L’Australie forme des marsupiaux à éviter les crapauds toxiques


L’Australie s’est fait piéger en introduisant des crapauds-buffle dans son environnement. Aucun prédateur ne peut en venir à bout et pire, les prédateurs potentiels risque de mourir s’ils mordent ces crapauds. S’ils réussissent à inculquer a des animaux de ne pas chasser les crapauds-buffle, ce serait une chance de survie pour eux… Mais, les crapauds sont toujours un problème qui n’est pas résolu
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L’Australie forme des marsupiaux à éviter les crapauds toxiques

 

Les dasyures, mammifères également connus sous le nom... (PHOTO GREG WOOD, ARCHIVES AFP)

Les dasyures, mammifères également connus sous le nom de chat marsupial, sont menacés par le crapaud-buffle, une espèce invasive originaire d’Amérique centrale et du Sud.

PHOTO GREG WOOD, ARCHIVES AFP

Agence France-Presse
SYDNEY

Des équipes de scientifiques dressent un petit marsupial carnivore d’Australie, le dasyure, pour lui apprendre à éviter de manger les crapauds toxiques qui ont dévasté des populations entières de cette espèce en danger.

Le crapaud-buffle a été introduit en Australie en 1935.... (PHOTO DAVID GRAY, ARCHIVES REUTERS) - image 1.0

Le crapaud-buffle a été introduit en Australie en 1935. Il est toxique et les prédateurs qui tentent de s’en nourrir peuvent en mourir.

PHOTO DAVID GRAY, ARCHIVES REUTERS

Les dasyures, mammifères également connus sous le nom de chat marsupial, sont menacés par le crapaud-buffle, une espèce invasive originaire d’Amérique centrale et du Sud.

Ces crapauds ont été introduits en Australie en 1935. Ils sont toxiques et les prédateurs qui tentent de s’en nourrir peuvent en mourir.

Le nombre de ces batraciens est estimé à plus de 200 millions. Ils continuent de progresser dans le nord de l’Australie à un rythme estimé entre 40 et 60 kilomètres par an aux dépens de la faune de prédateurs endémiques.

Des scientifiques financés par un programme gouvernemental dressent les dasyures afin qu’ils évitent les batraciens : ils leur proposent des aliments mêlés à de la peau de crapaud et à des substances chimiques qui donnent la nausée, ce qui leur apprend petit à petit à s’en méfier comme de la peste.

Trente marsupiaux ainsi formés seront relâchés cette année à Kakadu, dans le Territoire du Nord, dans le cadre d’un programme de trois ans.

Des programmes expérimentaux ont montré que les femelles dressées arrivent à survivre et à se reproduire. De plus, leurs petits savent aussi qu’il faut s’abstenir de consommer du crapaud, avec comme résultat, l’augmentation de la population des dasyures, espèce également menacée par les chats retournés à l’état sauvage.

«C’est fantastique de voir le succès de ce programme innovant destiné à protéger les petits mammifères australiens», a déclaré jeudi le ministre de l’Environnement Greg Hunt.

«C’est un travail extrêmement important. Sans initiatives ciblées de protection de l’environnement comme celles-ci, il est peu vraisemblable que l’espèce se remette à l’avenir».

Selon Gregory Andrews, chargé au ministère de l’Environnement de la protection des espèces en danger, ce programme est financé dans le cadre d’une enveloppe de 750 000 $ australiens (environ 740 000 $ CAN) pour réhabiliter la région de Kakadu.

Sally Barnes, directrice des parcs nationaux australiens, a souligné que cette expérience était utile pour les animaux dressés, et pour toutes les générations suivantes.

«Nous pensons n’avoir besoin de le faire qu’une fois».

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Veiller sur sa progéniture ou en croquer une partie, pourquoi choisir ?


Une espèce de crapaud est très paternelle est protecteur, à la condition bien sûr qu’on regarde ailleurs quand il a une envie pressante de manger un de ses petits
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Veiller sur sa progéniture ou en croquer une partie, pourquoi choisir ?

 

Ce mâle Crapaud buffle africain tente de sauver sa descendance, menacée par l’assèchement de la mare qui l’abrite. © globalzoo/YouTube

Tous les pères du règne animal n’abandonnent pas leur descendance à la naissance. Le Crapaud buffle africain, malgré ses petits travers cannibales, veille sur elle jusqu’à sa maturité. Un vrai papa poule (ou presque) !

