Un chat naît avec deux visages


Cette fois-ci, c’est au Québec, que nait un chat a deux visages. Plus précisément à Drummondville. Il semble avoir de la difficulté à se nourrir, mais son maître espère bien la sauver
Nuage

 

Un chat naît avec deux visages

 

Chaton Janus, Canada

Le chaton peine à s’alimenter.

© FACEBOOK / ANIK CHENARD

Ghyslain Bergeron

INSOLITE. Un fait plutôt rare : une chatte a donné naissance à un chaton avec deux visages dans la nuit de dimanche à lundi, à Drummondville.

Le moindre que l’on puisse dire, c’est que les maîtres de Mimine, Anik Chenard et Francis Raymond, ont eu toute une surprise à leur réveil lundi matin.

«On pensait qu’elle était pour accoucher vers la fin du mois d’avril. Mais hier, la chatte est venue nous avertir et elle était vraiment insistante. Elle ne voulait pas être seule, elle voulait notre présence, car elle sentait que le travail était commencé», a expliqué Mme Chenard.

Ce matin, à première vue, le chaton semblait parfaitement normal alors qu’il bougeait avec énergie dans le fond de la boîte où sa mère avait accouché. Mais quand Mme Chenard a pris le nourrisson dans ses mains, elle a aussitôt vu que quelque chose clochait.

Un chat naît avec deux visages

Ce chat est né avec deux visages. Photo – Ghyslain Bergeron

«J’ai fait un méchant saut! On a pris des photos et on a publié ça sur Facebook. Plein de monde pensait que c’était un poisson d’avril! On n’a pas perdu de temps et on a tenté de contacter un vétérinaire, mais ils sont tous fermés en ce congé de Pâques. Dès demain (mardi), on va aller faire examiner notre petit chat, mais aussi la mère, car on veut savoir s’il en reste d’autres dans son ventre et si c’est dangereux», a précisé Mme Chénard.

Pour l’instant, le petit chat à deux visages bouge, miaule, tente de s’alimenter, mais ne semble pas être en mesure de se nourrir.

La chatte de deux ans en est à sa première portée et les propriétaires espèrent bien pouvoir sauver le chaton.

Mimine, la chatte, s’occupe de sa progéniture même si elle est handicapée. Photo – Ghyslain Bergeron

http://www.journalexpress.ca

Drummondville Une dame sauvée par sa livreuse


Avec la population vieillissante, et plus de personnes qui habitent seule, c’est réconfortant de voir que des gens se soucient des autres. Les voisins ne s’inquiètent  pas souvent de ceux qui restent proches, mais une livreuse de restaurant, s’est inquiétée d’une cliente régulière qui n’appelait pas
Nuage

 

Drummondville

Une dame sauvée par sa livreuse

 

Par Jean-François Desbiens | TVA Sherbrooke

Sonia Dionne travaille comme livreuse pour le restaurant Horace au Boulevard à Drummondville.

La femme de 42 ans a un grand cœur et adore son travail.

Il y a une dizaine de jours, guidée par sa bienveillance, elle a probablement sauvé la vie de Thérèse Turcotte.

La dame est une cliente régulière et se fait livrer un repas presque quotidiennement.

La dame d’une soixantaine d’années vit seule; elle n’a aucun proche pour veiller sur elle.

Il y a quelques semaines, lors d’une livraison, Sonia Dionne avait remarqué que la santé de Mme Turcotte laissait à désirer. Elle lui avait même offert d’appeler Info-Santé pour lui avoir de l’aide médicale. Cette dernière disait avoir fait une vilaine chute et que ça allait se replacer.

Il s’est écoulé quelques jours sans que la livreuse ait de ses nouvelles. C’est à ce moment que Sonia Dionne s’est mise à s’inquiéter.

«Je demandais au personnel du restaurant si Mme Turcotte avait appelé pour se faire livrer un repas. Chaque fois, je me faisais répondre par la négative.»

Un dimanche soir qu’elle travaillait, une petite voix intérieure lui a dit que ce n’était pas normal.

