Il est grand temps qu’on se mette à recycler les couches


Dans le monde, il y a 187 milliards de couches sont jetées à la poubelle. C’est un gros problème écologique. Bien sûr, il existe des couches lavables, mais malheureusement, ce n’est pas tout le monde qui sont bien organisé pour éviter les infections chez les bébés. Procter & Gamble est à l’essai pour recycler les couches et réutilisés ce qui peut être recyclés avec un processus complexe, mais cela semblerait être efficace
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Il est grand temps qu’on se mette à recycler les couches


Big Bang Baby | Coastal Elite via Flickr CC License by

Big Bang Baby | Coastal Elite via Flickr CC License by

Repéré par Thomas Messias

Chaque année, 187 milliards de couches jetables sont mises à la poubelle, et leur recyclage pose salement problème.

Temps de lecture: 2 min — Repéré sur BBC

Le chiffre donne le vertige et la nausée. Chaque année dans le monde, 187 milliards de couches sont jetées à la poubelle, ce qui est d’autant plus préoccupant que les couches en question sont loin d’être simples à recycler. Les partisan·es des couches lavables vous diront que la solution pour éviter cette pollution supplémentaire consiste à investir dans des systèmes plus écologiques. Mais il faut bien reconnaître que le système des couches lavables nécessite une organisation bien réglée à base de lessives régulières et de surveillance des stocks. La couche jetable n’est pas écologique et finit par coûter plus cher que la lavable (pour laquelle l’investissement de départ finit par être rentabilisé), mais elle facilite la vie…

La BBC a envoyé le journaliste scientifique David Shukman en Italie, à Trévise, où des solutions de recyclage des couches sont actuellement à l’essai sous l’égide de Procter & Gamble, premier producteur mondial de couches jetables. La première étape de la chaîne de recyclage consiste à nettoyer grossièrement les couches en ôtant les excréments qui s’y trouvent. Vapeur, température élevée, haute pression: elles sont ensuite soumises à une succession d’épreuves permettant d’en séparer les différents éléments.

Complexe mais efficace

Tous ensemble, ces éléments sont ensuite séchés dans un four, ce qui permet d’en ôter les éventuelles bactéries. Puis arrive l’étape du tri, où chaque type de matériau sera regroupé dans un pôle différent afin de pouvoir être réutilisé. Litière, bouteilles en plastique, cartes de visite… les destinations des différents composants sont diverses et variées, avec apparemment peu de perte.

http://www.slate.fr/

Le Saviez-Vous ► Comment on apprend la propreté aux enfants à travers le monde


Les bébés sont propres surtout vers 3 ans, quoique certains le sont plus tôt. On utilise des couches jetables ou lavables. Ailleurs, dans le monde, cela peut être différents dépendant du contexte économique, tradition, travail, disponibilité des couches… Quelle méthode est le mieux ? Des culottes avec une fente ? Des lavements peu après la naissance pour que les bébés soient propres au moins à 2 ans ?
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Comment on apprend la propreté aux enfants à travers le monde

 


Potty training | David D via Flickr CC License by

Potty training | David D via Flickr CC License by

Alma Gottlieb

Couches, pots et pantalons fendus, à deux ans ou dès la naissance, il existe plus d’une voie pour éduquer son enfant à être propre.

Un enfant de deux ans est-il trop jeune pour apprendre à faire ses besoins sur le pot? Pour la plupart des petits, c’est effectivement trop tôt. En particulier pour les garçons. C’est en tous cas ce que les pédiatres américains répondraient à cette question. Aujourd’hui, seul un enfant américain sur deux peut se passer de couches à l’âge de trois ans.

Si elles lisaient cela, les grands-mères chinoises seraient effarées, et diraient probablement qu’à l’aide des «pantalons fendus», la plupart des enfants peuvent être propres dès l’âge deux ans. Ce vêtement traditionnel est en effet pourvu d’une ouverture sur la couture de l’entrejambe, qui permet aux enfants d’uriner et de déféquer à leur guise sans souiller leurs vêtements. C’est le vêtement de prédilection de tous les petits Chinois qui vivent à la campagne.

