La confession d’une agression sexuelle découverte plus de 300 ans après


Une confession d’une agression sexuelle au XVIIe siècle sous une autre confession corrigé étant donné que l’agresseur, c’est mariée avec sa victime comme un accord. C’est une chance pour lui que ce soit passé à cette époque, en espérant quand même que la servante a retrouver son estime de soi.
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La confession d’une agression sexuelle découverte plus de 300 ans après

 

© DR.

Un conservateur du Musée national de la marine de Londres a découvert la confession d’une agression sexuelle commise par un marin au XVIIe siècle et relatée dans son journal, à l’occasion d’une exposition organisée par l’établissement.

Le marin, Edward Barlow, avait dissimulé son premier récit en collant par dessus une autre page avec tant de soin qu’il avait jusqu’ici trompé la vigilance des chercheurs qui étudiaient l’ouvrage.Ce fils de fermier, aux récits connus des spécialistes de l’histoire britannique et de l’expansion de sa puissance maritime, a passé neuf ans à chroniquer ses aventures de marin jusqu’à devenir capitaine de son propre bateau.

Ses écrits débutent lorsqu’il est détenu dans les Indes orientales néerlandaises en 1671. Il évoque plus loin, à son retour en Angleterre, une relation sexuelle avec une servante nommée Mary Symons qui s’est déroulée « en bonne partie contre sa volonté ».

« Elle était endormie, et une fois que je me suis introduit dans le lit, je n’ai pas réussi à me persuader d’en sortir. Je confesse que ce que j’ai fait dépassait ce qui était légal ou respectueux », écrit-il.

Plus tard, au retour d’un voyage en Jamaïque, il avait accepté de rencontrer Mary Symons.

Elle « pleurait misérablement et se disait brisée »

Ils se marièrent finalement et eurent plusieurs enfants.

Dans sa seconde version, collée sur la première a expliqué à l’AFP Robert Blyth, le conservateur principal du Musée national de la marine de Greenwich, Edward Barlow n’évoque pas l’agression et écrit qu’il l’avait épousée « ayant partagé avec elle un peu plus que de la familiarité ordinaire ».

C’est Paul Cook, conservateur du musée et spécialiste des papiers anciens qui a découvert la version originale de ce récit, après avoir travaillé neuf ans sur ce journal.

Certaines de ses pages sont présentées dans la nouvelle galerie Tudor and Stuart, qui a ouvert ses portes le 20 septembre.

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Confession


J’aime bien les proverbes à conditions de les comprendre. Bref ! Il est important de ne pas raconter des choses intimes à n’importe qui, il faut bien les connaitre pour éviter des déceptions  Et avec l’ère d’internet, c’est encore plus vrai
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Confession

 

 

Bien sot est le mouton qui se confesse au loup.

Proverbe Allemand

Le Saviez-Vous ► 5 des pires techniques de torture de l’histoire


C’est un billet glauque, quand je pense qu’il y a des gens qui en font des collections de ce genre d’objet, j’en ai des frissons. Moi, c’est juste pour une connaissance, car cela fait partie de l’Histoire de l’humanité, ces moyens de tortures ont existé et j’espère que ces objets sont choses du passé, mais il y a peut-être des objets pires que ceux-là aujourd’hui …
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5 des pires techniques de torture de l’histoire

 

Connaissez-vous les instruments de tortures ou de mort lente les plus cruels utilisés dans l’Histoire? Sans en faire une liste exhaustive, voici un top 5 des pires procédés qui ont été employés pour faire parler des prisonniers!

1- L’empalement:

Gravure illustrant Vlad Tepes mangeant dans une forêt de pales

Technique utilisée dès l’Antiquité par les Assyriens, elle a surtout été popularisée au 15e siècle par Vlad Tepes, mieux connu sous le nom de Dracula ou… de l’empaleur (surnom donné après sa mort toutefois). L’objectif était de provoquer une mort lente et douloureuse en insérant le corps du prisonnier sur un long pieux au bout arrondi, qui passait par l’anus et ressortait… par la bouche. On attribue à Dracula l’ajout d’huile sur le pique pour s’assurer d’une mort lente de ses prisonniers! La technique visait à démontrer la puissance du seigneur, mais aussi à dissuader toute personne de contester son autorité. Vlad Tepes est de plus reconnu dans la légende pour avoir créé une véritable forêt de pales avec ses ennemis ottomans.

2- La fourche:

Technique utilisée depuis le Moyen Âge, la fourche consistait à placer un instrument ressemblant à une petite fourchette à deux dents sur la gorge des prisonniers. Dans certains cas, il pouvait y avoir une fourche à chaque bout d’une tige, soit une contre la gorge et l’autre contre le sternum. Ouille!!!

Si les prisonniers avaient le malheur de s’endormir, ils risquaient de mourir au bout de leur sang. Une terrible méthode pour obtenir des confessions, notamment de pactes avec le diable dans le cadre des chasses aux sorcières et aux hérétiques!

3- Le séparateur ou briseur de genoux

Le briseur de genoux

Le mot le dit, cet instrument de torture visait à briser les genoux des prisonniers afin de les forcer à la confession. Cette technique a beaucoup été utilisée par l’Inquisition catholique, toujours dans cette chasse aux hérétiques. Les bourreaux plaçaient le genou de la victime entre deux planches de bois munies de clous et resserraient les planches à l’aide d’une vis.

4- L’écraseur de tête

Le mot veut tout dire! Cette technique médiévale terrifiante consistait à placer la tête du prisonnier avec le menton bien positionné sur une barre de bois. À l’aide d’un simple dispositif à vis, la tête était lentement comprimée entre les planches, faisant tout d’abord éclater les dents. Vous pouvez aisément deviner la suite…

5- La poire d’étouffement ou d’angoisse

Une autre technique de torture qui nous vient du Moyen Âge et qui visait notamment les hommes accusés d’un crime considéré comme très grave par l’Église catholique: la sodomie. Pour vous faire avouer vos fautes, rien de mieux que la poire d’étouffement ou aussi connue sous le nom de poire d’angoisse! Cette dernière pouvait être placée dans la bouche, d’où son nom… mais aussi ailleurs (servez-vous de votre imagination, notamment pour un homme accusé d’homosexualité!) Cet objet métallique avait la forme d’une poire et une fois insérée dans la bouche ou tout autre orifice, était agrandi toujours à l’aide d’une vis. Dans certains cas, les extrémités de l’appareil étaient édentées! 

Sachez par ailleurs que ces objets ont une grande valeur auprès de certains collectionneurs d’objets médiévaux!

PAR EVELYNE FERRON

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