640.000 tonnes de matériel de pêche sont abandonnées en mer chaque année


L’océan a beau être gigantesque mais nous avons réussit à nuire a l’écosystème marin. Les filets de pêches, des cordes en tout genre, des gilets de sauvetages s’ajoutent aux débris de plastiques qui condamnent plusieurs animaux marins à la mort. Le problème est que les eaux internationales appartiennent à personnes alors comment condamner ces pollueurs ?
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640.000 tonnes de matériel de pêche sont abandonnées en mer chaque année

Les filets de pêche abandonnés constituent des pièges mortels pour les animaux marins. © aryfahmed, Adobe Stock

Les filets de pêche abandonnés constituent des pièges mortels pour les animaux marins. © aryfahmed, Adobe Stock


Céline Deluzarche
Journaliste

Chaque année, 640.000 tonnes de filets, lignes, gilets de sauvetage et autres cordes sont perdues ou abandonnées dans les océans par l’industrie de la pêche, révèle Greenpeace dans un rapport publié le 6 novembre.

 La plupart de ces débris en plastique viennent s’ajouter aux millions de tonnes de déchets rejetés chaque année en mer. Ces « équipements fantômes » représentent 10 % de la pollution plastique des océans et même 70 % des macrodéchets (plus de 20 cm) flottant à la surface.

Les filets et casiers dérivants constituent par ailleurs des pièges mortels pour les animaux marins (thons, tortues, phoques, dauphins, baleines…). Les déchets plastique sont aussi ingérés par les animaux qui s’étouffent avec. En mars, une baleine retrouvée morte avec 40 kg de plastique dans l’estomac sur une plage aux Philippines. Enfin, ces milliers de tonnes de plastique viennent s’échouer sur les côtes, mettant en danger les écosystèmes et les habitats de nombreuses espèces.

Greenpeace dénonce notamment l’absence de gouvernance internationale pour gérer cette question. 64 % des océans échappent à la souveraineté des pays ; il est du coup bien difficile d’interpeller et de condamner les fautifs. L’ONG demande un « traité mondial des océans » sous l’égide des Nations unies protégeant au moins 30 % des océans, y compris les eaux internationales.

https://www.futura-sciences.com

Le sang-froid de cette petite fille pour sauver son frère pendu accidentellement


Ce petit frère a une grande soeur qui a eu de bons réflexes pour lui sauver la vie.

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Le sang-froid de cette petite fille pour sauver son frère pendu accidentellement


La fillette n’a pas paniqué et a adopté les bons gestes pour sauver son frère.

L’incident s’est produit le 30 juillet dernier dans un immeuble d’Istanbul. Les images, captées par la caméra de surveillance de l’ascenseur, montrent une petite fille sauver son frère de la mort. Pour une raison encore inconnue, l’enfant portait une corde autour du cou au moment où l’ascenseur a fermé ses portes sur la ficelle qui traînait derrière lui.

Dès que l’appareil a entamé sa descente, l’enfant a été tiré et s’est retrouvé pendu à la ficelle. Faisant preuve d’un sang-froid exceptionnel, sa sœur est parvenue à le soutenir, le libérer de l’emprise de la corde, tout en ayant le bon réflexe d’appuyer sur le bouton d’urgence.

https://www.7sur7.be/

L’aube viendra…


Il arrive des situations qu’on ne voit pas de solution pour se sortir du mauvais pas … Peut-être par énervement, fatigue, ou simplement par découragement, on ne voit pas toujours qu’il peut y avoir des moyens pour se sortir du pétrin
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L’aube viendra…

 

 

Un homme avait été emprisonné dans une tour. Il se sentait abandonné par ses amis, quand tout à coup il vit un escargot qui arrivait à la hauteur de sa fenêtre.

Regardant de plus près cet animal, il vit un fil qui était attaché à la coquille de son visiteur. Curieux, il tira doucement sur ce fil, et quelle ne fut pas sa surprise de voir qu’au bout du fil il y avait une ficelle, au bout de la ficelle il trouva une corde, et dans la corde une lime.

C’est avec cela qu’il put scier les barreaux de sa prison, et il se servit de la corde pour quitter la tour.

L’important consiste à voir les signes et à croire que l’aube viendra. L’espérance est à ce prix.

Auteur inconnu

La corde invisible


Une histoire qui sans dire que nous sommes des ânes pourrait aussi démontré que nous sommes souvent esclave de nos propres habitudes. Il nous ai parfois difficile de changer notre routine et d’essayer autre chose
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La corde invisible

 

 

Un paysan avec 3 de ses ânes se rendait au marché
pour vendre sa récolte.

La ville était loin et il lui faudrait plusieurs
jours pour l’atteindre.

