Le Saviez-Vous ► 13 mythes sur la santé qui sont finalement vrais


Vos parents vous ont sans doute déjà dit que manger une pomme par jour éloignait les médecins, ou de ne pas s’asseoir trop près de la télé pour protéger nos yeux ou autres. Parmi toutes les croyances populaires certaines semblent vraies.
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13 mythes sur la santé qui sont finalement vrais

Dawn Yanek

On a longtemps cru que ces croyances populaires n’étaient que des mythes sur la santé, mais la science a donné la preuve du contraire. Voici comment distinguer le vrai du faux sur ces affirmations concernant la santé.

Confirmé : une pomme chaque jour éloigne le docteur pour toujours

Manger une pomme chaque jour ne vous empêchera probablement pas d’attraper le virus qui sévit à votre bureau, mais elle pourrait apporter des bienfaits pour votre santé.

Des chercheurs de l’Université Oxford ont estimé que le nombre d’infarctus et d’AVC mortels au Royaume-Uni pourrait diminuer de 8500 cas par an, si tous les adultes de plus de 50 ans mangeaient une pomme tous les jours.

Les scientifiques de l’Université Cornell ont établi un lien entre les flavonoïdes antioxydants de la pomme et la prévention du cancer du sein.


Confirmé : le manque de sommeil se rattrape

On a prouvé les effets négatifs d’un manque de sommeil récurrent. Ils vont d’une chute croissante de productivité et de concentration au risque accru de cardiopathies, de diabète, ou même de décès précoce.

Les scientifiques ont longtemps cru qu’on ne pouvait rattraper le manque de sommeil. Dans une étude, des chercheurs suédois ont démontré que le groupe de sujets qui ne dormaient que 5 h ou moins par nuit courait 65% plus le risque de mourir avant le groupe de sujets qui dormaient de 6 à 7 h. Cependant, ce déficit se rattrapait par un sommeil prolongé durant la fin de semaine, et remettait à égalité l’espérance de vie des deux groupes.

Mythes sur la santé : manger tard favorise l’embonpointVladislav Noseek/Shutterstock

Confirmé : manger tard favorise l’embonpoint

Des recherches suggèrent que les gens qui mangent tard le soir seraient plus enclins à l’embonpoint et à un indice de masse corporelle élevé. Ceci n’aurait aucun lien avec la valeur calorique qui s’accroîtrait après 22 heures, mais plutôt au choix des aliments, selon plusieurs études citées dans le U.S. News & World Report.

Manger tard porterait à grignoter et à consommer plus de calories. D’autres parlent d’un dérangement du rythme circadien et de la capacité de l’organisme à réguler les taux de sucre sanguins. Manger durant la journée équilibrerait également les hormones de la faim (ghréline et leptine), qui mènent à un sentiment de satiété durant la soirée, et donc à une envie moindre de grignoter.

Confirmé : sortir sans manteau vous fera attraper le rhume

Si vous attrapez un rhume, c’est que vous avez été exposé à un microbe; mais si vous avez froid et que vous frissonnez, vous êtes encore plus exposé. Une étude publiée dans Proceedings of the National Academy of Sciences suggère que les cellules immunitaires nasales et celles des lobes pulmonaires supérieurs sont mois efficaces quand il fait froid.

De plus, le froid peut stimuler les virus, selon l’Institut national américain de la santé (NIH). Ceci résulte de la solidification de la membrane extérieure du virus : il devient plus résistant et plus volatile. Lorsque le virus arrive dans les voies respiratoires, cette membrane se liquéfie et relâche le virus dans l’organisme.


Confirmé : s’asseoir trop près de la télé endommage la vue

Ce n’est vrai qu’en partie. Selon les recherches, regarder de près la télé ne serait pas aussi mauvais pour les yeux qu’on l’a dit. Mais cela peut causer de la pression et de la fatigue oculaire. Par contre, passer du temps à lire sur votre téléphone cellulaire peut perturber votre vision.

Selon les chercheurs de l’université de Toledo, en Ohio, la lumière bleue du téléphone et de l’ordinateur peut endommager la rétine; elle peut aussi provoquer la cécité chez les gens qui souffrent de dégénérescence maculaire. D’autres scientifiques s’inquiètent en particulier pour les enfants : chez ceux-ci, le fait de passer plus de sept heures par semaine devant un ordinateur ou un jeu vidéo multiplie par trois le risque de myopie.

Les enfants qui tiennent leurs cellulaires à 20 à 30 cm (8 à 12 po) de leurs yeux risquent aussi de subir un strabisme convergent temporaire, c’est-à-dire loucher.

Mythes sur la santé : les mets épicés font perdre du poidsYurii_Yarema/Shutterstock

Confirmé : les mets épicés font perdre du poids

Il ne s’agit pas simplement de manger de temps en temps des piments jalapeños. Mais une étude suggère que la capsaïcine des piments forts peut accélérer la perte de poids par thermogénèse, soit la production d’une chaleur corporelle qui favorise l’élimination du gras corporel.

