Depuis 30 ans, cet éboueur fait don du tiers de ses revenus pour scolariser des enfants


.Un éboueur en Chine gagne 300 euros par mois, soit 452,51 Dollar canadien, il a vendu sa maison vit avec sa femme dans une petite maison et ils se nourrissent que de nouilles tous les jours. Pourquoi ? Il veut donner la chance à 37 enfants d’avoir un avenir meilleur en permettant qu’ils puissent aller à l’école. Même avec un petit salaire, cela change le monde pour ces enfants
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Depuis 30 ans, cet éboueur fait don du tiers de ses revenus pour scolariser des enfants

 

Capture d’écran. © YouTube

 

Zhao Yongjiu, éboueur chinois de 58 ans, est d’une générosité énorme. Gagnant moins de 300 euros par mois, il reverse un tiers de ses revenus depuis plus de trente ans pour scolariser une trentaine d’enfants.

Cet homme a le goût du sacrifice. Zhao Yongjiu se souvient d’où il vient et surtout de la générosité des villageois et la charité de son père étant plus jeune:

 « J’étais comme ces enfants, je n’avais pas assez de nour­ri­ture et je me sentais impuis­sant. Je veux les aider à chan­ger leur desti­née », explique-t-il au média local OMG Taiwan.

Depuis trente ans, ce Chinois qui gagne exactement 270 euros mensuels, n’a pas acheté de vêtements neufs, vit avec sa femme dans une petite maison et se nourrit de nouilles tous les jours.

25.000 euros (37 707,84 Dollar canadien)

L’éboueur de Shenyang offre un tiers de son salaire (90 euros) à au moins 37 enfants d’une région reculée de Chine pour leur permettre d’avoir une éducation et d’aller à l’école. Il aurait fait don de près de 25.000 euros en 360 mois.

Sa famille et son épouse ont eu du mal à comprendre ce choix surtout au moment où l’homme de 58 ans a décidé de revendre la maison familiale. Mais pour comprendre son geste, il a emmené sa femme rencontrer les enfants qu’il aide dans un village de montagne. Depuis ce jour, plus aucune question n’entoure son choix de vie.

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Turquie : des éboueurs créent une bibliothèque à partir de livres jetés aux ordures


 

C’est une très bonne initiative parmi les solutions pour redonner vie aux livres. Ailleurs, ils ont métamorphosé des cabines téléphoniques en mini bibliothèque et d’autres laisse des livres sur les bancs publics pour d’autres. En Turquie, ce sont les éboueurs qui ont voulu avoir une solution pour les livres qui sont jeter à la poubelle. La ville a accepté de les récupérer pour en faire une bibliothèque publique
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Turquie : des éboueurs créent une bibliothèque à partir de livres jetés aux ordures

 

En huit mois, les éboueurs du quartier d’affaires de Çankaya à Ankara (Turquie) ont recueilli 5.000 ouvrages destinés aux ordures. Grâce à leur collection, ils ont créé une bibliothèque dans les locaux de la municipalité.

5000 livres alignés sur les étagères d’un couloir où résonne de la musique classique. Dans les locaux de la municipalité d’Ankara en Turquie, une toute nouvelle bibliothèque a vu le jour il y a 8 mois. Sa particularité : elle n’est composée que d’ouvrages récupérés par les éboueurs, dans les poubellesdu quartier d’affaires de Çankaya.

« Nous faisons en sorte que les livres jetés à la poubelle, devenus sans valeur, la retrouvent en les rendant accessibles au public », explique Sema Keskaya, chargée des ressources humaines à la mairie d’Ankara, à l’agence turque Anadolu.

« L’idée initiale d’établir cette bibliothèque est apparue après que les ouvriers de la ville ont demandé comment les livres qui avaient été jetés dans les poubelles pouvaient être réutilisés », ajoute-t-elle.

Aujourd’hui, la bibliothèque compte 5.000 livres répartis en 17 catégories, allant de la littérature à la politique.

Ce nouveau lieu de culture ankariote est aujourd’hui ouvert à tous, mais les éboueurs en restent les utilisateurs privilégiés. Ouverte tôt le matin et jusqu’à 17h30, la bibliothèque leur permet de s’y rendre pendant leur pause déjeuner ou avant de commencer leur journée de travail.

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Le geste touchant d’une fillette de trois ans envers son éboueur préféré


Cela me fait penser à ma petite fille quand le mardi, les éboueurs viennent dans la cour pour ramasser la benne à ordures. Elle les saluts de la main et me dit, il faut dit bonjour aux hommes qui travaillent même ceux qui ramassent les poubelles. Bref, cette histoire donne une leçon que petit rien peut changer la journée d’une personne
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Le geste touchant d’une fillette de trois ans envers son éboueur préféré

 

La petite Brooklyn a voulu faire de son anniversaire une journée vraiment spéciale.

La petite Brooklyn a voulu faire de son anniversaire une journée vraiment spéciale..

Photo : Capture écran Inside edition

Elle a voulu partager ce jour exceptionnel avec lui. Il y a environ deux semaines, la petite Brooklyn Andracke fêtait ses trois ans. Ce jour-là, c’est un jeudi. Le jour où son éboueur préféré, Delvar Dopson, vient ramasser les ordures de sa maison située à Bloomington, dans l’État américain de l’Illinois. Comme chaque semaine, ce dernier klaxonne devant sa pelouse pour dire bonjour à cette fillette qui l’attend toute excitée. Mais Brooklyn a envie de lui témoigner elle aussi son amitié. Elle décide alors de lui donner une part de son gâteau d’anniversaire, afin que Delvar Dopson puisse partager ce jour unique avec elle.

