Des archéo­logues déterrent une plaque sata­nique dans un parc en Écosse


Les archéologues ont trouvé en Écosse une partie d’un autel avec une plaque païenne qui repris plus tard par des cultes sataniques.
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Des archéo­logues déterrent une plaque sata­nique dans un parc en Écosse


Crédits : Histo­ric Envi­ron­ment Scot­land

par  Suzanne Jovet

Une plaque en métal et un autel voués aux forces occultes ont été décou­verts en mai 2018 dans le Queen’s Holy­rood Park, à Édim­bourg en Écosse. Après un an d’enquête, archéo­logues et cher­cheurs·euses ont enfin élucidé les mystères de ces symboles sata­niques, rapporte Edin­burgh News.


Les archéo­logues avaient été convoqués après la décou­verte des restes d’un « autel » en béton et d’une plaque païenne en métal. Les objets ont été trou­vés sur la colline de Whinny, au dessus du lac Sainte-Margue­rite. La plaque en métal a été retrou­vée enter­rée sous un triangle de terre. Elle repré­sente deux person­nages, un homme doté de cornes et une femme dans une pose de reddi­tion, encas­trés dans un penta­gramme renversé à l’in­té­rieur d’un cercle. Le penta­gramme est un symbole fréquem­ment utilisé dans les cultes païens, repris plus tard par les sata­nistes.

La deuxième décou­verte était un « autel » enterré à coté de la plaque. Le penta­gramme repré­sen­te­rait les quatre éléments – terre, feu, air et eau –, chacun étant lié au cercle de la vie, de la mort et de la renais­sance. Selon Mark Black, président du UK Pagan Coun­cil, les person­nages repré­sen­tés sur la plaque sont le dieu cornu et la déesse de l’eau. Cepen­dant, plusieurs facteurs suggèrent que la plaque de penta­gramme métal­lique n’est pas d’ori­gine païenne, car les objets païens étaient confec­tion­nés à partir de maté­riaux natu­rels. Il s’agi­rait donc bien de reliques sata­niques.

« C’est un mystère », déclare M. Black. Les reliques pour­raient ainsi émaner d’un culte sata­nique contem­po­rain et pour­raient avoir été instal­lés peu de temps avant mai 2018, car ils ne figu­raient dans aucune étude archéo­lo­gique jusque-là. L’Écosse a peur.

Source : Edin­burgh News

https://www.ulyces.co/

Découverte d’un temple sacrificiel au Mexique, le premier connu dédié au «seigneur des écorchés»


C’est toute une découverte au Mexique, une divinité de la fertilité dans un temple ou l’on sacrifiait lors d’une fête des victimes afin que les prêtres revêtissent leur peau.
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Découverte d’un temple sacrificiel au Mexique, le premier connu dédié au «seigneur des écorchés»

 

Divinité de la fertilité, Xipe Totec est un dieu important du panthéon amérindien, dont aucun sanctuaire n’avait été trouvé jusqu’à maintenant. Deux autels confirment que des captifs y étaient mis à mort et dépecés, afin que les prêtres enfilent leur peau : un rituel symbolique de régénération.

L’Institut national d’Anthropologie et d’Histoire du Mexique (INAH) ne cache pas sa fierté. Xipe Totec – à prononcer «chipè totèc» – est l’un des dieux les plus importants du panthéon des Popolocas puis des Aztèques.

«Mais aucun temple associé directement à son culte n’avait jamais été découvert», s’est enthousiasmé l’INAH dans un communiqué, jeudi 3 janvier

L’influence de Xipe Totec («Notre seigneur l’écorché»), dieu associé à la fertilité, à la régénération des cycles agricoles, était reconnue par de nombreuses civilisations du golfe du Mexique préhispanique.

Ce temple, sans doute construit entre 1000 et 1260 après J.-C., de 12 mètres de long et 3,5 mètres de haut est composé de deux autels de sacrifice divers éléments architecturaux. Il est situé dans le complexe pyramidal de la Zone archéologique de Ndachjian-Tehuacán, dans l’État de Puebla, au centre du Mexique.

