Les dangers de la pédopornographie "douce" sur Youtube


Cet article a sa source en Belgique, mais au Québec, si nous témoins ou doutons de pédopornographie, on peut toujours appeler la Sûreté du Québec ou même la police municipale
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Les dangers de la pédopornographie « douce » sur Youtube

 

© anp.

Source: Belga

Les délinquants sexuels utilisent des films relativement innocents sur You Tube pour promouvoir leur collection de pornographie infantile.

Le journal New York Times l’a découvert après une vaste enquête. Child Focus a également connaissance de ce problème.

« Nous appelons chaque personne à signaler sur les réseaux sociaux les contenus qui semblent louches », insiste son porte-parole Dirk Depover.

Les images sur YouTube qualifiées de « zone grise pédopornographique » sont souvent « assez innocentes », explique Dirk Depover. « Il s’agit par exemple d’un bébé dans son bain, ou d’une fille qui met du rouge à lèvre. Ce n’est pas punissable en soi, mais cela a quand même une valeur érotique pour certaines personnes. »

Le problème, ce sont surtout les commentaires sous les vidéos. On y trouve des conseils pour partager de la vraie pornographie infantile via d’autres canaux de communication. Comme le système crypté Telegram – également populaire auprès des groupes terroristes.

Pas de solution toute faite

Child Focus connaît le danger, mais ne voit pas de solution toute faite.

« C’est évidemment la responsabilité des réseaux sociaux de contrôler les contenus et d’éviter qu’ils soient utilisées pour partager de la pédopornographie ou permettre aux auteurs d’entrer en contact », analyse Dirk Depover.

 Mais ce n’est pas toujours facile, surtout pour des sites comme YouTube, qui fonctionnent avec des images en mouvement. De plus, la technologie évolue chaque jour.

« C’est un peu un jeu de chat et de souris avec les auteurs. La police et les autres services doivent constamment continuer à s’adapter. »

Dirk Depover demande à quiconque verrait quelque chose de suspect sur les médias sociaux de le signaler. Cela peut se faire via le numéro d’urgence 116 000 ou via le site web www.stopchildporno.be. Child Focus contactera ensuite les autorités compétentes. Pour YouTube, les films signalés par Child Focus comme inappropriés sont dans la plupart des cas supprimés par le site lui-même.

Signaler les contenus n’est pas seulement important pour attraper les malfaiteurs

« C’est aussi très important pour nous de pouvoir identifier les victimes. Cela doit être notre priorité. »

http://www.7sur7.be/

Crimes sexuels sur des enfants à l’étranger: des mesures plus dures réclamées


C’est pitoyable que des délinquants sexuels sur mineurs inscrit au registre national des délinquants sexuels au Canada peuvent circuler hors pays pour s’adonner aux trafics sexuels en tant que pédophiles. Les enfants qu’importe le pays doivent être protégés. Aux États-Unis et en Australie, ils ont pris des mesures qui sont importantes et auraient sûrement une diminution sur ce genre de tourisme
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Crimes sexuels sur des enfants à l’étranger: des mesures plus dures réclamées

 

GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO

Ceux qui sont inscrits au «registre national des délinquants sexuels» pour des crimes commis sur des mineurs peuvent se déplacer incognito à l’étranger.

Indigné que des pédophiles canadiens puissent toujours faire du tourisme sexuel et agresser des mineurs à l’étranger, un groupe de protection des droits des enfants continue de faire pression sur Ottawa pour qu’il adopte une ligne plus dure envers les délinquants sexuels, inspiré notamment par les États-Unis qui peuvent les identifier directement sur leurs passeports.

Début novembre, une nouvelle mesure est entrée en vigueur chez notre voisin du sud. Les États-Unis peuvent révoquer les passeports des délinquants sexuels condamnés et ajouter, lorsqu’ils sont émis de nouveau, la mention suivante:

 «Ce titulaire a été condamné aux États-Unis d’un crime sexuel sur un mineur et est un délinquant sexuel couvert en vertu de la (loi américaine)».

L’Australie vient aussi tout juste de revoir ses mesures. Le ministre responsable aura bientôt l’obligation d’annuler un passeport d’un délinquant sexuel inscrit sur demande d’une autorité compétente.

