Enquête J.E. — Cyberprédateurs Une ado de 13 ans suscite le désir sexuel


Je trouve cela révoltant de voir la facilité que des prédateurs sexuels peuvent avoir traquées les jeunes avec un simple ordinateur et curieusement ce n,est pas juste des vieux mais aussi des gens dans la trentaines qui sont des prédateurs ..
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Enquête J.E. — Cyberprédateurs

Une ado de 13 ans suscite le désir sexuel

Une ado de 13 ans suscite le désir sexuel

Crédit photo : Agence QMI

Michel Jean discute avec un homme mûr émoustillé par la jeune Hélodie âgée de 13 ans

Par Jean-Louis Fortin | Journal de Montréal

Quatre ans après l’enquête du Journal de Montréal, qui démontrait qu’un grand nombre de prédateurs traquent les jeunes enfants sur Internet dans le but d’obtenir des contacts sexuels, rien n’a changé, révèle un reportage de l’émission J.E. qui sera diffusé ce soir.

Masturbation en direct d’une webcam à l’intention d’une fillette de 13 ans, avances sexuelles explicites, rencontres à domicile dans le but d’avoir des contacts physiques; voilà jusqu’où sont encore prêts à aller les pédophiles.

Les images rapportées par le journaliste Michel Jean et son équipe donnent froid dans le dos et se veulent un avertissement aux parents de jeunes enfants qui utilisent Internet sans supervision.

Le reportage de J.E. est diffusé ce soir à 19 heures

Pendant deux mois, l’émission d’enquête a inscrit sur un site de rencontres le personnage fictif d’une fillette blonde qui indique très clairement qu’elle a 13 ans. Elle se prénomme Hélodie.

Une cinquantaine d’individus l’ont approchée pour discuter de sexe avec elle.

Certains envoyaient des photos ou des vidéos dégoûtantes montrant des images très explicites. Parmi eux, dix ont rapidement proposé une rencontre en personne.

«Objets sexuels»

«Il est sur un terrain de chasse et il cherche des victimes. Pour eux, c’est simplement des objets sexuels», analyse le sexologue Mario Larrivée-Côté, dans le reportage, à propos de l’un des prédateurs.

Les rencontres devaient avoir lieu dans des lieux publics, ou encore dans un appartement loué par l’équipe de J.E.

Sur place, confrontés aux journalistes, les prédateurs ont tous menti, niant dans un premier temps qu’ils venaient rencontrer Hélodie. La plupart ont fini par se confier. L’un deux a même avoué avoir eu des liens avec une fillette de 10 ans.

«Sa jeunesse, sa physionomie, la fraîcheur de sa personne, sa beauté. Ça m’attirait», expliqué un homme de 50 ans.

Pas de surveillance

Même si l’enquête-choc du Journal sur le même phénomène remonte à 2007, il semble qu’Internet soit encore un terreau fertile pour les prédateurs.

Ceux-ci n’ont à peu près pas de chance de se faire prendre, «compte tenu qu’il y a peu de budget et de policiers qui les traquent sur Internet», estime le sexologue.

Le reportage comporte également un volet sur la prévention. On apprend notamment que les policiers ontariens attrapent cinq fois plus de cyberprédateurs que ceux du Québec, grâce à un module d’enquête spécialement dédié à ce fléau.

L’équipe de TVA assure que malgré des demandes répétées, ni les corps policiers, ni le ministre de la Sécurité publique Robert Dutil n’ont voulu commenter la situation.


