En Inde et en Chine, 4 millions de morts par an à cause de la pollution


L’Inde et la Chine ont a leur actif 4 millions de morts par année, à cause de la pollution de l’air, de l’eau et la pollution au travail, puis d’autres pays comme le Nigéria, Indonésie, Pakistan, États-Unis suivent. Cela fait beaucoup de victimes, il faut quoi pour faire comprendre le bon sens, que l’argent qui accélèrent la pollution est comme si on essaie d’éteindre un feu alors qu’on ajoute de l’essence.
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En Inde et en Chine, 4 millions de morts par an à cause de la pollution


En Inde et en Chine, 4 millions de morts par an à cause de la pollutionLe Taj Mahal sous le smog à Agra, le 4 novembre 2019© AFP/Archives/Pawan Sharma

Washington (AFP)

L’Inde et la Chine sont les deux pays où la pollution de l’air, de l’eau et au travail tuent le plus de gens, avec respectivement 2,3 et 1,8 million de morts en 2017, selon un rapport publié mercredi.

Des pays en développement et riches figurent parmi les 10 pays les plus affectés par la pollution, selon ce rapport de la Global Alliance on Health and Pollution (GAHP), qui estime que la pollution est responsable de 15% des décès d’adultes dans le monde.

Après l’Inde et la Chine se trouvent le Nigeria, l’Indonésie et le Pakistan. Les Etats-Unis sont septièmes avec 200.000 décès annuels, sur une population de 325 millions d’habitants.

« Ce rapport nous rappelle que la pollution est une crise mondiale », dit Rachael Kupka, directrice exécutive de l’organisation. « Peu importe où vous vivez, la pollution vous trouvera ».

En proportion de la population et non plus en nombre absolu, ce sont le Tchad, la Centrafrique et la Corée du Nord où les taux de décès par la pollution étaient les plus élevés, avec 287, 251 et 202 morts par 100.000 habitants, respectivement.

L’absence d’assainissement des eaux, la contamination de l’air intérieur et extérieur par les feux de cuisine ou de chauffage, ainsi que la pollution automobile sont les causes principales. Au travail, les fumées, gaz, particules fines et l’exposition au plomb causent le plus de décès.

A l’autre bout du classement, les cinq pays de la péninsule arabique sont les moins pollués, avec le Qatar au plus bas.

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Le Saviez-Vous ► 9 pays qui ont fermé la porte à McDonald’s


J’aime bien les termes Mcinterdit et Mcdistance pour parler des endroits qu’il n’existe aucun McDonald’s. Pour des raisons économiques ou politiques, certains pays ont volontairement choisi d’exclure cette multinationale. D’autres par contre, les McDo ne sont pas rentable. Quoiqu’il en soit, c’est une bonne chose pour ces pays qu’ils n’ont pas ce genre de malbouffe.
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9 pays qui ont fermé la porte à McDonald’s

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McInterditTY LIM / SHUTTERSTOCK

Meghan Jones

Contre toute attente, McDonald’s, le géant de la restauration rapide, n’est pas le bienvenu partout

McInterdit

Aux États-Unis, on trouve toujours un McDonald’s dans un rayon d’environ 150 km, quand ce n’est pas à quelques coins de rue. Il y en a plus de 1400 au Canada. D’où la surprise d’apprendre qu’il existe des pays qui n’en ont pas un seul. Dans le cas de ces nations, il semble que la situation économique ou politique soit parvenue à tenir la célèbre arche dorée à distance.

BermudesANDREW F KAZMIERSKI / SHUTTERSTOCK

Bermudes

Jusqu’en 1995, il n’y avait qu’un seul McDonald’s dans cet archipel de l’océan Atlantique. Et aujourd’hui, c’est le vide. Une loi des années 70 y interdisait toute chaîne de restauration rapide étrangère. McDonald’s avait réussi à la contourner en 1985 en s’installant dans une base aéronavale américaine. Cependant, en 1995, la base ainsi que son McDo ont été fermés. Selon mic.com, la franchise de McDonald’s a tenté de faire un retour en 1999, mais la loi a primé.

IranKANISORN PRINGTHONGFOO / SHUTTERSTOCK

Iran

Au cours des dernières années, les relations entre le Moyen-Orient et les États-Unis ont été très tendues, et les franchises occidentales comme McDonald’s en ont fait les frais. Il ne s’est ouvert aucun nouveau McDo en Iran depuis 1979. Toutefois, dans la perspective d’une nouvelle relance diplomatique entre les deux pays, on a parlé d’un possible retour de Ronald McDonald dans les lieux. Mais la création d’un substitut iranien nommé Mash Donald’s ne facilite pas la démarche.

