Des vêtements venus de Chine produits avec du travail forcé?


Le Xinjiang est une région autonome de la Chine. Beaucoup de firmes étrangères font faire des vêtements de coton dans cette région. Malheureusement, c’est des ex-prisonniers, et parmi les plus pauvres Ouïgours, une ethnie minoritaire sont voués au travail forcé. Donc les vêtements de coton made in China provenant de cette région est fait par des personnes qui sont menacés pour le profit des autres.
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Des vêtements venus de Chine produits avec du travail forcé?

PHOTO AGENCE FRANCE-PRESSE

Selon des organisations de défense des droits de l’homme, l’importation de vêtements de coton en provenance du Xinjiang, en Chine, risque de contribuer à la campagne de répression des Ouïgours.

Les firmes étrangères qui font produire en Chine des vêtements de coton à des fins d’exportation courent le risque d’être mêlées à la campagne de répression en cours dans le Xinjiang.

MARC THIBODEAU
LA PRESSE

Plusieurs organisations de défense des droits de la personne préviennent qu’il est difficile de garantir que ces commandes ne seront pas produites sous la contrainte par des Ouïgours détenus ou recrutés de force dans la région, qui fournit 80 % du coton chinois.

Le risque de contribuer indirectement à la situation est si élevé que l’Uyghur Human Rights Project recommande aux entreprises occidentales de suspendre tout approvisionnement de coton, de textiles ou de vêtements venant de firmes établies au Xinjiang.

La mise en garde n’a rien de superflu puisque plusieurs entreprises connues ont dû répondre à des questions à ce sujet au cours des derniers mois.

Le détaillant Costco a notamment été interpellé en octobre après que les services frontaliers américains ont intercepté une commande de pyjamas pour enfants provenant de Chine.

Les autorités américaines sont intervenues parce que l’entreprise exportatrice chinoise, Hetian Taidai Apparel, avait déjà été identifiée comme l’une de celles qui profitent du travail forcé dans le Xinjiang.

Costo Wholesale a assuré, dans un communiqué, que son fournisseur chinois n’avait pas fait appel à des usines du Xinjiang utilisant du travail forcé.

L’entreprise a ajouté qu’elle « n’avait aucune raison de croire » que les produits commandés aient pu être fabriqués dans des circonstances répréhensibles.

La filière canadienne de Costco a indiqué à La Presse que les pyjamas en question n’avaient pas été vendus dans ses magasins et qu’elle n’avait aucun lien avec le fournisseur chinois.

Une entreprise japonaise, Muji, a été critiquée récemment pour avoir annoncé dans ses publicités que les chemises en coton qu’elle commercialise contiennent du coton provenant du Xinjiang.

Muji, qui n’a pas donné suite aux demandes d’entrevue de La Presse, continue d’utiliser la référence à cette région sur son site internet pour commercialiser des chemises, notamment dans la version de sa filière canadienne.

Scott Nova, directeur de Workers Rights Consortium, une organisation qui enquête sur les conditions de travail dans les usines de nombreux pays, juge que Muji fait preuve d’un grave manque de sensibilité éthique et politique en évoquant le Xinjiang à des fins de marketing.

L’enseigne japonaise dit enquêter pour s’assurer qu’elle ne bénéficie pas du travail forcé dans la région, mais cette promesse sonne creux dans la mesure où il est pratiquement impossible, note M. Nova, de procéder à des vérifications dignes de ce nom.

Régime de terreur

Les autorités chinoises, qui subventionnent la production de coton au Xinjiang, bloquent l’accès aux unités de production et cherchent à brouiller les pistes en utilisant des coquilles administratives. Elles imposent par ailleurs aux Ouïgours un régime de terreur qui fait en sorte que les ex-détenus ne peuvent parler ouvertement, même lorsqu’ils réussissent à passer à l’étranger, par crainte de représailles envers leur famille.

Selon M. Nova, nombre d’entreprises ayant des liens avec le Xinjiang « font profil bas à l’heure actuelle dans l’espoir que les médias et le public vont cesser de s’intéresser à la situation ».

Leurs dirigeants, dit-il, savent qu’il sera « coûteux et compliqué » de se désengager complètement de la région et rechignent à revoir leurs pratiques même s’ils devraient le faire.

Dans un récent rapport, le Center for Strategic and International Studies (CSIS), établi à Washington, dit avoir trouvé une trentaine d’usines et de parcs industriels au Xinjiang susceptibles d’utiliser du travail forcé.