Mais rien de tel au Canada, déplore l’organisme Au-delà des frontières (ECPAT-Canada).

Il se désole qu’au pays, ceux qui sont inscrits au «registre national des délinquants sexuels» pour des crimes commis sur des mineurs puissent se déplacer en toute impunité et se rendre incognito en Thaïlande ou dans d’autres pays prisés par les touristes sexuels — y compris pour y effectuer du bénévolat dans des orphelinats.

Pas d’interdiction, à moins qu’ils ne soient sous le coup d’une probation les empêchant de se rendre à l’étranger ou que les conditions de leur remise en liberté ne les en empêchent.

Annuler les passeports des délinquants sexuels

Le gouvernement fédéral devrait en faire plus pour protéger les enfants dans des pays étrangers, plaide l’organisme qui demande deux choses. D’abord, que les lois canadiennes soient modifiées afin qu’il soit obligatoire pour le ministre — et non pas discrétionnaire comme c’est le cas actuellement — d’annuler les passeports des délinquants lorsqu’une autorité canadienne le demande, soit un juge ou une agence de protection de l’enfance. Une façon de faire similaire à l’Australie, explique David Matas, un porte-parole de l’organisation, qui précise que la loi australienne n’est pas encore en vigueur.

L’organisme réclame aussi un timbre comme aux États-Unis, sur les passeports des délinquants inscrits au registre, condamnés pour des crimes sexuels commis sur des enfants. Cela aurait pour effet d’aviser les autorités étrangères qu’un délinquant sexuel s’apprête à entrer sur leur territoire.

Bref, là où le voyage serait permis, ces pays seraient à tout le moins avisés du passé du voyageur pédophile.

«Les autres pays, incluant ceux des pays en voie de développement, seraient alors bien mieux équipés pour protéger leurs enfants des prédateurs en voyage et des touristes sexuels visant les enfants. Ils pourraient simplement et facilement leur refuser l’entrée», en refusant d’émettre un visa par exemple, soutient Au-delà des frontières-Canada.

Selon l’organisme, les changements législatifs au Canada se heurtent toutefois à un obstacle de taille: la Charte canadienne des droits et libertés, qui prévoit que la mobilité est un droit fondamental. M. Matas soupçonne que ce droit à la mobilité est ce qui pose problème ici.

«Je n’accepte pas cet argument», dit-il toutefois, précisant que ce droit n’est pas absolu. «Nous avons deux droits concurrents ici. Le droit des enfants d’être protégés contre des sévices sexuels et le droit des adultes à la liberté de mouvement. Entre ces deux droits, celui des enfants devrait prévaloir.»

Quant à une violation de la vie privée, causée par un cachet dans le passeport qui indiquerait que le détenteur a été condamné pour un crime sexuel contre les enfants, et les exposant à des représailles de personnes outrées de leurs crimes, là aussi M. Matas croit que la protection des enfants devrait avoir le dessus.

L’organisme tente de recueillir un maximum de signatures pour une pétition qu’il entend déposer au Parlement et présenter au ministre de l’Immigration, Ahmed Hussen.

Questionné à savoir s’il envisageait les changements législatifs mis de l’avant par l’organisme, le bureau du ministre Hussen n’a pas répondu, transférant notre demande au ministère, qui a rétorqué qu’il ne peut commenter sur des décisions politiques ou des changements législatifs futurs.

Il précise toutefois que le Décret sur les passeports canadiens a été modifié en 2015.

Cet article prévoit que «le ministre peut refuser de délivrer un passeport s’il a des motifs raisonnables de croire que cela est nécessaire pour prévenir la commission de tout fait visé au paragraphe 7(4.1) du Code criminel», soit les infractions d’ordre sexuel impliquant des enfants à l’extérieur du Canada. Pour les mêmes motifs, il peut révoquer un passeport.

C’est bien, mais «cela ne va pas assez loin», soutient M. Matas, qui souhaite que la révocation soit obligatoire.

À noter que le Canada avait aussi modifié ses lois en 2002 afin de mettre un frein au tourisme sexuel et de permettre aux autorités de traduire en justice ici les Canadiens ayant commis des crimes sexuels à l’étranger, peu importe les lois du pays visité.

