Une infirmière interdite en prison après avoir supposément tenté un exorcisme


L’infirmière a du trop regarder des films d’exorcises, elle aurait été mieux suivre le protocole médical.
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Une infirmière interdite en prison après avoir supposément tenté un exorcisme

 

La détenue, qui aurait reçu l’exorcisme au lieu d’aide médicale, est mort.

Une infirmière d’Oklahoma City a été interdite de travailler dans la prison du comté après qu’elle eut supposément tenté un exorcisme sur une détenue qui est décédée le lendemain.

Linda Herlong Jackson aurait posé les gestes en février dernier sur Lynette Freeman, une femme de 32 ans qui faisait du temps pour plaintes concernant de l’abus de drogue, selon KOCO TV.

Des gardiens de prison ont affirmé que Freeman avait une attaque lorsque l’infirmière Jackson a été appelée en renfort. Elle aurait alors dit «Démons, quittez ce corps!» au lieu de donner des soins médicaux appropriés, selon The Oklahoman.

Les tests ont révélé que la détenue serait décédée d’une surdose de méthamphétamines.

En entrevue avec The Oklahoman, l’infirmière a nié avoir tenté un exorcisme sur Freeman. Elle a toutefois été suspendue trois jours. Aucune accusation ne sont portées contre l’infirmière de 67 ans.

Ce texte initialement publié sur le HuffPost États-Unis a été traduit de l’anglais

http://quebec.huffingtonpost.ca

Un détenu irlandais incapable d’expulser le portable caché dans son estomac


Faut vraiment avoir de drôle d’idée d’avaler un téléphone ! C’est quand même gros pour aller s’installer dans l’estomac. Maintenant, comment le sortir ? Par voie naturelle ? Pas si évident
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Un détenu irlandais incapable d’expulser le portable caché dans son estomac

 

PAR FRÉDÉRIC LEWINO

Amené d’urgence à l’hôpital, il doit être opéré, car l’appareil refuse de sortir par la bouche ou par l’anus. Un cas révélé par une sérieuse revue médicale.

Les détenus ne sont pas avares d’imagination pour planquer les objets interdits en prison. L’anus ou le vagin peut se révéler une agréable cachette pour de petits objets. Mais pas pour un téléphone portable ! Quoique… Un prisonnier irlandais de 29 ans a choisi une cachette plus large, à savoir son estomac. Sans se poser la question de comment le récupérer. Attendre d’avoir besoin de déféquer pour téléphoner n’est pas ce qu’il y a de plus pratique.

Déjà, le premier exploit de cet homme fut d’avaler cet objet de 68 x 23 x 11 millimètres. Un sacré morceau. Comment s’y est-il pris ? Les chirurgiens qui l’ont pris ultérieurement en charge ne le mentionnent pas dans leur article publié par la revue International Journal of Surgery Case Reports. En tout cas, deux heures après cet exploit, l’homme commence à être pris de vomissements. Après quatre heures de souffrances, il est conduit à l’hôpital, où les médecins ne décèlent aucun autre symptôme. Pas de fièvre, pas d’hypertension. Mais quelle n’est pas leur surprise de découvrir sur une radiographie la présence d’un portable dans l’estomac. Ils avaient déjà tout vu – stylo, dé à coudre, batteries, drogue, médaillon de la Vierge, étui à lunettes, stérilet –, mais un portable, jamais !

Téléphone dans l'estomac vu par endoscopie © convert-jpg-to-pdf.net (c) 1999 Adobe Systems Inc.

Téléphone dans l’estomac vu par endoscopie © convert-jpg-to-pdf.net (c) 1999 Adobe Systems Inc.

L’équipe médicale décide de patienter quelques heures, espérant une sortie naturelle. Ils ont beau guetter à la sortie du tunnel, rien ne se présente. Au bout de dix-huit heures, il faut se rendre à l’évidence : le portable n’a pas l’intention de sortir. Il faut donc aller le chercher. Les chirurgiens commencent par une gastroscopie. Ils introduisent dans la gorge du détenu un endoscope à l’extrémité duquel ils ont fixé un grappin. Peine perdue. Ils connaissent aussi peu de réussite que des gosses jouant à la machine à pince dans une fête foraine. Finalement, ils doivent se résoudre à percer le ventre du malheureux pour récupérer l’appareil. Aujourd’hui, le portable a retrouvé sa liberté et le détenu, sa cellule. Allô, quoi !