Découverte d'un temple sacrificiel au Mexique, le premier connu dédié au «seigneur des écorchés»

Deux crânes de pierre volcanique d’environ 70 centimètres, chacun pesant 200 kg, ont été trouvés dans le temple dédié à Xipe Topec. AFP – MELITON TAPIA

Parmi les sculptures, on compte deux crânes d’environ 70 centimètres, pesant chacun 200 kg, et un buste de Xipe Totec. Les trois sont faites de pierre volcanique.

D’environ 80 centimètres, le torse possède «un trou dans le ventre qui servait, selon les sources, à placer une pierre verte et à lui donner vie pour les cérémonies», précisent les archéologues.

Ils estiment que le torse a pu être brisé lors d’un rituel, afin de tuer symboliquement le dieu ; ils ont bon espoir de retrouver d’autres fragments à proximité.

Les sacrifices à Xipe Totec

Buste de Xipe Totec, «seigneur des écorchés», dieu de la fertilité.

Une des fêtes les populaires de l’époque était le «Tlacaxipehualiztli», qui signifie «mettre la peau de l’écorché» en langue náhuatl. Selon les archéologues, les prêtres vénéraient Xipe Totec en se glissant dans la peau de victimes, des captifs tués sur le premier autel circulaire puis dépecés sur le second.

Après la cérémonie, la peau des sacrifiés était déposée dans de petites cavités et gardée comme des éléments sacrés.

«Deux trous dans le sol devant les autels qui (…) se trouvaient sous les crânes de pierre» ont été effectivement remarqués sur le site.

http://www.lefigaro.fr/

Langue maternelle


J’envie ceux qui sont bilingues, ou polyglottes, mais jamais il ne faut oublier sa langue maternelle, car elle, vient raconter notre origine, notre culture, notre savoir, notre histoire
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Langue maternelle

 

 

“Pour tout homme de coeur le culte qu’il a voué à sa langue maternelle est une chose sacrée !”

Georges Isidore Barthe

Le culte des crânes, plus vieux rituel humain?


Généralement quand les civilisations devenaient sédentaires. Ils contrôlaient l’agriculture et pratiquaient leur culte. Cette découverte aux frontières de la Syrie et la Turquie montre que ces ancêtres pratiquaient le culte des crânes semblent pourtant ne pas être le cas et pourtant site du même genre qu’à Stonehenge, sauf qu’ils sont décorés de gravures en relief
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Le culte des crânes, plus vieux rituel humain?

 

Göbekli Tepe

Vue aérienne du site archéologique de Göbekli Tepe Photo : German Archaeological Institute (DAI)

Des fragments de crânes trouvés sur le site archéologique de Göbekli Tepe, près de la frontière entre la Turquie et la Syrie, montrent que certaines formes de cérémonies mortuaires pourraient être apparues dans l’histoire humaine beaucoup plus tôt qu’on ne le croyait jusqu’ici.

Un texte de Renaud Manuguerra-Gagné

Ce site archéologique, découvert dans les années 90 et déjà surnommé « le plus vieux temple du monde », n’a pas fini de livrer tous ses secrets.

Situé à flanc de colline, on y trouve des structures construites par les humains, vieilles de 11 000 ans, dont des mégalithes, des colonnes rocheuses en T similaires à ce que l’on observe à Stonehenge, en Angleterre.

Contrairement à ceux du célèbre monument britannique, les mégalithes de Göbekli Tepe sont décorés de gravures en relief. Depuis leur découverte, un détail a attiré l’attention des chercheurs : pourquoi ceux qui ont érigé ce site y ont-ils accordé autant d’attention, à une période où l’humanité ne maîtrisait pas encore l’agriculture ni la poterie?

Des fouilles récentes faites par des archéologues allemands pourraient permettre de percer le mystère; ils y ont trouvé des crânes humains, dont certains étaient marqués de gravures jamais observées auparavant.

Selon les chercheurs, ces altérations laissent croire à la présence d’un culte des crânes, une forme de rituel où les ossements humains se voient attribuer une valeur symbolique. Cette découverte, publiée dans le journal Science Advances, fait reculer de 1500 ans l’apparition de ce type de culte dans cette région du monde.

Quelques-uns des objets trouvés sur le site de Göbekli Tepe.

