Le chien communique par son corps. Savoir décoder le comportement canin, permet de mieux le comprendre.
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Décoder le comportement du chien
Le chien communique par son corps. Savoir décoder le comportement canin, permet de mieux le comprendre.
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Décoder le comportement du chien
C’est une réflexion sur notre façon d’agir face à la nature. Il y a plusieurs années, nous vivions selon les saisons, avec notre environnement. Aujourd’hui, nous préférons tout contrôler, faire de l’argent avec cette nature, même si nous risquons l’extinction des espèces que ce soit de la faune ou de la flore. Un exemple donné, on prévoit la chasse aux écureuils, non pas qu’elle soit un danger, mais pour des raisons économiques, de création d’emplois. C’est tombé bien bas !
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GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO
Laissons nos écureuils en paix et repensons notre place dans le cycle de la Nature.
Il était une fois l’Homme…fort de son intelligence (cela reste à vérifier) et de sa propension à se croire le meilleur, n’ayant peur de rien. Il ne cessa jamais de défier la nature et ses vertus.
Au début de son existence, il connaissait les rythmes de Dame Nature. La nuit succédait au jour. Le soleil se levait et se couchait. Il sentait les doux parfums des fleurs des champs. Le parfum de Dame Nature lui plaisait et le ressourçait. Après la pluie, il sentait la brise légère et le parfum de l’herbe humide. Une odeur particulière lui rappelant qu’il est un être vivant, comme les autres.
La technologie avançant et la science évoluant, l’Homme quitta ses villages pour aller dans les villes, parfois même, en créer. Dame Nature fut reléguée au statut d’ennemie quotidienne. Il fallait la dominer. L’Homme coupa et coupa encore les arbres pour détruire progressivement des pans entiers de forêts ou de bois. L’Homme devint étranger à Dame Nature.
Dame Nature devint parfois un endroit paradisiaque ou de grandes aventures. L’Homme décida alors de camper avec sa tente, son petit-réchaud, son sac gonflable et son petit couteau de survie. Pensant renouer avec le passé aventurier et animal de son humaine condition.
Il remarqua que certaines espèces animales pouvaient être exploitées à des fins économiques.
Mais cela est sans compter sur des actions néfastes. Dame Nature était celle qu’il fallait maîtriser. Se croyant le meilleur, il relégua toutes les autres espèces animales dans un statut d’utilité ou inutilité publique. Il remarqua que certaines espèces animales pouvaient être exploitées à des fins économiques. Le papier « argent » prit la place de la Nature et de la richesse de la vie. Il enferma les vaches, les veaux, les moutons, les poules, les canards et bien d’autres animaux. Il en mangea mais il en commercialisa aussi. Le pouvoir de l’argent faisant, l’Homme confina les animaux dans des usines. Les vaches ne virent jamais l’herbe, les prairies verdoyantes. Les veaux quittèrent leurs mères dès les premières heures de leurs existences. Ils naissaient pour finir dans l’assiette touffue de l’Homme.
Jadis, les ancêtres de l’Homme contemporain respectaient le cycle de la vie. Ce temps est révolu. De l’Homme, partie de la Nature, il est devenu l’Homme prédateur sans vertus et scrupules. Il ne chasse plus pour se nourrir avec sa famille. Il chasse pour ce bout de papier, peut-être recyclé, appelait « argent ». L’Homme ne pense plus en termes de rythmes des saisons, des espèces et de Dame Nature. L’Homme a dans les yeux ce petit symbole de richesse éphémère.
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Ce texte est en lien avec une actualité des plus étranges et devant nous interroger sur nos actions en tant qu’humain. Depuis plusieurs décennies maintenant, nous avons conscience que nous faisons partie d’un Tout puissant. Ce n’est pas Dieu mais la Nature. La nature se divise souvent en deux grands champs : la faune et la flore. La faune concerne les animaux alors que la flore est du domaine des végétaux et de l’environnement. La faune et la flore existait avant l’espèce humaine. Cependant, nous détruisons la faune et la flore depuis des décennies. Nous sommes devenus notre pire ennemi.
