Apprendre


Comment lutter contre la violence, ce n’est sûrement pas en tant sourd aux autres, mais de rechercher à se comprendre, à accepter les différences entre nous et les autres ?
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Apprendre

 

 

 

“Apprendre à penser, à écouter l’autre, c’est être capable de dialoguer, c’est le seul moyen d’endiguer la violence effrayante qui monte autour de nous.”

Jacqueline Worms de Romilly

Le Saviez-Vous ► La poignée de main: bien plus qu’un simple geste !


La poignée de main fût avant tout un moyen de sécurité pour montrer qu’une personne est sans arme, ce n’est que par la suite qu’il est devenu une salutation, un accord .. La poignée de main à aussi son propre langage qui peut dire s’il y a dominance, soumission, honnêteté, hypocrisie etc ..
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La poignée de main: bien plus qu’un simple geste !

 

 

Considérée aujourd’hui comme un « must have » du « body language », la poignée de main illustre une des plus fortes relations de notre époque : celle entre communication et société.

Un être humain serre en moyenne plus de 10 000 mains dans une vie. La Dernière Heure revient sur l’origine de cette coutume.

Un « laisser-passer » d’antan

A l’époque, lorsque deux personnes se rencontraient, chacune tendait sa main droite vers l’autre pour lui montrer qu’elle n’était pas armée. Les soldats romains, qui cachaient souvent un poignard dans leur manche, avaient pour habitude de se serrer l’avant-bras lorsqu’ils se rencontraient. Il s’agissait alors d’une manière de montrer « patte blanche » avant d’entamer tout dialogue. Petit à petit, la tradition a laissé place à la modernité : en 2012, serrer la main d’une personne, représente avant tout, un signe d’appartenance à un groupe social.

Une tradition perpétrée dans le monde

Si la culture influe sur les plats et les traditions, elle n’en oublie pas pour autant les poignées de mains! En Chine et au Japon, on s’inclinera légèrement et on vous fera un signe de tête. En Belgique comme en France, ou encore, en Nouvelle-Zélande, il est important d’accompagner votre poignée de main d’un contact visuel, qu’il soit long ou bref.

Une petite analyse…

Certes, lors de dîners d’affaires ou de réunions, les poignées de mains ne nous échappent pas! Profitez des ces instants « protocolaires » pour découvrir la personne à laquelle vous avez affaire !

En effet, vous constaterez qu’une main dominante, signe du caractère fort de votre interlocuteur, sera orientée vers le bas. Si celui-ci pose sa main gauche sur votre épaule en même temps, cela implique qu’il vous considère comme inférieur à lui. En revanche, une main présentée au-dessus de la vôtre, représente la soumission. Si votre partenaire place sa main au même niveau que la votre, heureusement pour vous, il s’apprête à entamer un dialogue d’égal à égal.

D’après les recherches de plusieurs comportementalistes, une poignée molle indiquerait un refus de s’engager dans une conversation, un manque d’intérêt. Une main fuyante, quant à elle, révèlerait un sentiment d’hypocrisie. Enfin, méfiez-vous des personnes qui utilisent leur deux mains pour vous saluer, il s’agirait d’une simulation amicale.

Une poignée parfaite ?

D’après Geoffrey Beattie, professeur à l’Université de Manchester, une poignée de main irréprochable serait « la main à mi-chemin entre vous et l’autre personne, une paume douce et sèche, une pression ferme, (mais pas trop), trois mouvements d’une vigueur moyenne et d’une durée inférieure à deux ou trois secondes, le tout accompagné d’un regard et d’un sourire. »

Ewa Kuczynski, de la rédaction d’Essentielle.be

http://www.lalibre.be

Le dialogue


Le dialogue est un art qui s’apprend. Apprendre à écouter au lieu de préparer sa réponse pour contredire l’autre. Le dialogue n’est pas de trouver qui a raison ou tort, mais bien de comprendre les idées de l’autre avant de répondre
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Le dialogue

 

Le dialogue est ce moment qui consiste pour chacun à mettre provisoirement entre parenthèses ce qu’il est et ce qu’il pense pour essayer de comprendre et d’apprécier, même sans le partager, le point de vue de l’autre.

Dominique Pire

Le dialogue


Pas facile de discuter quand nous croyons avoir totalement raison, que l’on n’accepte pas d’être corrigé de notre ignorance
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Le dialogue

 

Le dialogue n’est possible que si j’accepte l’idée que l’autre est peut-être porteur d’une vérité qui me manque.

Pierre Claverie

Réfléchir avant de parler


C’est bien de d’être directe et dire ce que l’on pense, mais il y a des choses qu’il faut mieux taire et garder pour soi. Comme l’ont dit souvent mieux vaut réfléchir avant de parler
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Réfléchir avant de parler

 

Ne pas mâcher ses mots est bien, à condition de bien ruminer, au préalable, ses idées.