 

PROTÉGER. Chez le Crapaud buffle africain (Pyxicephalus adspersus), le mâle ne chôme pas ! Choisir une mare, la défendre contre d’autres reproducteurs, utiliser cette démonstration de force pour conquérir la femelle, s’accoupler, veiller sur ses petits… N’étant pas un père parfait, il lui arrive cependant de grignoter un ou deux de ses enfants. Eux-mêmes ajoutent souvent leurs frères et sœurs à leur régime alimentaire, traditionnellement composé d’insectes et d’invertébrés aquatiques. Malgré ces penchants cannibales, le Crapaud buffle reste un père très protecteur. Depuis la ponte jusqu’à la métamorphose des petits en adultes, il protège ses descendants. Une longue entreprise de 3 semaines qui amènera ce mastodonte sud-africain de plus de 1,5 kilos pour 20 cm de long à affronter prédateurs et éléments naturels. Le mâle adopte donc une posture agressive, n’hésitant pas à mordre les inopportuns à l’aide de deux protubérances qu’il a sur la mâchoire inférieure.

Autre sujet d’alarme : la sécheresse. L’eau de la mare s’évapore en effet rapidement, menaçant les têtards d’asphyxie et de déshydratation. Quand plusieurs mares sont attenantes, comme ici, le mâle entreprend la construction d’un tunnel pour les relier. À l’aide de ses pattes arrière, munies d’une callosité en forme de pelle, il creuse la barrière de terre séparant les deux points d’eau. Il effectue cette opération à reculons, en chassant la terre sur les côtés avec ses pattes. L’eau revient dans la mare, les têtards sont sauvés, jusqu’à la prochaine alerte.

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Quand un nuisible crapaud-buffle devient une «fashion victim»


On comprend que les Australiens sont aux prises avec le crapaud-buffle, qu’ils sont obligé de les tués a tout prix. Alors que faire avec tout ces crapauds.. j’avais vu dans un documentaire qu’ils en faisaient de l’engrais mais maintenant ces crapaud rentre dans la mode … Cependant, je ne suis pas sur que je serais porté sur la chose et encore moins m’en faire un fétiche
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Quand un nuisible crapaud-buffle devient une «fashion victim»

 

Les crapauds sont teints à Millau, à la... (Photo REMY GABALDA, AFP)

Les crapauds sont teints à Millau, à la mégisserie (tannerie de petites peaux) Alric, spécialisée dans la coloration des peaux d’agneau.

PHOTO REMY GABALDA, AFP

SANDRA LACUT
Agence France-Presse
PARIS

Il était une fois un crapaud-buffle, déclaré catastrophe écologique en Australie, qu’une bonne fée polonaise décida de métamorphoser en précieux accessoire de mode vendu aux quatre coins de la planète.

Cette histoire, qui a tout d’un conte de fées moderne écrit à plusieurs mains, entre Cairns (nord-est de l’Australie), Paris et Millau (Aveyron), suscite autant l’engouement des hommes que celui des femmes qui portent la peau du batracien teinté en fuchsia, bleu turquoise, jaune curry ou vert vif, en bracelet, ceinture, sautoir, porte-monnaie, sac ou minaudière.

Même les plus classiques ont troqué l’or et les perles pour cet hypnotique grigri des temps modernes, au cuir fragile et dont les yeux sont remplacés par des cristaux ou des pierres semi-précieuses.

Tout commence à Paris il y a près de trois ans.

«Un ami m’avait offert une petite grenouille néozélandaise porte-bonheur empaillée qui me dégoûtait, mais a fini par me fasciner», raconte l’instigatrice de cette métamorphose, Monika Jarosz, 35 ans, installée dans une ancienne laiterie de Belleville.

Arrivée en France il y a 12 ans, d’Ostrowiec Swietokrzyskie en Pologne, cette jeune femme brune au teint pâle a débuté dans le mannequinat avant de faire ses débuts comme styliste.

La designer, Monika Jarosz.

PHOTO FRANCOIS GUILLOT, AFP

 

PHOTO FRANCOIS GUILLOT, AFP

«Sorcellerie»

«Plus je touchais la grenouille et plus l’idée de créer quelque chose de très fort comme un bijou a pris forme. Mais j’adore les animaux et il fallait que ce soit de la récupération», ajoute-t-elle.

Monika s’adresse alors à des restaurants cuisinant des cuisses de grenouille… en vain. Puis elle découvre l’existence d’un crapaud-buffle venimeux provenant d’Amérique du Sud, introduit en Océanie il y a plusieurs décennies pour y détruire les coléoptères. Il a tellement proliféré et muté que les défenseurs de l’environnement se joignent aujourd’hui à l’armée australienne pour capturer et tuer le batracien devenu nuisible à l’écosystème.