Ne croyez pas que je suis un écologiste acharné. Non, je suis un être vivant ayant conscience qu’il vit dans un espace vivant aussi. Les arbres, les plantes, les arbustes, les animaux ou encore le cycle des saisons existent et répondent à des impératifs plus grands que ceux créés par l’espèce humaine. Nous devons en prendre conscience.
Récemment, une pétition a été déposée par un député de la Coalition Avenir Québec (CAQ) demandant de permettre la chasse aux écureuils au Québec. Nous pourrions croire qu’il s’agit d’un impératif de protection des êtres humains qui se voient menacés. Nullement. Si nous regardons le texte, nous voyons que les deux premiers motifs (donc plus important selon l’instigateur de la pétition) sont d’ordres économiques (création d’emplois et de retombées économiques de l’industrie de la chasse).
Comment l’être humain en est arrivé à ce point?
L’humain, espèce vivante parmi d’autres, pense en termes économique à la place de la nature. Sans la planète, la nature, nous ne serions pas présents. Il suffit pour cela de regarder la menace du réchauffement climatique. Il est temps que nous prenions conscience de notre place dans la nature. Si nous sommes menacés, nous devons nous défendre mais sommes-nous menacés par les écureuils ? Aucunement.
Arrêtons de penser par le biais des rentes pécuniaires mais renouons avec la Nature. N’est-il pas fabuleux de pouvoir observer et vivre en harmonie avec les écureuils ? N’est-il magnifique d’entendre le chant des oiseaux le matin au réveil ? N’est-il pas d’une grande beauté de voir des fleurs ou des arbres en fleurs grâce aux butinages des abeilles ?
Laissons nos écureuils en paix et repensons notre place dans le cycle de la Nature.
Je me demande combien d’agresseurs potentiels vont chercher de l’aide avant que l’irréparable arrive. Cependant, pour les victimes, on ne peut que souhaiter qu’elles ou ils dénoncent leur agresseur pour ces gestes qui resteront à jamais marqué dans leur vie
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Un texte de Louis-Philippe Ouimet
Cette semaine, plusieurs femmes ont affirmé avoir été agressées sexuellement dans la foulée de l’affaire Jian Gomeshi. Si les témoignages des victimes ont fait beaucoup réagir, on a beaucoup moins parlé des agresseurs. Qui sont-ils et comment les aider à ne pas récidiver?
Les sexologues s’entendent pour dire que les agresseurs sexuels peuvent venir de tous les horizons.
« Je ne crois pas qu’il y a un portrait type de l’agresseur, affirme la sexologue Jocelyne Robert. Les agresseurs ne viennent pas nécessairement d’un milieu défavorisé ou d’un milieu toxique. »
Dans la tête de l’agresseur
Au coeur de l’agression, il y a ce désir de prendre le contrôle et de dominer la victime, disent les spécialistes.
Selon Benoît Dassylva, médecin-psychiatre à l’Institut Philippe-Pinel de Montréal, où l’on retrouve plusieurs agresseurs sexuels récidivistes et judiciarisés, le délinquant sexuel n’est pas un monstre, même s’il commet des gestes monstrueux.
« Du point de vue des agresseurs sexuels, ils ont sur le coup un grand sentiment de bien-être, de triomphe, pendant l’agression. Mais ce sentiment est très éphémère. Ils reviennent rapidement à la réalité », dit-il.
La loi est pourtant claire. « Tout contact de nature sexuel sans le consentement de l’autre personne constitue une agression sexuelle, quel que soit le contact. Si on parle de parties intimes, les seins, les fesses, c’est certainement un contact sexuel », affirme l’avocat-criminaliste Éric Sutton.
Si l’agresseur passe aux actes malgré sa connaissance de la loi, c’est en partie parce qu’il ne considère plus leur victime comme des personnes, dit Benoît Dassylva.
« Il y a même des gens qui disent que dans des cas extrêmes, les agresseurs transforment les êtres humains en objets », ajoute-t-il.
