Promesse


Avec le temps, j’évite de promettre quelque chose, car avec expérience, il peut arriver des évènements incontrôlable ou simplement l’évolution de nos priorités peuvent tout changer.
Nuage


Promesse




Examine si ce que tu promets est juste et possible, car la promesse est une dette.


Confucius

Un milliardaire offre de payer les dettes de 400 diplômés


C’est mieux que rénové une cathédrale ! Chapeau ! En voilà un qui a dépensé a la bonne place une partie de sa fortune. La vie lui a souri et il la partage avec des nouveaux diplômés d’une université majoritairement noire. Comme on peut imaginer, les parents qui doivent mettre les bouchés doubles pour payer des hautes études à leur enfant doivent aussi se sentir soulagés.
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Un milliardaire offre de payer les dettes de 400 diplômés

 

Les étudiants de l'université américaine de Morehouse à Atlanta, en Géorgie,... (PHOTO BO EMERSON, AP)

PHOTO BO EMERSON, AP

Agence France-Presse
Washington

Les étudiants de l’université américaine de Morehouse à Atlanta, en Géorgie, s’attendaient déjà à passer une bonne journée dimanche, pour leur cérémonie de remise de diplômes. Puis un milliardaire est venu s’exprimer devant eux, et la journée est devenue inoubliable.

Car ce que Robert F. Smith, un homme d’affaires noir dont la fortune est estimée à 4,4 milliards de dollars, est venu dire à la promotion 2019, c’est qu’il allait se charger de la totalité de ses dettes estudiantines : une quarantaine de millions de dollars en tout.

L’annonce a évidemment été accueillie par les cris de joie et les applaudissements des quelque 400 diplômés – et de leurs parents.

« Ma famille va créer une bourse pour effacer vos prêts étudiants », a dit M. Smith aux étudiants de cette université historiquement noire.

Des vidéos de ses propos étaient partagées dimanche sur les réseaux sociaux.

« Ceci est ma promotion », a ajouté l’homme d’affaires, qui se trouvait à la cérémonie pour recevoir un diplôme honorifique.

« Je sais que ma promotion perpétuera » cette action et aidera à améliorer les vies d’autres Américains noirs, a-t-il lancé.

M. Smith avait déjà dit plus tôt cette année qu’il allait donner 1,5 million de dollars à l’établissement, mais l’annonce de dimanche a été une surprise, y compris pour le personnel de Morehouse, selon le Atlanta Journal and Constitution.

Un porte-parole a indiqué qu’il s’agissait du plus grand don de l’histoire de l’université, qui a été fréquentée par Martin Luther King Jr., le réalisateur Spike Lee et le comédien Samuel L. Jackson.

« Si j’étais capable de faire un salto arrière, je le ferais », a dit un étudiant, Elijah Dormeus, au journal. « Je suis fou de joie ».

Le jeune homme dit avoir une dette estudiantine de 90 000 $. Sa mère, Andrea Dormeus, est conductrice de bus de ramassage scolare à Harlem, à New York.

M. Smith, diplômé des prestigieuses universités de Cornell et Columbia, est devenu en 2015 l’Afro-Américain le plus riche selon le magazine Forbes. Sa fortune dépasse celle de la célèbre et influente Oprah Winfrey-qui a aussi donné à Morehouse.

Le coût faramineux de l’éducation universitaire aux États-Unis, et le nombre croissant de personnes dans l’incapacité de rembourser leurs dettes, ont fait de la question des prêts étudiants une affaire nationale, au coeur du programme de certains démocrates cherchant à être investis par leur parti pour la présidentielle de 2020.

La dette estudiantine dépasse aujourd’hui les mille milliards de dollars, selon l’agence Fitch.

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Quand des réfugiés climatiques deviennent des esclaves modernes


Comment payer une dette de 4 000 dollars avec 7.50 dollars par jour ? Les changements climatiques vont amener d’autres sortes de réfugiés et dans certains pays, ils seront des esclaves a un salaire ridicule pour payer des dettes qu’il sera impossible d’honorer et pire encore, elle augmentera d’année en année.
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Quand des réfugiés climatiques deviennent des esclaves modernes

 

Quand des réfugiés climatiques deviennent des esclaves modernes

Bien que la semaine de travail soit de 48 heures au Cambodge, les ouvriers effectuent dans des fabriques au minimum 60 heures par semaine.