MacédoineSAIKO3P / SHUTTERSTOCK

Macédoine

Ce petit pays européen situé dans les Balkans possédait exactement sept restaurants McDonald’s, dont la plupart dans la capitale, Skopje. Pourtant, en 2013, le responsable macédonien de McDonald’s a perdu sa licence, ce qui a entraîné la fermeture définitive de tous les restaurants dans ce pays. On a parlé d’une dispute entre les franchisés et la direction de McDonald’s/Europe.

YémenMOHANNAD KHATIB / SHUTTERSDTOCK

Yémen

Au départ, McDonald’s ne trouvait pas la situation économique du Yémen assez stable pour s’y installer à long terme. De plus, des groupes extrémistes avaient menacé McDonald’s d’une éventuelle riposte partisane en cas d’implantation de sa part. On comprend le problème…

Monténégro

OLEG P / SHUTTERSTOCK

Monténégro

En 2003, McDonald’s a ouvert un petit restaurant dans cette petite république dans le but d’évaluer un possible marché. En dépit du grand succès de ses aliments emblématiques auprès de la population, le gouvernement s’est ligué avec les commerçants locaux pour bloquer son implantation. Et depuis, la franchise a gardé sa McDistance…

Corée du NordVIKTORIA GAMAN / SHUTTERSTOCK

Corée du Nord

Sans étonnement, cet état totalitaire s’oppose à toute forme de commerce américain incluant McDonald’s. Cependant, d’après le journal The Telegraph, des officiels du gouvernement nord-coréen auraient importé en douce des aliments de McDonald’s depuis la Corée du Sud pour leur propre consommation.

ZimbabweULRICH MUELLER / SHUTTERSTOCK

Zimbabwe

En 2000, McDonald’s était en plein processus d’implantation dans ce pays africain lorsque ce dernier s’est retrouvé en pleine débâcle économique (le Zimbabwe, pas McDo…) Le personnel de McDonald’s a rapidement quitté les lieux, et le Zimbabwe est resté sans McDo. La rumeur veut qu’il s’essaie à nouveau, même si McDonald’s International Franchising affirme n’avoir aucun projet en ce sens. Saviez-vous qu’il existe une capitale américaine où il n’y a pas de McDonald’s. (Oui, il n’y en a qu’une !) : Montpelier, Vermont.

BolivieSUNSINGER / SHUTTERSTOCK

Bolivie

McDonald’s n’a pas eu besoin de se faire interdire dans ce pays sud-américain pour fermer son dernier restaurant en 2002, à la suite d’un long conflit avec le gouvernement bolivien. Selon The Daily Meal, l’échec de McDonald’s vient du refus du peuple bolivien de dépendre d’une multinationale pour ses hamburgers.

Et le président bolivien actuel a déclaré que cette chaîne « n’était motivée que par ses gains et ses profits et pas du tout par la santé de la population ».

IslandeKEONGDAGREAT / SHUTTERSTOCK

Islande

Tout comme le Zimbabwe, l’Islande a subi une crise économique majeure qui a repoussé McDonald’s de ce pays insulaire. Mais à l’encontre du Zimbabwe, l’Islande avait déjà un McDonald’s dans sa capitale avant le krach financier de 2009. Il semble bien que le gouvernement n’ait pas encouragé les Joyeux Festins dès le départ, car l’Islande se caractérise par sa tendance pro santé. Malgré ceci, il se pourrait que l’Islande change de cap. En effet, McDonald’s aurait, selon Iceland Mag, un projet de développement en cours.

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Sur YouTube, Noah prétend voyager dans le temps


Il y a plusieurs vidéos sur ce Noah qui prétend venir du futur. Il prédit beaucoup de choses qui sont farfelues, quoique certains sont possibles, car il suffit de lire entre les lignes de l’histoire humaine. Enfin, avec YouTube, c’est le genre d’excentricité qu’on risque de voir souvent
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Sur YouTube, Noah prétend voyager dans le temps

 

 

Et c’est assez divertissant.

Que nous réserve l’avenir? Vu les actualités du moment, il devient difficile de croire encore en un futur radieux, plein d’arcs-en-ciel et de rires d’enfants. Depuis quelques mois sur YouTube, un homme prénommé Noah se décrit comme un voyageur du temps. Il affirme venir de l’année 2030 et dans plusieurs vidéos, il tente de convaincre les internautes avec des prédictions plus ou moins farfelues.

Bien sûr que les extraterrestres existent selon Noah, mais ils ne sont pas plus intelligents que les humains, seulement plus doués en voyage dans l’espace. Ils devraient arriver sur Terre en 2028, Donald Trump les a d’ailleurs rencontrés. Physiquement, ils sont « difficiles à décrire« , mais ils viendront en paix.

