Crise irano-américaine : la situation décortiquée


Dans les médias, c’est surtout l’Australie et l’Iran avec les États-Unis qui occupent une grande place. J’ai vu des commentaires que certains parlent de la 3 guerre mondiale, même s’il y a des tensions, on ne devrait pas sauter aussi vite vers cette conclusion. De plus Donald Trump fait des menaces comme attaquer des sites culturels est illégal autant pour les civils que pour les militaires. Une chose que je trouve inacceptable est justement que Donald Trump fait des menaces, et même des menaces illégales. Il prend ses décisions sans le Congrès et il passe son temps a radoter ses ordres sur Twitter. Les États-Unis, perd beaucoup en crédibilité et réputation.
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Crise irano-américaine : la situation décortiquée

PHOTO JIM WATSON, AGENCE FRANCE-PRESSE

Le président américain Donald Trump

Donald Trump bombardera-t-il des sites culturels iraniens ? Est-ce la fin de l’accord international sur le nucléaire ? Les soldats américains quitteront-ils l’Irak ? La situation entre les États-Unis et l’Iran est difficile à suivre tant les derniers jours ont été mouvementés. Thomas Juneau, professeur en affaires publiques et internationales à l’Université d’Ottawa et ancien analyste stratégique sur le Moyen-Orient au ministère de la Défense nationale, nous aide à comprendre.

AUDREY RUEL-MANSEAU
LA PRESSE

Q. Dimanche, l’Iran a déclaré qu’il ne se sentait plus tenu de respecter une limite sur le nombre de ses centrifugeuses. Si l’Iran n’a plus de limite de production d’uranium, est-ce que ça signifie la mort de l’accord international sur le nucléaire ?

R. L’accord sur le nucléaire est sur le respirateur artificiel, mais il n’est pas mort. L’Iran ne s’en est pas retiré. Il a simplement annoncé une cinquième série de mesures limitant ses engagements par rapport à cet accord. Il y a eu quatre séries précédentes en réaction au retrait des États-Unis de l’accord de Vienne, en 2018. La cinquième série de mesures qu’on a vue dimanche, on savait depuis plusieurs semaines qu’elle aurait lieu, et elle n’est pas le résultat de l’assassinat du général Soleimani. La nuance est extrêmement importante. Maintenant, est-ce que l’Iran a réduit encore plus ses engagements par rapport à ce qu’il aurait fait s’il n’y avait pas eu l’assassinat de Soleimani ? On ne le sait pas.

Q. Le gouvernement iranien dit qu’il est prêt à faire marche arrière si les sanctions réimposées et durcies par les États-Unis en 2018 sont levées. Pensez-vous qu’il y a réellement place à la négociation ?

R. En théorie, oui. En pratique, c’est difficile. Pour que l’Iran puisse négocier sérieusement avec les États-Unis, ça prend une mobilisation de ressources phénoménale. Quand l’accord sur le nucléaire a été complété en 2015, ç’a été extrêmement controversé en Iran. Alors, avec le climat actuel tellement tendu, le ressentiment à l’endroit des États-Unis tellement important, ça serait très difficile pour le gouvernement iranien de mobiliser les ressources nécessaires pour négocier sérieusement avec les États-Unis. Mais le contre-argument à ça, c’est que l’Iran est sous pression [économique], surtout à cause des sanctions, et la menace américaine en Iran fait très peur. Alors autant c’est difficile de négocier, autant l’incitatif est là.

Q. Samedi, Donald Trump a annoncé que si l’Iran attaquait du personnel ou des sites américains, il riposterait par l’attaque de sites culturels iraniens. Dimanche matin, le chef de la diplomatie américaine, Mike Pompeo, faisait la tournée des médias pour dire que Washington respecterait le cadre de la loi. À quel point doit-on prendre au sérieux la menace du président Trump ?