Les bénéfices de la dénonciation
Avant même de passer à l’acte, plusieurs agresseurs auraient des fantasmes de soumettre sexuellement une autre personne sans son consentement. Selon Benoît Dassylva, il ne faut pas hésiter à chercher de l’aide avant qu’il soit trop tard.
« D’avoir des fantasmes déviants, des désirs de soumettre des victimes contre leur gré est le signe d’un problème et qui mériterait une consultation sur le plan clinique », explique-t-il.
Si les psychiatres ne peuvent pas venir en aide à tous les agresseurs sexuels, ils peuvent tout de même en aider un très grand nombre. Selon Francis Laroche, sexologue à la Clinique pour les troubles sexuels de l’Institut universitaire en santé mentale de Québec, 90 % des agresseurs ne passent plus à l’acte après une dénonciation suivie d’une thérapie.
« Après avoir dénoncé un agresseur, il y a sa judiciarisation, la médiatisation de l’acte et une thérapie. Des éléments qui vont être suffisants pour qu’il n’y ait plus de passage à l’acte dans la majorité des cas », dit-il.
Voilà, un coin asiatique que les chats ne sont pas estimés pour leur chair, mais plutôt pour leur nature de prédateur. Une ile, ou les chiens sont exclus, car le rôle de ces chats est important. De plus lors du tsunami en 2001, les chats auraient probablement senti le danger
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cat at 田代島 / Kakei.R via FlickrCC License by
La domination féline de Tashirojima remonte à la fin de l’ère Edo –entre le milieu du XVIIIe siècle et le milieu du XIXe siècle.
A Ishinomaki, près de Sendai, une traversée en ferry de quarante minutes vous mènera sur l’île de Tashirojima. Si l’île ne compte qu’une centaine d’habitants, ce sont plusieurs centaines de chats qui y ont élu domicile.
La domination féline de Tashirojima remonte à la fin de l’ère Edo –entre le milieu du XVIIIe siècle et le milieu du XIXe siècle. A l’époque, les résidents de l’île élevaient des vers à soie pour l’industrie textile. Et les chats étaient précieux tant ils chassaient les souris susceptibles de grignoter les larves.
Comme aujourd’hui, Tashirojima était alors une île charriant le gros de ses ressources de l’industrie halieutique. Adulés et protecteurs de la soie, les chats se mirent à traîner autour des pêcheurs pour obtenir de la nourriture et les réactions positives des marins attirèrent bien vite des hordes de minous vers les quais. Une mythologie vit alors le jour au sujets des chats de Tashirojima: pour les pêcheurs, les chats étaient un signe de prospérité et ils leur consacrèrent un temple au centre de l’île.
Sur l’île aux chats / Kakei.R via FlickrCC License by
Si, en 2011, l’île fut dangereusement proche de l’épicentre du séisme de Tohoku –et fut située, de fait, sur la trajectoire du tsunami qui s’ensuivit– Tashirojima, sa population humaine et ses habitants à quatre pattes furent relativement épargnés. Si les bâtiments les plus proches des côtes eurent à subir des dégâts, la plupart des maisons, construites sur les collines, restèrent intactes.
Sur YouTube, une troublante vidéo (et pas parce qu’elle est tournée dans le mauvais sens, NDLE) montre quelques-uns des chats de l’île faire preuve d’un étrange comportement juste avant le déferlement du tsunami.
Sur les sentiers touristiques de l’insolite et du bizarre, celle que l’on appelle désormais «l’île aux chats» saura séduire les visiteurs amateurs de félins. Si vous voulez y passer la nuit, des cabanes en forme de chats sont à louer d’avril à novembre. Les chiens sont interdits de séjour.
cat at 田代島 / Kakei.R via FlickrCC License by
Nous avons peut-être eu des périodes que nous avons été un peu sadiques, mais pour la plupart, ce n’est pas rester comme un problème de comportement. Alors que d’autres, le sadisme fait partie de leur vie.