Pas de modèle unique pour élever un enfant

Quand il s’agit d’évoquer les différentes méthodes d’entraînement à la propreté (et bien d’autres sujets concernant l’éducation des enfants), chacun a tendance à présenter son choix comme la seule option valable.

De nos jours, les parents sont confrontés à des conseils soi-disant fondés scientifiquement et présentés comme pertinents pour tous les enfants, même lorsque les différentes stratégies en question sont en conflit direct les unes avec les autres. Avec plus de 2.000 livres de conseils parentaux imprimés en anglais et pléthore de blogs sur l’éducation des enfants –il existe même une parodie du genre–, on comprend aisément pourquoi beaucoup de parents se sentent perdus quant à la façon d’élever leurs enfants.

En tant qu’anthropologue, j’étudie depuis 25 ans les pratiques liées à l’éducation des enfants dans le monde. Ayant vécu avec mon mari (l’écrivain Philip Graham) dans de petits villages de la forêt tropicale d’Afrique de l’Ouest pendant de longues périodes, je suis convaincue que nous, humains, sommes une espèce résiliente, capable de prospérer dans une foule de contextes différents.

La découverte de l’incroyable diversité des façons d’élever les enfants à travers le monde nous a incités à repenser et à modifier certaines des pratiques d’éducation des enfants de notre propre famille (autour du partage du lit, de l’indépendance et des tâches ménagères, par exemple).

Qu’on se le dise: il n’existe pas de modèle unique qui conviendrait à tous les parents du monde pour élever ses enfants. Pour diffuser ce message, mes collègues et moi-même avons écrit un essai intitulé «A World of Babies: Imagined Childcare Guides for Eight Societies», fondé sur nos études ethnographiques de terrain au long cours en Israël et dans les territoires palestiniens, en Chine, au Portugal, au Pérou, au Danemark, en Côte d’Ivoire, en passant par une communauté somalo-américaine de Minneapolis.

En détaillant les multiples solutions apportées aux défis quotidiens auxquels sont confrontés les parents du monde entier, nous espérons montrer qu’il existe plus d’une voie pour élever un enfant adapté à la vie en société –et permettre aux parents angoissés de se détendre!

Apprendre la propreté dès la naissance?

Alors, pourquoi les parents choisissent-ils une pratique éducative donnée plutôt qu’une autre? Souvent, c’est pour des raisons qui ont trait à l’argent et la disponibilité des produits. Étudions le cas de l’apprentissage de la propreté.

En Côte d’Ivoire, les mères Beng commencent à «entraîner» les intestins de leurs nourrissons quelques jours après leur naissance. Elles administrent en effet des lavements aux bébés deux fois par jour, à partir du jour où le cordon ombilical desséché du nouveau-né tombe. Avec cette pratique, au bout de quelques mois seulement, l’enfant ne défèque plus du tout en journée.

Comment expliquer une telle pratique, apparemment extrême? D’une part, les couches jetables ne sont pas disponibles dans les villages Beng –comme dans la plupart des pays du Sud. Et même si elles étaient vendues sur les marchés locaux, peu de familles pourraient se les acheter, dans des régions où l’on vit de l’agriculture de subsistance.

Rappelons aussi que pour la planète, les couches jetables posent problème, étant le troisième plus grand article de consommation dans les décharges, tandis leur production nécessite quelque 7 milliards de gallons de pétrole chaque année.

Mais la disponibilité et le coût des couches n’expliquent pas tout. La vie professionnelle et les valeurs d’une société donnée sont aussi des facteurs déterminants dans les choix des parents.

