Une famille de cafards avait élu domi­cile dans l’oreille de ce Ch


Oh la la la ! Pas de cafards (coquerelle) dans l’oreille ! Le médecin croit que la cause est que le patient laissait trainer de la nourriture sur sa table de chevet ! J’espère qu’il va faire traiter aussi sa maison, ca s’il en avait dans son oreille, il en a sûrement ailleurs.
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Une famille de cafards avait élu domi­cile dans l’oreille de ce Chinois


par  Adrien Gingold

En Chine, un jeune homme de 24 ans s’est rendu en octobre dernier à l’hô­pi­tal Sanhe à cause d’une « douleur aiguë à l’oreille ». Les méde­cins ont rapi­de­ment trouvé une famille de cafards qui avaient éclos près de son tympan et qui vivaient à l’in­té­rieur, écri­vait le New York Post le 6 novembre dernier.

Lorsque M. Lv est arrivé à l’hô­pi­tal, il s’est immé­dia­te­ment plaint de « quelque chose qui grimpe ou qui rampe à l’in­té­rieur ». Et il ne se trom­pait pas :

« J’ai décou­vert plus de 10 bébés cafards à l’in­té­rieur », a déclaré un des méde­cins qui ont pu extraire les petits et leur maman à l’aide d’une pince à épiler.

La cause ? Selon le Dr Jiang Tengxiang, direc­teur adjoint de l’hô­pi­tal Sanhe, M. Lv avait l’ha­bi­tude de lais­ser de la nour­ri­ture sur sa table de chevet pendant son sommeil, ce qui a proba­ble­ment incité les intrus à utili­ser son oreille comme chambre impro­vi­sée. Depuis ce mois d’oc­tobre, M. Lv suit un trai­te­ment à base d’an­ti­bio­tiques et ne laisse plus rien traî­ner près de l’oreiller.

Source : The New York Post

https://www.ulyces.co/

Les coquerelles, de plus en plus résistantes aux insecticides


Ah, les coquerelles, n’importe qui peut avoir ces indésirables, même si leur demeure est très propre. Ils sont de plus en plus résistants aux insecticides. Et c’est toute une histoire pour s’en débarrasser. Il est important de signaler la présence de ces blattes pour éviter la propagation dans d’autres logements.
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Les coquerelles, de plus en plus résistantes aux insecticides

Une blatte germanique se nourrit d'un insecticide dans un laboratoire  de l'Université Purdue.

Une blatte germanique se nourrit d’un insecticide dans un laboratoire de l’Université Purdue.

PHOTO : UNIVERSITÉ PURDUE/JOHN OBERMEYER

Alain Labelle

Les coquerelles sont de plus en plus difficiles à éliminer, car elles développent rapidement une résistance croisée aux meilleurs insecticides utilisés par les exterminateurs, préviennent des entomologistes américains.

Communément appelée coquerelle au Québec, la blatte (Blattella germanica) porte plusieurs noms. En Europe, elle est appelée cafard ou cancrelat, et en Haïti, ravet.

Ces insectes représentent une menace réelle pour la santé humaine.

Ils transportent des dizaines de types de bactéries, comme E. coli et Salmonella, qui peuvent être transmises aux humains. De plus, leurs excréments et les restes de mues peuvent déclencher des allergies et de l’asthme, mais également causer des problèmes chez certaines personnes, comme la gastro.

Le saviez-vous?

  • La Blattella germanica mesure de 12 à 16 mm.
  • D’origine asiatique, elle s’est répandue presque partout dans le monde et vit près des habitations humaines.
  • Les infestations sont très fréquentes et très répandues au Québec.

Selon Michael Scharf et ses collègues de l’Université Purdue, le problème est particulièrement criant dans les zones urbaines et dans les logements pour personnes à faible revenu ou subventionnés par l’État, où les actions pour lutter efficacement contre ces insectes ravageurs ne sont pas toujours prises.

Les blattes développent une résistance à plusieurs classes d’insecticides à la fois, ce qui rendra la lutte contre ces insectes presque impossible avec uniquement des produits chimiques. Michael Scharf, entomologiste à l’Université Purdue

Chacune des classes d’insecticides agit d’une manière différente pour tuer les coquerelles. Les exterminateurs préparent souvent un mélange de plusieurs classes d’insecticides. Ainsi, si un petit pourcentage d’insectes résiste à une classe, les insecticides des autres classes les élimineront.

Les chercheurs américains ont testé ces méthodes dans des immeubles à logements multiples en Indiana et en Illinois pendant six mois.