Après Donald Trump, c’est une femme qui devrait devenir présidente des États-Unis, Yolanda Renee King est la petite-fille de Martin Luther King. Elle aura seulement 20 ans au moment de son élection. En 2028, Noah annonce également que le voyage dans le temps sera enfin révélé au public par le gouvernement.

Dans le futur, les êtres humains seront branchés à leur ordinateur, un peu comme dans le film « Matrix ». Noah confie:

« C’est la première étape vers l’immortalité. »

Du côté des mauvaises nouvelles, la Corée du Nord va provoquer une guerre entre plusieurs pays, malgré les efforts récents pour apaiser les tensions. Et le réchauffement climatique ne risque pas de s’arranger.

« Il y a des ordures partout, beaucoup de pollution dans l’air. »

Noah prédit aussi une immense tempête de neige en 2019.

À cause de ses révélations, Noah se sent en danger.

« Si je disparais soudainement, ça signifie que quelque chose de mauvais m’est arrivé. Le gouvernement va finir par me trouver et m’emporter quelque part, je ne sais pas où. »

 

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La Corée du Nord réfute un rapport sur les agressions sexuelles


 

La Corée du Nord se préoccupe plus de son image que la protection des femmes. Ils refusent d’avouer leur inaction face aux violences sexuelles faites aux femmes, ils aiment mieux accusée ces femmes de rebut de la société.
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La Corée du Nord réfute un rapport sur les agressions sexuelles

 

« La violence sexuelle en Corée du Nord est... (Photo Dita Alangkara, archives AP)

« La violence sexuelle en Corée du Nord est un secret de polichinelle, largement toléré et non traité », a déclaré Human Rights Watch.

PHOTO DITA ALANGKARA, ARCHIVES AP

 

Agence France-Presse
Séoul

La Corée du Nord a rejeté dimanche un rapport de Human Rights Watch (HRW) sur les agressions sexuelles commises notamment par les policiers à l’encontre des femmes en Corée du Nord, affirmant qu’il s’agit d’une « manigance politique » destinée à « ternir l’image » du pays.

Dans un rapport publié jeudi dernier, basé sur des entretiens avec 54 transfuges nord-coréens, l’organisation de défense des droits de la personne basée aux États-Unis a dépeint un sombre tableau des viols et autres agressions perpétrées par les personnels de sécurité, tels que les gardes-frontières, mais aussi des civils en position d’autorité. 

L’association nord-coréenne pour les études sur les droits de la personne, citée par l’agence officielle nord-coréenne KCNA, a rétorqué que ce rapport « grotesque » faisait « partie d’une manigance politique montée par les forces hostiles… pour ternir l’image de la RPDC » [NDLR : République populaire démocratique de Corée, le nom officiel de la Corée du Nord].

« C’est aussi une provocation extrêmement dangereuse destinée à inverser le courant de paix et de prospérité sur la péninsule coréenne », a affirmé l’organisme nord-coréen, ajoutant que les femmes questionnées dans le cadre de l’enquête appartenaient au « rebut de l’humanité ».

Parmi les auteurs d’agressions cités dans le rapport de HRW figurent des gérants d’entreprises publiques, des gardes déployés sur les marchés ou dans les postes de contrôle routier ainsi que des « policiers, des magistrats, des soldats et des contrôleurs à bord des trains ». 

Une quadragénaire qui vendait des textiles se souvient avoir été traitée comme un jouet sexuel « à la merci des hommes ».

« Quand ça leur prenait, les gardes sur les marchés ou les policiers me demandaient de les suivre dans une pièce vide, à l’extérieur du marché ou dans un autre endroit de leur choix », a témoigné cette femme citée dans le rapport de HRW.

« La violence sexuelle en Corée du Nord est un secret de polichinelle, largement toléré et non traité », a déclaré Kenneth Roth, directeur général de HRW.

Le régime nord-coréen affirme qu’il protège et défend « les droits de la personne authentiques » et que l’Occident n’a pas à imposer ses critères en la matière au reste du monde.

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Donald Trump affirme que lui et Kim Jong Un sont "tombés amoureux"


    Je trouve le choix de mots assez étrange, mais bon ne dit t’on pas qui s’assemble se ressemble ?  Il faut croire que Kim Jong Un a su flatter dans le bon sens l’égo du président des États-Unis, vice vers ça.
    Nuage

     

    Trump assure que Kim et lui sont «tombés amoureux»

     


« Et puis nous sommés tombés amoureux - enfin pas... (Photo Gene J. Puskar)

« Et puis nous sommés tombés amoureux – enfin pas concrètement, OK ? Il m’a écrit de belles lettres, ce sont de magnifiques lettres. Nous sommes tombés amoureux », a expliqué le président américain à ses supporters.

PHOTO GENE J. PUSKAR

Agence France-Presse

 

Le président américain Donald Trump a assuré que Kim Jong-un et lui étaient « tombés amoureux », saluant les « magnifiques lettres » que lui avait écrites son homologue nord-coréen.