R. Il faut bien comprendre que d’attaquer des sites culturels, c’est complètement illégal, c’est un crime de guerre en vertu du droit international. Au Pentagone, au sein de l’institution civile et militaire, c’est extrêmement clair qu’on ne laisserait pas faire ça. Alors, je pense que quand le président Trump dit qu’il va faire quelque chose comme ça, c’est monstrueux à toutes sortes d’égards, mais il ne faut pas considérer que ça reflète la réalité. Cela étant dit, quand le président Trump dit des choses semblables, c’est très dommageable pour la réputation et pour la crédibilité des États-Unis.

Q. En réaction à l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani sur son territoire, le Parlement irakien a voté pour l’expulsion des troupes américaines de son pays. Est-ce que les soldats risquent réellement de plier bagage ?

R. Cette résolution-là était non contraignante, et avant qu’on en arrive à une décision et ensuite à un retrait formel des États-Unis en Irak, il y a plusieurs étapes à passer et il y a beaucoup d’obstacles. Il faut bien comprendre que la présence américaine en Irak est très controversée, c’est une patate chaude politique. Il y a beaucoup de gens au sein de l’élite irakienne qui comprennent que la présence américaine est nécessaire – pour la lutte contre le groupe État islamique, mais aussi pour équilibrer la présence de l’Iran –, mais peu de politiciens veulent la défendre publiquement. Alors, ils profitent peut-être du flou actuel pour jouer la carte nationaliste.

Q. Vous parlez de la situation au gouvernement ?

R. Une des ambiguïtés, c’est que le premier ministre irakien a démissionné [le 29 novembre] et qu’il occupe son poste en attendant que le Parlement choisisse quelqu’un pour le remplacer. On ne sait pas, en ce moment, si cet individu-là a même l’autorité de signer une loi comme celle-là, qui résilierait l’entente sécuritaire avec les États-Unis. Ça va être un jeu très délicat dans les prochaines semaines.

Q. Et dans les prochains jours, à quoi peut-on s’attendre, selon vous ?

R. L’Iran va répondre aux États-Unis, mais à moyen terme, pas à court terme. Les prochains jours sont extrêmement difficiles à prédire, on nage dans l’incertitude. Je pense que la tension va rester très élevée, mais sans escalade réelle, sans confrontation directe entre les États-Unis et l’Iran. Donald Trump ne veut pas une guerre contre l’Iran, et les Iraniens n’en veulent pas non plus. Dans une guerre ouverte contre les États-Unis, les Iraniens ne feraient pas le poids. Mais en même temps, ils ne veulent pas reculer pour ne pas perdre la face. Alors, on est dans une espèce de statu quo extrêmement tendu et inconfortable, où les deux ne veulent ni reculer ni avancer.

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Une arnaqueuse de sushi ferait cracher le morceau à des restaurateurs


Une arnaqueuse qui joue bien son rôle pour frauder des restaurateurs. Elle semble voyager un peu partout pour réclamer de l’argent pour soi-disant s’être étouffé avec du plastique qui recouvre les plats à amener. Elle menace d’écrire sa plainte dans les réseaux sociaux pour détruire la crédibilité du restaurant
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Une arnaqueuse de sushi ferait cracher le morceau à des restaurateurs

 

COURTOISIE

Si vous travaillez dans l’industrie de la restauration, gardez l’oeil ouvert!

Des restaurateurs de Québec seraient victimes d’une «talentueuse» arnaqueuse qui utiliserait toujours le même stratagème partout où elle passe dans le but de soutirer frauduleusement de l’argent sous menace d’attaquer la crédibilité de l’établissement.

Une dizaine de restaurateurs ont été victimes de cette dame au cours de la dernière semaine à Québec.

Propriétaire du restaurant Sushi Togo sur la rue Saint-Jean, Xuan Phan est du nombre.

«La dame s’est présentée disant s’être étouffée avec un morceau de plastique (Saran wrap) qui se trouvait dans ses sushis. Elle voulait être remboursée sur-le-champ disant avoir acheté les 30 morceaux, l’assiette de luxe à 75$», explique Mme Phan.

Avant de la rembourser, Xuan Phan a longuement discuté avec la dame pour clairement lui faire savoir qu’elle croyait être en face d’une fraudeuse.