Louis-Philippe Robidoux

Un bébé en pleine conversation avec un Bulldog


Ma petite-fille tenait ce genre de langage, quand elle était un peu plus jeune,  avec ma Fripouille qui semblait l’écouter que d’une oreille. Aujourd’hui, elle lui parle encore, mais on comprend mieux ses mots … Non Fripouille, Viens icitte tout de suite! Allez dans la maison,… avec une petite voix autoritaire
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Un bébé en pleine conversation avec un Bulldog

 

Par Charlotte Grenier C

rédits photo : America’s Funniest Home Videos – Youtube

Les enfants apprennent beaucoup en nous imitant. Mais certains sont assurément plus doués que d’autres !

C’est le cas par exemple de celui-ci, qui a visiblement eu de nombreuses occasions d’observer ses parents disputer le chien de la famille…

Le pauvre Bulldog, assis sagement sur le canapé, se fait donc enguirlander par un petit bout de chou pas plus gros que lui qui ne sait même pas encore parler correctement.

Qu’importe ! Ce bébé semble bien décidé à sermonner le chien. Et même si l’on ne comprend pas un mot de ce qu’il dit (et le chien non plus d’ailleurs), les mimiques et la gestuelle du bambin sont particulièrement drôles.

Et le brave Bulldog écoute sa démonstration avec une patience très touchante. Sans doute l’une des conversations les plus adorables que vous ayez jamais vues !

http://wamiz.com

Si recevoir un diagnostic cause un choc, en faire l’annonce à son enfant ébranle


Quand un parent a une maladie grave, voir mortelle, il est important d’en discuter avec les enfants. Bien sur dépendant de l’âge, certaines questions pourraient être dérangeantes, mais elles sont nécessaires pour l’enfant
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Si recevoir un diagnostic cause un choc, en faire l’annonce à son enfant ébranle

 

Plusieurs parents ont soutenu que les questions des... (Photos.com)

Plusieurs parents ont soutenu que les questions des enfants peuvent rapidement devenir confrontantes et délicates, notamment parce que les enfants vont directement au but et anticipent le cheminement de l’adulte dans sa maladie.

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Si recevoir un diagnostic cause un choc, en faire l’annonce à son enfant est une épreuve qui ébranle tout autant.

La Société canadienne du cancer a publié jeudi un guide d’accompagnement à l’intention de la famille et des intervenants afin de les aider à discuter de la maladie et de ses conséquences auprès des enfants de la personne atteinte.

La psychologue Lisa Corbeil, qui oeuvre au service de soutien psychosocial de Cancer j’écoute, considère que ce guide destiné aux adultes, apportera des pistes de dialogue, mais aussi de préparation avant de parler de la maladie aux enfants.

Elle insiste sur l’importance de mettre au courant plus tôt que tard soulignant que de toute manière, les enfants sont à même de déceler les changements de routine et de comportements de leurs parents. Ils commencent très tôt à comprendre que leur situation est sur le point de changer.

Le document collige les témoignages d’enfants et d’adolescents qui ont appris la maladie de leurs parents. Des approches, en fonction de l’âge, sont suggérées.

On y retrouve également des récits de parents qui ont vécu la maladie et qui expriment comment ils en ont discuté avec leurs proches. Plusieurs parents ont soutenu que les questions des enfants peuvent rapidement devenir confrontantes et délicates, notamment parce que les enfants vont directement au but et anticipent le cheminement de l’adulte dans sa maladie.

Au moment de recevoir son diagnostic, Marie-Claude Gagnon, aujourd’hui en rémission d’un cancer, avait trois jeunes enfants à la maison. Elle raconte que l’un d’eux lui avait demandé ce qu’il adviendrait de lui le jour où elle allait mourir. Elle se souvient avoir été déstabilisée par cette question de la mort et qu’elle n’était pas prête à l’envisager.

Le document de la Société canadienne du cancer est offert gratuitement, en ligne ou en format papier. Outre les manières d’annoncer la maladie, il comporte aussi un ensemble de réactions possibles chez les enfants et les adolescents.

La tristesse, le repli sur soi, la colère, l’insécurité et plusieurs formes de détresse peuvent survenir. Les jeunes enfants peuvent changer de comportement ou avoir des réactions plus émotives qu’à l’habitude parce qu’ils ont, en raison de leur jeune âge, de la difficulté à mettre des mots sur ce qu’ils ressentent.

Le guide comprend aussi une liste des pièges à éviter. Ils tiennent parfois à des formules en apparence anodine, mais qui peuvent être décodées tout autrement par un enfant. L’importance des mots et de dire les choses telles qu’elles sont des éléments fondamentaux.

Par exemple, le mensonge et la distorsion seront toujours à éviter puisqu’ils affectent la relation de confiance entre le parent et l’enfant.

Affirmer que le parent est «est parti pour un monde meilleur» ou s’est endormi risque également de susciter une certaine fabulation chez l’enfant, comme développer la croyance que ce monde-ci est mauvais, vouloir rejoindre son parent ou encore avoir peur de s’endormir et ne plus se réveiller.

Il est aussi suggéré d’éviter de sombrer dans une trop grande indulgence ou permissivité à l’égard d’un enfant dont le parent est atteint du cancer. Jeune ou adolescent, cet enfant a besoin de limites et construira, toujours selon le guide, sa capacité à faire face à des situations difficiles.

http://www.lapresse.ca/