http://www.lepoint.fr/

Le Saviez-Vous ► Des prisonniers chinois obligés de jouer à WoW


Certains prisonniers aimeraient peut-être jouer à des jeux vidéos comme en Chine, sauf que sous la contrainte, et ce dans le but de faire gagner de l’argent au gardien devient plus une forme d’esclavage
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Des prisonniers chinois obligés de jouer à World WarCraft

 

Les prisonniers chinois seraient employés à jouer quotidiennement à World of Warcraft. Cette activité forcée rapporterait des sommes conséquentes aux chefs des prisons appliquant ce système.

C’est l’ancien prisonnier chinois Liu Dali qui a expliqué au Guargian le système mis en place dans la prison dans laquelle il a séjourné entre 2004 et 2009. Dans ce camp de Jixi en pleine province du Heilongjiang, ce condamné pour « pétitions illégales » n’a pas seulement dû casser des pierres, creuser des trous ou lire des textes communistes. Il était également obligé comme plusieurs autres condamnés à jouer toute la journée à WoW :

 « Les chefs de la prison gagnaient plus d’argent en forçant les détenus à jouer en ligne qu’en les obligeant à faire du travail manuel. Près de 300 prisonniers étaient obligés de jouer. Nous travaillions pendant 12 heures d’affilée. »

100 000 travailleurs virtuels dans le monde

Ce principe de « gold farming » n’est pas nouveau et existe depuis l’explosion des premiers jeux en ligne. Ces « fermes » de joueurs produisent des biens virtuels ensuite revendus contre de l’argent bien réel sur le marché noir.

« J’ai entendu dire que les chefs pouvaient gagner jusqu’à 570 livres (environ 650 €) par jour. Nous ne voyions jamais l’argent. Ils n’éteignaient jamais les ordinateurs », détaille Liu Dali.

Bien entendu l’exigence des gardiens menait le détenu au bout de ses forces :

« si je ne pouvais pas atteindre mon quota, ils me punissaient physiquement. Ils m’obligeaient à rester debout avec les mains en l’air, puis me frappaient quand je revenais dans les dortoirs. On continuait à jouer jusqu’à ce qu’on puisse à peine voir l’écran ».

La Banque mondiale estime dans une étude publiée en avril dernier que le secteur du gold farming emploierait environ 100 000 personnes dont 80 % en Chine. Le marché des biens virtuels est estimé à 3 milliards de dollars. Les joueurs gagneraient en moyenne 2,70 dollars de l’heure soit un dollar de plus que pour un travail en usine.

http://www.tomsguide.fr

Etats-Unis: Les grenouilles sauvées par des prisonniers


Je ne sais pas si tous les détenus de cette prison apprécient cette expériences de travail mais chose de sur c’est que cela est très utile pour l’environnement ..
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Etats-Unis: Les grenouilles sauvées par des prisonniers

 

Cette espèce de grenouille léopard a été découverte à New York, dans le quartier de Staten Island.

Cette espèce de grenouille léopard a été découverte à New York, dans le quartier de Staten Island. BRIAN CURRY/AP/SIPA

INSOLITE – Les détenus d’une prison de l’Oregon sont formés à sauver les espèces menacées…

 

Les grenouilles maculées de l’Oregon ont trouvé de nouveaux alliés. Les détenus du centre de correction Cedar Creek, dans l’Etat de Washington, prennent grand soin de ces amphibiens, qui leur offrent en retour des perspectives de réinsertion sociale,rapporte le New York Times

Le programme «Sustainability in prison», lancé en 2004, consiste à impliquer les détenus dans des programmes de sauvegarde d’espèces menacées. Certaines prisons ont choisi de faire cultiver les légumes par les détenus, tandis que d’autres ont choisi de mettre en place un programme d’économies d’énergie. A Cedar Creek, on a plutôt choisi de former les prisonniers à la biologie.

Bon pour les grenouilles et les détenus

Les détenus, sélectionnés pour leur bon comportement et rémunérés 42 centimes de l’heure, passent dix heures par jour à surveiller la température de l’eau dans laquelle grandissent les grenouilles ou à élever les criquets qui leur servent de nourriture. Selon Carri LeRoy, co-directeur du projet «Sustainability in prison», le processus de travail scientifique peut être bénéfique aux détenus: des tâches ordonnées, mesurées et documentées les remettraient ainsi sur la voie d’un emploi  Le professeur d’écologie estime même que l’observation des grenouilles, de l’œuf à l’âge adulte, leur donnerait un exemple de changement positif.