Des représentations anthropomorphiques trouvées sur le site de Göbekli Tepe. (A) Une statue humaine intentionnellement décapitée. (B) Un porteur de cadeaux tenant dans ses mains une tête humaine. (C) Un pilier avec un haut-relief représentant un individu sans tête. Photo : Nico Becker, Dieter Johannes et Klaus Schmidt/Göbekli Tepe Archive (DAI)

Un symbolisme incompris

Les traces mises au jour par les archéologues montrent que les crânes ont été polis et que les habitants de l’époque les ont sculptés en faisant des entailles profondes. Des trous y ont été percés à des endroits précis, ce qui laisse croire que ces crâines étaient suspendus en guise de décorations.

Le site n’est pourtant pas un cimetière. Aucune tombe ni aucune forme de dépouille humaine n’y ont été découvertes. Les crânes gravés représentaient donc quelque chose de particulier aux yeux des premiers habitants de cette région.

Pour l’instant, les chercheurs n’ont pas recueilli assez d’os pour déterminer la signification des gravures, et les motifs pour lesquels ces crânes étaient modifiés demeurent inconnus. Dans d’autres cultes semblables, plus près de nous dans l’histoire, on modifiait les os pour honorer des ancêtres ou punir des ennemis tués au combat. Jusqu’à présent, les indices trouvés à Göbekli Tepe ne permettent pas de conclure que les habitants de cette époque avaient les mêmes intentions.

Des crânes qui ont subi des altérations

Détails de certaines altérations de crânes Photo : Julia Gresky/German Archaeological Institute (DAI)

Qu’est-ce qui est arrivé en premier?

Malgré l’incertitude, cette découverte ainsi que le site même de Göbekli Tepe pourraient avoir une incidence sur notre compréhension de l’ordre de l’établissement de la civilisation humaine dans la région.

On pense que les humains sont passés d’un mode de vie entièrement nomade à un mode plus sédentaire dès qu’ils ont commencé à pratiquer l’agriculture. Cette nouvelle sécurité alimentaire a mené aux premiers villages et a permis l’établissement des premiers vrais lieux de culte.

Or, les crânes découverts à Göbekli Tepe sont beaucoup plus anciens et datent d’une période où on ne maîtrisait ni l’agriculture ni la poterie.

Pour les chercheurs, d’autres fouilles seront nécessaires pour confirmer l’importance de la découverte de ce culte de crânes ainsi que la nature des rituels qui avaient lieu sur ce site.

http://ici.radio-canada.ca

Découverte d’une grotte de 700 ans utilisée par les Templiers


On en sait jamais ce qui se trouve en dessous de la terre qu’on habite. Un agriculteur a sous son terrain, un tunnel qui était bien caché qui même dans un labyrinthe de salle que les Templiers ont construit
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Découverte d’une grotte de 700 ans utilisée par les Templiers

 

 

Christophe Da Silva

 Dans la campagne verdoyante du Shropshire (ouest de l’Angleterre), un lieu de culte souterrain mystérieux a été découvert après avoir passé des années enfoui sous le champ d’un agriculteur.

En apparence, il s’agit de l’entrée d’un terrier de lapin très ordinaire niché dans la campagne verdoyante du Shropshire (ouest de l’Angleterre). Au bout de ce tunnel, il n’y a pourtant rien de banal: un incroyable labyrinthe de salles, creusé de la main des Templiers il y a plus de 700 ans comme l’indiquent deux croix gravées, symboles de l’Ordre.

Ce site extraordinaire est situé dans un champ sur une propriété privée. Le fermier, lassé des archéologues amateurs, a d’ailleurs fermé son accès en 2012.

Trésor

Malgré quelques graffitis, le sanctuaire souterrain est en grande partie intact. Michael Scott a obtenu l’autorisation de photographier ce lieux somptueux à la seule lueur de bougies, afin de reconstituer l’atmosphère qui y régnait il y a des siècles.