Traci Andracke, sa mère, confie dans un message envoyé à la ville :

« Delvar Dopson était sans voix face à ma fille. Je lui ai expliqué qu’il faisait de nos jeudis une journée spéciale avec ses gestes de sympathie et ses coups de klaxons. Il est ensuite reparti très heureux et nous sommes allées à la garderie. »

Mais après sa rencontre avec son héros du jeudi, l’adorable petite fille est très silencieuse dans la voiture. Quand Traci lui demande d’expliquer son silence, Brooklyn répond :

« Maman, je suis si heureuse. »

« Cette histoire a touché le quartier jusqu’aux larmes »

La ville a ensuite raconté cette histoire sur sa page Facebook, avec un long commentaire de l’éboueur. Le jeudi suivant, Delvar Dopson de retour pour sa tournée hebdomadaire, vient cette fois ramasser les poubelles mais aussi offrir un cadeau à Brooklyn : des jouets de son dessin animé préféré, la Reine des Neiges. Ravie par ce geste auquel elle ne s’attendait pas, la petite fille s’est empressée de lui réaliser une pancarte de remerciements, que l’éboueur a depuis affiché dans son camion.

Traci a confié au site The Pantagraph « avoir été époustouflée par les attentions que sa fille et Delvar ont eues l’un pour l’autre ».

Et d’ajouter : « Cette histoire a touché le quartier jusqu’aux larmes. Tout le monde a pu découvrir notre histoire si réconfortante entre un éboueur et une petite fille de 3 ans », a conclu Traci.

L’histoire de Brooklyn est depuis devenue virale sur les réseaux sociaux américains.

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Objets devenus inutiles Des vieilleries qui rapportent


C’est vrai qu’il y a des richesses dans les poubelles et on ne devrait pas avoir honte de ramasser des choses intéressantes quand c’est le jour ou les poubelles sont sur le bord du chemin … j’ai d’ailleurs trouvé non … mon ex (s’il me lit aussi bien dire la vérité mdr) m’a trouvé beaucoup de chose dont une belle étagère en bois vernis qui était dans sa boite d’origine qui n’a jamais été monté. Il y a un gars qui passe quasi a tous les jours avec son camions et ramasse ce qui peut se vendre pour les métaux En plus en d’être écologique ca peut servir a d’autres …
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Objets devenus inutiles

Des vieilleries qui rapportent

 

Par Cédérick Caron | Journal de Montréal

Un objet qui n’a plus de valeur pour certains peut en avoir une grande pour d’autres. Personne ne le sait mieux que Francis Paquette, un ancien éboueur rencontré ce weekend à la foire d’Auction International, à Laval.

M. Paquette a vendu plus d’une fois dans sa vie des objets retrouvés dans les poubelles.

Lui et sa conjointe sont d’ailleurs repartis bien heureux de Laval avec 45 $ de plus en argent de poche.

Ils y ont vendu une chaîne en or et quelques cartes de baseball trouvées dans les poubelles d’un couvent, il y a deux semaines.

«C’est de l’argent vite fait bien fait! s’exclame Marie-Line Cadieux. Les objets ne nous ont rien coûté et voilà que, sans effort, nous en récoltons de l’argent!»

À l’époque où il remplissait des camions à ordures, Francis Paquette a découvert que les gens se débarrassaient souvent d’objets sans en connaître la valeur.

400 000 cartes de hockey

«Un jour, relate-t-il, j’ai trouvé une toile de Jésus que j’ai donnée à mon chauffeur. Ce n’est que plus tard, en faisant des recherches, que j’ai découvert que, s’il s’agissait d’un des six tableaux originaux, sa valeur était estimée à 40 000 $. Erreur! Je ne me suis plus jamais débarrassé par la suite de trucs que je trouvais sans les faire évaluer.»

Les yeux pétillants, le jeune homme dans la mi-vingtaine se souvient aussi du jour où il a découvert une boîte contenant une collection de 400 000 cartes de hockey.

«Pour l’instant, dit-il, elles n’ont pas de valeur, mais je les garde pour mes enfants ou même mes petits-enfants.»

Les bijoux et la monnaie ont la cote

Lors du passage du Journal, des centaines de personnes attendaient leur tour, un billet numéroté à la main, devant la table des huit experts d’Auction International. Chacun a sa spécialité.

La grande majorité des gens qui se sont déplacés à Laval essayaient de vendre des bijoux.

«J’ai vidé mes fonds de tiroir de bijoux que j’avais reçus quand j’étais enfant et qui ne me font plus, des boucles d’oreilles dépareillées. Mon chum pensait que j’allais avoir 10 $, mais c’est plutôt 120 $ que j’ai obtenus», explique Chantal Deneault, toute souriante à la suite de la transaction.

«On ne sait jamais où aller pour vendre ses vieux bijoux qu’on n’aime plus. Un événement de la sorte, ça nous rend la tâche facile», indique Françoise Gervais, qui a vendu pour sa part un bracelet en argent pour 60 $.

Plusieurs clients ont attendu près d’une heure pour présenter leur «trésor».

En plus des bijoux, plusieurs essayaient de liquider des collections de monnaie, souvent obtenues en héritage.

«On accumule tout plein de choses et on ne sait jamais quoi faire avec», dit Gilles Larocque, heureux des 2,70 $ obtenus par pièce de 25 ¢ datant de 1967.

http://tvanouvelles.ca