Mon fils Alexandre a eu une réaction semblable à ce bébé dans le même genre de situation, il a pleuré pendant près 1 heure. Les papas ne devraient jamais faire ce genre de chose
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Changement radical
Mon fils Alexandre a eu une réaction semblable à ce bébé dans le même genre de situation, il a pleuré pendant près 1 heure. Les papas ne devraient jamais faire ce genre de chose
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Changement radical
On a longtemps cru que le coucou geai était un parasite en installant ses oeufs dans un nid d’oiseaux étrangers. Certes, certains oisillons du parent adoptifs en souffrent, mais il semble que c’est quand même une association qui serait un atout contre les prédateurs
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Coucou (à gauche) parasitant le nid de corneilles, assurant leur protection contre les prédateurs avec ses déjections répellantes. | Vittorio Baglione
Le coucou n’est-il qu’un usurpateur d’identité sans scrupule ?
Le célèbre opportuniste, qui excelle dans l’art de faire élever sa progéniture par ses voisins, est réputé pour être un champion de la roublardise. Et pourtant. Selon une étude menée par Daniela Canestrari, de l’université d’Oviedo (Espagne), et publiée dans Science le 21 mars, le coucou geai (Clamator glandarius), qui parasite les nids des corneilles noires (Corvus corone), rendrait aussi service à son hôte.
La corneille, contrairement à la pie, n’a pas développé de stratégie de défense envers l’importun – comme attaquer les coucous adultes ou se débarrasser de leurs œufs. Elle accepte d’élever la portée de l’intrus en même temps que la sienne. Stupide, la corneille ? Pas si sûr.
« Différentes théories pouvaient expliquerl’absence de comportement défensif, explique Daniela Canestrari.Soit la corneille n’a pas eu le temps de développer une stratégie de défense parce que l’interaction hôte-parasite est trop récente, soit elle possède une stratégie mais ne l’exprime pas, car elle est trop risquée pour elle, soit elle tire un bénéfice de l’interaction. »
Pour trancher, les chercheurs se sont appuyés sur seize ans d’étude de l’impact du parasitisme du coucou geai sur le succès reproducteur de la corneille noire dans le nord de l’Espagne, une région où Clamator glandariuspeut parasiter près de 70 % des nids de son hôte. Les résultats sont sans appel : les nids parasités sont parfois plus garnis en jeunes corneilles que celui des nids non parasités, les coucous conférant un avantage à ceux qui partagent leur nid.
Un constat qui peut être lié à des secrétions noirâtres que le poussin parasite produit parfois en grande quantité (jusqu’à 1,2 millilitre par poussin de 45 grammes) et qu’il défèque lorsqu’il se sent agressé. Les biologistes ont analysé chimiquement ces substances et ont testé leur effet sur la corneille, mais aussi sur le chat sauvage et des rapaces, ses principaux prédateurs, en leur exposant de la viande de poulet imprégnée des sécrétions et de la viande de poulet non traitée. A l’évidence, la substance repousse les prédateurs (mais aussi les corneilles), qui délaissent le poulet traité. En cause, des substances caustiques et répulsives (acides, phénols, indols et composés sulfurés) contenues dans les sécrétions des coucous.
« Les signaux chimiques dans la communication des oiseaux sont beaucoup moins étudiés que les signaux visuels ou acoustiques, commente David Laloi, spécialiste de l’écologie comportementale à l’université Pierre-et-Marie-Curie. Les aborder dans une interaction à trois impliquant hôte, parasite et prédateur, c’est nouveau. »
Selon la pression de prédation, l’interaction entre le coucou et la corneille glisserait donc du parasitisme vers le mutualisme, les deux espèces tirant un bénéfice de cette association. Certes, la présence de l’intrus dans le nid provoque la perte de jeunes corneilles, car les oisillons sont en compétition pour la nourriture ; mais, les années où la pression de prédation est forte, le coucou devient un atout pour les nids, qui sont mieux protégés contre les prédateurs.
Quand l’être humain sait tricher et il triche dans n’importe quel domaine et cela est souvent pour paraitre mieux que les autres .. Chez les animaux aussi, certaines espèces trichent mais c’est dans leur nature, ce qui leur permet au contraire de l’homme de survivre
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Les animaux les plus tricheurs
Dans le règne animal, l’objectif premier est la survie, Pour se reproduire et se nourrir, certaines espèces se soucient peut des règles d’éthique et du bon voisinage. Voici des animaux qui ont trouvé le moyen de changer les règles du jeu à leur avantage dans le monde sauvage
1. Le coucou
La femelle de cette espèce d’oiseau n’est pas intéressée par la construction d’un nid et la chasse aux insectes pour nourrir ses petits. Elle a trouvé un moyen simple afin d’assurer la survie de sa progéniture, elle pond dans le nid d’un oiseau dont les oeufs, par leur taille et la couleur de leur coquille ressemblent au sien.