Photo TANG CHHIN SOTHY, AFP

Après des semaines de sécheresse, Chenda, criblée de dettes, a été contrainte d’abandonner sa rizière au Cambodge pour travailler avec ses quatre enfants dans une fabrique de briques, comme des milliers de réfugiés climatiques de ce pays d’Asie du Sud-Est.

« Beaucoup d’industries dans le monde emploient des réfugiés climatiques. Mais ce qui est unique dans les usines de briques au Cambodge c’est que la très grande majorité des ouvriers sont emprisonnés dans la servitude pour dettes », relève Naly Pilorge, directrice de l’association des droits de l’homme Licadho.

C’est le cas de Chenda, le propriétaire de l’usine de briques ayant racheté son emprunt.

Elle travaille avec sa fille Bopha, 14 ans, dans le village de Thmey à une quarantaine de kilomètres au nord de Phnom Penh, le long d’une route de terre où des centaines de fours à briques semblables à de petites pyramides flamboient sous le soleil.

Cinquante-six heures par semaine, Bopha, adolescente à la chevelure d’ébène, charge des pavés d’argile sur des chariots.

« Je ne vais pas à l’école. J’essaye d’aider à rembourser les 4000 dollars qu’on doit même si cela prendra des années », raconte-t-elle à l’AFP, avant de rejoindre sa mère près de la cahute en tôle où la famille est logée dans l’enceinte même de la fabrique.

Quand des réfugiés climatiques deviennent des esclaves modernes

Ces fabriques font travailler « une main-d’oeuvre d’adultes et d’enfants ».

Photo TANG CHHIN SOTHY, AFP

« Pour 10 000 briques transportées, nous touchons 7,50 dollars », ajoute-t-elle.

Le Cambodge est l’un des pays les plus vulnérables au changement climatique.

Et, comme Chenda, plusieurs dizaines de milliers d’agriculteurs cambodgiens ont abandonné les rizières à la suite de vagues de sécheresse et d’inondations, incapables de rembourser l’argent qu’ils avaient emprunté auprès d’une banque ou d’un organisme de microfinance pour cultiver leur lopin de terre.

Ils ont trouvé un travail dans une des centaines de manufactures de briques qui fleurissent dans le royaume pour répondre au boom de la construction dans les grandes villes du pays.

Dette exponentielle

Ces fabriques font travailler « une main-d’oeuvre d’adultes et d’enfants », relevaient en octobre des chercheurs de l’Université de Londres, dénonçant « une forme d’esclavage moderne ».

Au vu de ce qu’ils gagnent, les ouvriers sont souvent incapables de rembourser et leur dette grossit au fur et à mesure des années.

Sov a emprunté 2500 dollars quand elle a commencé à travailler à la fabrique. Vingt ans plus tard, à 57 ans, elle doit le double.

« Je vais devoir laisser cette dette à mes enfants », s’inquiète-t-elle. Mais « il faut les nourrir, je suis souvent malade et les traitements coûtent cher ».

Maladies respiratoires ou de la peau, maux de tête, saignements de nez : les ouvriers travaillent sans gant ni masque et les problèmes de santé sont légion près des fours qui crachent une épaisse fumée noire.

Sov pourra bientôt prendre deux jours de vacances pour retourner dans son village de la province de Stoeng Treng dans le nord du pays, mais sans son mari et ses enfants qui doivent rester à la fabrique. 

« Le patron a peur que nous prenions la fuite sans payer », explique-t-elle.

Pour autant, elle ne se plaint pas du propriétaire « qui ne nous traite pas mal ».

Dans d’autres manufactures, la situation est pire.

« Certains patrons sont violents. Ils sont assez riches pour corrompre la police et les autorités locales. Et, malgré les abus, aucun n’a jamais été poursuivi », relève Sok Kin, président du syndicat de travailleurs BWTUC. 

Quant aux ouvriers, « aucun n’est syndiqué, ils ignorent leurs droits et ont peur de perdre leur emploi », ajoute-t-il.

Au Cambodge, la durée hebdomadaire de travail est fixée à 48 heures et le travail des enfants de moins de 15 ans est interdit par la loi.

Mais, dans la fabrique de Thmey, les ouvriers effectuent au minimum 60 heures par semaine.

Et, sur la trentaine d’enfants, un seul va à l’école, les autres travaillant dès l’âge de sept ou huit ans pour aider leur famille. 

