Lauberivière reçoit près de 1000 dindes en 24 h


Un avantage des temps des fêtes est que les organismes de charité reçoivent plus de dons pendant cette période. Cette année, un refuge de Québec, pensait ne pas pouvoir offrir un repas traditionnel aux usagers. Ils ont lancé un appel d’aide au public qui a répondu plus qu’ils espéraient.
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Lauberivière reçoit près de 1000 dindes en 24 h

Un homme tend une dinde au directeur général de l'organisme

Le directeur général s’est fixé un objectif secret de 1000 dindes.

PHOTO : RADIO-CANADA / PIERRE-ALEXANDRE BOLDUC

Radio-Canada

La magie de Noël a opéré. Moins de vingt-quatre heures après un appel à la générosité lancé par le refuge de Québec, l’organisme croule sous les dindes.

Jeudi, Lauberivière craignait de ne pas pouvoir remplir sa mission à quelques jours des Fêtes. Une diminution des dons de denrées traditionnelles, comme les dindes et les pâtés à la viande, laissait présager le pire pour l’organisme qui sert entre 300 et 500 repas quotidiennement.

Mais il ne suffisait que de demander et les donateurs ont afflué en masse.

Hier, entre 8 h et 16 h, on a eu plus de 700 dindes. C’est presque 100 dindes à l’heure! se réjouit le directeur général de Lauberivière, Éric Boulay.

On a tellement besoin de ça. On vit des dons du public. […] On est ému, on est content. Je trouve ça incroyable! Ça fait plus de 20 ans que je suis ici, je n’ai jamais vu ça. Éric Boulay, directeur général de Lauberivière

L’organisme a également reçu 200 dindes supplémentaires, une gracieuseté de la coopérative de volailles Exceldor. La cargaison a été livrée par camion vendredi matin.

Quand [Exceldor] m’a appelé, j’ai eu deux secondes de blanc, raconte Éric Boulay. Je pensais que c’était une blague. Je pensais que c’était des collègues de bureaux qui me faisaient une blague.

Le directeur général s’est fixé un objectif de 1000 dindes. Il peine à croire que celui-ci est sur le point d’être atteint.

https://ici.radio-canada.ca

Un fast-food lance une carotte à base de viande pour trol­ler les végans


Bah, si cela peut amuser la clientèle pourquoi pas. De toute manière dans les fast-food, que la nourriture soit à base de viande ou de plante, ce n’est pas le meilleur endroit pour avoir une alimentation saine.
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Un fast-food lance une carotte à base de viande pour trol­ler les végans

Crédits : Arby’s / Youtube

par  Suzanne Jovet

Agacée par les « steaks » de plante déve­lop­pés par des entre­prises comme Impos­sible Foods et Beyond Meat, la chaîne de restau­ra­tion rapide améri­caine Arby’s a présenté le 26 juin une carotte faite entiè­re­ment à base de viande de dinde, rapporte Vice. Une réponse d’un goût pour le moins douteux.

Alors que les alter­na­tives végé­ta­riennes ou végé­ta­liennes gagnent du terrain dans la restau­ra­tion rapide, Alby’s a décidé d’al­ler à l’en­contre de cette nouvelle forme de burgers pour lesquels aucun animal n’est mort. La chaîne de sand­wichs a conçu la « Marrot », une saucisse de dinde en forme de carotte.

« S’ils peuvent fabriquer de la viande à base de légumes, nous pouvons fabriquer des légumes à base de viande », annonce la marque dans son spot publi­ci­taire.


Alby’s est une chaîne de fast-food fondée en 1964 dans l’Ohio. L’en­seigne est notam­ment connue pour ses sand­wichs où s’en­tassent d’in­nom­brables couches de viandes.

« Les chances pour que nous servions des plats à base de plantes dans nos restau­rants, main­te­nant ou à l’ave­nir, sont abso­lu­ment nulles », a déclaré le direc­teur de l’en­seigne.

La marque prétend que la Marrot présente la même valeur nutri­tion­nelle qu’une véri­table carotte.

En France, depuis le mois de mai 2018, les alter­na­tives végé­ta­liennes à la viande n’ont plus le droit de s’ap­pe­ler « steak » ou « saucisse », des mots quali­fiants les produits à base de viande animale.

Pour autant, Goliath n’a pas eu chez nous l’iné­lé­gance de trol­ler David. Car si les alter­na­tives à base de plantes sont en plein essor, l’in­dus­trie de la viande animale et ses abat­toirs ont encore de beaux jours devant eux.

Source : Vice

https://www.ulyces.co/

États-Unis Une dinde de 20 livres en 10 minutes!


Comment peut-on faire de tel concours ? Ce n’est pas possible que des gens cautionne ce genre d’activité, sachant que bien des gens peine à se nourrir convenablement sans compter les actions contre l’obésité. Est-ce vraiment un bel exemple a donné ?
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États-Unis

Une dinde de 20 livres en 10 minutes!

 

Joey Chestnut a visiblement un estomac d’acier. Après avoir participé cette année à des concours de mangeurs de hot-dogs et de poutine, il frappe encore!

Samedi, l’Américain a réussi à engloutir une dinde de 20 livres en dix minutes, rapporte CNN.

L’homme a reçu un prix de 5000$ pour récompenser son «exploit».

En juillet dernier, le Californien de 30 ans avait engouffré 61 hot-dogs en dix minutes, un peu moins que le record mondial établi à 69.