Avec l’aide d’un taxidermiste de Cairns, la créatrice récupère les dépouilles «dont le traitement nécessite 14 étapes avant de pouvoir les teindre et les travailler».

C’est dans un atelier de maroquinerie de luxe de Romainville, en banlieue parisienne, qu’entre les mains d’Hacen, de Fafa et de Béja, les crapauds deviennent sacs, porte-monnaie ou ceinture de luxe, fabriqués à la main et «made in France».

Auparavant, ils sont teints à Millau, à la mégisserie (tannerie de petites peaux) Alric, spécialisée dans la coloration des peaux d’agneau.

«Lorsque j’ai appelé Jean-Charles Duchêne (patron de la mégisserie) pour un devis, il a cru à une blague», raconte Monika.

M. Duchêne, qui travaille avec les maisons de luxe françaises et européennes, comprend qu’il va devoir «apprivoiser la bête».

«J’ai été surpris, mais ses créations ont plu et j’ai voulu l’aider. C’était un challenge à relever, car on a dû s’adapter à la matière», explique-t-il. «Le crapaud est plus dense que l’agneau, le colorant se fixe plus vite et il en faut moins».

Symbole de fertilité et de prospérité, «le crapaud est aussi lié à la sorcellerie», rappelle Monika en triant une centaine de crapauds desséchés et tannés qui viennent d’arriver d’Australie.

Elle réexpédiera à Millau ces sortes de mini-carpettes de 10 à 20 cm de long, gris pâle, où trônent les têtes comme celles de tigres.

«Je ne mise pas sur le gothique, ce qui m’intéresse c’est le conte de fées, le crapaud qui se transforme en prince charmant…», assure-t-elle en embrassant l’un des batraciens turquoise, transformé en porte-monnaie.

Celui-ci coûte entre 220 et 250 euros selon le pays où il est vendu (Japon, États-Unis, Chine, France, Allemagne), un grand sac, 1200 euros.

Après un galop d’e

ssai dans une galerie d’art, Monika a lancé sa marque, Kobja (verlan de l’affectueux  »petite grenouille » polonais).

Vendus dans des boutiques de luxe ou concept stores à Tokyo, Pékin, New York, Paris et Berlin, les crapauds buffle ont acquis un statut «d’objets fétiches».

Certains de leurs propriétaires, parmi lesquels des célébrités donnent régulièrement à Monika des nouvelles de leurs «Sacha» et «Rosa».

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Des saucisses de crapauds buffle pour éviter les empoisonnements


L’Australie est reconnu pour son gros problème avec les crapaud buffle qui avait été introduit pour lutter contre un insecte dévastateur de culture .. a été une catastrophe monumentale envers les animaux indigènes du pays. Un problème qui peut-être aurait enfin une solution … pour ceux qui se nourrissent de ces crapauds
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Des saucisses de crapauds buffle pour éviter les empoisonnements

 

Des saucisses de crapauds buffle pour éviter les empoisonnements

Photo: Fotolia

Des saucisses vomitives à la viande de crapauds buffle sont proposées aux animaux endémiques australiens, afin de leur apprendre à se méfier de ce batracien venimeux introduit dans les années 30 et qui détruit les espèces concurrentes.

 

Des espèces endémiques à l’Australie, notamment des petits marsupiaux ou plusieurs types de lézards, meurent empoisonnées si elles mangent un crapaud buffle, ont expliqué mardi des scientifiques.

Il faut donc les dégoûter de cette viande, et ce grâce à des saucisses de chair de crapauds buffle, d’où le poison a été ôté, mais qui ont été très salées de manière à susciter un vomissement lorsqu’elles sont en bouche. Ces saucisses ont été disposées près des habitats de dingos (chiens sauvages), de quolls (marsupiaux carnivores australiens), de serpents et de lézards.

«Les animaux devraient donc ensuite, si ils mordent dans quelques chose qui a le goût et l’odeur d’un crapaud buffle, se souvenir de l’horrible expérience» des saucisses et tout recracher, a précisé David Pearson, du département de l’Environnement et de la Préservation de l’Etat d’Australie occidentale.

Les essais entrepris sont concluants, selon les images enregistrées par des caméras qui montrent que les animaux recrachent vivement ces saucisses.

Le quoll est à présent une espèce menacée dans certaines régions d’Australie, à cause de l’avancée des crapauds buffle, d’une cinquantaine de km par an, depuis le Queensland (nord-est).

Ce batracien possède des glandes qui secrètent un poison violent, capable de tuer serpents et crocodiles. Il détruit les espèces concurrentes et colonise sans cesse de nouveaux territoires.

