Pornographie juvénile ► Les fournisseurs de services internet devront la signaler


Peut-on espérer rendre la vie beaucoup plus difficile aux cyberpédophiles et au cyberprédateurs ? Il commence a être temps que des lois soient faites pour protéger les enfants et même si cela est nécessaire de durcir la loi pour éviter qu’il y ai plus de victimes de ces adultes qui n’ont n’ont aucune moralité . Mais je pense que si tous les pays avaient une politique de tolérance zéro et travaillaient ensemble pour éliminer la pornographie auprès des enfants  cela serait encore plus rapide et plus efficace
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Pornographie juvénile ► Les fournisseurs de services internet devront la signaler

Pornographie juvénile - Les fournisseurs de services internet devront la signaler

Le ministre de la Justice Rob Nicholson.

© André Forget / Agence QMI
Kevin Connor

TORONTO – Une nouvelle loi est entrée en vigueur jeudi pour protéger les enfants contre l’exploitation sexuelle en ligne.

Le projet de loi C-22 oblige les fournisseurs de services internet à signaler la pornographie juvénile en ligne. Les amendes pour les entreprises qui ne respecteraient pas la loi pourraient s’élever jusqu’à 100 000 $.

Avant l’adoption de la loi, les fournisseurs internet n’étaient pas tenus de surveiller ce que leurs clients faisaient en ligne.

«Les Canadiens sont préoccupés à juste titre que les infractions de pornographie juvénile ont augmenté de plus de 30 % en 2010», a déclaré le ministre de la Justice Rob Nicholson.

«L’exploitation sexuelle des enfants par des prédateurs sexuels sur internet est un crime très grave, et notre gouvernement est déterminé à prendre des mesures sévères contre elle», a ajouté le ministre.

La législation s’applique aux fournisseurs de services internet, aux citoyens ainsi qu’aux services de courrier électronique et aux sites de réseautage social.

Les fournisseurs d’accès internet doivent faire rapport au Centre canadien de protection de l’enfance d’informations qu’ils peuvent avoir sur les sites où la pornographie enfantine est publiquement disponible.

Ils doivent également conserver les preuves pour la police, s’ils estiment qu’une infraction de pornographie juvénile a été faite en utilisant le service qu’ils fournissent.

«L’objectif de la déclaration obligatoire est de faciliter le signalement de la pornographie enfantine sur internet, a déclaré Lianna McDonald, directrice générale du Centre canadien de protection de l’enfance. Nous sommes confiants que cette loi permettra de réduire la circulation de ces images préjudiciables, de sauver les victimes et d’identifier ceux qui commettent les crimes contre les enfants.»

Le Canada a une obligation morale de protéger ses citoyens les plus vulnérables, a déclaré le sergent détective Scott Naylor de la Police provinciale de l’Ontario.

«Nous avons une responsabilité fondamentale de protéger les enfants contre ceux qui voudraient leur faire du mal», a ajouté M. Naylor.

Selon le député et secrétaire parlementaire du ministre de la Justice, Robert Goguen, cette loi va aider la police à enfermer les criminels à caractère pornographique.

«Les forces de police de partout au Canada font tous les efforts pour combattre la création et la distribution de pornographie juvénile, mais elles ne peuvent pas éliminer l’exploitation sexuelle en ligne en travaillant seules», a souligné M. Goguen.

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Postes Canada victime de hameçonnage N’ouvrez pas cette pièce jointe !


Comme la plupart des arnaques sont en anglais c’est déjà un signe. Enfin quoiqu’il en soit si vous voyez ce genre d’émail avertissez Poste Canada, plus cela est dénoncé moins l’hameçonnage a des chances de vivre longtemps
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Postes Canada victime de hameçonnage

N’ouvrez pas cette pièce jointe !

N'ouvrez pas cette pièce jointe !

Crédit photo : Argent

Le courriel, tel qu’il apparaît dans la boîte de réception avec la pièce jointe infectée.

Argent

Une vague de courriers électroniques faussement attribués à Postes Canada sévit au pays. Il s’agit de tentatives de hameçonnage ou de faire circuler un virus.

De façon typique, le message affirme qu’un colis a été retourné au bureau de poste en raison de sa trop grande taille. Un lien peut être offert, sinon un fichier est disponible en pièce jointe.