Le gouvernement a indiqué à plusieurs reprises qu’il allait enquêter et punirait les propriétaires des fours si des cas de travail d’enfants étaient avérés.

« Mais le problème perdure depuis des années et rien n’est fait », soupire Naly Pilorge.

Contacté, le ministère du Travail n’a pas répondu aux sollicitations de l’AFP.

Pour Sok Kin, « des mesures doivent être prises en urgence : établir un salaire minimum, lancer des enquêtes anticorruptions et une campagne d’information à l’échelle nationale pour faire connaître leurs droits aux ouvriers ».

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Le Nouveau-Monde


Aujourd’hui, on se bat pour avoir le droit au travail, pour garder ce que l’on gagne sans tout donner aux gouvernements
Nuage

Le Nouveau-Monde

 

Lorsque l’homme blanc a découvert ce pays, les Indiens le dirigeaient. Il n’y avait aucun impôt, aucune dette, les femmes accomplissaient tout le travail. L’homme blanc pensait qu’il pouvait améliorer un système comme celui-ci.

Cherokee

Jeunes endettés Le crédit trop facilement accessible?


Les compagnies de crédits acceptent des clients très jeunes qui ne comprennent pas très bien comment fonctionne une carte qui ne fait que clic, clic pour payer. C’est abstrait ! Le résultat est désastreux. Comme les compagnies ne semblent pas vouloir prendre une part de responsabilité, il ne reste que l’école
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Jeunes endettés

Le crédit trop facilement accessible?

 

(Crédit photo: Capture d’écran TVA Nouvelles)

Par Jean-François Tremblay | TVA Nouvelles

L’accès au crédit est-il devenu trop facile pour les jeunes ? Annie, jeune mère de famille du Saguenay, en est un exemple frappant.

«Il faut que je prenne une médication pour pouvoir dormir comme il faut. Ça joue sur le moral», lance la jeune femme d’emblée.

À 20 ans, elle aimerait se concentrer sur son bébé, mais elle et son conjoint de 22 ans, ont de grosses dettes totalisant 8800$. La carte de crédit de son copain est pleine, la sienne aussi. Ils ont un prêt étudiant et une marge remplie à 1000$.

«On n’arrive pas à payer le minimum parce que, quand on paye le minimum, il y a un intérêt qui se rajoute sur l’intérêt. Ça fait que ça remonte tout le temps», lance-t-elle.

Payer ce crédit leur gruge plus de 500$ par mois, soit le tiers de leurs revenus.

«On ne peut même pas combler notre épicerie, on a même pensé à faire faillite», soutient la jeune mère de famille.

Le téléphone sonne parfois à la maison. Ce sont les entreprises de crédit.

«Trois fois par jour qu’ils nous appellent, des fois, c’est cinq fois et c’est à n’importe quelle heure», dit-elle, découragée.

Les syndics aident des personnes comme Annie toutes les semaines. L’an dernier, au Québec, près de 1200 jeunes âgés entre 18 et 24 ans ont déclaré faillite en raison de 40 millions$ de dettes.

«Les jeunes ont cette facilité incroyable, de s’endetter d’une façon assez exponentielle. Ils sont nés avec une carte virtuelle», observe Henriette Tremblay, administratrice chez Jean Fortin et associés Syndics.

Henriette Tremblay (Crédit photo: Capture d’écran TVA Nouvelles)

Quand ils consultent, ils ont généralement 20-22 ans avec des dettes allant jusqu’à 20,000$. Plusieurs commencent à avoir accès au crédit dès l’âge de 16 ans, sans répondre à beaucoup de questions.

Henriette Tremblay a noté une nouvelle manière de se retrouver avec des dettes chez les jeunes. Selon elle, certains jeunes ont quatre ou cinq fournisseurs de téléphone et d’Internet impayés.

Mme Tremblay croit que le programme scolaire devrait prévoir des cours sur les finances personnelles.

«Il n’y a pas de cours qui se donne pour faire un budget, déplore-t-elle. Ce serait tellement important parce qu’ils n’ont pas la notion de base avec l’argent.»