«Je me suis dit que c’était tellement absurde comme histoire que ça ne pouvait pas avoir été inventé.»

«J’ai même ajouté que je suis dans les sushis depuis 15 ans et que je n’ai jamais vu pareille histoire.»

COURTOISIE

Devant l’insistance de la propriétaire à ne pas vouloir rembourser ou à remettre un chèque cadeau au lieu d’un montant en argent, la suspecte a alors menacé de salir la réputation du restaurant sur les réseaux sociaux.

«Elle m’a dit « mes amis m’ont conseillé de ne pas revenir au restaurant et d’écrire toute mon histoire sur Facebook, mais comme je suis une femme de valeur, je préférais venir vous voir pour trouver une entente satisfaisante pour tous. Mais je ne repartirai pas sans avoir eu mon argent »», a souligné Mme Xuan au HuffPost Québec en rapportant les paroles de la mystérieuse dame qui serait dans la cinquantaine.

Réanimée sur l’autoroute 20

La voleuse serait finalement repartie avec 75$ en argent comptant. Elle a poursuivi sa visite en s’arrêtant dans un restaurant de sushis sur le boulevard Henri-Bourassa. Son histoire est encore plus rocambolesque.

«La même dame, bien vêtue, avec un bon langage, genre style femme d’affaires, s’est présentée au restaurant disant être une enseignante de l’Université de Montréal de passage à l’Université Laval à Québec. Après le même bla-bla qu’elle a inventé à Mme Phan, elle me sort un morceau de plastique disant avoir un rapport de police, car elle a dû être réanimée sur le bord de l’autoroute 20 après s’être étouffée alors qu’elle mangeait les sushis de notre restaurant», a raconté stupéfaite Catherine Blanchet, gestionnaire du restaurant, dont elle préfère ne pas dévoiler le nom.

Même si elle se doutait qu’elle était devant une arnaqueuse, elle a versé la somme de 75$ à la dame «pour acheter la paix, car je sais très bien que personne n’aurait pu avaler un morceau de plastique aussi gros sans s’en apercevoir.»

Toujours avec une présentation soignée, l’escroc aurait joué la même comédie au restaurant Nihon Sushi. Les tromperies de la dame se seraient déroulées sur une période d’une semaine.

«Comme dans les autres restaurants, elle est arrivée juste avant la fermeture. Elle disait être passée dans notre restaurant et avoir payé en argent comptant les 30 morceaux alors que nous étions dans le jus. Elle ajoutait même avoir téléphoné pour demander de parler au propriétaire du restaurant. Après des vérifications, il n’y avait pas eu de commande de 30 morceaux payée comptant la journée qu’elle disait être passée ni de gens qui avait téléphoné pour se plaindre», a mentionné le gérant Daniel Germain, lui aussi en colère de s’être fait flouer.

Prise à son petit jeu grâce à une photo

Au restaurant Banzai Sushi dans le secteur de Beauport, le propriétaire, Léo Phan, a été plus alerte. Il faut dire qu’il s’agit du frère de Xuan Phan et qu’il a pu profiter de la photo de la suspecte prise avec les caméras de surveillance et publiée sur le compte Facebook de sa sœur.

«Le lendemain qu’elle était passée chez ma sœur, elle s’est présentée chez nous. Je l’ai reconnue et je lui ai demandé une preuve de la facture de son achat. Après avoir fait semblant de téléphoner à une amie avec qui elle serait venue prendre la commande, elle est retournée dans son auto pour aller chercher la soi-disant facture, mais elle n’est jamais revenue. Elle savait que je venais de la démasquer.»

COURTOISIE

Aucune plainte n’a encore été déposée contre la dame.

M. Phan attend depuis trois jours pour rencontrer un policier du Service de police de la Ville de Québec et faire sa déclaration

. «On m’a dit que mardi (24 octobre) je pourrai le faire, après avoir remis mes premiers rendez-vous. Je trouve ça long parce que pendant ce temps, elle continue de voler les gens», a déploré Mme Phan.

