La bigorexie, cette étrange addiction au sport


On nous dit de faire du sport pour être en santé, ce qui est vrai. Cependant, des personnes ont des addictions au sport amateur et peuvent donc, avoir des problèmes physiques en essayant à d’aller au-delà de leurs forces
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La bigorexie, cette étrange addiction au sport

 

Êtes-vous atteint de bigorexie ? Si le sport est devenu une obsession, que vous pouvez courir jusqu’à épuisement, quitte à risquer une déchirure musculaire, vous êtes peut-être concerné par cette addiction récemment reconnue par l’OMS.

15 % des sportifs amateurs concernés

La bigorexie est un mot encore peu utilisé dans le langage courant, et pour cause : cette maladie, qui se caractérise par une addiction au sport, n’a été reconnue que très récemment par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). À l’heure où l’activité sportive est recommandée par toutes les autorités sanitaires et médicales pour prolonger l’espérance de vie et lutter contre de nombreuses maladies, il semblerait que certains soient devenus accros à leur dose quotidienne de sport.

Cette addiction concernerait aujourd’hui environ 15 % des sportifs amateurs qui s’adonnent à un exercice physique quotidien. Tous les sports ne semblent pas concernés, puisqu’on rencontrerait davantage de bigorexiques dans les milieux du culturisme et de la course à pieds.

Le déni, caractéristique de la bigorexie

Comment définir cette forme d’addiction ?

Pour Laurent Karila, porte-parole de l’association SOS Addictions, « on parle de bigorexie surtout quand il y a une perte de temps, de contrôle, qui est considérable et qu’il y a des conséquences derrière. Il n’y a pas forcément de consensus sur le temps, mais c’est sur une année de pratique sportive excessive au moins ».

« On devient malade ou addict lorsqu’on utilise un produit ou qu’on adopte un comportement pour ne pas souffrir », explique-t-il pour le quotidien l’Équipe.

Les principaux risques d’une telle addiction sont avant tout physiques. Les personnes atteintes de bigorexie chercheront sans cesse à dépasser leurs limites, jusqu’à l’épuisement. Les fractures, déchirures musculaires ou même AVC sont des risques non-négligeables de ce type de syndrome. Pour en guérir, les concernés doivent avant tout avoir conscience de leur état – le déni étant caractéristique de la bigorexie  –, avant d’entamer une démarche thérapeutique qui ne se fera pas sans consultation d’un psychologue ou d’un médecin addictologue.

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La mamie culturiste la plus musclée du monde vient de fêter son 80e anniversaire.


C’est toute une leçon qu’Ernestine Shepherd donne a ceux qui ont plus de 50 ans. Il n’est jamais trop tard pour changer. Aujourd’hui, cette culturiste est octogénaire de Baltimore aux États-Unis. Elle a commencé à s’entrainer à 56 ans, et au cours des années Ernestine a remporté deux prix, soit en 2010 et 2011 et d’après le Livre Guinness a déclaré qu’Ernestine Sheperd était la culturiste active en compétition la plus âgée du monde
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La mamie culturiste la plus musclée du monde vient de fêter son 80e anniversaire.

Manger comme un culturiste, bon contre la schizophrénie?


L’alimentation pourrait-elle être un traitement pour la schizophrénie ? En tout, cela pourrait peut-être une solution à envisager étant donné que les bons aliments sont des atouts précieux pour le fonctionnement du corps
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Manger comme un culturiste, bon contre la schizophrénie?

 

Manger comme un culturiste, bon contre la schizophrénie?

La diète cétogène consiste à l’absorption d’aliments riches en matière grasses. Photo RelaxNews

Une équipe de chercheurs de l’université australienne James Cooka a découvert que la diète cétogène, à haute teneur en gras et très faible en glucides, très appréciée des culturistes, serait efficace dans le traitement de la schizophrénie.

Ce régime presque exclusivement constitué de graisses et de protéines, est utilisé depuis les années 20 à des fins thérapeutiques dans certaines épilepsies de l’enfant.

Les résultats de l’étude australienne, publiés dans la revue Schizophrenia Research, montrent qu’un régime de ce type a fait diminuer les comportements schizophréniques chez la souris. Le poids des rongeurs étudiés a également diminué. Ils affichent par ailleurs un taux de glucose dans le sang inférieur à celui des souris nourries de manière habituelle.

Les chercheurs pensent que le régime cétogène est efficace car il procure au cerveau une source d’énergie alternative, favorisant la neurotransmission et améliorant les processus neurobiologiques qui sous-tendent la schizophrénie.

Selon l’auteur principal de l’étude, Zoltan Sarnyai, «puisque la diète est faible en glucides, la quasi-totalité de l’énergie provient de l’assimilation des acides gras et non du glucose. Cela permet de contourner les voies métaboliques classiques du glucose, rendues inopérantes par la maladie».