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La promesse


Les promesses, ce sont des paroles que je n’aime pas vraiment. Quand nous sommes honnêtes, les promesses peuvent devenir une trahison, car il y a trop souvent des imprévus. Personnellement, je préfère dire que je ferais mon possible ou tout dépendra quand le moment viendra …
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La promesse

 

« Examine si ce que tu promets est juste et possible, car la promesse est une dette. »

Confusius

L’angoisse du surendettement: solutions pour s’en sortir


Je suis une anti carte de crédit, (Je n’en ai pas et je n’en veux pas)  mais sachant qu’il est difficile pour certaines choses de ne pas avoir de crédit (maison, automobile … par exemple) il est important de comprendre l’importance d’un budget et si jamais le crédit donne des maux de tête .. il y a peut-être quelques trucs qui pourraient aider a régularisé la situation
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L’angoisse du surendettement: solutions pour s’en sortir

 

surendettement

Photo :iStockphoto.com

 

Catherine Crépeau

En ne faisant que le paiement minium sur votre carte de crédit, savez-vous combien de temps il vous faudra pour rembourser une dette de 10 000$? Plus de 50 ans! Et si vous ne pouviez plus payer? Pour prévenir les situations critiques et éviter le surendettement, voici des trucs et conseils simples mais efficaces.

Sommes-nous surendettés?

La tentation est forte de vivre à crédit. Qui attend encore d’avoir l’argent en poche pour se payer une télévision à écran plat ou des vacances à Cuba? L’endettement est pratiquement devenu un mode de vie, si on en croit les chiffres de Statistique Canada. Au milieu des années 80, le taux d’endettement par rapport au revenu disponible se situait autour de 70%. Il a grimpé à plus 148% au troisième trimestre de 2010, comparativement à 144% un an plus tôt. La dette moyenne par foyer s’élève maintenant à plus de 96 000$ en incluant les prêts hypothécaires et les cartes de crédit.

Il est certain que les gouvernements peuvent jouer un rôle dans l’encadrement du crédit, mais c’est d’abord aux consommateurs de se préoccuper de leur niveau d’endettement. Gail Vaz-Oxlade, spécialiste en finances personnelles et animatrice de la téléréalité Til Debt Do Us Part (Jusqu’à ce que la dette nous sépare, en français) diffusée sur les chaînes Slice et Global TV, le dit crument: sortir de l’endettement est un exercice difficile qui demande de la ténacité et de la persévérance. Si vous n’êtes pas prêts à y mettre les efforts, allez magasiner!

Êtes-vous surendetté?
Avant de s’angoisser avec vos finances, il faut savoir ce que veut dire être endetté ou surendetté. Le
Bureau du surintendant des faillites du Canada et les Associations coopératives d’économie familiale (ACEF)ont compilé quelques signes avant-coureurs:

•Vous dépensez toujours plus que ne vous le permet votre budget
•Vous utilisez vos cartes de crédit par nécessité
•Vous ne payez que les frais minimum exigés sur vos cartes de crédit sur une période de plusieurs mois ou vous êtes incapable de payer ces frais minimaux
•Vous devez réduire les dépenses courantes comme les vêtements et la nourriture
•Vous devez emprunter de l’argent pour joindre les deux bouts entre vos payes
•Vous songez à un deuxième emploi pour équilibrer votre budget
•Les créanciers vous pressent de les rembourser, vous menacent de poursuite ou de faire saisir vos biens
(voiture, meuble)
•Votre salaire a été saisi pour payer des dettes impayées;
•Les compagnies de services publics (
téléphone, électricité…) coupent leurs services parce que vous ne payez pas vos factures.

Trucs et astuces pour mettre fin à l’endettement
L’alarme sonne pour vous? Il est temps d’analyser rigoureusement votre situation financière. Dans son livre Zéro dette pour la vie, Gail Vaz-Oxlade suggère de dresser une liste de toutes vos dépenses sur une période de 6 à 12 mois pour savoir où disparaît votre argent. Tout doit être noté. Du petit café du matin payé comptant aux frais d’intérêt et de services imposés par votre institution financière.

Le réveil peut être brutal, prévient l’auteure. Mais ce n’est pas une raison pour abandonner, soutiennent les conseillers des ACEF. Au contraire. Plusieurs solutions sont à envisager:

•Réaménager son budget (réduire nos dépenses en fonction de nos besoins)
•Dresser une liste de priorités (rembourser ses dettes dans l’ordre en commençant par celles qui sont accompagnées des taux d’intérêt les plus élevés)
•Négocier avec ses créanciers (on peut faire baisser le taux d’intérêt de
nos cartes de crédit, moyennant des frais annuels)
•Vendre des biens

Ces mesures sont souvent suffisantes pour se remettre à flots. À la condition de conserver de bonnes habitudes budgétaires.