Originaire d’Amérique centrale, le Bufo marinus, aussi appelé crapaud géant puisqu’il est le plus imposant représentant de son espèce, a été introduit en Australie en 1935 afin de lutter contre des coléoptères qui dévastaient à l’époque les plantations de canne à sucre.

Une mauvaise idée, car non seulement l’animal n’a pas éradiqué ces insectes mais il est devenu une nuisance bien plus redoutable.

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Voyageurs indésirables ► Neuf espèces exotiques envahissantes


Les espèces envahissantes, animaux, insectes, plantes, moule, poisson font le cauchemar de plusieurs pays … Certains ont été introduit pour faire face a une épidémie mais malheureusement, ils se sont adapté a leur nouvel environnement pour devenir très nombreux et ce sans prédateurs pour stopper l’invasions, d’autres ont voyager clandestinement pour conquérir le monde … et pire encore .. ceux qui amène des animaux ou plantes sans se préoccuper des conséquences pour l’environnement
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Voyageurs indésirables ► Neuf espèces exotiques envahissantes

 

Voyageurs indésirables - Neuf espèces exotiques envahissantes

Photo: Fotolia

Voici quelques exemples des espèces invasives les plus notables dans le monde.

 

Le rat noir ou rat des champs (Rattus rattus)

Photo: Fotolia

Originaire du sous-continent indien, cette espèce de rat a colonisé quasiment toute la planète, la plupart du temps en s’introduisant à bord de navires. Certains de ces passagers clandestins, qui avaient accompagné les Polynésiens dans leurs pirogues durant leur odyssée, ont décimé des populations entières d’oiseaux dans les îles du Pacifique.

Le lapin de garenne (Oryctolagus cuniculus)

Photo: Fotolia

Introduits par les Européens en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Afrique du Sud et ailleurs, l’animal s’est montré fidèle à sa réputation et s’est reproduit à toute allure. Il constitue à présent un nuisible responsable de milliards de dollars de dégâts dans les cultures, ravageant également les plantes locales et l’habitat naturel des espèces autochtones.

La perche du Nil (Lates niloticus)

Photo: AFP/Archives

Parfois appelé à tort «capitaine», ce grand poisson peut atteindre deux mètres de long pour un poids de 200 kg. Originaire de différentes rivières africaines, il a été introduit en 1954 dans le Lac Victoria, dans l’est du continent, pour la pêche de loisirs. Il a depuis contribué à l’extinction de plus de 200 autres espèces de poissons endémiques du lac, soit en les dévorant soit en les privant d’un accès suffisant à la nourriture. La perche du Nil est l’acteur principal du film documentaire Le Cauchemar de Darwin (2006), consacré notamment aux espèces invasives.

Le crapaud buffle (Bufo marinus ou Rhinella marina)

Photo: Fotolia

Le crapaud buffle, initialement limité à l’Amérique centrale, a été délibérément introduit en Australie dans les années 1930: on pensait alors qu’il parviendrait à éradiquer certains insectes nuisibles pour les récoltes. Le batracien est malheureusement devenu lui-même un nuisible. Avec un poids pouvant atteindre 1,3 kg et sa peau empoisonnée, il est capable de tuer ses prédateurs, comme les serpents ou les crocodiles d’eau douce. On estime aujourd’hui leur nombre à plus de 200 millions d’individus.

La jacinthe d’eau (Eichhornia crassipes)

Photo: Fotolia

Cette plante tropicale aquatique, qui n’a aucun lien avec la jacinthe véritable, vient d’Amérique du Sud, probablement d’Amazonie. Elle prolifère maintenant dans tous les climats chauds: Amérique centrale, Amérique du Nord, Afrique, Asie, Australie, et Nouvelle-Zélande. La jacinthe d’eau se développe en épais tapis sur les étendues d’eau douce, réduisant la teneur en oxygène à des niveaux insupportables pour de nombreuses espèces et gênant la navigation. On estime que son impact économique pour le seul continent africain peut atteindre 100 millions de dollars par an.

Le moustique-tigre (Aedes albopictus)

Photo: Fotolia

Considéré comme l’une des espèces les plus invasives au monde, le moustique noir aux rayures blanches est un vecteur du Virus du Nil occidental, de la dengue, de différents types d’encéphalites et du redoutable chikungunya. L’insecte asiatique constitue une source de préoccupation majeure aux États-Unis et dans le bassin méditerranéen. A chaque fois, on pense que l’insecte a pu arriver grâce à des poches d’eau stagnant dans des vieux pneus, ce qui aurait permis à ses larves de survivre à leur traversée.

