Un député surpris à jouer à Candy Crush en pleine commission


Je veux bien croire que ce jeu peut rendre addictif mais bon. Peut-être qu’une commission parlementaire au Royaume-Uni comme partout ailleurs  c’est vraiment ennuyant surtout quand il y a des enjeux comme la retraite
Nuage

 

Un député surpris à jouer à Candy Crush en pleine commission

 

Un député surpris à jouer à Candy Crush en pleine commission

Le parlementaire aurait joué pendant plus de deux heures et demie au jeu vidéo. Photo AFP

LONDRES – Un député conservateur britannique était dans la tourmente lundi après avoir été photographié en train de jouer sur une tablette au jeu Candy Crush en pleine réunion de la commission parlementaire sur les retraites.

Le doigt posé sur l’écran, créant des combinaisons de bonbons pour les faire exploser: c’est ainsi qu’apparaît Nigel Mills sur une photo publiée en une du Sun.

Le tabloïd cite un témoin pour affirmer que le parlementaire aurait joué pendant plus de deux heures et demie au jeu vidéo.

L’intéressé a toutefois assuré ne pas avoir fait plus «d’une partie ou deux», et publié un message de repentir alors que l’affaire faisait le tour des médias britanniques.

«Je présente mes excuses pour mon comportement lors de la réunion de la commission et reconnais n’avoir pas été à la hauteur de ce qu’on peut attendre d’un parlementaire», dit-il sur Twitter.

«Je promets que cela ne se reproduira pas. Représenter Amber Valley (sa circonscription) constitue un privilège inestimable et j’espère que les électeurs continueront à soutenir mes combats», ajoute-t-il.

Le sujet figurait dans la journée parmi les plus discutés sur les réseaux sociaux au Royaume-Uni, et suscitait les réactions ironiques des internautes.

Jeff demandait ainsi: «Hé Nigel, vous en êtes à quel niveau sur Candy Crush? parce que moi, je suis bloqué au 377 et j’aurais bien besoin d’un coup de main».

Même le premier ministre conservateur David Cameron y est allé de son commentaire, estimant que le député était certainement «embarrassé», mais qu’il n’en travaillerait «que plus durement à l’avenir».

http://fr.canoe.ca/

Millions pour ex-députés ►Les élus qui cessent de siéger à Québec toucheront des primes allant jusqu’à 175 000 $


Quand on parle de crise économique, ce n’est pas le cas de tout le monde, un salaire moyen d’un député au Québec est environ de 86 milles dollars environs .. plus les années, les a côté, sa fonction  etc .. alors quand on parle salaire de départ, de transitons, retraite .. on a lieu de se poser des question ..
Nuage

 

Millions pour ex-députés ►Les élus qui cessent de siéger à Québec toucheront des primes allant jusqu’à 175 000 $

 

Les 38 députés qui quittent l’Assemblée nationale à l’issue des élections de la semaine dernière se partageront rien de moins que 3,2 M$ en « allocations de transition ».

Ils ont été défaits ou n’ont pas sollicité de nouveau mandat. Dans les deux cas, ces ex-députés auront droit à différents montants pour pallier la perte subite de leur emploi.

Les 21 libéraux qui laissent leurs sièges empocheront en tout près de 2 M $. Les 13 péquistes se divisent 1 M$.

C’est la conclusion à laquelle parvient la Ligue des contribuables au terme d’un calcul complexe, puisque les données salariales des élus ne sont pas publiques.

Pour la présidente de l’organisme, Claire Joly, il s’agit là d’un manque flagrant de transparence auquel devraient remédier les élus sans plus tarder.

Secret « inacceptable »

Le secret est « inacceptable, croit-elle. C’est l’argent des contribuables ».

« Je ne connais pas de patron qui ne sait pas la rémunération qu’il verse à ses employés », tranche-t-elle.

D’autant plus qu’« ils (les députés) se votent eux-mêmes leurs conditions de travail et leurs salaires », ajoute-t-elle.

La divulgation des montants versés aux élus en allocations, pensions, comptes de dépense et autres rémunérations permettrait la tenue d’un débat sur la question.

« Ce sera aux gens de juger si c’est trop ou pas assez », estime Mme Joly.

Abus

Elle convient que l’existence de ces primes est « tout à fait appropriée », compte tenu de la difficulté pour les ex-politiciens de se dénicher un nouvel emploi et la brusque fin de l’ancien.

N’empêche que les abus existent, déplore-t-elle. Mme Joly fait référence à la possibilité d’empocher à la fois sa pension de retraite et son allocation de transition, ce qui est impossible au fédéral.

« Il y a d’anciens députés qui touchent des retraites dépassant 100 000 $ par année. Dans des cas pareils, on devrait donc demander aux députés plus âgés de choisir entre la rente de retraite et l’allocation de transition. Sinon, c’est clairement abusif. »

Elle cite en exemple l’ex-ministre Monique Gagnon-Tremblay. Après plus d’un quart de siècle à l’Assemblée, elle aura droit à une pension « assez substantielle ».

Les montants versés aux députés qui démissionnent en cours de mandat et forcent la tenue d’une élection partielle coûteuse devraient aussi être repensés, conclut-elle.

http://www.journaldemontreal.com

La cigale devenue vieille


Une fable sous l’idée de la cigale et la fourmi … dédié a toutes les femmes qui n’ont pas été sur le chemin du travail pour gagner salaire .. mais qui pourtant ont été active pour la société .. Ces femmes qui devenue âgées espèrent une reconnaissance pour avoir contribuer a sa façon au noyau de toute société: la famille ..
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La cigale devenue vieille

La cigale, ayant cuisiné et lavé toute sa vie
Se trouva fort dépourvue
Quand la retraite fut venue.
Pas un seul petit fonds
Ni de régie, ni de pension.

Elle alla réclamer son dû
Chez le député qu’elle avait élu
Le priant de lui faire verser
Un peu d’argent pour subsister
Maintenant qu’elle était vieille.

"Tu me le dois, lui dit-elle,
Pour les enfants que j’ai nourris
Et qui vous ont enrichis."

Les députés bavards et oublieux
Pour les femmes âgées ne sont pas généreux.
 
"Que faisais-tu à la maison
Au lieu d’aller chercher salaire et pension?"

 "Nuit et jour, pour tout venant
Je suais, ne vous en déplaise."

"Tu suais? J’en suis fort aise.
Eh bien ! sèche maintenant."

Cette fable de Mme. Levac, de Saint-André (Québec), a été lue à l’ouverture du colloque VIEILLIR SANS VIOLENCE. Elle illustre bien comment les femmes qui ont élevé des enfants sans aller sur le marché du travail ont des problèmes de pauvreté, à l’arrivée de l’âge de la retraite.