Selon d’autres recherches, les épices comme le poivre de Cayenne coupent l’appétit et l’envie d’aliments gras, sucrés ou salés, et empêchent ainsi la surconsommation.

Confirmé : les allergies disparaissent aux premiers froids

C’est vrai pour l’allergie automnale à l’herbe à poux, une plante qui meurt durant l’hiver. Mais cela ne s’applique pas aux allergies hivernales, comme celles au sapin de Noël, aux moisissures ou aux acariens.

Le froid peut même causer une éruption cutanée et de l’œdème chez ceux qui souffrent du rare syndrome de l’urticaire au froid.

Mythes sur la santé : le jus de cornichon soulage les crampesFascinadora/Shutterstock

Confirmé : le jus de cornichon soulage les crampes

Absolument vrai. Une étude publiée dans la revue Medicine & Science in Sports & Exercise démontre que le jus de cornichon calme les crampes musculaires en une minute et demie, soit 45 fois plus vite que si les gens ne prennent rien.

Sans être certains de la cause de cet effet, les scientifiques croient que le jus de cornichon provoque un réflexe à l’arrière de la gorge, qui inhibe l’activité neuromusculaire dans tout le corps et réduit conséquemment les crampes. La moutarde aurait des effets comparables, selon d’autres recherches.

Le jus de cornichon serait aussi efficace pour soulager la gueule de bois.

Confirmé : l’activité physique rend plus intelligent

En plus du bien-être qu’elle procure, l’activité physique est également bénéfique pour le cerveau. Elle déclenche la production métabolique d’une molécule nommée irisine, qui stimule les gènes de l’apprentissage et de la mémoire, selon les chercheurs du Dana-Farber Cancer Institute et de l’École de médecine de Harvard. L’augmentation qui s’ensuit du facteur neurotrophique dérivé du cerveau (BDNF) stimule la production de nouveaux neurones.

Ce facteur de croissance peut également réduire les taux de cortisol (hormone du stress), et activer l’esprit critique par action sur l’humeur. D’autres études attribuent cette stimulation neuronale à une plus grande oxygénation cérébrale et à l’effet que la compétition sportive a sur le mental.


Confirmé : les brûlures d’estomac font pousser les cheveux du fœtus

Il arrive parfois qu’un mythe urbain soit fondé. Une étude de l’Université John Hopkins a révélé que les femmes enceintes présentant des brûlures moyennes ou sévères de l’estomac donnaient naissance à des bébés chevelus.

Au contraire, les bébés de celles qui n’en ont pas souffert étaient plutôt glabres. Le lien de cause à effet n’est pas évident. Les chercheurs pensent qu’un niveau particulièrement élevé d’œstrogènes et d’hormones de grossesse peut stimuler cette croissance des cheveux chez le fœtus, en plus de relâcher le sphincter œsophagien supérieur, créant ainsi un reflux d’acidité gastrique.


Mythes sur la santé : le fromage au coucher déclenche des rêves étrangesMaraZe/Shutterstock

Confirmé : le fromage au coucher déclenche des rêves étranges

C’est ce que révèle une étude du British Cheese Board, qui relie également le type de fromage au style de rêve conséquent. Ainsi, 85% des participants qui avaient mangé du Stilton auraient eu des rêves bizarres, alors que 60% de ceux qui avaient consommé du Red Leicester avaient rêvé de leur enfance.

Ceci est peut-être causé par la présence de tryptophane dans le lait, un acide aminé qui favorise le sommeil et réduit le stress. Aucun cauchemar n’a été rapporté, mais le site Men’s Health suggère que ces rêves étranges reliés au fromage pouvaient résulter d’un problème de digestion interrompant le sommeil (hypothèse de détresse alimentaire). L’intolérance au lactose pourrait également provoquer des rêves étranges.


Confirmé : il faut entraîner son cerveau

Un grand nombre d’études démontrent que la mise à l’épreuve constante du cerveau peut atténuer le risque de déficit cognitif, de démence, et même de maladie d’Alzheimer.

Une recherche portant sur des participants de 55 à 75 ans a démontré que le simple fait de jouer à un jeu vidéo pouvait améliorer le fonctionnement cérébral et augmenter la matière grise dans l’hippocampe. Des gens plus âgés qui s’adonnaient couramment à des activités exigeantes, comme la lecture ou les mots croisés, ont obtenu des résultats supérieurs aux tests d’acuité mentale.

https://www.selection.ca

Cette start-up controversée effectuait des transfusions de “sang jeune” !


Drôle de coïncidence, justement dan une série télévisée que j’ai regardé cette semaine, il était justement question de transfusion de sang pris chez de jeunes adolescents. En tout cas, il y en a qui cherche la fontaine de jouvence, même si la science n’a pas prouvé le côté bénéfique à ce genre de procédé.
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Cette start-up controversée effectuait des transfusions de “sang jeune” !