La moule zébrée (Dreissena polymorpha)

Photo: Reuters/Archives

Petit mollusque à rayures venu de Russie méridionale et de la mer Caspienne, il s’est répandu dans toute l’Europe et jusqu’en Amérique du Nord en se fixant sur la coque des bateaux. Très résistante, elle peut supplanter d’autres espèces plus vulnérables. Les colonies de moules, qui peuvent former des bancs très épais, bouchent les conduits de refroidissement des centrales ou bloquent des écluses.

Le python molure (Python molurus)

Photo: Fotolia

Gros serpent constricteur asiatique, il a vraisemblablement été introduit aux États-Unis par des passionnés de reptiles. Un premier spécimen avait été découvert dans les Everglades en Floride en 1979. Il n’a pas fallu plus d’une vingtaine d’années à cette espèce pour se sentir comme chez elle dans les marais américains, faute de prédateurs naturels. Le python molure s’y nourrit d’oiseaux, de biches, de félins et d’autres gros animaux. Selon certaines estimations, sa population actuelle se compterait en centaines de milliers. Des chercheurs de l’Université de Floride ont récemment trouvé un spécimen long de plus de cinq mètres qui portait 87 oeufs

L’ajonc d’Europe (Ulex europaeus)

Photo: Fotolia

Arbuste épineux originaire d’Europe du Nord, il a été utilisé par de nombreux éleveurs de par le monde pour servir de clôture bon marché au bétail. Mais il concurrence les plantes sauvages et cultivées et acidifie le sol. L’ajonc pousse désormais dans les Caraïbes, en Amérique Latine, en Australie, en Afrique du Sud, aux États-Unis, etc.

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Ces aliments peuvent vous tuer!


On vous a sûrement déjà dit quand vous leviez le nez sur un nouveau met, de gouter avant de dire que ce n’était pas bon .. Mais, personnellement, les aliments décrit qui peuvent en plus être dangereux ne me tente pas vraiment .. a part peut-être le hotdog qui effectivement qui peuvent être dangereux pour les jeunes enfants
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Ces aliments peuvent vous tuer!

Dernièrement, une capsule vidéo a circulé sur YouTube où on voit un jeune homme manger un scorpion… Je vous épargne la vidéo, mais je vous assure que ce n’était pas beau à voir! Le scorpion n’était pas vénéneux, donc pas de danger mortel pour cet apprenti Jackass.
 
Par contre, il existe bel et bien des aliments dangereux, comme le fameux poisson Fugu, mais aussi la rhubarbe et la noix de muscade qui, consommées en trop grande quantité, peuvent rendre malade. Même le hot-dog se retrouve sur la liste des aliments à risque, selon le magazine Time.
 

Voici quelques autres exemples:


 
Le casu marzu (formaggio Marcio ou «fromage pourri ») est un fromage italien de Sardaigne. Il est connu pour être infesté par des larves vivantes! Les problèmes liés à la santé sont nombreux quand on consomme du casu marzu allant des réactions allergiques, des intoxications alimentaires au risque d’attraper une myase entérique ou intestinale (des larves qui s’installent dans l’intestin). Sachez que les Italiens n’en mangent pas si les larves sont mortes…

 Les escamoles sont les larves des fourmis géantes, servies en salade, un plat typique au Mexique. Ce plat est considéré raffiné dans la gastronomie locale, et les larves sont aussi connues sous le nom de «caviar d’insecte» au Mexique comme à l’étranger! Ce qui est dangereux ce n’est pas tant de les consommer que de les cueillir! Il semblerait que la récolte de ces larves est difficile car ces fourmis sont très venimeuses et agressives.


 
Le crapaud buffle était anciennement consommé au Pérou après avoir été dépouillé de sa peau et de ses glandes paratoïdes.  Des cas de morts humaines ont été attribués à la consommation de crapaud buffle. C’est que cet amphibien possède des glandes qui sécrètent du poison, et son têtard est très toxique.


 
Le ackee est un fruit national de la Jamaïque, ce qui ne l’empêche pas d’être très dangereux pour l’humain! Il peut provoquer le coma et la mort, car il est gorgé d’un poison appelé hypoglycine. Pour le consommer, il faut attendre que le fruit s’ouvre de lui-même.


 
Le hot-dog!  Selon l’American Academy of Pediatrics, le design du hot-dog cause un véritable problème de sécurité alimentaire!
D’après l’organisation, 17 % des asphyxies liées à la nourriture chez les moins de 10 ans sont causées par la consommation de hot-dogs.
 
Le hot-dog, dangereux? Qu’en pensez-vous? Est-ce qu’on exagère de penser que cet aliment est à risque
? Quels autres aliments vous ajouteriez à la liste?

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