Après six mois de soins dans la pouponnière de Cedar Creek, les grenouilles sont relâchées dans la nature. Quant aux participants au programme, certains participent à la rédaction d’articles scientifiques, tandis que d’autres décident de s’orienter vers la protection de l’environnement à leur sortie de prison. 

Audrey Chauvet

http://www.20minutes.fr

Ottawa autorise l’usage de renseignements obtenus sous la torture


On crie haut et fort que nous sommes contre la torture … on juge des pays qui font usage de la torture .. mais voila que le Canada agit contre ses principes en acceptant des renseignements eu par la torture .. Et je me demande si ces mêmes renseignements sont fiables vue que sous la torture des gens sont prêt a dire n’importe quoi .. C’est une honte et le gouvernement Harper est une honte pour les canadiens car ils cautionnent de cette façon la torture et nous sommes supposé être des gens civilisé …
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Ottawa autorise l’usage de renseignements obtenus sous la torture

 

Les directives du ministre de la Sécurité publique,... (Photo: PC)

 

Les directives du ministre de la Sécurité publique, Vic Toews, sont presque identiques à celles de l’an passé. Elles avaient alors été vertement critiquées par des défenseurs des droits de la personne et des députés de l’opposition.

PHOTO: PC

La Presse Canadienne
Ottawa

Le gouvernement conservateur a discrètement donné à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) et à l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) la capacité d’utiliser et de partager des renseignements qui ont vraisemblablement été obtenus sous la torture.

Des documents récemment divulgués démontrent que le ministre de la Sécurité publique, Vic Toews, a transmis ces directives à la GRC et à l’ASFC peu de temps après avoir donné des directives similaires au Service canadien de renseignement.

Selon les directives gouvernementales, la protection de la vie et des biens sont les considérations principales lorsqu’il s’agit de décider d’utiliser ou non des renseignements qui auraient pu avoir été obtenus sous la torture.

Les directives détaillent également les critères servant à décider s’il est acceptable de partager des renseignements lorsqu’il existe un «risque substantiel» que cela provoque la torture ou l’agression d’un détenu.

En tant que services clés du dispositif sécuritaire canadien, la GRC et l’ASFC ont des discussions et des échanges fréquents et poussés avec leurs homologues étrangers.

Ces directives sont quasiment identiques à celles transmises par M. Toews l’été dernier au Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), directives qui ont été vertement critiquées par des défenseurs des droits de la personne et des députés de l’opposition.

http://www.lapresse.ca/

Des chats cohabitent avec des détenus aux Etats-Unis


Des chats dans une prison a sécurité minimum ? Un chat abandonné et vraiment sauvage devient avec des prisonniers un chat qui se réhabilite tout comme ses maîtres .. Je trouve cela génial que des prisonniers s’occupent de chats abandonnés ainsi leur évite l’euthanasie, et que leur rôle doit être pris au sérieux sinon des conséquences s’en suivent .. pour le prisonnier
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Des chats cohabitent avec des détenus aux Etats-Unis

 

Des chats cohabitent avec des détenus aux Etats-Unis

Rick Bowmer / The Associated Press

ACOLT, Wash. – Lorsque Princess Natalie n’était qu’un chaton, elle a été abandonnée dans une cage avec un autre chat pendant des mois. On les nourrissait, mais pas davantage. Elle a donc commencé à avoir peur des humains et des autres chats.

Au moment de son adoption, elle crachait en direction de ses maîtres et mettait la maison sens dessus dessous. Elle a finalement été remise à un refuge. Elle devait être euthanasiée, mais une prison de sécurité minimum de l’Etat de Washington a présenté une autre option: la remettre à un couple de détenus.

Pour Joey Contreras, 28 ans, l’arrivée de Natalie, en mars, lui a permis de passer d’un dortoir de 40 à une cellule pour deux, avec une porte. Avec son compagnon de cellule, et après une procédure de sélection, ils font partie des quatre détenus retenus pour le programme « Cuddly Cats » à la prison de Yacolt.


« Personne ne voulait l’adopter », explique Joey Contreras. « Nous l’avons accueillie et c’est génial ».