S’adressant samedi à ses partisans lors d’une réunion à Wheeling, en Virginie occidentale, M. Trump a fait monter d’un nouveau cran la chaleur de ses relations avec le leader nord-coréen, qu’il veut persuader d’abandonner l’arme nucléaire.

« Et puis nous sommés tombés amoureux – enfin pas concrètement, OK ? Il m’a écrit de belles lettres, ce sont de magnifiques lettres. Nous sommes tombés amoureux », a expliqué le président américain à ses supporters.

 

Lundi dernier, en marge de l’Assemblée générale de l’ONU à New York, M. Trump avait déjà vanté les qualités de Kim Jong-un, dont il avait pourtant menacé un an plus tôt de « détruire totalement le pays ».

« Le président Kim a vraiment été très ouvert et, honnêtement, il a été formidable », avait alors lancé le locataire de la Maison-Blanche.

Les deux dirigeants se sont rencontrés pour la première fois en juin à Singapour et un deuxième sommet est désormais envisagé.

Donald Trump a également affirmé mercredi avoir reçu « une lettre extraordinaire » du dirigeant nord-coréen, affichant son optimisme sur l’issue des négociations en cours.

Nombre d’analystes pointent toutefois du doigt l’absence d’avancées concrètes sur la dénucléarisation de la péninsule coréenne.

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Le Saviez-Vous ► 9 pays qui ont fermé la porte à McDo


Alors qu’il y a des Mc Donald’s un peu partout en Amérique du Nord, une seule capitale aux États-Unis, ce restaurant rapide n’est pas le bienvenu. Il y a aussi des pays que le McDonald est comme dit l’auteur McInterdit, soit à cause d’une loi, ou de conflit car certains pays ne veulent que les américains installent leurs tentacules, cependant si cela peut-être économiquement rentable pour McDo alors, il a fort a parier qu’il essaiera de revenir à la charge
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9 pays qui ont fermé la porte à McDo

McInterdit

TY LIM / SHUTTERSTOCK

Contre toute attente, McDonald’s, le géant de la restauration rapide, n’est pas le bienvenu partout.

McInterdit

Aux États-Unis, on trouve toujours un McDonald’s dans un rayon d’environ 150 km, quand ce n’est pas à quelques coins de rue. Il y en a plus de 1400 au Canada. D’où la surprise d’apprendre qu’il existe des pays qui n’en ont pas un seul. Dans le cas de ces nations, il semble que la situation économique ou politique soit parvenue à tenir la célèbre arche dorée à distance.

Bermudes

Jusqu’en 1995, il n’y avait qu’un seul McDonald’s dans cet archipel de l’océan Atlantique. Et aujourd’hui, c’est le vide. Une loi des années 70 y interdisait toute chaîne de restauration rapide étrangère. McDonald’s avait réussi à la contourner en 1985 en s’installant dans une base aéronavale américaine. Cependant, en 1995, la base ainsi que son McDo ont été fermés. Selon mic.com, la franchise de McDonald’s a tenté de faire un retour en 1999, mais la loi a primé.

Iran

Au cours des dernières années, les relations entre le Moyen-Orient et les États-Unis ont été très tendues, et les franchises occidentales comme McDonald’s en ont fait les frais. Il ne s’est ouvert aucun nouveau McDo en Iran depuis 1979. Toutefois, dans la perspective d’une nouvelle relance diplomatique entre les deux pays, on a parlé d’un possible retour de Ronald McDonald dans les lieux. Mais la création d’un substitut iranien nommé Mash Donald’s ne facilite pas la démarche.

Macédoine

Ce petit pays européen situé dans les Balkans possédait exactement sept restaurants McDonald’s, dont la plupart dans la capitale, Skopje. Pourtant, en 2013, le responsable macédonien de McDonald’s a perdu sa licence, ce qui a entraîné la fermeture définitive de tous les restaurants dans ce pays. On a parlé d’une dispute entre les franchisés et la direction de McDonald’s/Europe.

Yémen

Au départ, McDonald’s ne trouvait pas la situation économique du Yémen assez stable pour s’y installer à long terme. De plus, des groupes extrémistes avaient menacé McDonald’s d’une éventuelle riposte partisane en cas d’implantation de sa part. On comprend le problème…

Monténégro

En 2003, McDonald’s a ouvert un petit restaurant dans cette petite république dans le but d’évaluer un possible marché. En dépit du grand succès de ses aliments emblématiques auprès de la population, le gouvernement s’est ligué avec les commerçants locaux pour bloquer son implantation. Et depuis, la franchise a gardé sa McDistance…

Corée du Nord

Sans étonnement, cet état totalitaire s’oppose à toute forme de commerce américain incluant McDonald’s. Cependant, d’après le journal The Telegraph, des officiels du gouvernement nord-coréen auraient importé en douce des aliments de McDonald’s depuis la Corée du Sud pour leur propre consommation.