 

Crédits : Flickr/ makelessnoise

par Yohan Demeure, rédacteur scientifique

Aux États-Unis, les croyances populaires ont la peau dure ! De prétendus tests effectués sur des souris ont été suffisants pour certaines personnes désirant lutter contre le vieillissement. Celles-ci n’ont pas hésité à se faire transfuser du sang de personnes plus jeunes contre des milliers de dollars !

La FDA a réagi

Depuis 2017, la start-up connue sous le nom d’Ambrosia vend des transfusions de sang d’adolescents pour 8 000 dollars le litre et 12 000 dollars les deux litres. Cette société a attiré en plus de deux ans environ 600 patients, en expliquant à ces derniers qu’il s’agissait d’un essai clinique visant à déterminer si la manipulation entraînait des modifications du sang des receveurs.

Comme Amboisia l’indique sur son site, les activités de transfusion de sang jeune ont été stoppées après la décision prise par la Food and Drug Administration(FDA), comme le relate un communiqué publié le 19 février 2019. L’organisation a même formulé une mise en garde à destination de la population contre cette pratique. Rappelons tout de même que la société Ambosia était active dans cinq grandes villes américaines.

Pourquoi une telle décision ?

La mesure prise par la FDA est totalement compréhensible. En effet, Ambrosia n’a pas de lien avec un quelconque groupe de contrôle, et ne semble pas avoir d’employés ou d’investisseurs, ni même d’adresse ! De plus, la société avait été créée par un certain Jesse Karmazin, diplômé en médecine mais n’ayant jamais acquis le droit de pratiquer et ayant déclaré avoir mené sa propre étude. Le fait est qu’aucun résultat justifiant de ces prétendues recherches n’a jamais été publié.

«Nos préoccupations concernant les traitements plasmatiques chez les jeunes donneurs sont exacerbées par le fait qu’il n’existe aucune preuve clinique convaincante de son efficacité, ni aucune information sur le dosage approprié pour traiter les affections pour lesquelles ce type de produit a été annoncé », pouvait-on lire dans le communiqué de la FDA.

La FDA a donc affirmé qu’aucun effet bénéfique de la transfusion de sang jeune chez l’être humain n’a jamais été cliniquement prouvé par la Science, bien que des tentatives aient déjà eu lieu. Par ailleurs, les tests effectués par Ambrosia n’ont pas été rigoureux. La pratique pourrait même s’avérer dangereuse. En effet, la transfusion d’importants volumes de plasma comporte des risques d’infection, d’allergies ou encore de problèmes respiratoires. De plus, la transfusion de sang jeune ne permet de lutter ni contre le vieillissement, ni contre le cancer ou encore la maladie d’Alzheimer.

Sources : Business InsiderLe MondeSiècle Digital

https://sciencepost.fr/

Le froid ne donne pas la grippe. Voyez pourquoi


On entend souvent des gens dire qu’ils ont attraper froid qu’ils vont avoir la grippe, depuis le temps qu’à chaque année, c’est la même histoire, le froid n’est pas la cause de la grippe ou le rhume. Cependant, l’hiver est plus propice à cause de la proximité et qu’on reste en 4 murs au milieu des microbes qui font la fête
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Le froid ne donne pas la grippe. Voyez pourquoi

 

Joey Olivier
Rédacteur Web – MétéoMédia

La grippe est un des virus les plus propagés durant la saison hivernale, avec le rhume. Les causes ne sont cependant pas toujours celles auxquelles on pense et les intervenants de la santé croient toujours dur comme fer que la vaccination contre l’influenza est une nécessité.

L’influenza, mieux connue sous le nom de grippe, est une infection virale très contagieuse qui affecte le nez, la gorge et les poumons. Contrairement à la croyance populaire, les conditions météo hivernales ne sont pas aussi coupables que l’on croit.

« Le froid ne donne pas la grippe! Le froid, le cou à l’air ou les pieds mouillés ne donnent pas la grippe ou le rhume! », dit Sophie Gagnon-Blackburn, pharmacienne.

En réalité, le froid engendre une modification de la muqueuse du nez.

« Durant l’hiver, c’est plus sec dans les maisons à cause du chauffage entre autres, ce qui assèche les muqueuses du nez », ajoute la pharmacienne.

Une muqueuse plus sèche sera moins efficace pour lutter contre les virus.

Une autre raison de la propagation du virus comme celui de la grippe s’explique par le fait que l’on reste davantage à l’intérieur durant la saison froide. Le virus de la grippe survie mieux dans un environnement frais et sec. Ce dernier peut d’ailleurs survivre jusqu’à deux jours sur des objets contaminés et jusqu’à cinq minutes sur la peau.