L’Ordre du Temple, fondé en 1139 par Innocent II, a été un acteur essentiel de la guerre sainte et des croisades. En 1307, le roi de France Philippe Le Bel, a fait procéder à l’arrestation massive des Templiers avec le consentement du pape Clément V. Quant à leur légendaire trésor, disparu avec l’Ordre, il repose peut-être au bout d’un autre terrier…

http://www.7sur7.be

L’étonnante passion de la Thaïlande pour des poupées


J’avoue ne pas vraiment comprendre cette forme d’adoration, de croire qu’avoir une poupée (ou tout autre objet d’ailleurs) porterait chance.
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L’étonnante passion de la Thaïlande pour des poupées

 

28 janvier 2016: des poupées luuk thep à Nonthaburi près de Bangkok. AFP PHOTO / Christophe ARCHAMBAULT

28 janvier 2016: des poupées luuk thep à Nonthaburi près de Bangkok. AFP PHOTO / Christophe ARCHAMBAULT

Repéré par Charlotte Pudlowski

De nombreux adultes vouent un culte à des poupées, qu’ils traitent comme leurs propres enfants.

Si vous vous promenez en Thaïlande ces temps-ci, vous verrez peut-être des adultes portant sous le bras une poupée en plastique. Ce ne sont pas des parents portant les jouets de leurs enfants: c’est la dernière et étrange mode du pays, raconte The Atlantic.

«Les adultes thaïlandais se baladent dernièrement avec des poupées ressemblant à de vrais bébés connus sous le nom de luk thep (communément traduit par «child angels», «les anges-enfants»). La croyance veut que ces poupées soient habitées par des esprits apportant la chance.»

AFP PHOTO / Christophe ARCHAMBAULT

Ces poupées coûtent jusqu’à 1.000 dollars, et ont été popularisées «il y a un peu plus d’un an par des célébrités qui prétendaient qu’elles leur avaient apportées le succès professionnel», rapportait l’AFP en février dernier.

Natsuda Jantaptim, détentrice de l’une de ces poupées, qu’elle a prénommé Ruay Jang, expliquait ainsi à l’agence de presse, en évoquant cette dernière:

«Depuis que j’ai Ruay Jang, ma vie a vraiment changé. Par exemple, j’ai gagné à la loterie, ce qui ne m’était jamais arrivé auparavant». 

Cette femme de 45 ans, mère d’une fille de 22 ans, dort avec sa poupée, qui a «son propre oreiller et ses propres couvertures», et précisant que «le matin, elle aime boire du lait à la fraise»… Les propriétaires de ces poupées les nourrissent, les lavent, en prennent soin comme s’il s’agissait de vrais enfants. Des stars les emmènent même au restaurant, et leur achètent parfois des billets d’avion, leur offrent des bijoux, leur font faire des injections de botox…

AFP PHOTO / Christophe ARCHAMBAULT

Religiosité

De prime abord, les poupées pourraient, selon The Atlantic, apparaître comme le reflet du faible taux de fertilité thaïlandais, qui s’est écroulé lors des dernières décennies, pour parvenir à 1,4 enfants par femme, beaucoup moins que dans les pays voisins. 

CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP

«Mais des observateurs estiment que la folie des luk thep est plus profondément liée à la religiosité complexe de la Thaïlande. Bien que 95% des Thaïs pratiquent le boudhisme, nombreux sont ceux qui font aussi des offrandes aux dieux hindous, et le pays a une longue tradition d’adoration, censée trouver ses racines dans l’animisme.»

D’ailleurs, ces luk thep ne sont pas les premières poupées adorées par les Thaïlandais selon la BBC. Les kuman par exemple existaient déjà: ils constituent une autre sorte de poupées en plastique, portant des costumes historiques, serrant souvent une petite bourse d’or dans leurs mains, et censées être habitées par le fantôme de foetus jamais venus au jour.

«La croyance dans le kuman thong, pour leur donner leur nom complet, remonte à des centaines d’années».

http://www.slate.fr/

Le Saviez-Vous ► Le Monstre de Spaghettis volant, Maradona, Star Wars… ces cultes qui rivalisent d’étrangeté


Aujourd’hui, on crée des religions pour n’importe quoi ! Certains sont tirés d’un film, d’autres de sport, etc …
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Le Monstre de Spaghettis volant, Maradona, Star Wars… ces cultes qui rivalisent d’étrangeté

 

Karen Martyn, premier pasteur de l’Eglise du Monstre de Spaghetti volant, a célébré samedi un mariage reconnu officiellement par la Nouvelle-Zélande. Photo: AFP

RELIGION – Les adeptes du culte du Monstre de Spaghettis volant a célébré samedi son premier mariage officiel. Mais cette religion, reconnue officiellement en Nouvelle-Zélande, n’est pas la plus étrange que vous puissiez croiser.