Si ce n’est pas le cas, la consolidation de dettes permet de regrouper vos dettes en un seul emprunt. Votre institution financière vous octroie un prêt pour couvrir toutes vos dettes et se charge de les rembourser. Vous n’avez qu’un seul paiement mensuel à faire, à un taux d’intérêt moins élevé que celui des cartes de crédit. Au Québec, vous pouvez aussi faire un dépôt volontaire si des créanciers menacent de saisir vos biens ou votre salaire. Vous pouvez alors rembourser vos dettes par le biais du tribunal.

La méthode de Gail Vaz-Oxlade
Gail Vaz-Oxlade a élaboré une méthode basée sur la discipline et la capacité d’établir des priorités. Dans son émission, sa méthode de gestion de budget prévoit les étapes suivantes:

•Établir quel est votre revenu et quelles sont vos dépenses fixes (loyer, hypothèque, hydro…)
•Se payer en premier, c’est-à-dire prévoir de l’épargne systématique, un compte épargne (5 à 10% de votre revenu doit être mis de côté) et un fonds d’urgence.
•Rembourser vos dettes de consommation selon un plan établi, idéalement, sur une période de trois ans.
•Établir quelles sont vos dépenses variables
(nourriture, loisirs, transport, vêtements, etc.) avec l’argent qui vous reste.

Sa façon de gérer les finances des familles invitées à son émission est draconienne. Après avoir analysé leur situation financière, elle fait disparaître le plastique (cartes de crédits et débits) et met les familles au régime «cash». On quitte le virtuel pour entrer dans le concret. Les participants doivent réapprendre à utiliser de l’argent comptant pour leurs dépenses variables. Ceci leur permet de prendre conscience de l’argent qu’ils peuvent effectivement dépenser et ainsi reprendre progressivement le contrôle de leurs finances.

Les pots Mason à la rescousse!
À la base de la méthode: les pots Mason. Gail Vaz-Oxlade suggère d’utiliser des pots
(ou des enveloppes) avec de l’argent comptant à l’intérieur pour couvrir les dépenses (variables) de la semaine. Pas de cartes de débit, ni de cartes de crédit. On note toutes les dépenses par catégories dans un cartable au fur et à mesure. Quand le bocal est vide, on arrête de dépenser. Évidemment, pour savoir combien d’argent mettre dans chaque pot, il faut avoir fait l’exercice du budget. Et s’engager à le respecter! Ce qui n’est pas facile, admet l’experte en finance personnelle. Mais le jeu en vaut la chandelle, assure-t-elle.

Si vous vous sentez coincé financièrement ou que vous avez du mal à savoir comment dépenser les revenus dont vous disposez, vous pouvez consulter l’ACEF de votre région. Les ACEF du Québec offrent gratuitement des ateliers sur le crédit, sur le budget ainsi qu’un service de consultation personnalisé.

Pour en savoir plus, on lit: Zéro dette pour la vie, Gail Vaz-Oxlade, Transcontinental, 2011, 240 pages.

Vous pouvez visionner les émissions de Gail Vaz-Oxlade sur le sitehttp://www.slice.ca/. Choisissez le menu vidéo en haut de la page, puis «Til Debt» sur le menu de gauche.

La version originale de cet article a été publiée sur vitamagazine.ca

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Un lycéen chinois vend un rein pour acheter un iPhone


C’est difficile a comprendre le comportement des jeunes chinois, cet envoutement pour la technologie allant de vendre ses organes, ou comme on a déjà vue, vendre ses enfants, ou tuer un bébé pour continuer a jouer ..Il y a quelque chose qui se passe dans cette société Est-ce qu’il y a quelque chose dans leur cerveau qui donne cette dépendance extrême ?
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Un lycéen chinois vend un rein pour acheter un iPhone

 

Un lycéen chinois vend un rein pour acheter un iPhone

Vincent Thian / The Associated Press

BEIJING, China – Les Chinois s’inquiètent de l’influence de la société de consommation sur les jeunes, après l’affaire d’un lycéen de 17 ans qui a vendu son rein pour s’acheter un iPhone et une tablette multimédia iPad, selon l’agence de presse officielle Chine nouvelle.