Des prédateurs canadiens ayant sévi à l’étranger

Ernest Fenwick MacIntosh

L’homme de la Nouvelle-Écosse a été arrêté au Népal en 2014 pour agression sur un garçon handicapé vivant dans un orphelinat. Il a écopé de sept ans de prison.

Après deux procès tenus en 2010 au Canada, MacIntosh avait été condamné sur 17 chefs d’accusation pour grossière indécence et agression sur des mineurs dans les années 1970. Ces condamnations avaient été cassées par la Cour suprême du Canada en 2013 en raison de trop longs délais écoulés pour les procédures criminelles.

Donald Bakker

Le Vancouvérois a été arrêté par la police de Vancouver en 2003 après avoir agressé une prostituée. À ce moment, il a reconnu avoir commis dix agressions sexuelles auparavant, dont sept sur des fillettes au Cambodge, âgées de 7 à 12 ans.

Il est le premier Canadien à avoir été condamné en vertu de la Loi sur le tourisme sexuel. En 2005, il a écopé de 10 ans de prison. Il a été libéré en 2012.

James McTurk

L’homme, inscrit au registre national des délinquants sexuels, a été arrêté en mars 2012 à Toronto après être rentré de Cuba avec des photos troublantes de lui prenant part à des actes sexuels avec des enfants. Il a ensuite été accusé de neuf chefs de crimes de tourisme sexuel et de production de pornographie juvénile.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Impossible d’être interdit de Facebook, selon la justice


S’il est impossible d’interdire les pédophiles d’utiliser Internet alors le travail des policiers pour détecter les prédateurs possibles sera surement plus difficile à gérer. Je trouve odieux que ces détraqués sexuels utilisent la liberté d’expression alors que la sécurité des enfants est beaucoup plus importe que leur petite personne
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Impossible d’être interdit de Facebook, selon la justice

 

© reuters.

La Cour suprême des Etats-Unis a jugé lundi qu’il n’était pas possible d’interdire aux délinquants sexuels d’utiliser les réseaux sociaux.

Dans une décision prise à l’unanimité, la haute cour a jugé illégale une loi très répressive de l’Etat de la Caroline de Nord, qui prohibe aux personnes ayant un certain casier judiciaire d’utiliser Facebook ou Twitter.

Récidive Facebook

Cette affaire concernait un certain Lester Packingham, un ancien délinquant sexuel qui avait écrit un message anodin sur son compte Facebook, huit ans après les faits ayant valu sa condamnation. Cela lui avait valu une autre condamnation, pour « crime » d’utilisation de Facebook. Le condamné avait fait appel en affirmant que la loi de Caroline du Nord violait sa liberté d’expression.

Long combat judicaire

Dans son long combat judiciaire de six ans, M. Packingham a rassemblé le soutien aussi bien d’associations luttant contre les restrictions d’internet que de conservateurs libertaires. En face, la Louisiane et douze autres Etats américains avaient apporté leur appui à la Caroline du Nord, en affirmant qu’il était prioritaire d’empêcher les « prédateurs sexuels » de collecter des informations sur d’éventuelles victimes.

http://www.7sur7.be

Pédophilie : Gigantesque coup de filet en Grande-Bretagne


Chapeau aux Anglais, 6 mois d’enquête et ils font un coup de filet de 600 pédophiles et libéré ainsi 400 enfants. Si toutes les enquêtes de ce type pouvaient en faire autant, cela fragiliserait sérieusement le réseau de pédos
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Pédophilie : Gigantesque coup de filet en Grande-Bretagne

 

© Thinkstock

C’est une enquête sans précédent qui a permis à la police britannique d’arrêter 600 pédophiles présumés à travers tout le pays. Parmi eux, des médecins, des enseignants et des policiers.

Internet est le premier outil des pédophiles, mais aussi leur pire ennemi. L’Agence nationale de la criminalité britannique a procédé à l’arrestation de plusieurs centaines de suspects dans le cadre d’une enquête menée depuis 6 mois, comme le relate The Guardian.