Le premier soir, il s’arrête pour bivouaquer non
loin de la maison d’un vieil ermite.

Au moment d’attacher son dernier âne, il s’aperçoit
qu’il lui manque une corde.

Si je n’attache pas mon âne se dit-il demain, il
se sera sauvé dans la montagne!

Il monte sur son âne après avoir solidement attaché
les 2 autres et prend la direction de la maison
du vieil ermite.

Arrivé, il demande au vieil homme s’il n’aurait pas
une corde à lui donner.

Le vieillard avait depuis longtemps  fait voeux
de pauvreté et n’avait pas la moindre corde,
cependant, il s’adressa au paysan et lui dit:

« Retourne à ton campement et comme chaque jour
fait le geste de passer une corde autour du cou de
ton âne et n’oublie pas de feindre de l’attacher à
un arbre. »

Perdu pour perdu, le paysan fit exactement ce
que lui avait conseillé le vieil homme.

Le lendemain dès qu’il fût réveillé, le premier
regard du paysan fût pour son âne.

Il était toujours là!

Après avoir chargé les 3 baudets, il décide de
se mettre en route, mais là, il eut beau faire,
tirer sur son âne, le pousser, rien n’y fit.

L’âne refusait de bouger.

Désespéré, il retourne voir l’ermite et lui
raconte sa mésaventure.

« As-tu pensé à enlever la corde? » lui demanda-t-il.

« Mais il n’y a pas de corde! » répondit le paysan.

« Pour toi oui mais pour l’âne… »

« Le paysan retourne au campement et d’un ample
mouvement, il mime le geste de retirer la corde.

L’âne le suit sans aucune résistance.

Le paysan et son âne


Il est possible d’éduquer les animaux a faire telle action si nous faisons tel geste et si nous ne le faisons pas, il ne s’exécuterons pas. C’est comme pour nous, nous sommes tellement ancrer dans nos habitudes que nous bloquons si la routine est changée . Nous avons appris et grandit dans certains milieu qu’un dépaysement nous rends mal a l’aise. Si nous pensons ne pas être en mesure d’aller plus loin ,… il sera difficile d,aller contre cette pensée … Soyons un peu plus créatif et innovateur
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Le paysan et son âne

 

Cette histoire se passe pas si loin de chez nous, il n’y a pas si longtemps de cela, un paysan se rend au marché avec trois de ses ânes pour vendre sa récolte.

La ville était à trois jours de marche.

Après une longue route, le premier soir, il s’arrête pour bivouaquer à proximité de la maison d’un vieil ermite.

Au moment d’attacher son troisième âne, il constate qu’il lui manque une corde.

« Il faut absolument que j’attache mon âne, se dit-il ennuyé, sinon demain, il se sera sauvé… »

Après avoir solidement attaché les deux autres, il monte sur son âne et se dirige vers la maison du vieil ermite.

Arrivé, il demande au vieil homme s’il n’aurait pas une corde à lui donner.


Ce dernier, ayant fait vœu de pauvreté depuis bien longtemps, n’avait pas de corde à lui donner.

Il s’adressa alors au paysan et lui dit :

« Retourne à ton campement et, comme chaque jour, prend ton âne, fait comme si tu lui passe une corde autour du cou et surtout, n’oublie pas de faire comme si tu l’attachais à un arbre. »

Le paysan trouvait cette proposition bien étrange. Néanmoins, n’ayant pas d’autre solution, il fit exactement ce que lui conseilla le vieil homme.

Le lendemain au réveil, le premier regard du paysan est pour son âne. Surprise… et soulagement : il est toujours là !

Après avoir pris son petit déjeuné et chargé ses trois ânes, il décide de se remettre en route.


Mais là, grand étonnement, l’âne qui n’a pas été attaché pendant la nuit refuse de bouger de sa place.

Le paysan a beau tirer sur son âne, le pousser, le frapper, l’injurier, rien n’y fait. L’âne refuse de bouger d’un pouce.


Désespéré, le paysan retourne voir l’ermite et lui raconte sa mésaventure.

« As-tu pensé à enlever la corde ? » lui demanda sereinement le vieillard.

« Mais il n’y a pas de corde, je ne suis pas fou ! » répondit le paysan avec étonnement et agacement.

« Pour toi non, mais pour l’âne, il y en a une. » répliqua le sage.

Le paysan fit demi-tour, retrouva son âne au même endroit où il l’avait laissé : il n’avait toujours pas bougé.

C’est alors que d’un mouvement large, il mime le geste de retirer la corde du cou de l’âne et de l’arbre. L’âne le suivit alors sans aucune résistance.

Auteur inconnu