Cinq personnes ont été inculpées de blessure intentionnelle à Chenzhou pour avoir organisé la transplantation du rein du jeune homme, désigné par le seul nom de Wang, a précisé Xinhua vendredi soir. Parmi les suspects se trouvent un chirurgien, un prestataire hospitalier et deux intermédiaires qui auraient cherché des donneurs sur Internet et loué la salle d’opération.

Quelque 1,5 million de personnes attendent un don d’organe en Chine alors que seules 10.000 transplantations sont réalisées chaque année, selon l’agence de presse. La pénurie alimente le trafic d’organes.

D’après Chine nouvelle, l’un des suspects du nom de He Wei, ayant contracté des dettes de jeu, avait chargé l’un de ses co-accusés de chercher des donneurs d’organes dans des forums de discussion en ligne et un autre de trouver une salle d’opération. L’intervention s’est déroulée en avril 2011.

He Wei a été payé 220.000 yuans (environ 26.000 euros; 35.000 dollars) pour la greffe, en a donné 22.000 (2.660 euros; 3.500 dollars) au jeune homme et a partagé le reste avec ses co-accusés ainsi que le personnel médical impliqué dans l’opération, selon Xinhua.

Mais quand Wang est rentré chez lui, sa mère lui a fait avouer comment il avait pu s’offrir un nouvel iPhone et un iPad, précise l’agence de presse.

Le quotidien « Southern Daily » avait fait état le mois dernier d’autres cas de personnes ayant vendu un rein ou les deux ou ayant sérieusement envisagé de le faire pour rembourser des dettes, acheter un Smartphone (téléphone de haute technologie) ou payer l’avortement de leur compagne.

« Sans être confrontés à la misère totale, ces jeunes gens nés après les années 1990 ont pris des décisions irréfléchies. A choisir entre leur corps et le matérialisme, ils ont résolument opté pour le second », avait commenté le journal officiel du Parti communiste au pouvoir, le « Guangming Daily ». « Dans la société d’aujourd’hui où les désirs sont infinis et les exigences sans fin (…), la course aveugle à l’acquisition des technologies dernier cri va progressivement ruiner des vies », prédisait-il. AP

st/v132

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Finir ses études sans dettes : Étudiant et sans-abri


Aller aux études tout en choisissant de ne pas s’endetter en étant un sans-abri est extrême, encore chanceux que l’hiver n’a pas été si terrible cette année, qu’il n’a pas beaucoup eu de grand froids extrêmes a Montréal. Mais c’est un choix qui lui appartient
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Finir ses études sans dettes : Étudiant et sans-abri

 

Étudiant et sans-abri

Crédit photo : TVA Nouvelles

Shane Dussault, étudiant à l’Universi

TVA Nouvelles

Shane Dussault est étudiant en philosophie à l’Université McGill, mais il n’a pas d’adresse de résidence : il est sans-abri, par choix.

Il a choisi d’être sans-abri pour compléter ses études sans devoir un sou.

«Je n’aime pas trop les dettes, alors je veux limiter les dettes le plus possible. C’est une bonne façon de faire ça», explique Shane Dussault.

«Maintenant, j’ai assez de bourses pour payer pas mal toutes mes dépenses et j’utilise les prêts. Mais si je travaille à temps partiel l’été, je pourrais avoir tout payé pour la fin de l’année.»

Il dort à la belle étoile autour de l’université, hiver comme été.

«J’ai dormi ici au moins trois mois, je pense. C’est ma maison d’automne.»

Photo: TVA Nouvelles

Photo: TVA Nouvelles

Outre son sac de couchage, tout ce qu’il possède entre dans ce sac à dos, dont son ordinateur portable.

«C’est assez semblable à quelqu’un qui vit en résidence, sauf que je prends ma douche après être arrivé à l’école au lieu d’avant. Mon chandail, je le porte tous les jours. Je le lave peut-être une fois par mois. Mais ça marche!»

Malgré son mode de vie inhabituel, Shane ne se considère pas comme un bohème.

«À cause de l’université, je suis extrêmement sédentaire, dans le sens que je suis tout le temps à la bibliothèque. Je suis très pragmatique dans un sens. Je ne suis pas particulièrement idéaliste. Je ne m’identifie pas avec la gauche.»