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Moquerie, humiliation, paroles blessantes… Avez-vous un sadique dans votre entourage ? Joue-t-il avec vous pour s’amuser ou vous faire du mal ? Medisite a interrogé Renaud Da, psychologue clinicien, pour en savoir plus.
Un sadique, c’est quoi ?
Le sadisme est un terme créé à partir des écrits du marquis d’Alphonse François Donation de Sade au XIIIe siècle, qui démontraient que la nature de l’homme était mauvaise. On dit qu’un sadique est une personne qui recherche à prendre du plaisir en faisant volontairement souffrir les autres.
« Cette volonté de faire souffrir l’autre physiquement ou aussi moralement trouve son origine dans l’agressivité qui habite chacun de nous », explique Renaud Da, psychologue clinicien.
Deux types de sadique
Le sadisme ordinaire : Même s’ils cachent souvent toutes formes d’émotions, les sadiques sont très angoissés. Pour calmer ce stress, ils cherchent à contrôler un individu, qu’ils humilient ou font souffrir.
« Par des comportements verbaux, des écrits. On peut même y ajouter le harcèlement et le bizutage », ajoute notre interlocuteur.
Le sadisme sexuel : C’est la forme la plus connue du sadisme. Un sadique va ressentir une grande excitation sexuelle en voyant l’autre souffrir devant lui.
« Ils sont souvent nourris de la perception violente qu’ont pu avoir certains enfants des relations sexuelles des relations sexuelles de leurs parents ou proches », explique Renaud Da, psychologue clinicien. Mais il existe aussi des sadiques dans la vie ordinaire.
L’impression d’être supérieur aux autres
Faire du mal est un moyen pour le sadique de « soulager ses pulsions d’agressivité », explique Renaud Da, psychologue.
Même s’il se donne une impression de supériorité et ne laisse jamais ses failles apparaître, un sadique est quelqu’un d’angoissé. Effrayé à l’idée de paraître faible, il s’assure par ses tortures physiques ou morales, une supériorité par rapport à l’autre.
« C’est souvent un retournement sur l’autre du masochisme, souffrance que l’on s’inflige à soi-même », détaille notre interlocuteur.
Ils font souffrir les autres comme, ils aimeraient souffrir.
Contrôler l’autre par des paroles blessantes
Les sadiques exercent une forme de contrôle sur autrui, mais par leurs actes. Il ne faut pas confondre sadique et pervers.
Pour Renaud Da, psychologue et clinicien « il est plus facile de reconnaître un sadique qu’un pervers« .
Un pervers manipule psychologiquement par les mots. Si on l’accuse il arrive à persuader par le mensonge que c’est la faute de l’autre.
« Le sadique lui, est dans l’action », ajoute le psychologue.
Il fait souffrir par ses actes, qui sont facilement identifiables. Regarder l’autre avoir mal pendant un acte sexuel par exemple, ou faire une remarque blessante devant tout le monde.
Des victimes plus ou moins consentantes
« L’agressivité du sadique s’appuie sur une domination et un contrôle de l’autre », explique Renaud Da, psychologue.
Encore une fois, elle s’apparente aux actes du pervers sauf qu’un pervers arrive à manipuler sa proie pour qu’elle ne s’en rende pas compte.
« La victime du sadique est plus ou moins consentante ce qui d’ailleurs augmente le plaisir car le sadique peut mieux s’identifier à la victime », ajoute notre interlocuteur.
Et de citer pour exemple les jeux sadomasochistes où le partenaire du sadique sexuel est consentant.
Une pression de plus en plus forte
Pour un sadique, faire souffrir les autres est un moyen de soulager ses angoisses. Seulement il est possible que l’effet s’estompe
. « C’est comme dans les addictions, il est possible qu’il faille « augmenter » la dose pour obtenir le même plaisir », explique le psychologue Renaud Da.
Pour ne pas se laisser envahir, mieux vaut ne pas se laisser faire.
Un sadique peut-il être dangereux ?