Classée top secrète, l’opération a été menée en remontant la piste d’internautes ayant consulté des images pédophiles en ligne, allant « de poses érotiques jusqu’à des formes plus graves de violences » et concernant des enfants de tous âges.

« C’est la première fois au Royaume-Uni qu’une opération de cette ampleur est menée » a déclaré Phil Gormley, directeur général adjoint à l’Agence nationale de criminalité.

Ce coup de filet historique aura permis de mettre la main sur 600 pédophiles présumés. Seuls 39 d’entre eux étaient enregistrés comme délinquants sexuels dans les fichiers de la police. Les autres, viennent de tous horizons, de toutes professions. Des médecins, des enseignants, des chefs scouts ou d’anciens policiers figurent ainsi parmi les suspects. Certains d’entre eux ont donc travaillé au contact d’enfants depuis plusieurs années.

Les enquêteurs tentent désormais de savoir si ces individus se sont contentés de visionner des images pédophiles sur internet – retrouvées parfois par millions sur les ordinateurs de certains d’entre eux – ou si des enfants ont été directement victimes d’abus sexuels.

« Notre objectif était de protéger les enfants qui sont victimes d’exploitation sexuelle. Un enfant est victime non seulement quand il est violé mais aussi lorsqu’une photo est prise. Les enfants sont doublement victimes lorsque les images sont publiées sur la toile » explique Phil Gormley qui ajoute « Nous voulons que ces délinquants sachent qu’Internet n’est pas un espace anonyme sécurisé pour accéder à de telles images, mais qu’ils laissent une empreinte numérique que nous pouvons retrouver pour les punir. »

L’Agence a déclaré que suite à ce gigantesque coup de filet, 400 enfants avaient pu être pris en charge.

Si la police britannique poursuit ses investigations dans cette affaire, elle espère aussi que sa médiatisation permettra à des individus « préoccupés par leur comportement sur Internet, ainsi qu’à leurs familles ou amis » de contacter la ligne d’écoute mise en place pour obtenir de l’aide ou des conseils.

De précédentes affaires de pédophilie ont récemment ébranlé la Grande-Bretagne, notamment celle mettant en cause l’ancien présentateur Jimmy Savile, accusé d’avoir fait des centaines de victimes.

http://www.aufeminin.com

CRIMINALITÉ | INTERACTIF Notre carte des agresseurs sexuels


Même s’il faut être abonné au site du journal de Montréal (ce que je ne suis pas ) il est effrayant de voir le nombre de prédateurs sexuels près des lieux que les enfants fréquentes .. Est-ce une bonne chose la divulgation de cette carte … ??? Je  pense quand on a des enfants il est important de les mettre en garde doucement .. la prévention demeure le meilleur atout
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CRIMINALITÉ | INTERACTIF

Notre carte des agresseurs sexuels

 

MARC PIGEON

JOURNAL DE MONTRÉAL

 

En seulement 12 mois, près de 800 personnes ont défilé devant les tribunaux de Montréal, Longueuil et Laval, pour répondre à des accusations à caractère sexuel.

Une compilation exclusive, réalisée par le Journal de Montréal, permet aussi de répertorier et de placer sur une carte géographique le lieu de résidence de tous ces agresseurs.

La carte, présentée dans notre édition papier, est aussi disponible sur le site Web du Journal*, qui dispose d’un moteur de recherche pour identifier votre quartier, par exemple.

La compilation effectuée par le Journal permet pour la première fois un nouveau coup d’œil sur l’état des choses, sur le plan des agressions sexuelles.

En quelques secondes, on peut avoir un aperçu de la situation, faire des constats et tirer des conclusions. Tous ces points rouges, rappelons-le, identifient les accusés d’une seule année.

« Pas mal partout »

Imaginez un instant l’allure du Registre national des délinquants sexuels (une liste noire accessible uniquement aux policiers) qui accumule des données depuis maintenant sept ans.

Parcs, garderies, écoles ; en observant bien la carte, force est de constater que plusieurs accusés crèchent autour de ces établissements.

« Il y en a pas mal partout », résumait cette semaine l’inspecteur Jean-François Robert, de la police de Longueuil.