En Côte d’Ivoire (comme ailleurs en Afrique subsaharienne), les bébés Beng passent la plupart de leurs journées au dos de quelqu’un. Souvent, cette personne n’est pas la mère, puisqu’elle travaille dans les champs pour nourrir sa famille nombreuse. La société Beng (contrairement à la société chinoise traditionnelle) qualifie aussi tous les excréments (y compris ceux des bébés) de sales, et la pensée d’un bébé qui défèque sur le dos de quelqu’un produit du dégoût.

Compte tenu de l’attitude locale vis-à-vis des excréments, aucune baby-sitter ne s’occuperait d’un enfant susceptible de déféquer sur son dos quand elle le porte. Par conséquent, commencer un apprentissage de la propreté dès la naissance permet d’aider les mères à continuer de travailler aux champs. En ce sens, l’apprentissage précoce de la propreté favorise un approvisionnement alimentaire adéquat pour la famille de la mère.

Un observateur occidental pourrait frémir d’horreur à l’évocation de cette pratique, imaginant qu’il s’agit d’un traumatisme précoce pour l’enfant, qui en gardera forcément des séquelles émotionnelles. Mais, si l’on fait abstraction des ravages de la pauvreté qui peuvent mettre en péril leur santé et réduire les opportunités éducatives et économiques, ces bébés très tôt entraînés à la propreté semblent devenir des adultes aussi heureux et adaptés à la vie en société que les enfants qui portent des couches.

Le rôle du contexte culturel

Par rapport à ce qui la motive, cette pratique n’est pourtant pas si aussi exotique qu’elle y paraît de prime abord à un lecteur non-Beng.

Aux États-Unis et en Europe, le travail des femmes peut également dicter le calendrier d’entraînement au pot, mais avec un démarrage plus tardif. Beaucoup de crèches n’acceptent que les enfants complètement propres. Si une mère qui travaille manque d’options pour faire garder son enfant à domicile, elle peut s’efforcer de former son tout-petit à la propreté le plus tôt possible, afin de retourner travailler à plein temps.

Pour les mères au foyer ou les mères qui travaillent et dont les parents vivent suffisamment près pour prendre soin de leur enfant, différents contextes peuvent présider aux décisions en matière d’apprentissage de la propreté. Dans les territoires palestiniens, par exemple, de nombreuses femmes commencent à apprendre la propreté à leur enfant dès l’âge de 14 ou 15 mois. Ce n’est possible que parce qu’elles ne travaillent pas à l’extérieur de la maison; elles ont le temps. Une Palestinienne qui travaille commencera cet apprentissage plus tard, peut-être vers l’âge de deux ans. Comme les femmes de la famille élargie hamula») s’occupent de l’enfant pendant que la mère travaille, il n’y a pas de nécessité à commencer plus tôt l’apprentissage de la propreté.

Quand on prend la peine d’explorer le contexte local de la vie quotidienne des gens, certaines pratiques qui peuvent nous sembler exotiques, voire abusives –pantalons fendus, lavements infantiles– semblent soudain moins étranges.

Ouvrir l’esprit de nouveaux parents inquiets à d’autres manières d’élever des enfants peut apaiser leur angoisse de «mal faire» et de nuire à l’avenir de leur enfant. En réalité, il existe de nombreuses «bonnes façons» d’élever un enfant.

http://www.slate.fr/

Des champignons mangeurs de couches-culottes


Une méthode pour recycler des couches-culottes qui donneraient de bons résultats avec des champignons qui en fin du processus, seraient comestibles pour l’être humain. Mais, c’est un peu compliqué et ce ne sont pas tous les couches qui pourraient être recyclées
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Des champignons mangeurs de couches-culottes

 

Jusqu'à 8.000 couches-culottes sont utilisées par enfant au cours de leur jeune âge, indique l'Agence de protection de l'environnement des États-Unis. Des chercheurs ont trouvé un moyen de les recycler à l'aide de champignons « couchophages », comme on peut le voir sur cette photo. © Investigación y Desarrollo Jusqu’à 8.000 couches-culottes sont utilisées par enfant au cours de leur jeune âge, indique l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis. Des chercheurs ont trouvé un moyen de les recycler à l’aide de champignons « couchophages », comme on peut le voir sur cette photo. © Investigación y Desarrollo