«Entre deux livraisons, j’ai décidé d’aller voir chez elle. J’ai frappé, mais je n’ai obtenu aucune réponse. Je me suis informée auprès des voisins qui me disaient ne pas l’avoir vu depuis quelques jours. J’ai aussitôt appelé les policiers. Quand ils ont réussi à pénétrer à l’intérieur, elle était allongée au sol en détresse respiratoire. Les ambulanciers l’ont pris en charge pour la conduire à l’hôpital. Je suis vraiment contente de la savoir saine et sauve même si son état nécessite encore son hospitalisation», explique Sonia Dionne.

Cette dernière lui rend visite tous les deux jours à l’hôpital depuis les événements qui remontent au 15 mars.

Nous avons parlé au téléphone avec Thérèse Turcotte; elle nous a mentionné qu’elle sera toujours reconnaissante envers sa livreuse qu’elle qualifie de «petite Mère Teresa».

«Je ne me sentais pas bien, c’est pour cela que je n’appelais plus pour commander de la nourriture. Le jour où Sonia est venue, j’étais faible. Je suis tombée à plusieurs reprises et là, je n’avais plus la force de me relever. C’est très réconfortant de voir qu’il y a encore des gens qui se soucient des autres à ce point», témoigne la dame.

«Je crois en Dieu, j’ai des convictions profondes et une morale bien ancrée, c’est sans doute ce qui a guidé mon instinct ce jour-là», mentionne Sonia Dionne en guise de conclusion.

http://tvanouvelles.ca/

Entrevue avec le père d’Anaïs, Loïc et Lorélie – «Tous les soirs, ils me disaient:


Un message du père qui a perdu d’un coup trois enfants assassinée par la mère .. Malgré sa peine, il a tenu que de parler de beaux souvenirs .. dont le dernier jour restera probablement gravé a jamais ..
Nuage

 

Entrevue avec le père d’Anaïs, Loïc et Lorélie – «Tous les soirs, ils me disaient:

 

TVA Nouvelles

Patrick Desautels, le père d’Anaïs, Loïc et Lorélie, retrouvés morts dans l’appartement de leur mère à Drummondville dimanche dernier, a communiqué avec TVA Nouvelles samedi. En cette journée de funérailles, il souhaitait témoigner de l’amour qu’il a toujours eu pour ses enfants.

«Les enfants, tous les soirs, ils me disaient: « Papa, je t’aime », et je ne leur demandais pas. Ça venait d’eux. À tout moment dans la journée, ils venaient me voir: « Papa, je t’aime ». Ils se viraient de bord et ils s’en allaient», a confié Patrick Desautels.

Le père en deuil a tenu à souligner les efforts qu’il a faits pour ne pas que ces trois petits anges souffrent de la douloureuse et longue séparation avec leur mère.

«Mon but, c’était qu’ils soient heureux, qu’ils aient du plaisir à jouer, qu’ils passent de belles journées. Et ce qui se passe entre moi et leur mère, ça les regarde, mais en même temps, ils n’ont pas à se soucier de ça. Moi, ce que je voulais, c’est qu’ils soient bien, qu’ils soient heureux», a-t-il expliqué.

C’est la seule fois où l’homme a parlé de son ex-conjointe, accusée du triple meurtre.

Lorélie, Anaïs et Loïc (Crédit photo: Gracieuseté)

«Les enfants ont toujours été bien avec moi. Ils n’ont pas vécu dans la richesse, mais ils ont eu tout ce dont ils avaient besoin», a-t-il raconté à un moment.

Dimanche dernier, jour du drame, avait pourtant bien commencé pour Patrick Desautels.

«C’est la journée où tous les cadeaux de Noël étaient achetés. On a trouvé le cadeau qui aurait fait plaisir aux enfants: une piste de course électrique.»

D’ailleurs, beaucoup d’objets que les enfants aimaient ont été amené à l’église où se sont déroulées les funérailles, samedi. On y retrouvait notamment des pièces d’équipement provenant de la pépinière familiale.

«Anais, 2 ans, pas capable de mettre son manteau. Mais quand je lui disais: « Anaïs, viens-tu avec papa? », son manteau, elle savait où il était. Elle était capable de le mettre. Elle avait juste à l’attacher et elle était prête», s’est souvenu le père.

«Laurélie, quand elle était jeune, si on voulait l’endormir dans l’après-midi pour qu’elle fasse son dodo, on l’embarquait, on allait prendre une ride avec grand-papa et grand-maman, et  elle dormait, à coup sûr.»