Zimbabwe

En 2000, McDonald’s était en plein processus d’implantation dans ce pays africain lorsque ce dernier s’est retrouvé en pleine débâcle économique (le Zimbabwe, pas McDo…) Le personnel de McDonald’s a rapidement quitté les lieux, et le Zimbabwe est resté sans McDo. La rumeur veut qu’il s’essaie à nouveau, même si McDonald’s International Franchising affirme n’avoir aucun projet en ce sens. Saviez-vous qu’il existe une capitale américaine où il n’y a pas de McDonald’s. (Oui, il n’y en a qu’une !) : Montpelier, Vermont.

Bolivie

McDonald’s n’a pas eu besoin de se faire interdire dans ce pays sud-américain pour fermer son dernier restaurant en 2002, à la suite d’un long conflit avec le gouvernement bolivien. Selon The Daily Meal, l’échec de McDonald’s vient du refus du peuple bolivien de dépendre d’une multinationale pour ses hamburgers. Et le président bolivien actuel a déclaré que cette chaîne « n’était motivée que par ses gains et ses profits et pas du tout par la santé de la population ». Et au-delà de vos sentiments pour les grandes chaînes, ne commandez jamais cette boisson pour l’amour de votre santé !

Islande

Tout comme le Zimbabwe, l’Islande a subi une crise économique majeure qui a repoussé McDonald’s de ce pays insulaire. Mais à l’encontre du Zimbabwe, l’Islande avait déjà un McDonald’s dans sa capitale avant le krach financier de 2009. Il semble bien que le gouvernement n’ait pas encouragé les Joyeux Festins dès le départ, car l’Islande se caractérise par sa tendance pro santé. Malgré ceci, il se pourrait que l’Islande change de cap. En effet, McDonald’s aurait, selon Iceland Mag, un projet de développement en cours.

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Le risque nucléaire fait avancer l’horloge de l’apocalypse


L’horloge de cataclysme a été avancée de 30 secondes à deux minutes avant minuit de peur que le monde connaitrait des événements désastreux mondialement. Bien sûr, il y a les changements climatiques, mais aussi l’imprévisibilité du Président des États-Unis, d’une possible course aux armements et la Corée du Nord qui ne laisse pas sa place dans ses menaces
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Le risque nucléaire fait avancer l’horloge de l’apocalypse

 

Depuis sa création en 1947, l'horloge de l'apocalypse... (PHOTO AP)

Depuis sa création en 1947, l’horloge de l’apocalypse a été ajustée 20 fois, de minuit moins deux minutes en 1953 à minuit moins 17 minutes en 1991, à la fin de la Guerre froide.

PHOTO AP

 

JEAN-LOUIS SANTINI
Agence France-Presse
Washington

L’horloge de l’apocalypse, qui symbolise l’imminence d’un cataclysme planétaire, a été avancée de 30 secondes à deux minutes avant minuit en raison surtout d’un risque accru de conflit nucléaire mondial et de «l’imprévisibilité» du président américain.

L’aiguille de l’horloge du Bulletin of Atomic Scientists n’avait pas été aussi proche de minuit depuis 1953, en pleine Guerre froide quand les États-Unis et l’Union Soviétique testaient la bombe à hydrogène.

«Pour sûr, l’année 2017 a été périlleuse et chaotique… avec des déclarations irresponsables dans le domaine nucléaire qui ont enflammé des situations déjà dangereuses», a indiqué jeudi à la presse Rachel Bronson, présidente et éditrice du Bulletin of the Atomic Scientists qui ajuste chaque année l’heure de cette horloge symbolique.

«La question nucléaire est ainsi revenue au centre des préoccupations», a-t-elle ajouté, citant les essais nucléaires de la Corée du Nord, un engagement accru de la Chine, du Pakistan et de l’Inde envers leurs arsenaux nucléaires et «l’imprévisibilité» qui ressort des tweets et des déclarations de M. Trump.

«En 2017, les dirigeants mondiaux ne sont pas parvenus à répondre efficacement aux menaces grandissantes de guerre nucléaire et de changement climatique qui rendent le monde plus dangereux qu’il ne l’a été depuis la Seconde guerre mondiale», a écrit ce groupe d’intellectuels représentant les sciences, les affaires internationales, l’environnement et la sécurité.

«Les principales puissances nucléaires sont sur le point de relancer une nouvelle course aux armements qui sera très coûteuse et augmentera le risque d’accidents et d’erreurs», ont craint ces experts, pointant également «les progrès remarquables» du programme nucléaire nord-coréen en 2017.