Chacun d’entre nous peut faire preuve de sadisme à certains moments de la vie. Cela devient problématique quand les limites sont dépassées.
« Il faut distinguer les souffrances que l’on peut faire subir à un être vivant à sang chaud. Si un enfant torture un insecte : rien de dangereux. S’il torture un chien il faut le traiter psychologiquement. Avec les adultes c’est pareil. Il peut nous arriver de nous moquer ouvertement de quelqu’un. En revanche quelqu’un qui maltraite sa femme ou ses enfants doit être suivi. Nous avons tous à travailler sur nos tendances agressives, cruelles et sadiques qui se terrent au fond de notre inconscient », explique le psychologue.
Avant de regarder ailleurs, nous devons d’abord connaitre nos propres défauts et apprendre a mieux cernés nos points positifs et les mettre en valeurs
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Sa propre nature
L’homme se trompe de combat, il ne doit pas se battre avec la nature mais avec sa propre nature. Combattre son égoïsme, son égocentrisme, arrêter de vouloir dominer les autres et la nature et pouvoir se dominer soi-même.
Revoir ses priorités et retrouver le bon sens sont des priorités!
Louis Berger
Nous n’avons pas fini d’entendre parler de la différence entre les personnes à chien et les personnes à chats. Mais que dire, de ceux qui ont des chiens et des chats à la maison …
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Cette récente étude note ainsi que les personnes affectionnant les chiens auraient une propention à exercer leur domination dans le monde professionnel
Elles se sentiraient aussi plus à l’aise avec le concept de hiérarchie que les « personnes à chats ».
La guerre entre chiens et chats connait donc une nouvelle ligne de fracture : une étude menée auprès de 500 adultes américains a conclu que les « personnes à chiens » (dog people) adopteraient un comportment naturellement plus dominateur dans la sphère sociale et se sentiraient plus à l’aise avec le concept de hiérarchie que les « personnes à chats », qui accepteraient quant à elles assez mal les inégalités sociales.
Cette récente étude menée aux Etats-Unis par une université australienne note ainsi que les personnes affectionnant les chiens auraient une propention à exercer leur domination dans le monde professionnel.
L’étude observe que ces derniers ont un tempérament naturellement plus dominateur que les propriétaires de chats, qui seraient, toujours selon cette étude, surtout des femmes.
Des études de même type menées précedemment étaient arrivées à la conclusion que les propriétaires de chiens affichaient des convictions politiques généralement plus tranchées et conservatrices que les autres.
Tout comme les chats, les chiens ont un langage bien à eux. Savoir reconnaitre certains aspects de leur gestuelle permet d’une meilleure communication avec son animal
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Il n’est pas toujours aussi facile qu’on le pense de bien comprendre les attitudes de son chien. Voici des gestuelles que vous devriez être en mesure d’évaluer correctement.
Par WebVet
1. Est-il heureux ?
(Photo: Thinkstock)
Un chien heureux est détendu. Ses muscles sont souples, il a la queue et les oreilles en positions normales et son corps occupe les dimensions propres à sa race. Il peut agiter sa queue d’un côté à l’autre ou de façon circulaire. Son expression faciale est neutre ou elle laisse voir qu’il est heureux — les muscles de la tête sont détendus, il a la gueule fermée ou entrouverte et sa respiration est régulière. Les coins de ses lèvres sont légèrement relevés, comme s’il souriait.
2. Est-il sur ses gardes?
(Photo: Thinkstock)
Quand votre chien est sur ses gardes, il a une expression intense et préoccupée. Il se tient droit ; ses oreilles sont dressées et inclinées vers l’avant ; sa tête et son cou sont relevés. Sa queue est en position normale ou verticale ; elle est rigide et immobile. Il regarde ce qui attire son attention. Il a la gueule probablement fermée, mais il peut grogner ou aboyer.
3. Est-il excité ?
(Photo: Thinkstock)
Dans un tel cas, il peut avoir une expression aussi intense que lorsqu’il est sur ses gardes, mais il paraît joyeux. Il a les oreilles droites et la queue dressée ; il peut l’agiter. Il regarde la personne ou l’objet qui provoque son excitation. Les chiens excités peuvent avoir la geule ouverte et ils peuvent aboyer.