Il ajoute que le milieu difficile dans lequel il a été élevé expliquerait un peu sa marginalité.

«J’ai été élevé un peu… Sans donner toute l’histoire, c’est un peu comme si je m’étais élevé moi-même pendant une grande partie de ma vie, donc je n’avais pas de normes à suivre.»

Il espère maintenant s’acheter un véhicule, au lieu de louer un appartement, question d’éviter à payer un loyer.

«Si je veux avoir des enfants un jour, là, peut-être que j’aurai besoin d’une maison.»

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Endettement → Familles à bout de souffle


D’un côté, nous sommes bombarder de publicité en tout genre pour dépenser notre argent, de posséder toujours plus pour avoir toutes les nouveautés qu’importe le produit, qu’importe si nous en avons besoin ou non. De l’autre côté on nous parle d’endettement, de faillite et par la poste on recoit des abonnements de la carte de crédit sans se renseigner au préalable si nous sommes solvable ou non … A quand qu’on va se mettre d’accord pour d’abord penser a trouver un équilibre économique ??? Nous sommes en trains de sombrer sur les dettes et ce n’est pas juste pour les familles canadiennes plutot un peu partout dans le monde qui vivent ces mêmes difficultés
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Endettement → Familles à bout de souffle

 

Familles à bout de souffle

Crédit photo : archives TVA Nouvelles

Par Stéphan Dussault et Valérie Gonthier | Journal de Montréal

Dans un rapport spécial rendu public hier, la Banque du Canada sonne l’alarme : les familles sont prises à la gorge, criblées de dettes ou au bord de la faillite, au point où leur situation menace le système financier et même l’ensemble de l’économie canadienne.

Le rapport, intitulé Situation financière des ménages et stabilité financière, note que le niveau d’endettement des ménages canadiens représente 150% de leur revenu disponible. Un net recul par rapport à 1999, alors qu’on parlait de 110%.

«Chaque année depuis 2000, quelque 100 000 Canadiens engagent des procédures d’insolvabilité. C’est trois fois plus qu’en 1980. Dans la majorité des cas, ces procédures débouchent sur la faillite», peut-on lire dans le document.

Pas surprenant

Des chiffres qui n’étonnent pas Isabel Thibault, de l’Association coopérative d’économie familiale (ACEF) Sud- Ouest, à Montréal. La consultante budgétaire rencontre chaque jour des gens en détresse.

«Ils ne voient pas venir les problèmes jusqu’au moment où la situation devient dramatique», dit-elle.

«Tous les mois, s’il y a un manque à gagner, on comble avec du crédit, ajoute Pierre Fortin, syndic de faillite. Mais, ça s’accumule de mois en mois. Si on rajoute les intérêts, c’est ce qui fait que les gens doivent, à un moment, faire faillite. Les dettes se sont bâties tranquillement pas vite et les gens s’enfoncent.»

Cette vulnérabilité menace même «la stabilité financière au pays», ajoute le rapport de la Banque du Canada.

«Plus les gens vont se sentir égorgés, moins ils vont pouvoir garder le même train de vie. C’est ça qui ralentit l’économie», explique Pierre Fortin.

Aux États-Unis, c’est ce qui a mené à une crise immobilière qui se fait toujours sentir.

Si le marché du logement au Canada n’a pas connu les mêmes excès, «un endettement élevé des ménages pourrait avoir des retombées négatives substantielles», souligne le document.

Trop facile d’emprunter

«Il est beaucoup trop facile d’emprunter», déplore Isabel Thibault.

Encore là, les statistiques semblent lui donner raison.

En 1999, les 31 à 35 ans avaient une dette totale d’environ 75 000 $. En 2010, elle est passée à environ 120 000 $. Les jeunes en particulier semblent pressés d’acheter des biens.

Des chiffres qui donnent le vertige

«Justement, un grand nombre de consommateurs sont allergiques aux chiffres. C’est pourquoi ils ne voient pas venir les problèmes», conclut Isabel Thibault.

POURQUOI LES GENS SE RETROUVENT-ILS PRIS À LA GORGE?

  • Ils ont un train de vie exagéré par rapport aux revenus
  • Ils ne font pas de budget
  • L’accès au crédit est trop facile
  • Ils payent le montant minimum demandé pour le remboursement des cartes de crédit
  • Ils ont perdu leur emploi
  • Ils ont une maladie

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