Les sources de contamination principales sont les gouttelettes émises par une personne infectée ou un contact direct avec des sécrétions du nez ou de la bouche. Par exemple, l’influenza se propage lorsqu’une personne infectée tousse, éternue ou contamine des objets comme un comptoir, un téléphone ou une poignée de porte.

Défendre l’importance de la vaccination

Les autorités de la Santé publique doivent encore défendre l’importance et l’efficacité du vaccin contre la grippe.

« C’est nécessaire », fait valoir Mme Gagnon.

La vaccination est essentielle pour protéger les gens qui ont des systèmes immunitaires plus affaiblis comme les personnes âgées, celles avec des maladies chroniques ainsi que les enfants. Elle limite également la propagation du virus de la grippe si le niveau de vaccination est élevé dans la population.

Pour prévenir la propagation, on suggère de se laver fréquemment les mains, de nettoyer les surfaces de la maison et de suivre les recommandations des professionnels de la santé lors d’une infection.

http://www.meteomedia.com/

La présidente argentine vient de parrainer un jeune homme pour «l’empêcher de se transformer en loup-garou»


Je doute que cette façon de faire puisse venir à bout de la croyance des loups-garous. Si cette tradition a été instaurée en 1907, cela ne semble pas avoir sorti les gens de l’ignorance face à cette légende qui a eu des conséquences sur les 7 ème enfants nés qui ont été abandonné voir même exécutés
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La présidente argentine vient de parrainer un jeune homme pour «l’empêcher de se transformer en loup-garou»

 

Illustration de loup garou dans Weird Tales, en 1941. | Domaine public, Wikimedia

Cette tradition présidentielle a été créée en 1907 pour lutter contre les effets néfastes d’une croyance populaire.

Ce n’est ni une blague, ni le nouveau scénario d’une série pour adolescents. Le 23 décembre, Cristina Kirchner a fait d’un certain Yair Tawil son filleul, «afin qu’il ne se transforme pas en loup-garou», écrit le site américain Jezebel.

Le jeune homme de 21 ans en question n’est évidemment pas une créature digne des films d’horreur, et la présidente de l’Argentine ne croit pas davantage au paranormal.

Mais cette adoption est bel et bien liée à la croyance populaire, dans le pays, en l’existence du «lobison», un homme qui se transforme en démon «à minuit chaque nuit de pleine lune», explique The Independent, et qui mange «les excréments, les bébés non baptisés et la chair des morts». Une malédiction qui toucherait le septième fils d’une fratrie à son treizième anniversaire, et qui se transmettrait ensuite par morsure.

Si la superstition peut prêter à sourire, elle reste populaire. En août dernier, un journal local de Santa Fe rapportait par exemple l’histoire d’un jeune homme de 16 ans, persuadé d’avoir vu le lobison dans la province de Buenos Aires.

Une croyance aux effets parfois dramatiques: au XIXè siècle, elle aurait été ainsi à l’origine de l’abandon, et même de l’exécution, de nouveaux-nés dans le pays.

Pour faire cesser ces meurtres, «les présidents ont commencé à adopter le septième garçon des familles», poursuit The Independent, qui précise que la tradition existe depuis 1907.

Elle a même été formalisée en 1973 par un décret, qui l’a au passage étendue aux jeunes filles.

Par ce parrainage en haut lieu, les septièmes enfants obtiennent également le financement de leur éducation.

Jusqu’en en 2009, ajoute encore The Independent, seuls les enfants de famille catholique pouvaient bénéficier de cette tradition. Cette année, cette dernière s’est un plus ouverte, en accueillant un filleul de confession juive.

En 1993, Shlomo et Nehama Tawil avaient écrit au président argentin pour que leur septième fils ait l’honneur d’être «adopté», mais leur requête avait été refusée, puisqu’ils étaient de confession juive. Ils ont retenté leur chance cette année, en citant le décret de 2009, et Yair Tawil est devenu le premier filleul juif d’un président argentin, rapporte Haaretz.

http://www.slate.fr/

Enquête sur les origines du petit chaperon rouge


Qu’est-ce que la biologie, les mathématiques ont affaire avec le petit Chaperon rouge … Et bien, ils ont probablement trouvé l’origine de ce conte qui serait en fait une variante d’un autre conte connu
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Enquête sur les origines du petit chaperon rouge

 

Amanda Seyfried a incarné le petit chaperon rouge... (Warner Bros.)

Amanda Seyfried a incarné le petit chaperon rouge dans un film américain sorti en 2011.

WARNER BROS

Agence France-Presse
Washington

Des scientifiques sont remontés aux origines du petit chaperon rouge, l’un des contes populaires les plus anciens, en s’appuyant sur un modèle mathématique utilisé par les biologistes pour étudier l’évolution des espèces.

Ils ont ainsi pu ainsi clore un vieux débat en démontrant que Le petit chaperon rouge avait bien les mêmes racines qu’un célèbre conte allemand, Le loup et les sept chevreaux, mais était devenu une histoire différente.