Dans le cadre d’un premier traitement, trois insecticides de classes différentes ont été utilisés en alternance chaque mois pendant trois mois, puis de nouveau. Dans un second, ils ont utilisé un mélange de deux insecticides de classes différentes pendant six mois. Et dans le troisième, ils ont choisi un insecticide auquel les coquerelles avaient une faible résistance initiale et l’ont utilisé tout le temps.

Dans chaque endroit, des coquerelles ont été capturées avant l’étude et testées en laboratoire pour déterminer les insecticides les plus efficaces pour chaque traitement, ce qui a permis aux scientifiques d’obtenir les meilleurs résultats possible.

« Si vous avez la possibilité de tester les coquerelles avant et de choisir un insecticide qui a une faible résistance, cela augmente les chances », explique Michael Scharf. « Mais même là, nous avions du mal à contrôler les populations. »

En ayant recours à trois insecticides, les chercheurs ont réussi à contenir les populations de coquerelles pendant une période de six mois, mais ils n’ont pas réussi à les réduire.

De plus, le mélange de deux insecticides n’a pas fonctionné et les populations ont prospéré.

Comment venir à bout des coquerelles?

Dans l’une des expériences avec un insecticide unique, Scharf et ses collègues ont constaté qu’il y avait peu de résistance à l’insecticide choisi, et ils ont été en mesure d’éliminer presque entièrement la population d’insectes. Dans une autre, il y avait environ 10 % de résistance au départ, et les populations ont fini par augmenter.

Des tests ultérieurs menés en laboratoire sur les cafards restants ont montré que la résistance croisée jouait probablement un rôle important. Un certain pourcentage de coquerelles ont présenté une résistance à une classe de pesticides. En fait, celles qui ont survécu à un traitement et leur progéniture seraient essentiellement immunisées contre cet insecticide à l’avenir.

De plus, elles ont également acquis une résistance à d’autres classes d’insecticides, même si elles n’avaient pas été exposées et qu’elles ne présentaient pas de résistance avant.

Nous avons vu la résistance quadrupler ou sextupler en une seule génération. Nous n’imaginions absolument pas qu’une chose pareille pouvait arriver si vite. Michael Scharf, entomologiste à l’Université Purdue

Les femelles ont un cycle de reproduction de trois mois au cours duquel elles peuvent avoir jusqu’à 50 petits. Or, si un petit pourcentage de coquerelles sont résistantes à un insecticide et qu’elles acquièrent une résistance croisée, une population éliminée par un seul traitement pourrait exploser à nouveau en quelques mois.

Ces chercheurs, dont les travaux sont publiés dans la revue Scientific « (en anglais), affirment que seule une approche intégrée de lutte antiparasitaire peut venir à bout d’un problème de coquerelles. Ils recommandent de combiner les traitements chimiques avec des pièges, des aspirateurs, mais aussi des installations sanitaires améliorées.

« Ces techniques sont souvent plus coûteuses que l’utilisation d’insecticides, mais si ces derniers ne permettent pas de contrôler ou d’éliminer une population, alors on gaspille de l’argent », explique M. Scharf.

« Combiner plusieurs méthodes sera bientôt le seul moyen efficace d’éliminer les coquerelles », conclut Michael Scharf.

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Des coquerelles pour réduire le gaspillage alimentaire


Trouver des coquerelles chez-soi, il faut appeler les exterminateurs. Pourtant, en Chine, ils ont trouvé une manière écologique de les utiliser pour lutter contre le gaspillage alimentaire par leur appétit vorace. Quand ils meurent, ces insectes sont réduits en farine haute en protéine et nourrissent les volailles et le cycle continu.
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Des coquerelles pour réduire le gaspillage alimentaire

 

Une course de coquerelles au Wisconsin


Est-ce vraiment un sport de faire courir des coquerelles. Faut vraiment pas savoir quoi faire de son temps pour faire de telle chose
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Une course de coquerelles au Wisconsin

 

Les coquerelles donnent des cauchemars à certains. Mais pour une compagnie du... (Photo Bloomberg News)

PHOTO BLOOMBERG NEWS

Associated Press
New Berlin, Wisconsin

Les coquerelles donnent des cauchemars à certains. Mais pour une compagnie du Wisconsin, ces insectes sont essentiels pour un sport.

Batzner Pest Management a organisé jeudi sa 13e «Course des coquerelles» à New Berlin.