4. Est-il inquiet ?
(Photo: Thinkstock)
Le chien inquiet a presque toujours les poils dressés. Mais tout le reste de sa gestuelle dépend de son état d’esprit, selon qu’il se sent effrayé, inquiet ou en colère. Son corps peut paraître normal ou plus gros qu’il ne l’est en réalité ; ses oreilles peuvent être collées ou dressées et sa queue peut être basse, en position normale ou dressée. Il peut regarder directement un individu ou un objet. Pafois, il n’y a rien pour justifier, à vos yeux, son attitude, mais un chien peut être troublé par un son ou une odeur que vous ne percevez pas.
5. Est-il d’humeur joyeuse?
(Photo: Thinkstock)
Ses mouvements corporels sont saccadés. Il exécute des sauts, des bonds, des girations ou des torsions exagérées. Il peut tourner autour de vous, vous donner des coups de patte, puis se mettre à courir pour vous inviter à le poursuivre. Ou il peut tout simplement sauter sur vous et commencer à vous faire des grimaces. Certains chiens prennent une expression enjouée en ouvrant partiellement la gueule, ce qui peut donner à penser qu’ils sourient. Ou il peuvent grogner ou lancer de petits jappements aigus.
6. Est-il effrayé ?
(Photo: Thinkstock)
Quand un chien est effrayé, il essaie de se faire petit. Il a le dos voûté ; sa queue est basse et coincée entre ses pattes arrière et ses oreilles sont rabattues sur son crâne. Il peut s’aplatir sur le sol. Les muscles de son corps et de sa face sont tendus et rigides. Il peut aussi bailler avec exagération.
7. Est-il en état de dominance ?
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Si votre chien est en état de dominance, il se dresse, souvent sur le bout de ses pieds, et essaie de paraître plus gros qu’il ne l’est. Il cambre le dos. Il paraît tendu, comme un ressort. Son poids est également réparti sur ses quatre pattes et il se penche un peu vers l’avant. Ses oreilles sont droites et légèrement inclinées vers l’avant. Sa queue est raide et dressée ; son extrémité peut battre ou trembler légèrement. Il peut avoir le poil dressé sur ses épaules ou sur son dos. Il regarde habituellement les autres droit dans les yeux. Il peut grogner, mais sa gueule reste fermée.
8. Est-il en état de soumission ?
(Photo: Thinkstock)
Le chien soumis essaie de dire qu’il est l’inférieur, qu’il ne menace personne et qu’il n’est pas nécessaire de l’agresser. En phase de soumission active, il fait en sorte de paraître plus petit en voûtant le dos et en s’écrasant sur le sol. Il a la queue basse et glissée entre les pattes ; parfois, il l’agite rapidement. Il aplatit ses oreilles et les ramène sur les côtés de sa tête. Il garde le cou près du sol, mais dirige son museau vers l’autre individu. Il peut le renifler, le lécher ou lui donner un petit coup de langue. Il détourne les yeux pour ne pas le regarder directement. Certains chiens, surtout quand ils sont chiots, urinent.
Être victime d’un manipulateur affectif est difficile de s’épanouir et de sortir de cette dépendance de l’autre .. Cependant quand on comprends que les manipulateurs ont peur de l’échec, de la perte de pouvoir, cela peut donner une ouverture pour trouver des outils pour cesser cette manipulation
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Comment se protéger des manipulateurs affectifs ?
PAR FRANCE LÉCUYER, SPÉCIALISTE EN PSYCHOLOGIE (M.A.PS.) ET INFIRMIÈRE | PHOTO: ISTOCK
«C’est comme ça que tu me remercies, après tout ce que j’ai fait pour toi?» Cette phrase est un exemple typique de chantage émotionnel, une forme puissante de manipulation qui ruine la vie de bien des gens. Voici quelques conseils pour y mettre fin.