La main-d’œuvre, indique-t-on, peut provenir de « centres de rééducation » assimilables à des prisons, dans lesquels les autorités chinoises détiennent des centaines de milliers d’Ouïgours. La population carcérale des prisons officielles, très élevée dans la région, est aussi mise à profit.

Amy Lehr, coauteure du rapport, note que la Chine force aussi un grand nombre d’Ouïgours vivant en milieu rural à travailler en usine dans le cadre d’une campagne officielle de « lutte contre la pauvreté » qui vise aussi à accélérer la dissolution de la communauté musulmane.

« Les entreprises étrangères doivent se demander si elles peuvent faire appel éthiquement à des fournisseurs du Xinjiang dans un tel contexte », dit Mme Lehr.

L’experte estime que les firmes désirant favoriser l’éradication du travail forcé devraient boycotter tout produit de coton venant de la région, de manière à faire pression sur la Chine.

Des centaines d’entreprises avaient convenu d’une telle stratégie relativement au coton ouzbek, favorisant une évolution progressive des conditions de travail dans le pays.

Le coton chinois représente une part « beaucoup plus substantielle » du marché international, ce qui risque de compliquer les choses, prévient-elle.

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Une graine de coton a germé sur la Lune, une première


La Chine a posé une sonde sur la face cachée de la lune. Ils ont essayer de faire pousser graines de coton, de pomme de terre et d’arabidopsis et ils ont aussi amener les oeufs de mouches et de levure, seule une pousse de coton a jaillit dans une petite boite contenant de la terre, de l’eau et de l’air, le tout sur la surface de la lune.
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Une graine de coton a germé sur la Lune, une première

 

© afp.

Une petite pousse se développe sur la Lune, une première hors du commun, après la germination d’une graine de coton à bord d’une sonde chinoise, ont annoncé mardi des scientifiques chinois.

La pousse a émergé d’une structure en treillis, après l’alunissage de la sonde Chang’e-4 le 3 janvier, selon une série de photos publiées par l’Institut de recherche de technologie de pointe de l’Université de Chongqing (sud-ouest de la Chine).

Première

« C’est la première fois que les humains effectuent des expériences de croissance biologique sur la surface lunaire », a déclaré le professeur Xie Gengxin, de l’Université de Chongqing, qui a conçu cette expérience inédite.

Sonde Chang’e-4

La sonde Chang’e-4 — nommée d’après la déesse de la Lune dans la mythologie chinoise — a effectué le 3 janvier la première arrivée en douceur sur la face cachée de la Lune, une étape majeure dans les ambitions de la Chine de devenir une puissance spatiale.

Conteneur de 18 cm

Les scientifiques de l’Université de Chongqing ont envoyé un conteneur de 18 centimètres en forme de seau contenant de l’air, de l’eau et de la terre. À l’intérieur, se trouvent des graines de coton, de pomme de terre et d’arabidopsis — une plante de la famille de la moutarde — ainsi que des oeufs de mouches et de la levure. Hormis la pousse de coton, aucune autre plante n’a encore pris, selon les images reçues, a déclaré l’Université de Chongqing.

Environnement lunaire

Chang’e-4 est également équipée d’instruments développés par des scientifiques suédois, allemands et chinois pour étudier l’environnement lunaire, le rayonnement cosmique et l’interaction entre le vent solaire et la surface de la Lune.

Yutu-2, le petit robot

La sonde a lancé un petit robot téléguidé à roues, baptisé Yutu-2 (Lapin de Jade 2), qui effectuera des expériences dans le cratère lunaire Von Karman.

Quatre autres missions prévues

L’agence spatiale chinoise CNSA (China National Space Administration) a annoncé lundi que quatre autres missions lunaires étaient prévues, confirmant le lancement d’un module d’exploration d’ici à la fin de l’année pour recueillir et rapporter des échantillons de la Lune.

Une base lunaire chinoise?

La Chine cherche à établir une base internationale sur la Lune, peut-être en utilisant la technologie d’impression en 3D pour y construire des installations, selon l’agence.

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Truc Express ► Comment rétablir un vêtement rétréci par accident!


Qui n’a pas par mégarde fait sécher un vêtement qu’il ne fallait pas et a rétréci, il semble qu’il est possible de réparer sa gaffe. Dans la vidéo, la dame prétend qu’on ne peut pas faire pour la laine, mais cela est possible de corriger l’erreur
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Comment rétablir un vêtement rétréci par accident!