Neuf blattes de Madagascar ont participé à trois courses le long d’une piste de 2,5 mètres spécialement conçue. Chaque coquerelle était guidée par un employé à l’aide d’une paille.

Le responsable de la formation, Karl Rowell, a lancé à la blague que les insectes avaient été séparés à l’aube pour éviter qu’elles ne s’asticottent. Les participants ont reçu de la nourriture pour chien et de la laitue avant l’épreuve.

La compagnie verse 500 $ US à la Fondation Fisher House au nom de l’équipe gagnante. L’organisme aide les familles des patients se trouvant dans des centres médicaux pour membres de l’armée et anciens combattants.

Selon M. Rowell, l’équipe gagnante a également le droit de se vanter, y compris en plaçant des photos de coquerelles sur les bureaux des perdants.

http://www.lapresse.ca

Des coquerelles alliées en zones contaminées


Alors que des gens gagnent leur vie a chassé et exterminer les coquerelles qui ont la mauvaise idée de s’inviter dans les maisons alors que d’autres, les chercheurs sont très intéressés par leurs capacités pour chercher certaines informations avec une technologie très miniaturisée
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Des coquerelles alliées en zones contaminées

 

Une Blaberus craniifer munie de l'un des transmetteurs créés par les chercheurs de l'Université Purdue.

Une Blaberus craniifer munie de l’un des transmetteurs créés par les chercheurs de l’Université Purdue. Photo :  Benjamin Epstein

Des coquerelles pourraient bien un jour permettre de connaître l’état de zones contaminées par des radiations nucléaires ou des déchets toxiques.

Des chercheurs américains de l’Université Purdue ont réussi à attacher des microémetteurs et des microphones à des coquerelles. Ils espèrent que ces insectes pourront éventuellement être l’une des composantes d’un vaste réseau capable de recueillir des informations importantes.

Les coquerelles, ces canevas d’innovations

La robustesse des coquerelles et leur capacité à s’infiltrer partout en font des interfaces biologiques particulièrement intéressantes pour les chercheurs.

L’équipe a choisi la Blaberus craniifer, ou « coquerelle à tête noire », pour sa rapidité et sa facilité à passer à travers les fentes. À l’âge adulte, ces coquerelles peuvent mesurer de 5 à 8 centimètres, mais ne peuvent pas transporter plus de 3 grammes. Un défi de taille pour les scientifiques qui doivent composer avec des pièces électroniques miniatures difficiles à trouver.

« Nous savions que la composante qui consomme le plus d’énergie et qui requiert le plus d’énergie est le transmetteur sans fil. Si nous optimisions le transmetteur, nous pourrions diminuer sa taille et son poids. »— Serkan Sayilir, candidat au doctorat et membre de l’équipe de recherche

Les chercheurs ont alors conçu leur propre transmetteur, composé d’un émetteur et d’un récepteur, qui leur a permis d’économiser de l’énergie et réduire le nombre de composantes électroniques requises.

M. Sayilir assure que la performance n’a pas été sacrifiée au profit de la petite taille.

Ce n’est pas la première fois que des scientifiques tentent de former des coquerelles au travail de secouristes. En 2012, des chercheurs britanniques avaient réussi à faire suivre à quelques-unes d’entre elles une trajectoire prédéterminée en installant sur leur dos une puce directement liée à leur système nerveux.

Diriger l’itinéraire des coquerelles est justement le prochain défi qui attend les chercheurs de l’Université Purdue. Pour le vice-président des projets spéciaux de la compagnie de distribution de systèmes en réseau OpCoast, Benjamin Epstein, il n’y a qu’une seule façon d’outrepasser cette limite : en relâchant des colonies d’insectes.

« Statistiquement, certaines vont aller où nous voulons qu’elles aillent. » Benjamin Epstein

Le saviez-vous?
Une étude publiée
en mai dernier montre que la coquerelle a développé en quelques années dans ses gènes une aversion au sucre pour survivre aux appâts empoisonnés.

http://www.radio-canada.ca

Des coquerelles ont perdu le goût du sucre pour survivre


Personnes ne veut des coquerelles dans leur maison, car elles sont difficiles a faire quitter notre résidence qu’il faut faire appel aux exterminateurs. Le seul problème, c’est que ces cafards ont trouvé une manière de se protéger tout en transmettant à leur progéniture le moyen de d’éviter le piège des exterminateurs
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Des coquerelles ont perdu le goût du sucre pour survivre

Une coquerelleIl existe quelque 4000 espèces de blattes sur la planète  Photo :  iStockphoto

Le meilleur ennemi de l’homme, la coquerelle, a développé en quelques années dans ses gènes une aversion au sucre, affirment des scientifiques américains. La raison de cette évolution rapide? Survivre dans la bataille qui les oppose aux humains, explique Jules Silverman, professeur d’entomologie à l’Université de Caroline du Nord.