Reconstruire l’évolution d’un conte, c’est «faire le travail d’un biologiste qui montre par exemple que les humains et les grands singes partagent un ancêtre commun mais ont évolué dans des espèces distinctes», explique l’anthropologue britannique Jamie Tehrani, de l’Université Durham au Royaume Uni.

Son étude, publiée mercredi dans la revue scientifique américaine PLOS ONE, retrace la genèse et le cheminement dans le temps et les lieux de contes et croyances populaires pour apporter un nouvel éclairage sur les mouvements de populations dans l’histoire humaine.

Cette étude révèle que Le loup et les sept chevreaux remonte probablement au 1er siècle de l’ère chrétienne donnant naissance mille ans après à une variante devenue Le petit chaperon rouge.

Le loup et les sept chevreaux, populaire en Europe et au Proche-Orient, est l’histoire d’un loup déguisé en «mère chèvre» pour dévorer ses petits. Dans le petit chaperon rouge, le loup mange une petite fille après avoir pris l’apparence de sa grand mère.

Le petit chaperon rouge figurait dans les ouvrages, célèbres en Allemagne, des frères Grimm publiés au 19e siècle. Cette version était basée sur celle écrite au 17e siècle par le français Charles Perrault.

Celui-ci s’était inspirée d’un conte plus ancien transmis par la tradition orale en France et en Autriche.

Il en existe de nombreuses variantes en Afrique et en Asie comme par exemple le tigre grand-mère au Japon, en Chine et en Corée.

Pour retrouver les origines du conte, Jamie Tehrani a soumis 58 variantes à une analyse phylogénétique, une méthode statistiques utilisée par les biologistes pour la classification des êtres vivants qui permet d’établir le degré de parenté entre les espèces et de comprendre leur évolution.

L’analyse s’est concentrée sur 72 scénarios en fonction de différents protagonistes comme le loup, l’ogre, le tigre ou d’autres créatures et les ruses utilisées pour berner les victimes ainsi que le sort de ces dernières.

Cette étude a aussi permis de démentir une théorie répandue selon laquelle la version la plus ancienne du petit chaperon rouge était née dans la tradition orale chinoise avant de se répandre en Occident par la route de la soie.

«Ma recherche montre l’opposé, à savoir que la version chinoise est dérivée des traditions orales européennes», affirme le chercheur.

«Les Chinois ont en fait mélangé le petit chaperon rouge, le loup et les sept chevreaux et des contes du folklore local pour créer une nouvelle version hybride», explique-t-il.

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Jeffrey Mogil, généticien et expert en douleur


Une légende urbaine semble-t-il prétend que les roux seraient plus sensible a la douleur. Une recherche sur la douleur viens de contredire ce fait
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Jeffrey Mogil, généticien et expert en douleur

 

Selon la croyance populaire, les roux seraient plus moumounes que les autres,... (Photo Martin Flamand (martinflamand.com)/URBANIA)

PHOTO MARTIN FLAMAND (MARTINFLAMAND.COM)/URBANIA

AURÉLIE LANCTÔT / URBANIA

Selon la croyance populaire, les roux seraient plus moumounes que les autres, parce qu’ils ressentent davantage la douleur. Or, en 2003, le Dr Jeffrey Mogil, directeur de la chaire de recherche sur la douleur de l’Université McGill, a fait une découverte très étonnante sur la question. Rousseur, douleur, ADN et génétique: les roux, nouvelle race de X-Men?

D’abord, peut-on dire qu’il existe un gène de la rousseur?

Oui, tout à fait, mais il n’est pas responsable de la rousseur de tous les roux, seulement de celle de 85 % d’entre eux – le 15 % restant, nous n’en sommes pas certains! Ce gène, on l’appelle MC1R. Cependant, il présente de nombreuses mutations, ou variantes, ce qui explique pourquoi les roux n’ont pas tous la même rousseur.

Quelle est la découverte que vous avez faite relativement à ce fameux MC1R?

Au départ, nous voulions déterminer quel gène était responsable de la différence de réponse à un analgésique en particulier. Nous avons découvert que le MC1R jouait un rôle certain dans la perception de la douleur. Mais ce gène serait également lié à plusieurs autres choses, comme les taches de rousseur, l’inflammation, les risques de cancer, la réponse à l’anesthésie ou à certains antidouleurs… 

Et puis, est-ce vrai que les roux sont plus douillets que les autres?

Justement, non! Nous avons découvert, d’une part, que les roux étaient moins sensibles à la douleur, et d’autre part, qu’ils étaient plus réceptifs à une certaine forme d’analgésique. Donc… deux bonnes choses, non?

Donc, c’est comme si les roux étaient des X-Men avec une génétique étanche à la douleur?

Non, vraiment pas.