Le Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) a indiqué au HuffPost Québec que les plaintes devront être tout d’abord déposées avant que le dossier puisse suivre son cours.

«Chaque restaurateur qui se dit victime devra porter plainte et ensuite les dossiers seront reliés ensemble pour enquêter sur cette histoire», a mentionné la porte-parole du SPVQ, Cyndi Paré.

Un dossier épais

 

Le HuffPost Québec a enquêté pour découvrir que la dame en question se nommerait Nancy Demers, mais utiliserait le nom de Chantal Côté. Le numéro de téléphone pour la joindre n’est pas en service et l’adresse courriel de l’université où elle dit enseigner est inexistante.

Toutefois, une dénommée Nancy Demers aurait été condamnée dans le passé pour avoir usurpé l’identité de sa soeur pour déplumer des gens d’affaires.

Son dossier judiciaire indique pas moins d’une quarantaine de chefs d’accusation pour fraude, faux ou utilisation de faux et vols.

Selon nos informations, elle aurait été vue, il y a à peine quelques semaines, dans la région de Saint-Hyacinthe où d’autres restaurateurs disent avoir été victimes de fraudes reliées à une histoire similaire à celle des restaurateurs de Québec.

Le HuffPost Québec a tenté de joindre la dame au cours du week-end, mais cela n’a pas été possible.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Fais-moi confiance!


 

Je pense qu’il est important de ne pas faire croire à n’importe quoi à un enfant pour qu’il agisse de la façon que l’on espère. Car, le jour ou le mensonge est dévoilé, cela risque de miner la confiance surtout si le mensonge est répétitif
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Fais-moi confiance!

 

Fais-moi confiance!

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Maman Éprouvette,

Dans un de ses numéros, l’humoriste québécois Louis-José Houde s’amusait à dire qu’on pouvait faire croire n’importe quoi aux enfants. « Si tu ne manges pas ton repas, un monstre va te manger! » La recherche semble démontrer qu’il n’a pas tout à fait tort. Une étude réalisée par des chercheurs californiens auprès de 182 tout-petits de 3 à 4 ans révèle que ceux-ci font confiance systématiquement à un adulte s’il n’est pas contredit par un autre.

Les scientifiques ont en effet remarqué que les tout-petits croient automatiquement un adulte, même s’il n’est pas très fiable, dans la mesure où aucune information contraire n’existe. Cependant, en présence d’une autre personne plus fiable, l’enfant fera plus confiance à celle-ci si elle formule un avis différent. Le tout-petit ne prendra toutefois pas l’initiative de demander une confirmation si la personne fiable n’exprime pas elle-même son opinion.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont mis les enfants en présence d’un adulte qui leur avait donné de faux renseignements dans le passé. Dans un cas, ils étaient seuls avec celui-ci. Dans un autre, ils étaient en compagnie d’un autre adulte plus fiable. Enfin, dans le troisième cas, l’individu fiable ne prenait pas part à la discussion.

D’après les scientifiques, même si un enfant évalue la fiabilité d’un adulte pour déterminer s’il peut lui faire confiance, il aura tendance à lui donner une deuxième chance si aucune autre source d’information n’est disponible.

Les expériences de ce type permettent de mieux comprendre le développement du jugement chez les tout-petits. Ces connaissances peuvent ensuite nous aider à expliquer les réactions parfois surprenantes de nos enfants!

Ce billet a d’abord été publié sur le site Maman Éprouvette.

http://www.sciencepresse.qc.ca/

Les 5 mythes les plus tenaces à propos d’internet


Il y a 30 ans qu’Internet existe, 30 ans qu’un jour Arpanet avait été érigé pour une facilité de communication entre chercheurs et universitaires et aujourd’hui, internet est accessible a quasi tout le monde a travers la terre, les mers et l’espace
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Les 5 mythes les plus tenaces à propos d’internet

 

Les

Photo Fotolia

Stéphanie Godbout

 

Le web célèbre ses 30 ans d’existence cette année.