Au départ, ce n’était toutefois pas gagné. La chatte aux poils longs et noirs, âgée de six ans, était, comme annoncé, lunatique et sujette aux violences. Mais elle s’est littéralement épanouie. Elle accepte d’être caressée, brossée et même tenue dans les bras pendant quelques minutes. Elle grogne toujours, mais crache rarement. Joey Contreras et son co-détenu s’en occupent à tour de rôle.

L’autre chat du programme, Clementine, a été confié à Richard Amaro, qui confie que l’expérience ne lui a pas seulement permis d’échapper à la vie en dortoir.

« On se rapproche vraiment d’eux ».

La prison espère adopter quatre nouveaux chats. Les détenus acceptés dans le programme doivent avoir un comportement exemplaire, sous peine de retourner dans le dortoir.

Monique Camacho, conseillère pénitentiaire, explique que cette expérience permet de renforcer le concept de collaboration pour des détenus habituellement solitaires.

« En prison, ils ont tendance à penser à eux », souligne-t-elle. « Maintenant, ils doivent être attentifs, et s’occuper de quelque chose d’autre ». AP

ir/v267

 

http://www.985fm.ca

Des détenus fâchés de perdre leur piscine


Service correctionnel Canada

Ils veulent être dédommager pour leur piscine dans une prison fédérale car pour eux c’st un droit acquis vue que ce sont des particuliers qui ont payer … Je me demande si leurs victimes ont été respecté dans leurs droits acquis ???  S’ils sont dans une prison fédérale ce n’est certainement pas pour un petit larcin … mais pour des crimes beaucoup plus important
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Des détenus fâchés de perdre leur piscine

 

 

MONTRÉAL – Les détenus de l’établissement Leclerc, un pénitencier fédéral situé à Laval, sont en colère parce qu’on leur a enlevé leur piscine. Ils souhaitent se faire dédommager.

TVA Nouvelles a appris que la direction du pénitencier a démoli il y a deux mois une piscine creusée que les détenus avaient eux-mêmes payée il y a 28 ans. Service correctionnel Canada leur en avait donné l’autorisation en 1984.

Depuis son installation, les détenus s’occupaient de l’entretenir. Une fresque digne d’un décor des Caraïbes avait même été conçue sur un mur à côté du bassin d’eau. Selon nos sources, la piscine de la discorde était sous le contrôle des Hells Angels et s’y baigner n’était pas un privilège accordé à tous.

Il ne reste plus en lieu et place de la piscine qu’une étendue de terre remuée. Tout au plus, quelques tables de pique-nique laissent penser que la zone servait à la détente.

Le comité des détenus de l’établissement Leclerc était en désaccord avec cette décision et a décidé d’entreprendre une poursuite qui pourrait avoisiner les 100 000 $. Ils plaident que la piscine a été payée et entretenue par eux durant toutes ces années.

L’Office des droits des détenus (ODD) abonde dans leur sens. Pour son président, la propriété de cette piscine était un droit acquis.

«On démolit une piscine qui était tout à fait fonctionnelle et qui permettait un certain nombre d’activités, a regretté Jean-Claude Bernheim, le président de l’ODD. Par quoi va-t-on les remplacer? […] On sait que, lorsque les conditions de détention se dégradent trop, ça provoque des émeutes. On l’a vu dans les années 70.»

M. Bernheim ne comprend pas la décision de Service correctionnel Canada et considère qu’«on a détruit un bien qui ne nous appartient pas. Ce bien appartient à la collectivité des détenus».

Motifs de sécurité

Service correctionnel Canada n’a pas souhaité accorder d’entrevue, mais a précisé que cette décision avait été prise pour des raisons de sécurité. Depuis peu, une directive nationale interdit en effet les piscines dans les pénitenciers fédéraux, d’un bout à l’autre du Canada.

Un autre pénitencier de Laval avait sa propre piscine, également payée par les prisonniers, et elle a aussi été détruite.

L’établissement Leclerc est un établissement à sécurité moyenne qui accueille 470 détenus. Parmi ceux-ci, on trouve des personnes affiliées aux Hells Angels, à la mafia et aux gangs de rue.

En moyenne, 8 % des détenus purgent une peine à perpétuité, selon les données de Service correctionnel Canada.

 

http://fr.canoe.ca