En même temps, «une rhétorique enflammée et des actions provocatrices à la fois de la part des États-Unis et de la part de la Corée du Nord ont accru la possibilité d’un conflit nucléaire», déplorent-ils.

Robert Rosner, professeur d’astronomie et d’astrophysique à l’université de Chicago, a surtout épinglé durant la conférence de presse l’administration Trump dont les «incohérences» accroissent les risques de confrontation nucléaire et «constituent un défi majeur pour la dissuasion et la stabilité mondiale.»

Course aux armements

La Maison-Blanche «cherche probablement à accroître le rôle des armes nucléaires dans les plans de défense américain abaissant de ce fait le seuil de leur utilisation», a-t-il relevé.

Le Pentagone doit dévoiler la semaine prochaine la nouvelle stratégie nucléaire de Donald Trump. Les fuites jeudi d’un document de travail de la Nuclear Posture Review montrent que le ministère américain de la Défense souhaite le développement d’un nouveau type d’arme nucléaire d’une puissance assez faible pour être employée sur le champs de bataille plutôt que de servir à vaporiser une mégalopole.

M. Rosner a ajouté que les intellectuels avaient «constaté que les principaux pays investissent davantage dans leur arsenal nucléaire pour le moderniser et en accroître les capacités».

Les tensions dans les relations américano-russes représentent également une menace pour la sécurité planétaire, a renchéri Sharon Squassoni, professeure à l’Institute for International Science and Technology Policy de l’université George Washington.

«Pour la première fois depuis très longtemps, il n’y a aucune négociation entre Washington et Moscou sur le contrôle des armes nucléaires», a-t-elle relevé, ajoutant qu’«on pourrait voir un retour d’une course aux armements nucléaires».

Depuis sa création en 1947, l’horloge de l’apocalypse a été ajustée 20 fois, de minuit moins deux minutes en 1953 à minuit moins 17 minutes en 1991, à la fin de la Guerre froide.

En 2017, l’aiguille avait déjà été avancée de trente secondes à minuit moins deux minutes et trente secondes, les scientifiques invoquant notamment la rhétorique et les actions de Donald Trump.

En 2015, l’horloge avait été reculée de deux minutes, à 23h57, et laissée inchangée en 2016.

Les scientifiques avaient alors cité comme facteurs encourageants l’accord sur le nucléaire iranien ainsi que sur le climat à  Paris fin 2015.

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Viols et douches avec des serpents: le calvaire des soldates nord-coréennes


Partout, au monde, les femmes engagées dans l’armée subissent du harcèlement sexuel, et même des viols. En Corée du Nord, les femmes sont obligées de s’enrôler pour 7 ans. Et ce qu’elles subissent sont très graves tel que harcèlement sexuel, viol, des mauvais traitements sans compter dans des conditions difficiles
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Viols et douches avec des serpents: le calvaire des soldates nord-coréennes

Mardi passé, Lee So Yeon a accordé une interview à la BBC où elle a raconté son calvaire. Exemple: l’armée nord-coréenne n’avait pas pris de dispositions pour les menstruations. © (capture d’écran).

Christophe Da Silva
Source: BBCa

Pendant plus de dix ans, Lee So Yeon a servi comme sergent dans l’armée nord-coréenne. Son calvaire, elle l’a raconté à la BBC.

« Il n’y avait pas d’eau chaude. Le commandant de la compagnie restait dans sa chambre après les heures de présence et violait les femmes soldats sous son commandement », se souvient la femme de 41 ans.

Lee So Yeon, qui a quitté l’armée nord-coréenne à 28 ans, a servi comme sergent dans une unité près de la frontière sud-coréenne. En 2008, l’ancienne soldate a fui vers la Corée du Sud. Elle a passé une année dans un camp de prisonniers après avoir été capturée à la frontière avec la Chine. La quadragénaire a réussi à s’échapper une nouvelle fois vers la Corée du Sud en traversant la rivière Tumen en 2009.

Un vrai calvaire

Son témoignage est précieux. Mardi passé, Lee So Yeon a accordé une interview à la BBC où elle a raconté son calvaire. Exemple: l’armée nord-coréenne n’avait pas pris de dispositions pour les menstruations.

« Une période de vulnérabilité pour les femmes »

« La période de famine a entraîné une période de vulnérabilité pour les femmes. Elles ont été nombreuses à y entrer et elles ont été soumises à de mauvais traitements », se souvient Lee So Yeon.

© photo news.

Pendant une décennie, Lee So Yeon a dormi sur la couchette du dessous d’un lit superposé, dans une pièce qu’elle partageait avec plus d’une vingtaine de femmes. Aucun espace privé. Juste une petite armoire pour stocker les uniformes.