Contexte

Depuis le milieu des années 1980, les exterminateurs utilisent une forme de glucose (une forme de sucre) pour enrober les appâts empoisonnés et détruire ces insectes envahisseurs.Toutefois, après 7 à 8 ans d’utilisation, le poison a cessé de faire effet, et les populations de cafards ont commencé à se multiplier rapidement, au grand dam des exterminateurs et à la surprise des scientifiques.

Or, l’équipe du Pr Silverman a découvert que les coquerelles ne sont pas devenues résistantes aux insecticides, mais qu’elles ont tout simplement arrêté de manger des appâts contenant du glucose.

L’équipe a aussi découvert que cette aversion pour le sucre était héréditaire et qu’elle était donc transmise de génération en génération.

Jusqu’aujourd’hui, la bataille avec ces insectes portait sur leur capacité à développer une résistance aux insecticides.

Ces travaux montrent en fait que cette « course aux armements » inclut également une résistance dans le comportement à certains types de nourriture, dans ce cas, le sucre.

« La plupart du temps des mutations génétiques entraînent la perte d’une fonction biologique, or ici, c’est l’opposé puisque ces cafards ont acquis une nouvelle fonction, à savoir déclencher des capteurs sensoriels gustatifs de l’amertume en présence de glucose. » — Coby Schal, Université de Caroline du Nord

C’est ainsi que le système gustatif de ces insectes a été modifié.

Dans leur recherche, les chercheurs ont testé ce changement avec des tests sur la langue et les deux paraglosses, un appendice de la bouche des insectes. Ces tests ont montré des réactions électrophysiologiques indiquant que le glucose stimulait les capteurs nerveux de l’amertume.

Ceci donne aux cafards un nouveau comportement qui représente une adaptation incroyable aux pressions de l’environnement pour survivre. […] Jusqu’alors les cafards adoraient la saveur sucrée. Les cafards viennent de nous devancer dans la course aux armements que nous leur livrons, et ce, en sept ou huit ans.

Les auteurs, dont les résultats sont publiés dans la revue Science, expliquent s’agit d’une réponse génétique très rapide face aux très fortes pressions de la sélection provoquées par les insecticides.

Selon eux, l’évolution dépend également de la durée de vie des générations.

La modification dans leur système gustatif a un prix. Les coquerelles allergiques au sucre connaissent une croissance plus lente que la normale en laboratoire.

Les chercheurs veulent maintenant savoir comment ce trait persiste dans la nature, où la disponibilité de nourriture est probablement limitée.

Le saviez-vous?

Communément appelée coquerelle au Québec, la blatte porte plusieurs noms. En Europe, elle est appelée cafard ou cancrelat,  et en Haïti, ravet.

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Il meurt après avoir gagné un concours répugnant


Quelle stupidité encore que font les américains .. un concours de bouffe .. d’insectes pour gagner quoi ??? Un serpent … un serpent qui ne devrait pas rester dans une maison mais bien vivre dans son environnement .. Égoisme de s’approprié des créatures qui ne devraient jamais etre comme animal domestique
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Il meurt après avoir gagné un concours répugnant

 

 

ivory ball python

Source : Miami Herald

En Floride, un homme âgé de 32 ans est décédé après avoir remporté un concours du plus grand mangeur de coquerelles géantes organisé par le commerce Ben Siegal Reptile Store. Edward Archbold était prêt à tout pour obtenir le grand prix : un python de race « Ivory Ball ». Le but était d’engloutir le plus d’insectes en quatre minutes sans vomir.

Avant de pouvoir quitter avec son prix tant convoité, Archbold s’est mis à vomir.

 Selon un rapport de police, « il avait consommé des douzaines de vers de terre et de coquerelles ».

Le participant s’est effondré à l’extérieur du magasin et a été transporté d’urgence à l’hôpital Broward Health North, où il a été déclaré mort.

Une autopsie tentera de révéler la cause exacte du décès. Aucun autre participant du concours peu appétissant n’a été malade. Certaines personnes ont commenté que les insectes auraient pu causer une réaction allergique ou transmettre des bactéries fatales à la victime.

http://www.insolite.ca/