En examinant la carte, on s’aperçoit aussi que bien peu d’accusés habitent des secteurs nantis de Montréal comme Outremont ou Westmount.

À l’opposé, on remarque que dans le secteur Parc-Extension, pas moins de 12 accusés sont domiciliés à l’ouest du parc Jarry, entre le parc et le boulevard de l’Acadie, un secteur moins bien nanti.

La pire : Québec

Les municipalités de l’ouest de l’île de Montréal comme Senneville, Baie d’Urfée et Kirkland sont épargnées de la présence de tels accusés.

La compilation démontre aussi que parmi les trois districts judiciaires étudiés dans la région métropolitaine, c’est à Longueuil que l’on retrouve la plus grande densité d’agresseurs par rapport à la population, avec un ratio d’un accusé pour 3 179 habitants.

C’est pire dans le district judiciaire de Québec, où on compte un agresseur allégué par 2 602 habitants. (La carte de Québec est disponible sur notre site Web)

Sur la Rive-Sud, il faut noter l’absence d’accusés dans des villes aussi populeuses que Boucherville et Saint-Bruno-de-Montarville. C’est dans le Vieux-Longueuil qu’on retrouve une plus forte concentration.

À Laval, c’est dans les quartiers Chomedey et Laval-des-Rapides, où l’on retrouve le plus d’accusés.

* Pour accéder à la carte, il faut être membre VIP du site. Notez que les abonnés aux éditions papier ou électronique du Journal de Montréal ont un accès gratuit au statut de membre VIP du site Web. Il suffit de s’inscrire.

L’ABC DU REPORTAGE

Le Journal a recensé, durant une ­période d’un an, tous les dossiers où un individu a fait face à une ­accusation de nature sexuelle.

Les dossiers des districts judiciaires de ­Montréal, Laval et Longueuil ont été ­compilés.

Tous les accusés qui ont dû se présenter au tribunal entre le 1er juin 2011 et le 30 mai 2012 pour des crimes sexuels ont été ­répertoriés par le Journal, sans distinction quant au verdict ou à l’évolution du ­processus judiciaire.

Bien que nous détenions les noms et les adresses de tous ces accusés, nous avons préféré ne pas les divulguer.

Les endroits identifiés sont les adresses ­fournies par les accusés et figurant au ­dossier de la Cour lors de leur dernière ­présence devant le tribunal. Il a été impossible de confirmer si les accusés demeurent toujours à ces endroits. Ils ont toutefois l’obligation d’aviser la Cour de tout changement d’adresse.

 

DISTRICT JUDICIAIRE DE LAVAL

404 639 : population desservie

98 : nombre d’individus ayant fait face à la justice pour des crimes sexuels, au cours de la dernière année ;

1 500 : nombre de délinquants sexuels inscrits au registre national ;

1 agresseur accusé pour 4 259 habitants.

DISTRICT JUDICIAIRE DE MONTRÉAL

1 944 390 : population desservie

497 : nombre d’individus ayant fait face à la justice pour des crimes sexuels, au cours de la dernière année ;

11 500 : nombre de délinquants sexuels inscrits au registre national ;

1 agresseur accusé pour 3 912 habitants.

DISTRICT JUDICIAIRE DE LONGUEUIL

604 077 : population desservie

190 : nombre d’individus ayant fait face à la justice pour des crimes sexuels, au cours de la dernière année ;

1 agresseur accusé pour 3 179 habitants.

http://www.journaldemontreal.com/

Une fillette victime d’abus sexuels Forcée de visiter son père agresseur


Être a la place de la mère, je ne comprendrais pas non plus comment fonctionne la justice surtout en ce qui attrait aux causes d’abus sexuels chez les enfants .. mais comment peut-on penser que cela est bon pour des enfants dont la victime d’aller voir son père abuseur et reconnu comme telle et ainsi obliger de respecter les droits de visite sous peine d’être arrêter .. C’est un non sens
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Une fillette victime d’abus sexuels

Forcée de visiter son père agresseur

 

 Forcée de visiter son père agresseur

Crédit photo : Le Journal de Québec

Par Jean-François Racine | Le Journal de Québec

Une mère de famille est renversée de voir que sa fillette victime d’abus sexuels est forcée de visiter chaque semaine son père agresseur alors que la loi protège tous les autres enfants du quartier.

