec des yeux tout blancs. Il avait une seringue à côté de lui. Les policiers sont venus parce qu’il était drogué.»

Non, nous ne sommes pas ici dans une polyvalente d’un quartier mal famé de Montréal, mais dans une cour d’école primaire, dans un coin plutôt huppé de la ville.

Vous pensiez que vos enfants étaient encore bien innocents? Détrompez-vous. La drogue, ils connaissent. Et même si vous, vous n’avez encore jamais abordé la question, eux, ils en parlent. Et ils en entendent parler. Des consommateurs, ils en voient. Et des vendeurs aussi, d’ailleurs.

«Moi, dans le parc derrière chez moi, j’ai déjà vu des gens vendre de la drogue», confirme une gamine de 6e année. «Moi, quand je vois des vendeurs de drogue au parc, ça me fait peur», enchaîne sa copine, âgée d’à peine 11 ans.

Une petite idée de ce que c’est

«La plupart des enfants, dès la 1re année, ont une idée vague de ce qu’est la drogue», explique Rémi Côté, psychologue scolaire.

Si certaines écoles primaires proposent, en collaboration avec des organismes communautaires, des programmes de prévention, à raison de quelques heures dans l’année, ce n’est toutefois pas systématique. Au primaire, les formateurs ne parlent d’ailleurs pas de drogue directement, mais abordent plutôt la question, et ce, depuis quelques années déjà, sous l’angle du bien-être et de l’estime de soi.

«On parle plutôt de l’importance d’être en bonne santé», confirme l’intervenant, une approche qui vise la prévention, plus globale, d’une foule de comportements à risque (la toxicomanie, mais aussi le suicide, les troubles alimentaires et l’intimidation). Du coup, l’information de base sur les différents types de drogue, leur composition, leurs effets et les risques respectifs sont peu, voire pas du tout abordés.

Définir l’«usage acceptable»

C’est d’ailleurs ce que déplore le psychologue Alain Roy, qui vient de publier un livre sur la question, Exploration drogues, aux éditions MultiMondes, destiné aux jeunes dès 11 ans. Dans son livre, il décrit, avec moult détails, les différents effets que peuvent avoir la caféine (de loin la drogue la plus consommée, notamment avec la popularité des colas et des boissons énergisantes), l’alcool (la drogue qui fait le plus de ravages dans le monde), le cannabis et les médicaments psychoactifs. 

«J’ai voulu présenter l’essentiel de ce que les jeunes doivent connaître, pour faire des choix éclairés, dit-il. Et j’ai développé une philosophie. Je ne dis pas ce qu’il ne faut pas faire, mais plutôt comment avoir un usage acceptable.»

Une vision qui peut surprendre, quand on sait que la quasi-totalité des gens associe plutôt la drogue à des images apocalyptiques.

«Je pose la question depuis 30 ans, et dans 95% des cas, les gens associent la drogue à des images dramatisantes et sensationnalistes! Quand je demande quelles sont les trois drogues les plus consommées, on me dit la cocaïne, l’héroïne et l’ecstasy, alors que dans les faits, c’est de loin la caféine, l’alcool et la nicotine», poursuit l’auteur, qui souhaite du coup offrir un message plus «nuancé» sur la drogue.

Cette «nuance» est d’ailleurs tout à fait dans la tendance du moment.

«Quand les parents nous appellent en panique, on leur explique qu’il existe plusieurs types de consommation, et que ce n’est pas nécessairement problématique, confirme Kathia Noiseux, intervenante professionnelle à Tel-Jeunes. La consommation peut être exploratoire. On essaie de relativiser.» 

Bien sûr, dans un monde idéal, «les jeunes ne devraient jamais consommer avant d’avoir atteint une maturité physiologique et émotionnelle, vers 18 ans. Mais dans les faits, c’est la réalité, ils le font déjà, reprend Alain Roy. De la drogue, il y en a partout, ils en voient sans arrêt. Alors ils veulent savoir ce que c’est». D’où l’importance de leur en parler.

http://www.lapresse.ca

Fusillade au Connecticut: 26 morts, dont 18 enfants


Un gars de 20 ans qui s’est présenté armé pour faire un carnage… Comment il se fait que ce soit si facile de se balader avec des armes aux USA ? Ils veulent combien de mort avant de faire des lois plus sévères ..? Ils prétendent que les armes s’est fait pour se défendre .. Alors comment se fait t’ils que les victimes ne sont pas des menaces .. et que parmi eux ce sont des enfants qui sont dans la ligne de mire
Nuage

 

Carnage au Connecticut: 27 morts, dont 20 enfants

 

La famille d’une victime du carnage près de l’école de Sandy Hook, à Newtown.