 

C’est une grande victoire pour les adeptes de l’Eglise du Monstre de Spaghettis volant. Ce samedi, un représentant de ce culte pour le moins original a célébré son premier mariage reconnu officiellement, à Wellington, en Nouvelle Zélande. Une union qui a reçu la bénédiction de l’Etat néo-zélandais, quatre mois après que l’Eglise a été reconnue comme une religion officielle dans le pays.

Pour les « pastafariens », l’univers aurait en fait été créé par un monstre de spaghettis volants invisible et indétectable, « après avoir beaucoup bu ». Ils vénèrent les pirates et considèrent que la baisse de leur nombre est la cause de l’augmentation des catastrophes naturelles. Ils célèbrent par ailleurs des fêtes telles que « Holiday » (vacances en anglais), « Pastover » au moment de la Pâque juive ou Ramendan au moment du ramadan. Un monstre volant formé de spaghettis ? L’idée peut certes sembler peu crédible, mais elle est loin d’assurer aux pastafariens le titre de religion la plus bizarre de la planète, tant la compétition est rude.

► Les Maradoniens

L’union de deux adeptes du maradonisme Photo: AFP

Créé en Argentine, ce culte célèbre comme il se doit le génie du football Diego Maradona. Il compterait actuellement quelque 100.000 adeptes. L’Eglise maradonienne compte deux fêtes religieuses, le Noël maradonien, le 29 octobre, qui célèbre la naissance du footballeur, et les Pâques maradoniennes, en l’honneur du match Argentine-Angleterre et du but de « la main de Dieu », le 22 juin 1986. Si ses origines footballistiques vous rebutent, sachez qu’il n’est pas obligatoire d’être un adepte du ballon rond, même si c’est probablement recommandé.

► Jediisme

Maîtrise de la Force, des sabres laser… tels sont les objectifs des adeptes du jediisme. Photo: AFP

Avec des millions de fans tout autour du monde, Star Wars ne pouvait pas échapper à son propre culte. Les partisans du Jediisme mènent leur vie en suivant les préceptes des chevaliers du film, qui prônent la paix, la sérénité et s’accompagnent parfois d’une forme de méditation. Selon les membres de ce mouvement, l’univers se compose d’une énergie mystérieuse appelée la Force, d’où proviennent toutes les formes de vie et que les Jedi doivent apprendre à maîtriser. Dans la bataille pour la religion la plus barrée, les Jedi partent avec un avantage de poids : leur sabre laser, qui n’a de rival dans aucune galaxie, fut-elle lointaine, très lointaine…

► Le Dudeisme

Le Dudeisme, c’est tout de même 250.000 adhérents !

Comme le Jediisme, le Dudeisme est tiré d’un film, en l’occurrence « The Big Lebowski », réalisé par les frères Coen et sorti en 1998. Les adeptes de cette religion suivent les préceptes du Dude, personnage central du film incarné par Jeff Bridges, personnage célibataire, sans emploi, sans ambitions et qui se laisse porter par la vie. Leurs rituels s’inspirent du Dude : ne rien faire, prendre un bain en écoutant des chants de baleine, fumer du cannabis (si la législation le permet) et boire du White Russian, etc. Si l’on organisait un match pour départager les religions, les dudeistes oublieraient probablement de venir participer. Sauf s’il s’agit de bowling, l’activité la plus sacrée de cette religion.