Depuis les premières inventions qui ont permis la communication de données entre ordinateurs, internet a fait beaucoup de chemin.

Il a complètement changé notre façon de s’informer et de communiquer… pas étonnant que de nombreuses histoires le concernant se soient propagées sur la Toile.

Voici notre petite liste des 5 mythes les plus tenaces à propos d’internet.

AL GORE EST L’INVENTEUR DE L’INTERNET

 

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Al Gore a inventé internet? |  Photo AFP

Le parcours d’Al Gore est remarquable. Ancien vice-président des États-Unis et candidat du Parti démocrate lors de l’élection présidentielle de 2000, il participe au film An Inconvenient Truth, lauréat de l’Oscar du meilleur documentaire, et se voit décerner le Prix Nobel de la paix en 2007.

Gore joue également un rôle important dans le développement de l’Internet et des télécommunications.

Nommé Sénateur du Tennessee en 1984, il ne cesse de plaider à Washington pour le développement des réseaux informatiques.

Et puis, lors d’une entrevue accordée à Wolf Blitzer sur les ondes de CNN en 1999, Gore déclare maladroitement «J’ai pris l’initiative de créer Internet».

S’il a contribué à mettre en place le réseau et a popularisé l’expression «autoroute de l’information», il n’a pas créé l’Internet.

Les vrais inventeurs sont plutôt Vinton Cerf et Robert Kahn.

TOUT CE QU’ON LIT SUR INTERNET EST VRAI

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Neil Armstrong a pris cette photo de Buzz Aldrin le 21 juillet 1969. |  Photo AFP

Internet a révolutionné le monde de l’information.

Désormais, grâce à un simple clic de souris, il est possible d’avoir accès aux plus prestigieux ouvrages de référence du monde entier, de consulter les encyclopédies les plus reconnues et être à l’affut des dernières nouvelles régionales et internationales.

Avec l’avènement d’Internet, en quelques secondes il est possible de connaître la date à laquelle Neil Armstrong a posé le pied sur la Lune, de savoir comment réussir une sauce hollandaise, d’obtenir la définition du mot loricaire… selon Google, plus de 4 milliards de pages Web sont disponibles sur la Toile.

Hélas, tous ces sites ne sont pas de sources sûres. Entre les blogues, les sites mal traduits ou les encyclopédies collaboratives nourries par des contributeurs pas nécessairement des experts sur le sujet, les internautes doivent être vigilants quant à la crédibilité des informations trouvées en ligne.

Avant de dire «c’est vrai, je l’ai lu sur internet», pensez-y à deux fois!

INTERNET VOUS RENDRA MILLIONNAIRE

 

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Photo AFP

Il est vrai que Silicon Valley regorge d’entreprises de haute technologie qui font des millions de profits annuellement et que de nombreux entrepreneurs, créatifs et novateurs, ont fait fortune grâce à Internet.

Comme Pierre Omidyar, Larry Page, Sergey Brin ou Mark Zuckerberg, vous pourriez avoir un flash de génie et voir l’argent tomber des arbres, mais le fait d’offrir un produit ou un service sur Internet n’est pas garant de votre futur statut de personne la plus riche de la planète.

Évitez aussi de tomber dans le panneau des publicités sur le Web du genre «je gagne 25 000$ par jour en ligne», qui sont sans doute trop belles pour être vraies.

Malheureusement, bien qu’on souhaiterait recevoir un chèque de Bill Gates pour nous remercier d’avoir transféré son courriel à notre réseau de contacts, il ne faut pas croire tout ce qu’on lit sur Internet!

ERREUR 404 NOMMÉE EN MÉMOIRE DU BUREAU 404

 

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En naviguant sur le Web, on fait parfois face à des pages d’erreur dont certaines nous renvoient à un échec de connexion ou à page non trouvée.

Parmi les erreurs les plus populaires, notons la fameuse page «Erreur 404», un code d’erreur du protocole HTTP signifiant que la page demandée n’existe pas, qu’elle est introuvable.