PHOTO ADREES LATIF , REUTERS

HUGO PILON-LAROSE

La Presse

Une fusillade a brisé la vie de nombreuses familles, ce matin, dans la communauté de Newtown, au Connecticut. Vers 9h40 ce matin, Adam Lanza, âgé de 20 ans, a fait irruption dans une école primaire, a ouvert le feu et a tué 26 personnes, dont 20 enfants âgés de 5 à 10 ans.

Les victimes étaient pour la plupart élèves ou membres du personnel de l’école Sandy Hook, qui accueille 600 enfants.

La police d’État a confirmé lors d’un point de presse que 18 enfants ont été trouvés morts sur les lieux du drame et que deux autres sont morts à l’hôpital. Six adultes ont également perdu la vie. Le tireur a été abattu par la police.

La mère du tueur, qui enseignait à l’école, a été tuée. Les policiers ont également trouvé l’un de ses frères mort chez lui, à Hoboken, au New Jersey.

Adam Lanza était muni d’au moins deux armes et d’un gilet pare-balles. Il a tiré plus de 100 projectiles, selon des témoins.

Son frère aîné Ryan, âgé de 24 ans, dont on a d’abord cru qu’il était le tueur, a été arrêté pour être interrogé. On croit qu’il a pu jouer un rôle dans l’affaire.

Le président Barack Obama, visiblement ému, essuyant discrètement ses larmes, a présenté ses condoléances aux familles des victimes au cours d’un point de presse chargé en émotion, cet après-midi à la Maison-Blanche.

«Ce soir, Michelle et moi ferons la même chose que tous les Américains aujourd’hui. Nous retrouverons nos enfants et les serrerons très fort dans nos bras», a dit M. Obama.

CNN, qui cite des témoins, affirme que le directeur et le psychologue de l’école ont été tués.

Parmi les fusillades survenues dans un établissement scolaire américain, seule celle de Virginia Tech, en 2007, a fait plus de victimes que celle de Newtown.

http://www.lapresse.ca

Californie → Ils tentent d’empoisonner leur enseignante


Ça tu du bon sens ! C’est rendu que même au primaire il y a des jeunes qui sont prêt a commettre des meurtres pour je ne sais pour quelles raisons .. Et qu’est-ce qu’on en fait ? On les changent d’école ! Pensez-vous vraiment qu’ils ont compris la leçon. Reste a espérer que les parents ont pu trouver une punition digne de  ce nom …
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Californie → Ils tentent d’empoisonner leur enseignante

 

Ils tentent d'empoisonner leur enseignante

Agence QMI

Trois élèves d’une école primaire en Californie ont été expulsés de leur établissement scolaire après avoir tenté d’empoisonner leur enseignante avec du poison à rat, en décembre 2011.

Les élèves fréquentaient l’école Balderas Elementary School, à Fresno. Ils ont été transférés dans d’autres écoles du district scolaire, mais les enseignants, craintifs, se sentent menacés, et ils refusent de les avoir dans leurs salles de classe.

Les jeunes, âgés de 10 ans et 11 ans, ont versé le poison dans le café de l’enseignante et sur le glaçage d’un petit gâteau, a rapporté samedi la station de télévision KFSN, affiliée au réseau ABC.

L’attentat a été freiné lorsqu’un des élèves a eu un moment d’hésitation, et a renversé intentionnellement le café des mains de l’enseignante au moment où elle allait prendre une gorgée.

Deux des élèves ont été transférés à l’école Phoenix Academy, une institution qui accueille des jeunes qui ont été expulsés d’autres établissements.

David Coss, un enseignant à Phoenix Academy, croit que les jeunes devraient être punis plus sévèrement au lieu d’être simplement transférés dans une autre école où ils deviennent la responsabilité de quelqu’un d’autre.

«Il y a de nos élèves qui vont les considérer comme des dieux. Ils diront: c’est super, peut-être que je peux poser le même geste à l’endroit d’un enseignant ou d’un adulte», a réagi M. Coss.

http://tvanouvelles.ca