Par Andréa Haug, Futura-Sciences

Fabriquées avec certains des matériaux les plus indestructibles sur Terre, les couches jetables sont une sérieuse cause de pollution de la nature. Aussi, un groupe de chercheurs expérimente un processus naturel de dégradation des vêtements souillés qui consiste à cultiver des champignons capables de réduire de 80 % le poids et le volume des couches-culottes.

Nom de code : Pleurote en forme d’huître (Pleurotus ostreatus). Mission : biodégrader des couches-culottes jetables. L’objectif est en passe d’être atteint, déclare une équipe de hercheurs de l’université autonome métropolitain d’Azcapotzalco, au Mexique. En effet, les scientifiques ont fait pousser avec succès le pleurote sur un substrat à base de couches usagées.

Pour autant, la méthode n’est pas des plus simples : pour développer le champignon, les chercheurs ont utilisé des couches qui ne contenaient que des déchets liquides. Après avoir stérilisé les vêtements dans un autoclave, ils ont ensuite broyé les restes de couches. Comme les pleurotes ont besoin, pour croître, d’une substance ligneuse, la lignine, les chercheurs ont mélangé au substrat stérilisé des marcs de raisin, de café ou d’ananas qui en sont naturellement pourvus.

Des spores de pleurote du commerce ont ensuite été semées sur le mélange de couches et de lignine. Le tout a été conservé pendant trois semaines dans un sac de plastique, à une température et à un taux d’humidité contrôlés, et dans l’obscurité totale avant d’être exposé à la lumière.

Résultat, après 3 mois : il ne reste que 20 % du volume et du poids du « terreau » ; un kilogramme pouvant produire 200 à 300 grammes de champignons nourris à la cellulose originellement contenue dans les couches.

Pour les scientifiques, les pleurotes en forme d’huître cultivés au cours de leur expérience ne sont pas destinés à la commercialisation, mais pourraient être utilisés comme supplément alimentaire du bétail. © Jean-Pol Grandmont, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Pour les scientifiques, les pleurotes en forme d’huître cultivés au cours de leur expérience ne sont pas destinés à la commercialisation, mais pourraient être utilisés comme supplément alimentaire du bétail. © Jean-Pol Grandmont, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

Des pleurotes sains, énergétiques et goûteux

Heureux de leur récolte, les chercheurs ont consommé le champignon, sachant que la stérilisation supprimait tout contact avec d’éventuels contaminants ou parasites. En outre, les champignons présentaient la même quantité de protéines, de lipides, de vitamines et de minéraux que de la levure commerciale.

Les couches-culottes contiennent tout de même des matériaux non biodégradables : du polyéthylène ou du polypropylène imperméabilisant sur la face externe ainsi qu’un gel super-absorbant, du polyacrylate de sodium, sur la face interne.

Selon les auteurs de l’étude, ces matériaux synthétiques aideraient la croissance des champignons, en leur fournissant notamment des poches d’air et de l’espace pour se développer. Ils indiquent que les matières en plastique peuvent être recyclées ultérieurement et proposent que les restes du gel super-absorbant soient ajoutés aux sols qui retiennent mal l’humidité, ce qui, en bonus, permettrait des économies d’irrigation.

http://www.futura-sciences.com

Et voici la couche pour bébés intelligente


Quand tu es rendu a scanner un code QR d’une couche, c’est d’aller un peu trop loin, Même si les téléphones intelligents pourraient détecté par exemple, des infections urinaires, c’est comme dire aux parents qu’ils ne sont pas assez intelligents pour s’occuper de bébé
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Et voici la couche pour bébés intelligente

 

Un fabricant américain a conçu une couche avec capteur intégré permettant non... (photo RelaxNews)

PHOTO RELAXNEWS

RelaxNews

Un fabricant américain a conçu une couche avec capteur intégré permettant non seulement de savoir lorsqu’il est temps de la changer, mais renseignant aussi les parents sur l’hydratation et la santé rénale de leurs petits.