«Loïc, lui, il voulait faire comme papa. Un moment donné, on travaillait avec la pelle et il a dit: « Papa, est-ce que je peux conduire la pelle? » Oui, tu peux.»

Patrick Desautels vit un énorme deuil, mais il a tenu à s’adresser aux parents, leur disant qu’il fallait profiter des moments partagés avec leurs enfants.

«Aimez-les et prenez du temps avec eux. Parce qu’on ne sait pas s’ils vont être encore là demain. Dites-leur que vous les aimez», a dit le père endeuillé.

Avec la collaboration de Denis Therriault

http://tvanouvelles.ca

Drummondville: la mère est accusée de meurtre prémédité


Même s’il est difficile de ne pas accuser avant les accusations formelles et avant procès .. tout le monde s’en doutait .. que c’était la mère qui a tuer ses 3 enfants .. et pour avoir agit en 20 minutes environ,  elle savait ce qu’elle faisait
Nuage

 

Drummondville: la mère est accusée de meurtre prémédité

 

Vêtue d'un manteau bleu pâle, Sonia Blanchette est... (PHOTO RYAN REMIORZ, PC)

Vêtue d’un manteau bleu pâle, Sonia Blanchette est entrée lentement dans le box des accusés, la tête basse.

PHOTO RYAN REMIORZ, PC

CATHERINE HANDFIELD
La Presse

(Drummondville) Sous le regard de son ex-conjoint, Sonia Blanchette a été accusée du meurtre prémédité de ses trois enfants, mercredi après-midi, au palais de justice de Drummondville. Sa comparution a été reportée à la semaine prochaine parce qu’elle a demandé une évaluation sur son aptitude à comparaître.

Vêtue d’un manteau bleu pâle, Sonia Blanchette est entrée lentement dans le box des accusés, la tête basse. La femme de 33 ans, qui a l’air plus vieille que son âge, s’est assise sans regarder dans la salle d’audience. Le père des enfants, Patrick Desautels, et son propre père étaient assis à l’avant, la fixant du regard. Ils ne se sont pas adressé aux médias.

Comme Sonia Blanchette n’avait pas d’avocat, c’est une amie de la cour, Me Catherine-Valérie Levasseur, qui l’a représentée. Elle s’est engagée à lui trouver un avocat d’ici à la semaine prochaine.

Sonia Blanchette a été arrêtée vers 11h30 ce matin après avoir reçu son congé de l’hôpital, où elle avait été admise dimanche. 

«Son état de santé permettait que nos enquêteurs la rencontrent pour obtenir sa version des faits», a indiqué Daniel Thibodeau, porte-parole de la Sûreté du Québec.

La SQ refuse toujours de dire pour quelle raison elle était hospitalisée. Selon certains médias, elle aurait pris des médicaments pour mettre fin à ses jours. 

Lorélie, 5 ans, Loïc, 4 ans, et Anaïs, 2 ans, ont été trouvés morts par leur grand-mère maternelle peu après 16h, dimanche. Ils pourraient avoir été noyés dans le bain. Des autopsies ont été pratiquées en début de semaine.

http://www.lapresse.ca

Drummondville: le père des trois enfants s’adresse brièvement aux médias


La conférence de presse a été courte, certains ont peut-être été même déçu de voir qu’il a pu garder le contrôle de ses émotions pendant les quelques secondes,  mais, cela prend du cran, et le temps de la guérison sera très longue surtout pour une situation qui aurait pu être évité
Nuage

 

Drummondville: le père des trois enfants s’adresse brièvement aux médias

 

Patrick Desautels... (Photo Marco Campanozzi, La Presse)

Patrick Desautels

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE

La Presse Canadienne
Drummondville

Patrick Desautels, le père des trois enfants trouvés morts dimanche, à Drummondville, s’est adressé brièvement aux médias cet après-midi. Dans une allocution de quelques secondes, il n’a pas commenté les décès afin de respecter le déroulement de l’enquête.

 

Les trois enfants retrouvés morts dimanche soir à Drummondville, Laurélie, Anaïs et Loïc.

Il a remercié son entourage immédiat pour leur aide et leur soutien. Patrick Desautels a dit vivre «une douleur inexplicable» depuis qu’on a découvert le corps de ses trois jeunes enfants.

Il a mentionné aux médias qu’il ne pouvait répondre à leurs questions, puisque l’affaire fait toujours l’objet d’une enquête policière.