Les «maîtres chanteurs» émotionnels connaissent nos faiblesses et nos secrets les plus profonds, et ils utilisent ces informations à leur avantage pour nous forcer à faire ce qu’ils veulent. Il peut s’agir de notre conjoint, de notre mère, d’un collègue ou d’un ami à qui nous avons accordé notre confiance. Il faut souvent des mois, voire des années, avant de découvrir leurs brillants stratagèmes, car ils sont très habiles à dissimuler leur jeu. Susan Forward, thérapeute et consultante, décortique les relations caractérisées par la manipulation dans son ouvrage intitulé Ces gens qui font du chantage affectif, publié aux éditions de l’Homme, et nous propose des outils concrets pour identifier ces relations malsaines et minimiser leur impact.
À la base du chantage affectif se trouve une même injonction, dont seuls les détails varient selon les circonstances: «Si tu ne te comportes pas comme je veux, tu souffriras». Le manipulateur sait combien nous tenons à notre relation avec lui. Conscient de notre désir de conserver son amour et son estime, il menace d’arrêter d’éprouver, provisoirement ou définitivement, ces sentiments à notre égard, ou il nous donne l’impression que nous devons d’abord les mériter.
«Il exploite ce qu’il connaît de nous, à chaque fois qu’il redoute de ne pas pouvoir imposer sa volonté, et formule les menaces qui garantissent notre soumission», explique Susan Forward.
La manipulation affective engendre chez tous ceux qui en sont la cible un sentiment profond d’impuissance et de désarroi, qui les mine et ébranle rapidement leur estime personnelle. C’est pourquoi elle doit à tout prix être neutralisée.
Parmi les gens qui pratiquent la manipulation affective, il existe différents types de caractères et de comportements: certains sont passifs, d’autres ouvertement agressifs. On retrouve des partisans des méthodes directes et des manipulateurs plus subtils. Il y a ceux qui font sentir les risques qu’on court à les contrarier, et ceux qui insistent sur les souffrances qu’on leur inflige.
«Mais tous ont en commun de se soucier exclusivement de leurs besoins et de leurs désirs personnels, et d’éprouver de l’indifférence pour ceux d’autrui», assure l’auteur.
Entretenir les sentiments de peur, d’obligation et de culpabilité de leurs victimes est donc essentiel pour les manipulateurs affectifs.
Les «maîtres chanteurs» ont peur de l’échec, du changement, du rejet et de perdre leur pouvoir. Certains éprouvent d’ailleurs de l’anxiété et des doutes quant à leur propre valeur depuis de longues années. Chez d’autres, ces peurs se sont manifestées à la suite de situations d’incertitude ou de stress récentes, qui ont ébranlé leur sentiment de sécurité.
On remarque que le niveau de chantage s’intensifie de façon spectaculaire lorsque le «maître chanteur» traverse une crise (divorce, perte d’emploi, maladie, etc.), car elle sape son sentiment de dignité.
«Une angoisse importante les pousse à agir. Quand les autres leur obéissent au doigt et à l’œil, ils ressentent un puissant sentiment de pouvoir et de sécurité, du moins sur le moment. La manipulation devient le bouclier qui les protège de leurs peurs et de leurs peines», écrit-elle.
– Dissiper la confusion qu’on éprouve lorsqu’on est avec le «maître chanteur». En effet, ce dernier peut habilement dissimuler ses agissements, à un point tel qu’on doute de ses propres perceptions. Comme il existe un gouffre immense entre les actions du manipulateur et l’image bienveillante qu’il projette, on ressent un mélange de perplexité, de désorientation et de rancune. Il faut en prendre conscience et demeurer vigilante.
– Désamorcer la situation. Pour jouer au jeu du chantage, il faut être deux! Si on a donné au «maître chanteur» les moyens de dominer, la soumission équivaut pour lui à une récompense.
«À chaque fois qu’on récompense quelqu’un à la suite d’une action, on lui fait comprendre, sans nécessairement le vouloir, qu’il peut récidiver», prévient Susan Forward.