Anick Losier, porte-parole de Postes Canada, confirme que les messages malveillants se font plus nombreux par les temps qui courent.

«L’été a été plus tranquille et ce jusqu’au mois de septembre, précise Mme Losier. Présentement, il semble y avoir une résurgence des messages qui portent sur des colis.»

Ce qui peut porter à confusion, c’est que les services de poste et de messagerie peuvent faire des envois électroniques légitimes.

«Ça arrive qu’une personne qui fait un achat par Internet soit inscrite pour recevoir des mises à jour de suivi», indique Mme Losier.

La porte-parole a toutefois un conseil pratique à offrir.

«Ne cliquez jamais sur des liens. Si le message comprend un numéro de suivi, copiez-le et utilisez-le directement sur le site de Postes Canada.»

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Économie : Le hameçonnage prend de l’ampleur


Vous recevez sûrement des courriels d’institutions bancaires qui veulent réactivé votre compte et demandent des renseignements personnelles .. Ils semblent que beaucoup se font prendre .. alors que les banques et la caisse Pop n’y sont pour rien .. La prochaine fois transmettez ce courriel frauduleux aux banques concernés ainsi peut-être cela éviteras a certaines personnes de se faire prendre
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Économie : Le hameçonnage prend de l’ampleur

Photo : Agence QMI

Michel Munger
Argent

Petit à petit, le hameçonnage par courrier électronique et les autres formes de communications numériques sont devenus les principales sources de fraude au Canada. Ils ont entraîné 59% des pertes au deuxième trimestre 2011, un pourcentage en forte augmentation sur trois ans.

Selon les plus récents rapports du Centre antifraude du Canada, les escroqueries sur Internet et le sans-fil prenaient moins de place auparavant. Elles représentaient 46% des pertes en 2010… et 26% en 2008. Elles ont détrôné le téléphone et le fax.

La fraude, dans l’ensemble, a aussi le vent dans les voiles. Au Québec, la population s’est fait dérober 4 M$ lors des deux premiers trimestres de 2011. C’est l’équivalent du total de l’année 2010.

Une méthode couramment employée par les fraudeurs est le hameçonnage. C’est un courrier électronique dans lequel on affirme que votre compte bancaire risque d’être suspendu. Un lien mène à une page Web mise sur pied par le fraudeur, qui reproduit l’image de la banque. Le client est ensuite invité à divulguer des renseignements bancaires et personnels.

Les institutions financières ne peuvent prévenir l’envoi de tels messages, signale Nathalie Genest, porte-parole au Mouvement Desjardins. Elles peuvent tout de même combattre le hameçonnage avec efficacité.

«Nous avons un système de surveillance actif sept jours sur sept, 24 heures sur 24, précise Mme Genest. Nous intervenons rapidement pour faire fermer les sites qui hébergent [les fraudeurs]. Les résultats sont excellents parce que ça prend habituellement trois à quatre jours afin d’y arriver. Une surveillance en continu est la meilleure chose que nous pouvons faire.»

D’autre part, les clients qui ont reçu un message douteux peuvent le faire suivre à hameconnage@desjardins.com. Les banques canadiennes disposent aussi d’adresses semblables.

Le problème a commencé en 2005 et 2006 et Desjardins a réagi de façon visible pour le contenir, ajoute Nathalie Genest.

«Nous avons fait beaucoup d’interventions dans les médias pour informer la population du risque et de l’importance de se montrer prudent, indique-t-elle. Nous disons aux gens que Desjardins n’enverra jamais un message pour demander des renseignements personnels. Peu importe la menace faite, il ne faut pas y répondre.»

Pour sa part, l’Association des banquiers canadiens (ABC) rappelle sur son site Web que l’on peut repérer les faiblesses dans les messages des fraudeurs. Ils font des fautes de français et ne personnalisent pas leurs envois.

L’ABC suggère de faire preuve de scepticisme et de pointer sa souris sur le lien, pour voir que l’adresse proposée n’est pas celle de sa banque. Au lieu de cliquer dessus et d’envoyer des renseignements, l’association invite les gens à faire suivre le message à l’institution financière.

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