En octobre, Chestnut avait participé, à Toronto, au championnat mondial des mangeurs de poutine lors duquel il s’était fait damner le pion par un autre Californien, Matt «The Megatoad» Stonie.

http://tvanouvelles.ca

Images troublantes captées dans une ferme d’élevage de dindes en Ontario


Normalement, ce genre de vidéo qui dénonce la cruauté animale, je suis capable de voir l’horreur, mais pas cette fois-ci. Je n’ai pas pu voir la vidéo jusqu’à la fin tellement que c’est cruel. Si ce n’est que des cas isolés, j’espère que la compagnie va prendre des mesures nécessaires pour que d’autres animaux ne soient pas martyrisés de la sorte
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Images troublantes captées dans une ferme d’élevage de dindes en Ontario

 

« C’est le pire cas de maltraitance sur un animal que j’ai vu », résume l’employée infiltrée qui s’est confiée anonymement à l’émission Marketplace de CBC sur les scènes troublantes dont elle a été témoin dans une ferme d’élevage de dindes en Ontario.

Membre de l’organisme Mercy for animals, la dame a été embauchée dans une ferme de Kitchener qui appartient à la compagnie Hybrid Turkeys.

Grâce à une caméra cachée, l’employée a capté plusieurs scènes choquantes, comme celle d’un collègue recommandant de battre les animaux. Les enregistrements montrent des dindes avec des blessures ouvertes et un employé qui frappe une dinde à plusieurs reprises à coups de pieds ou avec différents objets, dont une pelle, après une tentative d’euthanasie ratée.

Hybrid Turkeys est le plus important éleveur souche de dindes au monde. Les oiseaux du stock génétique de Hybrid représentent 90 % des dindes consommées au Canada. Les dindes élevées par Hybrid sont les grand-parents, arrière et arrière-arrière-grands-parents des dindes élevées dans les fermes commerciales.

Mercy for Animals a porté plainte auprès de la Police provinciale de l’Ontario, qui a ouvert une enquête criminelle. La Société canadienne pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SCPA) de l’Ontario enquête aussi.

En réaction à l’enquête de Marketplace, Hybrid Turkeys a suspendu quatre employés qui apparaissent dans le reportage, dont un cadre. L’entreprise se dit engagée à coopérer aux enquêtes.

Cas isolé ou culture de cruauté?

« Nous pensons que c’est un incident isolé », affirme Helen Wojcinski, porte-parole de Hybrid Turkeys.

« Hybrid a une politique de tolérance zéro lorsqu’il s’agit de maltraitance envers les animaux et nous avons pris des actions immédiates pour rectifier la situation. » — David Libertini, directeur général de Hybrid Turkeys

Hybrid affirme également avoir mis en place des mesures depuis la diffusion des images.

« La semaine dernière, Hybrid est devenue la première compagnie à superviser l’euthanasie de leur volaille à l’aide d’enregistrements vidéo pour l’ensemble de leurs élevages », déclare l’entreprise par communiqué.

Pour l’organisme de défense des droits des animaux, les actes filmés sont plutôt le fait d’une « culture de cruauté et de négligence », estime Olivier Berreville, biologiste et militant pour Mercy for animals.

« Les employés pouvaient frapper les animaux en pleine vue de la direction sans aucune réprimande. On voit que c’est quelque chose qui a été de longue durée dans cet établissement. » Olivier Berreville, biologiste, Mercy for animals Canada

Hybrid dit avoir ouvert une enquête indépendante sur les pratiques de qualité entre ses murs. Selon le directeur général David Libertini, Hybrid a demandé à ce qu’une copie des enregistrements clandestins lui soit envoyée afin d’« enquêter de façon plus approfondie », mais n’a toujours rien reçu.

 

Les limites de l’étiquetage

La diffusion de ces images-chocs survient alors que les programmes de certification gagnent en popularité au Canada. Selon un sondage de la Vancouver Humane Society, 72 % des Canadiens seraient prêts à payer plus cher pour consommer une viande dont les conditions de vie et d’abattage sont certifiées.

Les marques et étiquettes qui répondent à cette demande certifient que l’animal a été bien traité, mais cette garantie a des limites.

« De toute évidence, il faudrait remonter plus loin que le produit que vous achetez. Il faudrait dire que non seulement l’oiseau a été bien traité, mais que ses parents, grands-parents et peut-être ses arrière-grands-parents [aussi] », explique Ian Duncan de l’Université de Guelph.

« Je crois que si [le public] voit des choses comme ça, il sera absolument horrifié. Horrifié de voir que c’est comme cela que sa nourriture est produite. »— Ian Duncan, expert en protection des animaux à l’Université de Guelph

La cruauté envers les animaux est une infraction en vertu du Code criminel du Canada et la plupart du temps c’est aux provinces de faire respecter la loi. Dans la majorité des provinces, la SCPA en est chargée.

« Il y a un trou béant dans le système en ce qui a trait aux contrôles et aux inspections de ces fermes au Canada », explique Geoff Urton de la SCPA de la Colombie-Britannique. « En général, il faut qu’il y ait un dénonciateur et qu’il y ait des dépôts de plainte », ajoute-t-il.

En plus de s’adresser à CBC, Mercy for animals a diffusé les images captées sur son site web.

L’enquête complète de l’émission Marketplace sera diffusée ce soir à 20 h sur CBC.

http://quebec.huffingtonpost.ca/