Vous aviez trouvé LE survêtement (la dame parle de survêtement, j’imagine qu’on parle de coton en général) parfait pour faire votre Yoga ou votre jogging et vous ou votre conjoint l’avez fait sécher dans le sèche linge par mégarde et maintenant il est trop juste ou un peu plus court qu’avant et ça vous brise le cœur parce que vous n’arrivez plus à en trouver un pareil en magasin?

Pas de panique! Il y a une solution! Ceci n’est pas de la sorcellerie! Hahahah! Même si ça parait insensé, mais il parait que ça fonctionne à merveille, et en fait, vous n’avez rien à perdre, puisque ce vêtement, vous ne le portiez plus de toute façon!

Le truc? Et bien….Un simple bouchon de shampoing pour bébé (peu importe la marque) dans un contenant d’eau tiède et vous faites tremper le vêtement quelques secondes! Les fibres se détendront. Pas besoin de long trempage. Incroyable? Et bien oui un peu, mais ça fonctionne en suivant aussi les étapes suivantes:

-Étendez votre survêtement sur une serviette sèche et propre, et roulez la serviette.
-Puis, appuyez sur la serviette pour enlever l’excédant de liquide.
-Déroulez la serviette.
-Puis étendez le survêtement sur une seconde serviette sèche et propre.
-Et c’est LÀ, que la magie entre en opération! Vous devriez être en mesure d’étirer votre survêtement, délicatement… doucement…
-Jusqu’à ce que vous reveniez à l’ancienne longueur de survêtement. Environs 3 ou 4 fois.
-Et laissez quelques heures, voir toutes la nuit, vous devriez retrouver votre survêtement, comme il était au départ!

Attention POUR LA LAINE: So fille, une fan de la page, nous dit qu’elle a réussi à récupérer un gilet de laine! Alors ne vous fiez pas ce que la dame dit dans la vidéo!

So fille dit: Ça fonctionne aussi pour la laine,

 Prendre de la lessive pour laine (Perwoll ou autre)  si possible pure, donc il faut au moins une bouteille de 2l à 4l. Tremper le vêtement une dizaine de minutes, puis le suspendre sans le rincer, ni l’essorer au dessus d’un évier. Il prendra beaucoup de temps à sécher mais le vêtement redeviendra comme neuf!

J’ai réussi à récupérer une veste que ma mère m’avait tricotée et qui avait beaucoup rétrécie.

http://www.trucsetbricolages.com

Régime coton : faut-il s’inquiéter ?


C’est aberrant que des femmes vont préférer manger des boules de coton (ouate) pour maigrir au lieu de manger sainement avec exercice en gardant un poids santé. En plus que des personnes de la mode (ou leurs proches) propagent ce genre de régimes, devraient être accusés de négligence criminelle pouvant provoquée la mort
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Régime coton : faut-il s’inquiéter ?

 

La dernière mode alimentaire de certains adolescents consiste à manger du coton après l’avoir trempé dans du jus d’orange. Une technique très dangereuse qui inquiète les parents aux Etats-Unis.

Après l’obsession du thigh gap, un écart le plus grand possible entre les cuisses, le nouveau diktat des adolescents est un régime pour le moins étrange : le régime coton, de l’anglais « cotton diet ». Pratiqué initialement dans le milieu de la mode et pointé du doigt par le mannequin Bria Murphy et l’ex directrice de Vogue Australie Kirstie Clements  en juin dernier, ce régime consiste à avaler du coton après l’avoir trempé dans du jus d’orange. 

Les adolescents varient parfois la recette en utilisant des mouchoirs et des jus de fruits différents, mais le principe reste le même : remplir son estomac par un « aliment » qui ne contient pas de calories et qui donne une impression de satiété. 

Elles filent un mauvais coton 

Alors que ce phénomène a envahi les réseaux sociaux et la plateforme YouTube, les médias américains tirent la sonnette d’alarme. Un malentendu serait à l’origine de cette étrange technique amaigrissante :

« Plusieurs mannequins pensent que le coton contient des fibres, mais celui qu’elles avalent n’est pas le bon. Elles risquent d’avoir des problèmes de malnutrition, d’étouffement ou pire, une obstruction intestinale », s’inquiète la diététicienne Marta Wright, interviewé par la chaîne américaine Fox news

Une occlusion intestinale est un blocage partiel ou complet de l’intestin qui empêche le transit. Si les symptômes (douleurs abdominales, ballonnements, arrêt complet du transit intestinal, nausées et vomissements) ne sont pas pris en compte et si l’obstruction n’est pas traitée à temps, elle peut dégénérer et entrainer la mort.

http://www.topsante.com