Mais vous pulvérisez tout de même le mythe qui veut que les roux sont plus sensibles à la douleur…

Je ne sais pas trop d’où ce mythe provient, d’ailleurs. L’émission Mythbusters a consacré un segment à ce sujet, et en effet, ils ont présenté ça comme si les roux étaient prétendument plus sensibles à la douleur.

Comment ça se fait?

Il y a un groupe de recherche américain, le Sessler Group, qui a découvert que les roux répondaient moins bien à l’anesthésie. Les anesthésistes suspectaient d’ailleurs ce phénomène depuis longtemps, puisqu’en se parlant entre eux, ils avaient réalisé que les roux étaient généralement plus difficiles à «geler». Ces chercheurs sont donc arrivés à des conclusions contraires aux nôtres. On ne sait pas trop pourquoi; peut-être est-ce dû au fait que nous, on étudiait la sensibilité aux chocs électriques, et eux, à la chaleur, ce qui a créé des variations dans la définition même de la résistance à la douleur.

Mais dans leur vie concrète de tous les jours, les roux sentent-ils vraiment une différence? S’ils se blessent, le ressentent-ils «moins»?

Probablement pas. Dans notre étude, par exemple, sous conditions contrôlées, les roux semblaient tolérer 25% plus la douleur que les non-roux. Mais qu’est-ce qu’une différence de 25%, en réalité? C’est relatif. Je crois qu’à travers l’histoire, les roux ont davantage été perçus comme des toughs, avec un fort tempérament, chose qu’on pourrait attribuer à une plus grande tolérance à la douleur… But who knows!

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Le Saviez-Vous ► Pourquoi les Incas avaient-ils peur des éclipses ?


Le 3 novembre 2013 l’Est américain, seules des phases partielles de cette éclipse seront visibles dans le sud de l’Europe (Espagne, sud de l’Italie et Grèce) et sur quasiment l’ensemble du continent africain. La science sait maintenant ce qu’est une éclipse, mais il fut un temps que ces phénomènes provoquer de grandes peurs chez les peuples
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Pourquoi les Incas avaient-ils peur des éclipses ?

 

Le dimanche 3 novembre, une éclipse solaire hybride est attendue par les astronomes. Un événement banal de nos jours, terrifiant pour nos ancêtres. Saviez-vous que les Incas pensaient que le Soleil allait se faire dévorer par un monstre céleste ?

Qu’elle soit totale ou partielle, l’éclipse n’effraie plus personne (ou presque) en 2013. Le dimanche 3 novembre, une éclipse solaire hybride est annoncée par les astronomes. Le fait d’être capable de prévoir et de comprendre un tel événement est une révolution. Il y a cinq siècles, les Incas – ignorant tout du fonctionnement de l’Univers – pensaient qu’un puma était en train de dévorer le Soleil lorsque la Lune le cachait. Et ils n’étaient pas les seuls à s’imaginer toutes sortes de scénario rocambolesques. Retour sur les croyances passées autour de l’éclipse.

L’éclipse vue par les Incas : un puma dévorant le Soleil

Si aujourd’hui les scientifiques sont capables de fournir une explication rationnelle à la formation d’une éclipse, à une certaine époque, l’être humain redoutait de voir le Soleil disparaître à jamais.

La civilisation inca (XIIIe—XVIe siècle) voue un véritable culte au Soleil. Pour elle, une éclipse du Soleil est synonyme d’apocalypse. Selon la croyance populaire, elle est la conséquence de la mort d’Int, le dieu du Soleil, dévoré par un puma. Dans la civilisation inca, le félin est le symbole des êtres surnaturels. Certains pensent qu’il est aussi à l’origine des orages : son rugissement est le tonnerre, les éclairs le reflet de ses yeux. Une éclipse solaire serait ainsi un combat entre le Ciel et la Terre. Pour effrayer l’animal, les Incas sortent dehors, prient, crient, et font un maximum de brouhaha.

Si le Soleil tient une place centrale dans la civilisation inca, la Lune aussi est vénérée.Alors quand l’astre disparait, la panique s’empare du peuple. D’après la légende, les éclipses de Lune surviennent lorsque l’astre se laisse emporter par un sommeil trop profond et dévie de son chemin habituel. Conséquence : il risque de se perdre, pire, de tomber sur la Terre et d’écraser ses habitants ou d’être dévoré par un monstre. Pour réveiller la Lune, les Incas se mettent à faire le plus de bruit possible en jouant de toutes sortes d’instruments, en fouettant les chiens et en battant les enfants. Autre hypothèse : ces cris de chiens et d’enfants sont provoqués par les Incas pour toucher en plein cœur la Lune et ainsi la tirer de son sommeil.

À la fin de l’éclipse, le peuple loue le dieu Pachacamac, soutien de l’univers, pour avoir participé à la survie de l’espèce humaine.