Les policiers ont découvert les trois jeunes enfants, deux fillette de 2 et 5 ans, Lorélie et Anaïs, et leur frère de 4 ans, Loïc, au domicile de leur mère.

Les policiers n’ont pas encore pu rencontrer la mère, une dame de 33 ans qui a été hospitalisée à la suite de la tragédie mais qui est hors de danger. Elle est considérée comme un «témoin important» pour l’instant.

Dans un bref communiqué, M. Desautels qualifie l’affaire d’inexplicable et affirme qu’il aimait profondément ses enfants et que ceux-ci vont lui manquer pour le reste de sa vie.

Il dit espérer que les médias laisseront sa famille tranquille après la rencontre de presse.

Les policiers n’ont pas encore révélé les circonstances de la mort des enfants.

-Avec La Tribune

http://www.lapresse.ca

Un potager urbain qui fait les manchettes


Un couple a Drummonville a décidé d’utiliser leur terrain en avant de la maison pour un usage beaucoup plus utile et agréable, mais la ville ne semble pas beaucoup appréciée .. des pétitions sont lancé (même une internationale) pour donner l’appui ce beau projet et qui a mon avis pourrait même s’étendre ailleurs dans nos villes du Québec … pour se remémorer l’histoire Controverse autour d’un potager a Drummondville  
Nuage

 

Un potager urbain qui fait les manchettes

 

L’agriculture urbaine est un sujet à la mode cet été. Un peu partout dans nos villes, on voit pousser des jardins potagers. La plupart du temps, c’est évidemment à l’arrière de la maison que l’on plante ses tomates, piments ou concombres. Certains le font cependant à l’avant, mais devraient alors bien vérifier avec la municipalité s’ils sont dans leur droit.

C’est l’histoire d’un couple de Drummondville qui lutte depuis des semaines contre le règlement municipal pour pouvoir cultiver son potager devant leur chez-soi.

La nouvelle de leur combat s’est répandue comme une traînée de poudre sur Facebook et plus de 20 000 personnes ont signé à ce jour leur pétition. De nouveaux signataires arrivent chaque jour de tous les coins du monde, aussi loin que d’Australie ou de Pologne, et aussi près que des États-Unis.

En effet, l’activiste américain Roger Doiron, celui-là même qui a convaincu Michelle Obama de créer un potager à la Maison-Blanche, après avoir fondé Kitchen Gardeners International, a lancé une pétition internationale en leur faveur.

Et vous, avez-vous votre propre jardin potager ? Est-il à l’avant ou à l’arrière de votre demeure ? Que pensez vous de la lutte de ce couple?

http://www.soscuisine.com

Controverse autour d’un potager a Drummondville


Je suis tout a fait d’accord avec ce couple qui ont réussit d’un coup de maitre leur premier potager. Dans le fond c’est vrai, a quoi sert la pelouse qu »on doit tondre, surveiller les mauvaises herbes alors qu’un potager agrémenter de quelques fleurs seraient plus utiles et sans doute aiderais les gens a avoir une meilleur alimentation … C’est une super de bonne idée. Alors que des villes interdisent cela dommage et contre nature
Nuage

Controverse autour d’un potager à Drummondville

Jean-Thomas Léveillé
La Presse

(Drummondville) La maison est sobre, mais elle saute tout de même aux yeux à cause de son parterre luxuriant. Le rouge vif des tiges de bette à carde tranche avec le feuillage vert des plants de cerises de terre, tandis que le basilic violet se marie au vert métallique des choux. Ce genre de potagers, aménagés devant une résidence, est peu fréquent. Et il le restera. Du moins à Drummondville, où l’administration municipale entend l’interdire complètement d’ici l’automne.

Josée Landry et Michel Beauchamp auraient pu opter pour de simples talles de bégonias et quelques pivoines pour embellir leur cour avant, mais ils ont préféré joindre l’utile à l’agréable en faisant un jardin.

«On a décidé de faire attention à notre santé et de manger différemment et ça passait par manger plus de légumes, alors on a décidé de faire un potager, explique M. Beauchamp. Mais on n’avait jamais fait de potager!»