« Il n’y avait pas d’eau chaude »

« Nous transpirions beaucoup. L’uniforme n’était pas en coton et ce n’était pas agréable. Le lavage des vêtements était aussi problématique. En tant que femme la chose la plus difficile à vivre c’était que nous ne pouvions pas nous doucher correctement. Il n’y avait pas d’eau chaude. L’eau arrivait directement d’un ruisseau. Il y avait parfois des grenouilles et des serpents », poursuit-elle dans des propos traduits par 20 Minutes.

Les abus sexuels faisaient également partie du quotidien de Lee So Yeon et de ses camarades.

Harcèlement sexuel

« Le commandant de la compagnie restait dans sa chambre après les heures de présence et violait les femmes soldats sous son commandement », conclut la femme de 41 ans.

En Corée du Nord, les soldates doivent servir au moins sept ans dans l’armée et les hommes 10 ans. C’est le service militaire le plus long sur la planète. Quasiment 40% des femmes âgées de 18 à 25 ans portent l’uniforme.

© ap.

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Pour priver Trump de la bombe atomique, il faudra lui enlever la présidence


Quand j’étais petite, on savait qu’il y avait un bouton rouge qui lançait une bombe nucléaire et on y a pensé qu’il suffit qu’un fou pèse sur ce bouton pour entrer dans une nouvelle guerre. Généralement, il y a une procédure pour lancer une bombe, mais si une décision doit être prise rapidement, il ne faut qu’une personne, le Président qui peut décider de lancer les missiles nucléaires en seulement 3 à 7 minutes. Les prochaines élections américaines sont seulement en 2020, c’est long quand on entend toutes les stupidités de ce Président. Espérons que d’ici là, il se tiendra tranquille et défait au prochaine élection
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Pour priver Trump de la bombe atomique, il faudra lui enlever la présidence

 

Des activistes antinucléaire grimés en Donald Trump et Kim Jong-un, le 13 septembre 2017 à Berlin. BRITTA PEDERSEN / DPA / AFP.

Des activistes antinucléaire grimés en Donald Trump et Kim Jong-un, le 13 septembre 2017 à Berlin. BRITTA PEDERSEN / DPA / AFP.

Jean-Marie Pottier

Les menaces du président américain envers la Corée du Nord ont relancé le débat  complexe sur la procédure de déclenchement des frappes nucléaires.

 

Deux images de Donald Trump. La première, à la tribune de l’Onu mardi, annonçant qu’il est prêt si besoin à «détruire totalement» la Corée du Nord. La seconde, le même jour, caricaturé en une du magazine Rolling Stone, poitrine en avant et bouche grande ouverte, sous le titre «La folie de Donald Trump».

Un fou a-t-il la main sur le bouton nucléaire de la première puissance mondiale? Sans être toujours posée aussi crûment (mais parfois, oui), la question agite les milieux politique et militaire américains depuis la campagne présidentielle.

Le week-end dernier encore, dans une tribune publiée dans le New York Times, deux experts, dont un ancien conseiller de Barack Obama pour l’Asie, estimaient qu’il est temps pour les États-Unis de s’assurer «que le président ne puisse pas simplement fournir les codes à son aide de camp porteur de la mallette nucléaire et lancer une attaque de sa propre autorité».

 Ils suggéraient que cette attaque ne puisse résulter que d’une décision unanime d’un petit groupe qui pourrait inclure le vice-président, le secrétaire à la Défense, le chef d’état-major des armées et les dirigeants des deux grands partis au Congrès. Un autre spécialiste des affaires militaires estime lui aussi que toute décision d’ouverture du feu nucléaire devrait dans l’idéal d’abord passer par le secrétaire à la Défense, le conseiller pour la sécurité nationale ou le chef de cabinet de la Maison-Blanche.

Toutes les procédures permettant le lancement des missiles nucléaires nécessitent l’action de deux personnes: c’est ce qu’on appelle la two-man rule. Toutes, sauf la plus importante: la prise de décision elle-même. Le secrétaire à la Défense, l’autre membre de l’autorité de commandement nationale, doit confirmer que l’ordre vient bien du président, mais cette confirmation ne constitue pas une validation et ne donne pas un droit de veto. Sous Nixon, le secrétaire à la Défense James Schlesinger, confronté à un président dépressif et alcoolique, avait contourné la loi en demandant au Pentagone de passer par lui ou par son homologue du Département d’État Henry Kissinger en cas d’ordre de mise à feu nucléaire.

Une proposition de loi visant à empêcher le président des États-Unis d’utiliser l’arme nucléaire sans autorisation expresse du Congrès a été déposée en janvier par deux élus démocrates, et s’accompagne d’une campagne de communication intitulée No Red Button («pas de bouton rouge»). Mais elle ne porte que sur le droit du président de lancer une frappe nucléaire préemptive, pas sur celui de réagir à une attaque contre les États-Unis. Un scénario où le temps de réaction interdit tout débat entre une dizaine de personnes.