VIDÉO – Dans Le Temple du Soleil, Tintin se sert d’une éclipse pour effrayer les Incas :

© DR – YouTube

Les Incas n’étaient pas les seuls à redouter les éclipses

Chez les Mayas : l’interprétation est à peu près la même que celles des Incas. Seule différence : le mangeur de soleil est un jaguar. Quant aux éclipses de Lune, ce serait le Soleil le glouton.

Dans l’Égypte antique : derrière l’éclipse solaire se cache le serpent Apophis, qui tente d’attaquer Râ, le dieu du Soleil. De par sa puissance, Apophis essaie de faire chavirer la barque solaire qui traverse le ciel et ainsi créer le chaos : la fin de l’univers.

Dans la Grèce antique : certains racontent à l’époque qu’une éclipse se produit lorsqu’Artémis, déesse associée à la Lune, rend visite à Endymion. D’autres pensent que ce sont des magiciennes malveillantes qui tentent d’attirer la Lune sur la Terre.

Dans la Chine antique : c’est la faute de l’Empereur. Considéré comme le fils des cieux, il doit s’assurer que Terre et Ciel s’entendent bien. Pour le peuple, une éclipse est le résultat d’un mauvais gouvernement.

En Inde : selon la légende, il s’agit d’une vengeance du démon Rahû. Le dieu Soleil et la déesse Lune l’ont empêché de boire un élixir d’immortalité. La tête de Rahû a été tranchée puis jetée dans l’espace mais comme l’anti-dieux a réussi à boire quelques gouttes de la potion, il rôderait encore au-dessus de nos têtes. Avec un seul objectif : dévorer le Soleil et la Lune en guise de vengeance. Une éclipse serait le signe que Rahû est parvenu à ses fins mais, sa tête étant séparée de son corps, il ne pourrait digérer les astres et les recracherait au bout de quelques minutes.

En Afrique : d’après la tradition populaire, les Mandingues (peuple d’Afrique de l’Ouest) pensent qu’un chat interpose sa patte entre la Lune et la Terre. Pendant toute la durée de l’éclipse, ils chantent et dansent sans s’arrêter.

MAIS, AU FAIT, C’EST QUOI UNE ÉCLIPSE ?

Il existe deux types d’éclipse :

l’éclipse solaire, qui a lieu lorsque la Lune se retrouve entre le Soleil et la Terre. Elle ne peut se produire qu’au cours d’une nouvelle Lune. Une partie de la Terre est alors plongée dans la pénombre.

– l’éclipse lunaire, qui se produit lorsque la Terre se retrouve entre le Soleil et la Lune, ce qui ne peut arriver que pendant une pleine Lune. L’astre se trouve alors dans l’ombre de la Terre.

> De la Terre, une éclipse correspond à l’alignement des trois astres (Terre, Soleil et Lune).

Lorsque la lumière de l’astre est complètement cachée, les astronomes parlent d’éclipse totale. Sinon, il s’agit d’une éclipse partielle.

Deux autres sortes d’éclipses ont été identifiées par les astronomes :

– l’éclipse annulaire a lieu quand la Lune et le Soleil sont parfaitement alignés avec la Terre, mais que la taille visible de la Lune est inférieure à celle du Soleil. De la Terre, la Lune semble entourée d’un halo de lumière.

– l’éclipse hybride se situe entre l’éclipse totale et l’éclipse annulaire. Il s’agit d’une transition entre les deux phénomènes. Ce type d’éclipse est très rare. La dernière a eu lieu en avril 2005.

Grâce au progrès de la science, l’être humain a pu éloigner au fil des siècles quelques-unes de ses peurs irrationnelles… comme la crainte que le ciel ne lui tombe sur la tête.

Par Cécile David

 

La fin du monde en 2012? Non, selon les Mayas eux-mêmes


La fin du monde .. un jour mais surement pas selon ce que certaines croyances populaires semblent vouloir préconiser avec les calendrier mayas .. Je trouve d’ailleurs que ce billet explique assez bien le pourquoi que les mayas n’annonçaient pas la fin du monde, bien au contraire, mais plutôt ils voulaient s’assurer que le monde existerait encore ..
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La fin du monde en 2012? Non,

 

selon les Mayas eux-mêmes

 

Les scénarios de fin du monde pour la fin de l’année 2012 n’est qu’un mythe populaire.

PHOTO DE COURTOISIE

Jean-Louis SANTINI
Agence France-Presse
Washington

Des archéologues américains ont découvert au Guatemala les plus anciens calendriers astronomiques mayas datant du IXe siècle, qui n’annoncent pas la fin du monde en 2012 contrairement à certaines croyances populaires, révèle une étude publiée jeudi aux États-Unis.

Ces précieux calendriers ont été découverts dans une maison exhumée sur le site maya de Xultun, précisent ces travaux parus dans la revue américaine Science du 11 mai et dans le numéro de National Geographic de juin.