► La Sainte Eglise du Cannabis

Paradoxalement, ce n’est pas la démocratisation du cannabis qui a entraîné l’apparition de cette religion, mais une loi – très controversée – adoptée par l’Etat de l’Indiana, aux Etats-Unis. Le « Religious freedom restoration act », adopté fin mars 2015, qui permettait à un particulier ou une entreprise d’invoquer une entrave à sa liberté de religion pour se défendre dans un procès. Ni une ni deux, un petit malin en a profité pour créer une congrégation religieuse autour du cannabis, dont la consommation est interdite dans l’Indiana. Pour les adeptes de cette religion, fumer de l’herbe est chez eux un acte de prière. Les mettre en prison pour cela reviendrait donc, estiment-ils, à entraver leur liberté de religion. Pas sûr que l’argument tienne devant les tribunaux…

Au-delà de ces cinq exemples, les cas de religions surprenantes sont nombreux : celle consacrée au piratage, l’Eglise de la licorne rose invisible, celle du Bacon, de Kanye West, etc. Il y en a même une qui vénère un homme capable de transformer l’eau en vin, c’est dire…

http://www.metronews.fr/i

Les chirurgies pour ressembler aux Kardashian en hausse, selon une étude anglaise


Je trouve triste que des femmes veulent autant ressembler à des vedettes, tellement qu’elles choisissent la chirurgie esthétique  pour être autre chose qu’elles-mêmes
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Les chirurgies pour ressembler aux Kardashian en hausse, selon une étude anglaise

 

Une nouvelle recherche menée par le groupe britannique Transform démontre que la demande en chirurgie esthétique pour ressembler aux Kardashian a augmenté de 73%.

Selon le docteur Mark Norfolk, les sœurs Kardashian ont grandement contribué à l’essor de la chirurgie esthétique. D’après Complex, depuis que Kylie Jenner a avoué avoir eu recours à des injections pour les lèvres, la procédure a augmenté de 700%.

« Personne n’aurait pu prévoir l’effet Kylie sur le monde des injections des lèvres, mais elle est sans aucun doute le nouveau visage de ce traitement dans l’industrie », a soutenu le docteur.

Si on ignore combien de chirurgies les stars de la téléréalité ont réellement subies, on sait que leur apparence ne cesse jamais de faire jaser.

« Les Kardashian ont eu une très grande influence sur les gens, sur la façon dont ils s’habillent et sur ce qu’ils ont l’air, elles ont créé un culte d’admirateurs et nous avons vu cela à travers nos demandes. Par exemple, nous avons observé une augmentation de 54% des demandes pour des augmentations des fessiers, inspirées par Kim et Khloé », a-t-il indiqué.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

8 millions de chiens momifiés découverts dans des catacombes égyptiennes


Généralement, on entend parler des chats qui sont momifiés en Égypte, mais cette fois-ci, ce fut des chiens, beaucoup de chiens qui ont fini en momies pour un culte à Anubis
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8 millions de chiens momifiés découverts dans des catacombes égyptiennes

 

MUMMY DOG

Les Égyptiens de l’Antiquité sont connus pour leurs cultes d’animaux, c’est pourquoi les archéologues ont l’habitude de déterrer des momies non-humaines. Mais une enquête récente dans un tombeau antique au sud du Caire a débouché sur une découverte dans de gigantesques proportions: huit millions de chiens momifiés qui étaient ensevelis depuis plus de 2000 ans.

Des chercheurs de l’université de Cardiff, au Pays de Galles, font part de leur découverte dans une étude publiée ce mois-ci dans la revue Antiquity.

Les chercheurs ont trouvé les dépouilles au sein des catacombes d’un temple dédié à Anubis, le dieu à tête de chacal, dans un cimetière du nom de Saqqara. L’allée centrale fait 170 mètres de long; les couloirs latéraux délimitent un tombeau d’une largeur de 140 mètres. La plupart des chiens momifiés se sont désintégrés ou ont été dérobés par des pilleurs de tombes, selon la revue Live Science.

Une momie de chien complète dans une portion intacte du tombeau. (P.T. Nicholson; Copyright Antiquity Trust)

mummy dog

Photo via Cardiff University

« Il serait difficile de trouver des momies complètes et bien enveloppées », a déclaré Paul Nicholson, directeur de la recherche et professeur d’archéologie à l’université de Cardiff, à CNN.