Selon Bruce G. Blair, cofondateur de l’ONG Global Zero, si une attaque nucléaire étrangère est imminente, le président doit pouvoir être briefé sur le sujet en trente secondes et a cinq minutes pour se décider. En novembre 1979, Zbigniew Brzezinski, le conseiller pour la sécurité nationale de Jimmy Carter, avait failli réveiller son patron en pleine nuit après deux alertes (finalement fausses) d’attaque nucléaire soviétique: le laps de temps dont aurait disposé Carter pour trancher était alors évalué entre trois et sept minutes…

Le débat n’est donc pas seulement entre folie et raison, mais entre réactivité et lenteur. Il n’est pas uniquement de savoir si l’on risque de confier l’arme atomique à un fou, il est de décider si on veut pouvoir être prêt à l’utiliser en quelques minutes au milieu de la nuit –une question classique des campagnes électorales américaines.

Le problème, comme l’explique le juriste Stephen L. Carter, est que les États-Unis n’ont pour l’instant pas trouvé de meilleure procédure pour assurer une réponde rapide et maintenir la primauté du pouvoir civil (le président) sur le militaire:

«La seule vraie façon de restreindre la capacité d’un président de lancer une guerre est d’élire quelqu’un en qui vous avez confiance», conclut-il.

Autant dire que le plus sûr moyen de mieux dormir, pour ceux qui cauchemardent Trump le doigt sur le bouton rouge, est de s’assurer qu’il soit battu en novembre 2020.

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Le dernier essai nucléaire nord-coréen plus puissant qu’Hiroshima


Aux nouvelles LCN au Québec, ils disaient que le tremblement de terre d’une magnitude de 6,3 a permis de déterminer l’emplacement de l’explosion tout près du site d’essai de la Corée du Nord, et cela a été détecté partout sur la planète. L’histoire de la guerre est pour une leçon importante pour les dirigeants. Mais quand ce sont des personnes dépourvus de toute morale .. Il ne faut pas se surprendre si des évènements tragiques refait surface
Nuage

 

Le dernier essai nucléaire nord-coréen plus puissant qu’Hiroshima

 

Après ce sixième essai nucléaire de Pyongyang, le... (REUTERS)

Après ce sixième essai nucléaire de Pyongyang, le plus puissant à ce jour, les États-Unis, avec leurs alliés européens et japonais, ont annoncé lundi négocier à l’ONU de nouvelles sanctions sévères contre la Corée du Nord mais la position de la Chine et de la Russie, qui disposent d’un droit de veto, restait incertaine.

REUTERS

Agence France-Presse
Tokyo

 

Le dernier essai nucléaire nord-coréen était d’une puissance estimée de 120 kilotonnes, soit huit fois supérieure à celle de la bombe américaine qui a dévasté Hiroshima, a déclaré mardi à des journalistes le ministre japonais de la Défense Itsunori Onodera.

Le Japon avait dans un premier temps évalué à 70 kilotonnes l’énergie produite par l’explosion de dimanche attribuée par la Corée du Nord à une bombe à hydrogène. Pyongyang pourrait avoir désormais la capacité de mettre une bombe atomique sur un missile pouvant atteindre les États-Unis, mais les Occidentaux n’en ont pas pour le moment la certitude absolue.

Selon le ministre japonais, la révision à la hausse de la puissance de cet essai se fonde sur une nouvelle estimation de la magnitude du séisme qui a suivi l’explosion faite par l’organisation responsable de l’application du traité d’interdiction complète des essais nucléaires (CTBTO).

«Nous pouvons en conclure que l’essai nucléaire a produit une énergie supérieure» aux évaluations initiales, a déclaré M. Onodera.

120 kilotonnes, c’est huit fois plus que la puissance de la bombe américaine qui a ravagé la ville japonaise d’Hiroshima en 1945 (15 kilotonnes).

Cette valeur dépasse également l’estimation faite au Conseil de sécurité des Nations unies par le chef des affaires politiques de l’ONU, Jeffrey Feltman, qui a évoqué une fourchette de 50 à 100 kilotonnes.

Après ce sixième essai nucléaire de Pyongyang, le plus puissant à ce jour, les États-Unis, avec leurs alliés européens et japonais, ont annoncé lundi négocier à l’ONU de nouvelles sanctions sévères contre la Corée du Nord mais la position de la Chine et de la Russie, qui disposent d’un droit de veto, restait incertaine.

Le président russe Vladimir Poutine a fermement mis en garde mardi contre toute «hystérie militaire» pour contrer le régime de Kim Jong-Un, agitant la menace d’une «catastrophe planétaire» face aux États-Unis qui ont évoqué «une réponse militaire massive».

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