Leur cour arrière étant complètement ombragée, celle de devant était le seul endroit possible. Dès le mois de mars, le couple s’est mis au travail en faisant des recherches sur l’internet, car tout était à apprendre. Quatre mois plus tard, le résultat laisse pantois quand on pense qu’il est l’oeuvre de néophytes: les plants sont grands et vigoureux, leur place dans le potager a été pensée pour ne pas qu’ils nuisent aux autres, des fleurs ont été plantées pour chasser les insectes et il n’y a pas une mauvaise herbe à l’horizon.

«On ne s’attendait pas du tout à un tel résultat, s’exclame Josée Landry, visiblement fière de son potager. On n’avait pas d’expérience en jardinage. Quand c’est la première fois qu’on voit des légumes pousser, c’est beau à voir.»

Leur potager, qui fait le tour du monde depuis une semaine par l’entremise des médias sociaux, leur a d’ailleurs valu des félicitations.

Si populaire soit l’idée, elle ne semble pas convaincre l’administration municipale. Des quatre villes s’étant regroupées en 2004 pour former l’actuelle ville de Drummondville, seule Saint-Charles-de-Drummond permet les potagers en façade. Et ils seront interdits sur la totalité du territoire lorsque l’harmonisation des règlements municipaux sera terminée, l’automne prochain. Josée Landry et Michel Beauchamp pourront toutefois jouir d’un droit acquis.

«C’est une question de cohésion de la trame urbaine, explique Claude Proulx, le directeur général de la Ville. On ne voudrait pas se retrouver avec des plantations de blé d’Inde devant une résidence, de radis devant une autre et de patates ailleurs.»

L’argument ne convainc pas Michel Beauchamp.

«Le gazon, ça ne sert à rien, ça ne se mange pas. Utilisons cet espace-là pour produire de la nourriture. C’est complètement absurde d’acheter des légumes qui viennent de l’autre bout du monde, qui polluent pour se rendre jusqu’à nous, quand on peut les faire pousser ici.»

Selon la Ville de Drummondville, le débat préoccupe bien peu de gens. Lors des assemblées publiques organisées dans le cadre de l’harmonisation des règlements municipaux, aucun citoyen n’a soulevé la question des potagers de façade, souligne le directeur général.

«Mais s’il y a des citoyens qui voudraient que la réglementation soit changée, il y a un processus de demande d’amendement qui est possible», précise Claude Proulx.

http://www.lapresse.ca

Électrocuté en installant des décorations de Noël


Un accident bête qui en a résulté a une mort. On ne le dira jamais assez que les fils électrique qui alimentent les maisons sont dangereux de s’en approcher C’est vraiment bête ce genre d’accident surtout qu’il allait aider une personne
Nuage

Électrocuté en installant des décorations de Noël

«Il aurait touché aux fils avec sa tête»

Crédit photo : Agence QMI

«Il aurait touché aux fils avec sa tête»

TVA Nouvelles

Un jeune homme de 19 ans s’est électrocuté à mort en voulant installer des lumières de Noël, dimanche, à Drummondville.

Selon le coroner Yvon Garneau, la victime répondait à la demande d’un voisin, qui lui avait demandé de retirer ses anciennes décorations de Noël et d’en installer de nouvelles, à l’aide d’une «petite perche en bois».

Le jeune homme, qui était seul au moment de la tragédie, serait grimpé dans l’arbre dont la cime est traversée par des fils électriques à haute tension sans utiliser une échelle.

 «On pense qu’il aurait touché aux fils avec sa tête», indique le coroner.

Ce dernier a précisé que la victime serait par la suite restée coincée dans l’arbre jusqu’à ce que les pompiers parviennent à le redescendre au sol.

«Des manoeuvres de réanimation ont été tentées, mais on croit qu’il n’avait pas de pouls à ce moment, qu’il s’agit d’une mort instantanée», précise M. Garneau.

En entrevue à LCN, le coroner a profité de l’occasion pour rappeler qu’il faut redoubler de prudence lors qu’on s’approche d’une ligne de courant, car il est possible d’être électrocuté sans même entrer en contact avec les fils.

«J’ai déjà vu dans des rapports une électrisation qui se produit au moment où on est très près d’un haut voltage. À ce moment, le courant peut, par exemple, entrer par les mains et ressortir par les pieds et bien sûr provoquer un arrêt cardio-respiratoire.»

Pour éviter ce type de drame, le coroner recommande de contacter Hydro-Québec avant de s’approcher de fils électriques.

http://tvanouvelles.ca