L’histoire veut que les chercheurs du CERN, acronyme désignant l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire, excédés de devoir sans cesse relancer le serveur défaillant situé dans le bureau 404 aient décidé d’attribuer ce numéro d’erreur en souvenir des incidents.

Si l’histoire est jolie et semble crédible, il n’y a pourtant jamais eu de bureau 404 aux laboratoires du CERN en Suisse…

INTERNET ÉTAIT UN RÉSEAU MILITAIRE CONÇU POUR SURVIVRE À UNE ATTAQUE MILITAIRE

 

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Photo Fotolia

ARPANET, qui signifie Advanced Research Projects Agency Network, est le premier réseau à transfert de paquets.

Bien que développé par DARPA, une agence du département de la Défense des États-Unis, le réseau n’a pas été conçu pour survivre à une attaque militaire.

ARPANET devait plutôt pallier aux problèmes de fiabilité des réseaux de l’époque et permettre aux chercheurs des laboratoires et des universités de facilement communiquer entre eux.

Robert Taylor, responsable du projet au Pentagone, a d’ailleurs confirmé que la création d’ARPANET n’était pas du tout motivée par la menace d’une guerre ou d’une attaque.

http://fr.canoe.ca

Admettre ses erreurs…


Faire des erreurs est une chose, avouer et accepter que nous sommes faillible et aller de l’avant c’est autre chose …
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Admettre ses erreurs…

 

Qui peut dire qu’il n’a jamais commis d’erreurs dans sa vie ? …

Je ne pense pas me tromper en disant personne …

A moins d’être quelqu’un de parfait,  il est normal de faire des erreurs… cela est tout simplement humain…. Ne dit-on pas que « l’erreur est humaine » ?….

Ces erreurs peuvent être de natures différentes…  par exemple faire une erreur de jugement sur une personne… prendre une mauvaise décision dans le choix d’une orientation professionnelle, dans l’éducation de nos enfants, et bien d’autres encore……

Lorsque l’on connaît ces situations, certaines personnes s’en veulent… elles cherchent à comprendre comment elles ont pu en arriver là….Elles en arrivent à perdre confiance en elles… à douter de tout…  au point de ne plus vouloir s’engager…. elles peuvent être ressenties comme un échec, donner l’impression d’être « nul » et incompétent…

Par contre, d’autres personnes préfèrent, au contraire, nier leurs erreurs, ne pas les assumer et les rejeter sur les autres…. Ces personnes là sont orgueilleuses…. imbues de leur personne… elles ont une haute opinion d’elles-mêmes…. elles pensent avoir la science infuse….

Pour ma part, même si je n’aime pas commettre des erreurs… je sais les reconnaître et les admettre….

Le faire… est une façon de montrer que l’infaillibilité est une chose qui n’existe pas…. nous assure plus de crédibilité auprès de notre entourage qui a ainsi l’opportunité de juger notre capacité à nous remettre en cause dans toutes circonstances… c’est montrer que l’on dispose d’une confiance en soi qui nous permet de ne pas nous sentir diminué…. Et surtout, je considère que c’est une qualité qui nous donne la possibilité de progresser dans notre existence…c’est le premier pas vers la réussite….

Pour conclure, je dirais  » Qui n’essaye rien ne se trompe jamais »…

Rappelons-nous de Thomas Edison, un des plus importants inventeurs en électricité, qui a commis un grand nombre d’erreurs avant d’inventer la lampe à incandescence. N’est ce pas en analysant et en apprenant de ses erreurs qu’il a pu les corriger et parvenir à matérialiser son invention ? S’il n’avait pas reconnu ses erreurs, peut-être en serions-nous encore à nous éclairer à la bougie….

Christine R.

Posté par emergenceducoeur

Les élections


La politique semble une ensemble de mensonge qu’on essaie de croire au temps des élections mais nous le savons qu’on fond c’est juste pour acquérir des votes …
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Les élections

«Faire une élection, c’est raconter une histoire de telle façon que l’enfant qui sommeille en tout électeur croie que le candidat est le seul héros crédible de cette histoire.»

Jacques Séguéla