Pire encore, si la mère ne respecte pas les droits de visite qui ont été maintenus malgré une courte peine de prison, elle risque elle-même une arrestation pour avoir voulu protéger son enfant.

Nathalie (prénom fictif) est désemparée et confuse. Le 29 février, après presque deux ans de procédures judiciaires, son ex-conjoint dans la quarantaine a été reconnu coupable de contacts sexuels sur son enfant de moins de dix ans.

Le juge Hubert Couture a exigé qu’il soit inscrit au registre des délinquants sexuels pour une durée de 20 ans. S’ajoute également une interdiction de fréquenter des endroits où l’accusé pourrait se trouver en contact avec des enfants comme les piscines, parcs ou cours d’école.

«Ridicule»

La loi ne semble toutefois pas s’appliquer à l’enfant qui a dû témoigner au procès. Si elle était majeure, le tribunal aurait vraisemblablement prononcé une interdiction pour l’accusé de communiquer avec sa victime.

«Elle m’a tout raconté. C’était sérieux. J’ai porté plainte à la police. Il m’avait toujours dit que si quelqu’un faisait du mal à sa fille, il se ferait justice lui-même. Il a eu 90 jours d’emprisonnement, mais les fins de semaine pour ne pas perdre son emploi et son logement. C’est ridicule!», raconte la mère, qui ne sait plus vers qui se tourner pour obtenir de l’aide.

En raison de la surpopulation carcérale, les peines discontinues ne sont pas toujours purgées. Lorsque le détenu se présente le vendredi, il est parfois retourné chez lui faute de place à l’intérieur des murs.

Incompréhension

«Quatre jours plus tard, le lundi suivant sa sentence, une intervenante s’est présentée pour que mes enfants puissent voir leur père. Je ne comprends pas. Trois heures par semaine sous supervision. Comme mère, ça me déchire le cœur.»

Il y a quelques jours, la DPJ s’est déplacée pour lui expliquer cette position. Selon elle, aucun parent digne de ce nom n’abuse de ses enfants.

Confuse

«Ils disent que je dois penser aux enfants. Que c’est bon pour eux. C’est leur façon de voir les choses. Ils voulaient me donner un plan d’intervention. Ce que monsieur doit travailler et ce que je dois travailler aussi. Des fois, je me demande si c’est moi qui ne suis pas assez compréhensive. Je suis perdue. Je ne sais plus quoi penser.»

Aujourd’hui, Nathalie considère que la dénonciation et les démarches judiciaires ne valaient pas tous ces tracas.

http://tvanouvelles.ca

Dix ans de prison pour le viol d’un chihuahua


Si ce gars peut faire autant de mal a un petit chien imaginez a des enfants … un récidiviste qui ne devrait pas sortir a mon avis car il semble que meme la chaise roulante ne l’arrête
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Dix ans de prison pour le viol d’un chihuahua

Dix ans de prison pour le viol d'un chihuahua

L’animal a survécu au prix de soins vétérinaires intensifs.

Photo AFP

Agence France-Presse
Los Angeles, Californie

Un Californien a été condamné à dix ans de prison, assortis d’une inscription à vie au fichier des délinquants sexuels, pour avoir violé un chien de race chihuahua, a-t-on appris samedi auprès du bureau du procureur de Sacramento (nord-est de San Francisco).

Robert Edwards De Shields, un délinquant récidiviste, avait été reconnu coupable en novembre dernier de violence envers le chihuahua de 8 mois de la famille qui l’hébergeait.

L’animal, dont la justice précise qu’il n’a survécu qu’au prix de soins vétérinaires intensifs, présentait des traces de strangulation en plus de blessures internes.

M. De Shields, dépendant aux métamphétamines et qui est cloué depuis plusieurs années dans un fauteuil roulant, sera inscrit au fichier des délinquants sexuels. Après sa libération, il devra à ce titre habiter pour le restant de ses jours à distance respectable d’une école ou de tout lieu de réunion d’enfants, et porter un appareil de reconnaissance électronique.

http://www.cyberpresse.ca