Le reportage de l’émission J.E. sera diffusé ce soir à 19 h, sur les ondes de TVA. Il sera en reprise samedi et dimanche à 15 h, à LCN.

http://tvanouvelles.ca

Enfants : concours de beauté► Guidounes en herbe


J’ai trouvé quelques photos de ces fillettes un peu partout sur le web qui participent a des concours de beauté pour complété ce billet et démontrer la stupidité des parents, des producteurs, des revues qui y participent bref ceux qui font des fillettes, des femmes fatales.  Amy Winter est la vice-présidente exécutive de TLCGuidounes en herbe ose dire que c’est pas sa faute ..C’est tellement simpliste de dire on approuve pas mais on ne juge pas .. Voyons donc, ces enfants sont devenus des poupées a regarder sous toutes les coutures alors qu’on essaie de donner a nos enfants des enseignement moraux pour se faire respecter et se respecter eux même

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Guidounes en herbe



CHRONIQUE DE SOPHIE DUROCHER

Comment allez-vous habiller votre petite fille de 3 ans pour l’Halloween? Escorte de luxe, avec des faux cils et un t-shirt bedaine?
NON, BIEN SÛR!

C’est pourtant ce genre de costumes de mauvais goût qu’on a pu voir récemment aux États-Unis à l’émission Toddlers & Tiaras. Diffusée au réseau TLC, cette téléréalité suit des petites filles qui participent à des «concours de beauté».

Mia, deux ans, portant un soutien-gorge doré à la Madonna;

Au cours des dernières semaines, on a pu voir à l’émission: la petite Mia, deux ans, portant un soutien-gorge doré à la Madonna; Paisley, trois ans, habillée en prostituée comme Julia Roberts dans Pretty Woman; et Madisyn, quatre ans, avec une brassière double D et un faux derrière rebondi comme Dolly Parton.
Bref, des petites couche-tôt équipées pour veiller tard.

Paisley, trois ans, habillée en prostituée comme Julia Roberts dans Pretty Woman

Madisyn, quatre ans, avec une brassière double D et un faux derrière rebondi comme Dolly Parton

HYPERPÉDOPHILIE

 

 

Les petites qui participent aux «beauty pageants» sont tellement bronzées, maquillées, coiffées et couvertes de bijoux bling-bling qu’elles finissent toutes par ressembler à la drag queen Mado Lamotte, l’humour en moins.

Si un extraterrestre se posait sur la Terre et écoutait Toddlers & Tiaras, il penserait qu’il a atterri sur la Planète des fous.

D’un côté, on n’arrête pas de dire aux parents qu’il faut protéger les enfants des pédophiles et des cyberprédateurs. De l’autre, deux millions de personnes sont collées devant leur télé pour regarder des bouts de chou échanger leurs Pull-Ups contre des G-Strings.

ATTAGIRL!

Les costumes de Pretty Woman et de Dolly Parton ont tellement fait scandale aux États-Unis que même le magazine People a consacré sa une à cette controverse en posant la question: «Est-ce que ça va trop loin?»


Il me semble qu’on est déjà rendu bien plus loin que trop loin! Sinon, c’est quoi la prochaine étape? Une fillette de deux ans flambant nue avec un tatouage dans le bas du dos qui fait une danse poteau pendant que Joe Cocker chante You Can Leave Your Hat On? Au moins elle n’aurait pas besoin de se faire une épilation bikini pour ressembler à une vraie danseuse du Solid Gold.

Comme le disait un travailleur social interviewé par People, «Les petites filles sont censées jouer avec des poupées, pas s’arranger comme des poupées».


C’EST PAS MA FAUTE!

Amy Winter est la vice-présidente exécutive de TLC. Elle s’est défendue dans le magazine People en affirmant que sa station ne faisait que diffuser Toddlers & Tiaras, et n’était qu’un observateur du phénomène des concours de beauté.

«Nous n’approuvons pas, mais nous ne portons pas de jugement non plus».

C’est bien ça le problème. Un diffuseur qui montre à la télé des comportements complètement indécents et perturbés ne peut pas s’en laver les mains en disant: «ce n’est pas ma responsabilité». C’est trop facile. Si tu montres des petites filles habillées comme Samantha Ardente, aie au moins le courage d’admettre que tu contribues toi aussi au voyeurisme.


Les parents affirment que s’ils inscrivent leurs petites dans des concours des beauté, c’est parce que leurs filles en exprimaient leur désir. Alors il faudra bien m’expliquer pourquoi certaines de ces petites beautés ont été inscrites à des «beauty pageants» dès l’âge de six mois…

http://fr.canoe.ca