Les «Smart Diapers» ont été mises au point par la firme new-yorkaise Pixie Scientific qui a équipé de simples couches-culottes de codes QR qui changent de couleur lorsque le bébé urine. Les parents peuvent scanner le code avec leur téléphone intelligent grâce à une application. Cette appli analyse ensuite les résultats pour mesurer les risques d’infection urinaire, de déshydratation, de troubles rénaux et peut garder en mémoire les symptômes. En cas de problème détecté, les parents sont alertés sur leur téléphone intelligent et sont encouragés à contacter un médecin.

L’entreprise a lancé une campagne d’appel aux dons sur Indiegogo afin de pouvoir lancer la commercialisation de leur produit et procède actuellement à des tests avec l’université de Californie (San Francisco). Pixie Scientific prévoit aussi de recevoir l’aval des autorités sanitaires du pays, la Food and Drug Administration.

En faisant une promesse de don de 90$, le fabricant vous enverra l’équivalent d’un mois de couches «Smart Diapers», mais la livraison n’arrivera pas avant mars 2014.

En attendant, la filiale brésilienne de la marque Huggies a commencé à tester une couche connectée appelée «TweetPee» en mai dernier. Les parents reçoivent des tweets grâce à un capteur Bluetooth à clipser sur la couche, le capteur détecte l’humidité. L’application associée prévient du moment où il faut effectuer le change, et peut aussi rappeler aux parents trop occupés le moment de renouveler leur stock de couches. 

 

http://www.lapresse.ca

COUCHES LAVABLES : ELLES SONT RESPONSABLES DE DERMITES DU SIÈGE


Les couches lavables ont bien changé depuis quelques années, elles sont plus faciles à utiliser et beaucoup plus esthétiques, mais malheureusement, elles peuvent provoquer des problèmes aux fesses et organes génitaux des bébés et ce même si on emploie des savons adaptés aux lavages. Dommage, car cela pouvait résoudre le problème des couches jetables non recyclables
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COUCHES LAVABLES : ELLES SONT RESPONSABLES DE DERMITES DU SIÈGE

 

  • Couches lavables : elles sont responsables de dermites du siège
  • kasjato – Fotolia.com

 

Le réveil écolo de certaines mamans les a poussées à adopter des couches jetables. Pourtant, si cette solution respecte davantage l’environnement, elle n’est pas forcément adaptée aux fesses de bébé car ces couches provoquent des dermites du siège.

De plus en plus de mamans à la fibre écolo sont convaincues des bienfaits des couches lavables et préfèrent passer du temps à faire des lessives plutôt qu’à polluer encore plus la planète avec des couches jetables, ces déchets encombrants et non recyclables.

Une équipe de médecins de Tours tient pourtant à alerter ces mamans qui agissent avec des intentions louables mais pas toujours pour le bien-être de leur bébé. En effet, ils ont remarqué une recrudescence de dermites du siège (dite dermite de Sevestre et Jacquet) chez les bébés porteurs de couches lavables. Cette sorte de dermite, qui se manifeste par des papules et des pustules au niveau des fesses et des organes génitaux, avait pratiquement disparu mais elle refait son apparition depuis le retour en force des couches lavables.

Les couches réutilisables n’ont en effet pas les capacités d’absorption des couches jetables et maintiennent davantage un contact avec les urines et les selles. Les médecins ont d’ailleurs observé que les bébés concernés étaient guéri dès l’utilisation de couches jetables. Ils préconisent donc aux parents d’arrêter d’utiliser des couches lavables s’ils constatent une dermite du siège persistante chez leur enfant.

Source : Journal International de Médecine

http://www.topsante.com