« Ce que l’on a découvert, ce sont des dépouilles de momies. »

Les archéologues ont évalué le nombre de momies dans une portion des catacombes et ont utilisé leurs résultats pour estimer la quantité totale que l’on peut trouver dans le tombeau.

mummy dog

Photo via Cardiff University

Le tombeau, qui aurait été construit au 4e siècle avant Jésus-Christ, a été découvert pour la première fois au 19e siècle, mais les archéologues ne savaient pas combien de momies il abritait jusqu’à cette récente découverte. Les chercheurs ont aussi trouvé des dépouilles de chacals, de renards et de faucons, précise le journal The Independent.

Selon les chercheurs, cette zone était très animée durant l’Antiquité. Les temples fournissaient une grande activité économique, avec les visiteurs, les marchands et les éleveurs qui momifiaient les chiens pour le temple d’Anubis.

« Ce lieu devait être très animé », a rapporté Nicholson à Live Science. « Une communauté permanente vivait ici pour les cultes d’animaux. »

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► Le Kopimisme


En 2010, la Suède a reconnu une nouvelle religion, le Kopisme ! Cette religion permet de tout copier et partager sur le web, c’est même pour eux des “gestes sacrés” Je ne suis pas sûr par contre, que légalement, les autres pays suivent ce pas
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Le Kopimisme

 

par Catherine Segurane

Ce mot vient de l’anglais « copy me » ; l’Eglise kopimiste, fondée en 2010, revendique 3000 membres dans une dizaine de pays. Ce mouvement religieux juge que « l’information est sacrée »et que « la copie est un sacrement ».

Le kopimisme s’inscrit dans le mouvement qui a aussi donné lieu au « parti pirate », qui a recueilli près de 9 % des voix dans une élection locale à Berlin.

Les valeurs du kopimisme, centrées sur l’idée de générosité, feraient honneur à toute religion ou philosophie, et s’expriment ainsi :

« L’information est sacrée »

« Copiez, téléchargez, partagez ».

Le culte consiste à copier et faire circuler ce qui parait sur internet. La copie est un sacrement.

Comme toutes les religions « reconnues » dans la sphère culturelle à laquelle appartient la Suède, l’Eglise kopimiste a le droit de voir ses pratiques respectées. La liberté religieuse, au sens que les Anglo-Saxons donnent à ce mot, interdit de poursuivre devant les tribunaux un kopimiste qui n’a fait qu’exercer son culte.

Depuis la séparation de l’Église et de l’État en 2000, la Suède a reconnu vingt-deux religions, en plus de l’Église de Suède (luthérienne) , parmi lesquelles les Témoins de Jehovah opposés à la transfusion sanguine, l' »Eglise »de Scientologie, les Mormons rêvant de polygamie et le Pentecôtisme s’imaginant « parler en langues ».

Un rapport du département d’État américain publié fin 2010 lui en donne acte. Car bien sur, le peuple supérieur, les Américains, surveillent la Suède, comme les autres pays, pour s’assurer qu’elle applique bien la « liberté religieuse » au sens où les Anglo-Saxons l’entendent.

Donc, la Suède fait les choses comme il faut. Avant, elle avait une Eglise d’Etat (luthérienne) mais maintenant, elle distribue toutes sortes de privilèges à tout un tas de « religions » qui ont la chance d’être « reconnues ».

On estime que 5 % environ de la population est musulmane (450 000 à 500 000 personnes).

On trouve aussi de toute : des Témoins de Jéhovah, des Mormons, des Sikhs reconnaissables à leur poignard à la ceinture, des Hari Krishna, etc …

La plupart de ces groupes ont une pratique faible (d’après le rapport du Département d’Etat précedemment mis en ligne) mais les communautés se regroupent à l’occasion de grandes fêtes quelques fois par an, et elle bénéficient du droit légal de voir leur pratique protégée.

Si une personne pense avoir été discriminée pour sa religion, elle remplit un dossier auprès du Discrimination Ombudsman (DO), et celui-ci, c’est à dire l’Etat, fait avancer son dossier à sa place, au besoin jusqu’au procès. Il a traité 101 plaintes pour discrimination religieuse en 2010. Ah ! mais ! La liberté religieuse est protégée, qu’on vous dit !

Les « discours de haine » contre les religions sont interdits et poursuivis.

(….)

http://www.agoravox.fr/