Dans l’une des pièces de cette demeure, les murs sont couverts de glyphes – des caractères gravés dans la pierre – dont un grand nombre sont des chiffres représentant des calculs liés aux différents cycles calendaires mayas.

Il s’agit du calendrier cérémonial de 260 jours, du calendrier solaire de 365 jours, ainsi que du cycle annuel de 584 jours de la planète Vénus et celui de 780 jours de Mars, explique l’archéologue William Saturno, de l’Université de Boston, qui a dirigé ces fouilles. D’autres encore suivent les phases lunaires, ajoute-t-il.

Cependant, souligne l’archéologue, il n’y a aucune indication que les calendriers mayas s’arrêtent, ou que la fin du monde coïnciderait avec la fin de l’année 2012, comme le laissent croire certaines croyances populaires.

«Ce que l’on voit, c’est simplement la fin de l’un des cycles calendaires mayas», indique-t-il.

«Les anciens Mayas prédisaient que le monde continuerait et que dans 7.000 ans les choses seraient exactement comme elles l’étaient alors», ajoute William Saturno.

«Nous sommes aujourd’hui toujours en quête de signes que le monde va s’arrêter alors que les Mayas recherchaient au contraire des assurances que rien ne changerait, c’est un état d’esprit totalement différent», relève-t-il.

Ces inscriptions murales sont les premières de l’art maya à être retrouvées dans une maison, souligne David Stuart, professeur d’art méso-américain à l’Université du Texas à Austin (sud), qui a décrypté les glyphes.

«Il y a de minuscules glyphes sur tout le mur, ce sont des barres et des points représentant des colonnes de chiffres, et c’est ce type de signes que l’on a pu voir jusqu’à présent uniquement dans le codex de Dresde, un cahier de 78 pages que les Mayas ont rédigé entre 1200 et 1250», ajoute-t-il.

«Le plus exaltant dans cette découverte, c’est la révélation que les Mayas se livraient à ces calculs de cycles calendaires sur des murs, des centaines d’années avant que des scribes ne les écrivent dans des codex», qui représentent les archives de cette civilisation précolombienne décimée en grande partie par les Conquistadors espagnols, explique Anthony Aveni, professeur d’astronomie et d’anthropologie à l’Université Colgate (New York, nord-est), un des co-auteurs de l’étude.

«C’est aussi la première fois que nous découvrons ce qui pourrait être des annales préservées par un scribe, dont la fonction était d’être l’historien officiel de la communauté maya», insiste William Saturno. Et ce dernier «semblait utiliser les murs de la maison comme tableau noir», ajoute-t-il.

L’un des murs préservés de la pièce montre également trois représentations d’hommes assis et vêtus entièrement de noir, à l’exception d’un pagne blanc. Ils portent des médaillons au cou et une coiffe montée d’une seule plume identique chez les trois personnages.

Le site de Xultun, qui comprend 56 constructions, a une superficie de 31 km2 où des milliers de Mayas ont vécu. Sa découverte remonte à une centaine d’années par des ouvriers guatémaltèques. Le lieu a été cartographié dans les années 1920, puis de façon plus détaillé dans les années 1970.

La maison contenant les calendriers muraux a été mise au jour par un membre de l’équipe de William Saturno en 2010.

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Les femmes stationnent mieux que les hommes


Une étude qui ferait taire ces messieurs qui rouspète de voir une femme au volant. Enfin, cela prouve qu’il vaut mieux prendre son temps pour se stationner, le résultat est beaucoup plus convainquant
Nuage

 

Les femmes stationnent mieux que les hommes

Les femmes stationnent mieux que les hommes

Crédit photo : archives TVA Nouvelles

TVA Nouvelles

Contrairement à la croyance populaire, les femmes sont meilleures que les hommes lorsqu’il est temps de stationner leur véhicule. C’est la conclusion à laquelle parvient une grande étude britannique, réalisée par la firme NCP, une entreprise de gestion de places de stationnements.

Les experts ont analysé les comportements de près de 2500 conducteurs en train de se garer dans 700 établissements, tous enregistrés sur bandes vidéo.

Les résultats sont sans équivoque, les femmes trouvent des places de stationnement plus facilement parce qu’elles conduisent moins rapidement que les hommes. Ceux-ci, en roulant trop vite, ne distinguent par les places disponibles.

Ainsi, parce que les femmes prennent plus leur temps, elles se placent mieux devant la place disponible et effectuent plus facilement la manœuvre de stationnement.

D’ailleurs une fois stationnés, les véhicules des femmes se trouvent à 52% du temps exactement au centre de l’espace de stationnement.

Chez les hommes, la manœuvre est parfaitement réussie le quart du temps seulement.

Seul point positif pour les hommes, ils effectuent la manœuvre de stationnement plus rapidement que les femmes. Les messieurs s’exécutent en moyenne en 16 secondes. Les femmes mettent plutôt 21 secondes pour s’exécuter.

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