– Modifier son comportement. Pour mettre fin à l’habitude de capituler devant le manipulateur, et pouvoir enfin travailler sur son propre bien-être, Susan Forward conseille…
Passer célibataire a une vie de couple demande une certaines préparation et ce même pour le chien car ses habitudes risquent de changer. Il n’est pas question de jalousie mais d’adaption et de perception qu’un nouveau venu peut engendrer P.S A mon avis, un chien ne devrait jamais dormir dans un lit avec son maitre
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Même si votre animal de compagnie ne peut éprouver de jalousie, il importe de dissocier les changements dans son mode de vie de l’arrivée de votre nouvelle flamme.
PHOTO FOURNIE PAR ALLIANCE
STÉPHANIE VALLET
La Presse
Vous êtes célibataire et des liens uniques se sont tissés entre votre animal de compagnie et vous. Mais un beau jour, si vous trouvez l’amour, il se pourrait bien que pitou n’apprécie pas trop de faire ménage à trois. L’arrivée d’un nouveau conjoint à la maison est en effet synonyme de changement, source de la majorité des problèmes de comportement chez le chien.
Pour Gaby Dufresne, comportementaliste et éducatrice, il est d’abord important de ne pas interpréter les éventuels conflits entre votre animal de compagnie et votre nouvelle flamme comme de la jalousie ou un quelconque désir de domination.
«La jalousie n’est pas un sentiment possible chez le chien. Pour être jaloux, il doit être capable d’aimer et de haïr en même temps, mais aussi d’aller chercher un événement du passé et d’anticiper le futur. Le chien n’est pas en mesure de le faire, car il a un système émotif beaucoup plus simple», explique-t-elle.
Ainsi, si pitou veut monter sur le canapé afin de se coucher là où il l’habitude de le faire et que votre nouveau conjoint lui refuse l’accès, ce n’est pas la jalousie qui sera la cause du grognement de votre chien, mais plutôt la perturbation d’habitudes bien ancrées dans son quotidien. Pitou n’essaye pas non plus ici de dominer votre nouveau compagnon.
«Pour que le chien soit dominant, il faudrait que votre conjoint soit capable de lever ses oreilles, sa queue et le poil sur son dos. Aucun humain ne peut le faire!», s’amuse la comportementaliste.
Dès lors, comment expliquer que pitou évite votre nouvelle flamme ou qu’il grogne ou urine pour montrer son mécontentement?
Tout d’abord, la socialisation envers les hommes peut ne pas avoir été faite de manière adéquate. Le chien peut aussi avoir été abusé ou traumatisé par le passé.
«Un conflit peut aussi éclater au sein du couple à cause de philosophies d’éducation différentes. Je suis un client depuis un certain temps. Il a toujours eu une approche rigoureuse avec son chien alors que sa nouvelle conjointe est une personne très zen et plus permissive. Le chien a rapidement développé une relation privilégiée avec elle et évite maintenant son maître devenu très jaloux. Il a donc fait appel à mes services et chaque fois que le chien me voit, il me saute dessus en me léchant, car il m’a associé au renforcement positif! Le chien va sélectionner ce qu’il considère comme étant agréable», précise Gaby Dufresne.
Si votre chien avait pour habitude de dormir sur votre lit, il est nécessaire de l’éloigner avant même l’installation à deux afin qu’il puisse prendre cette nouvelle habitude sans l’attribuer au nouveau venu. Il est aussi primordial que le nouveau compagnon ou la nouvelle compagne se fasse une place dans l’affection du chien, en le promenant, en jouant un peu avec lui, en s’en occupant aux moments des repas, par exemple.
Rappelez-vous que le sexe de votre chien n’a aucun rapport quant à l’accueil qu’il réservera au nouveau conjoint. Et n’oubliez pas que si votre chien est dépendant affectif, il l’était déjà bien avant l’arrivée de votre nouveau conjoint! Pitou est bien souvent la béquille affective du célibataire…