Les parent ne s’en rendent pas compte et couvent l’oeuf de l’intrus jusqu’à l’éclosion.
Comme il est le premier du nid à sortir de sa coquille, l’oisillon du coucou éjecte les autres oeufs du nid gardant celui-ci seulement pour lui.
Les deux parents le nourrissent avec une énergie admirable. Au point que trois semaine plus tard, le petit coucou est devenu deux fois plus gros que ses nourriciers.
2. L’orang-outan
Certains scientifiques affirment que ce primate est la deuxième espèce la plus intelligente du monde après l’humain Et comme nos ancêtres, l’orang-outan utilise son cerveau afin de créer des outils pour l’aider à se nourrir. Ce qui est, avouons-le, injuste pour ses proies potentielles comme les termites se croyant à l’abri dans le creux d’un arbre.
L’orang-outan y enfonce une branche pour les sortir de là. Dans les jardins zoologiques, l’orang-outan est bien connu comme étant un expert pour déverrouiller la porte de sa cage ou de son enclos.
Certains zoos vont même utiliser l’orang-outan pour tester la capacité des cages à retenir les animaux que l’on compte y placer.
3. La luciole
Lors de la saison des amours, les lucioles femelles envoient des signaux lumineux, la nuit, afin d’attirer les mâles.
Mais certaines lucioles n’ont aucune intention amoureuse en clignotant ainsi. La luciole femelle des Photinus cherche à attirer des lucioles mâles venant d,autres familles pour les manger.
Elle use de ses talents d’imitatrice pour envoyer des signaux trompeurs aux mâles, qui ne se doutent de rien. Ceux-ci croient, à tort, qu’une femelle les appelle afin d’échanger des moments de douceur… Parce que la Photinus est plus grosse que les autres lucioles, elle n’a pas de mal à maîtriser sa proie.
4. Le caméléon
Dans plusieurs langues, le mot «caméléon» veut dire «menteur». Le caméléon ment sur deux de ses aspects: la longueur de sa langue et la couleur de sa peau. Par son apparence et sa manière très lente à se déplacer, ce lézard carnivore se fond parfaitement dans les feuilles d’une branche, ce qui laisse peu de chance aux insectes de l’apercevoir.
Dès que le criquet se rend compte de la présence du prédateur camouflé, il est déjà trop tard.
Le caméléon sort sa langue comme une fléchette pour l’attraper. Cette langue peut atteindre le double de la longueur du corps du caméléon et elle bouge rapidement lors de l’attaque. (une détente de 1/25 de secondes, un retour d’environ une demi-seconde) que l’oeil humain ne peut pas la suivre.
5. Le renard
«Rusé comme un renard» voilà une expression fondée sur la réalité. Partout où il se trouve dans le monde, peut importe son environnement, le renard utilise son extraordinaire capacité d’adaptation pour survivre.
Plus d’un fermier s’est vu soutirer des poules par un renard s’étant faufilé le poulailler.
Dans les montagnes d’Amérique du Sud, le petit renard a trouvé un moyen ingénieux pour manger les oeufs du réa, une espèce d’oiseau proche de l’autruche. Parce que l’oeuf du réa est beaucoup plus grand que sa gueule, le renard e fait rouler jusqu’à le faire craquer contre une pierre ou un arbre. Il réussit ainsi à l’ouvrir et en lécher le contenu.
La Semaine/Top 5/ Paul Therrien/ décembre 2012
Les os ont tous des noms .. et des animaux, des légendes ont inspirés ceux qui ont nommé certaines parties du corps .. dont le coccyx et le sacrum
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Un oiseau se cache dans votre coccyx
Le coccyx (prononcez « Kokssiss »), comme chacun sait, est l’os situé à l’extrémité inférieure de la colonne vertébrale. Ce que l’on sait moins, c’est que son nom a été emprunté au grec kokkux (κόκκυξ pour les puristes) qui désigne un petit oiseau tout mignon, le coucou.
Pourquoi un nom si poétique pour un os situé à un endroit aussi peu valorisant ? Tout simplement parce que la forme du coccyx évoque la forme triangulaire du bec de l’oiseau !
Bon, d’accord, la ressemblance n’est pas évidente.
Tant que l’on est à parler d’anatomie, intéressons-nous maintenant à l’origine du nom du sacrum, cet os situé juste au-dessus du coccyx. Qu’est-ce que cette partie du corps humain peut-elle bien avoir de sacré, je vous le demande ? En réalité, ce nom provient d’une coutume sous la Grèce antique, cet os étant en contact direct avec les entrailles des animaux sacrifiés aux dieux. Maintenant, vous savez.