Par ailleurs, le régime peut contribuer à augmenter les taux de GABA (acide gamma-aminobutyrique) dans le cerveau. Un taux peu élevé de GABA est à la source de divers troubles anxieux. C’est aussi un facteur sous-jacent de la schizophrénie. De meilleurs taux de GABA peuvent normaliser l’état du patient schizophrène, un aspect que Zoltan Sarnyai est enclin à étudier plus en détail.

La diète cétogène chez l’humain consiste à l’absorption d’aliments riches en matière grasses comme le beurre, le fromage ou le saumon. Ces matières grasses constituent la seule source d’énergie.

«En premier lieu, le régime serait suivi en complément de la prise de médicaments dans un environnement hospitalier où l’alimentation du patient pourrait être contrôlée», précise le chercheur.

«Autre avantage : le régime fonctionne contre la prise de poids, les problèmes cardiovasculaire et le diabète de type 2. Ce sont des effets secondaires répandus des traitements utilisés contre la schizophrénie», poursuit le Dr. Sarnyai.

L’équipe de chercheurs s’apprête donc à effectuer des recherches plus approfondies avec possibilité de tests cliniques.

Des recherches publiées plus tôt dans l’année laissent penser que les omega-3, acides gras que l’on trouve dans les poissons gras et autres aliments riches en matières grasses comme les noix, peuvent retarder l’apparition de la schizophrénie et d’autres troubles psychotiques.

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Première compétition dans dix jours Trisomique, il s’entraîne pour être culturiste


Je ne suis vraiment pas une adepte du culturisme, mais de voir que de plus en plus des personnes atteintes de trisomie peuvent de plus en plus aller au bout de leur rêve est vraiment encourageant, car tranquillement, les mentalités changent
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Première compétition dans dix jours

Trisomique, il s’entraîne pour être culturiste

 

(Capture d’écran, CNN)

S’entraîner pour les compétitions de culturisme n’est pas de tout repos, mais pour Collin Clark il s’agit d’un défi personnel.

L’Américain de 22 ans s’est imposé une routine extrême d’entraînement avec une diète stricte dans les derniers mois. Le résultat: il a perdu 60 livres.

Mais Collin Clark est atteint de trisomie 21. Pour l’encourager, il s’entraîne avec un culturiste de renom dans la région afin de participer à sa première compétition le 14 novembre.

«Je me sens tellement bien», dit Collin à une chaîne locale. Le culturisme fait partie de mon identité. J’ai toujours rêvé de le faire puisque je regardais les plus grands à la télévision lorsque j’étais enfant».

Lors de sa compétition, il aura une minute pour impressionner les juges, mais Collin n’est pas nerveux.

«Je ne vais jamais abandonner. Il faut toujours pousser ses limites et donner tout ce qu’on a», dit-il.

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UN CULTURISTE DE SEULEMENT 15 ANS!


On dit que tous les goûts sont dans la nature, mais personnellement, je n’aime pas vraiment les hommes ou les femmes trop musclés. Commencer à 11 ans pour arriver à ce résultat à 15 ans, c’est, je crois trop tôt. Je ne sais pas si je me fais des idées, mais il me semble que cela le vieillit
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UN CULTURISTE DE SEULEMENT 15 ANS!

 

 

À seulement 15 ans, le britannique Cosmo Taylor est un culturiste!

Il a commencé à s’entraîner à 11 ans soutenu par sa sœur Bronwyn, 19 ans, qui excelle à lever des poids et son père Andrew un culturiste de 47 ans.

L’adolescent suit aussi une diète faite de protéines et de légumes afin de l’aider à gagner de la masse musculaire. Il a pris part à sa première vraie compétition en novembre dernier et s’entraîne en vue des prochains concours.

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Italie Culturiste à 9 ans


Il semble que ce soit le choix de l’enfant de faire du culturisme. Je trouve que c’est jeune pour ce lancer dans ce genre de sport. C’est un peu comme l’hypersexualisation des petites filles, alors que lui c’est comme l’hypermasculinisation, je me demande si en vieillissant il ne développera pas non plus une addiction au culturisme 
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Italie

Culturiste à 9 ans

 

Pendant les vacances scolaires, le petit Giuliano, 9 ans, a décidé de relever un défi pour impressionner ses camarades de classe.

Il a amorcé un camp d’entraînement intensif pour devenir culturiste. Ses vidéos ont été partagées par sa famille sur Youtube.

Tous les jours, le jeune Giuliano s’entraîne deux fois par jour en compagnie de son frère.

Surnommé le «Hercule roumain», il est capable de se déplacer sur ses mains avec des poids de 10 livres.

 

 

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