L’entreprise Dela utilise les empreintes digitales des défunts à des fins commerciales


La mort, c’est un vrai commerce. Les compagnies funéraires jouent souvent avec les sentiments de ceux qui restent pour ajouter des dépenses pour des funérailles. Prendre les empreintes sans permission dans le but de faire plus d’argent est vraiment troublant
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L’entreprise Dela utilise les empreintes digitales des défunts à des fins commerciales

© getty.

PAYS-BAS L’entreprise spécialisée en funérailles, qui combine l’organisation et l’assurance d’obsèques, Dela, prélève les empreintes digitales des défunts sans l’autorisation de leurs proches, a découvert la radio néerlandaise, Radio 1. Dela, qui est aussi présente en Belgique, utilise ces empreintes à des fins commerciales.

Dela prend ces empreintes digitales sans qu’un proche du défunt ne soit présent, quelques jours avant les obsèques. Quelques semaines plus tard, les proches reçoivent un e-mail de Dela leur demandant s’ils souhaitent créer une bague ou une chaîne avec l’empreinte digitale du disparu. Pour un prix compris entre 124 et 1.320 euros. (entre 186 et 2 000 $ cad) L’entreprise ne détaille pas dans son courrier comment et pendant combien de temps les empreintes sont conservées.

Dela est également active en Belgique. On ignore si la pratique n’est appliquée qu’aux Pays-Bas.

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Retour vers la Lune : la Nasa veut installer un poste avancé en orbite cislunaire


Avec Donald Trump, l’exploration spatiale va changer, Mars ne serait plus le but premier pour le moment, pour un vol habité et malheureusement l’observation de la Terre et les études du climat seront mit au rancard. La lune prend une place importante à des buts scientifiques et commerciale … Ce dernier point m’agace un peu.
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Retour vers la Lune : la Nasa veut installer un poste avancé en orbite cislunaire

 

Par Rémy Decourt, Futura

 

La Nasa vise la Lune. Un poste avancé de l’exploration habitée pourrait être installé sur une orbite « cislunaire » d’ici quelques années. Mars est toujours un objectif de long terme, mais l’activité humaine à proximité de la Terre et de la Lune offre des perspectives commerciales et scientifiques économiquement plus intéressantes qu’une aventure martienne.

La Nasa, qui a reçu du président Obama la mission d’explorer un astéroïde et d’envoyer un équipage vers Mars dans les années 2030, pourrait devoir revoir ses plans. Mais pas ses ambitions. La proposition de budget pour l’exercice fiscal 2018, bien qu’elle prévoit l’annulation de la mission de capture d’un astéroïde, privilégie l’exploration robotique et humaine de l’espace profond. Les détails de ce budget avec les autres missions annulées et celles confirmées seront dévoilés en mai.

Cela étant, si l’on se fie aux précédentes déclarations du président Trump, il faut s’attendre à ce que les activités de la Nasa soient avant tout dirigées vers l’exploration du Système solaire, au détriment des activités liées à l’observation de la Terre et l’étude de climat. La nouvelle administration réfléchirait également à réorienter l’effort de l’Agence spatiale américaine en direction de la Lune avec en ligne de mire un retour de l’Homme et la ferme intention de s’y installer durablement.

Concept de poste avancé en orbite cislunaire proposé par la société Lockheed Martin dans le cadre du programme NEXTStep de la Nasa. © Lockheed Martin

Concept de poste avancé en orbite cislunaire proposé par la société Lockheed Martin dans le cadre du programme NEXTStep de la Nasa. © Lockheed Martin

La Lune, tremplin idéal pour l’exploration humaine

Ce regain d’intérêt pour notre satellite naturel est donc une aubaine pour la Nasa qui n’a pas les capacités technologiques actuellement d’envoyer des humains sur Mars. La Planète rouge, toutefois, reste un objectif prioritaire pour les États-Unis.

L’idée d’un poste avancé lunaire pour les futures missions humaines, échafaudées sous la présidence Obama dans la logique de préparer les technologies pour Mars, émerge de nouveau et devient d’actualité. Cette station serait installée sur une orbite cislunaire, c’est-à-dire englobant le couple Terre-Lune.

Le saviez-vous ?

Les orbites cislunaires sont intéressantes à plusieurs égards. Sur une telle orbite autour, à la fois, de la Terre de la Lune, le périgée est proche de notre planète et l’accès est donc facile. L’apogée est, lui, voisin de l’orbite de notre satellite. Un engin spatial injecté sur une telle orbite passerait régulièrement, sans dépense d’énergie, près de la Terre et près de la Lune.

Autre intérêt : une grande stabilité. Un poste avancé ne sera pas contraint à des manœuvres régulières de correction de trajectoire, comme l’ISS qui doit fréquemment rehausser son orbite autour de la Terre.

Elles ont aussi leurs inconvénients. Le principal tient au fait qu’elles se situent hors du champ magnétique protégeant la Terre, avec toutes les conséquences que cela peut avoir sur la santé des astronautes.

Vers une future station spatiale cislunaire

Dans ce contexte plutôt favorable à l’exploration habitée, Bill Gerstenmaier, responsable adjoint de la Nasa pour les vols habités, rappelle qu’après le vol d’essai, les premiers voyages du futur lanceurlourd de la Nasa, le Space Launch System (SLS), qui sera utilisé pour lancer le véhicule spatial Orion, sont toujours sans passagers auxiliaires. Et de la place, il y en a. Le SLS est configuré pour transporter une charge utile de 77 tonnes, mais à terme il pourra lancer plus de 130 tonnes. Or, les 22 tonnes au lancement d’Orion laissent une place à une charge utile auxiliaire bien plus lourde.

Bill Gerstenmaier souhaiterait utiliser le SLS pour lancer les premiers éléments de l’avant-poste cislunaire de la Nasa. Comme les vols sont prévus dès le début des années 2020, il y a une certaine urgence à prendre des décisions au cours de ces prochains mois.

Dans cette perspective, la Nasa a une idée assez précise de ce à quoi pourrait ressembler cet avant-poste cislunaire qui pourrait suppléer dès 2024 ou 2028 à la Station spatiale internationale. Dans le cadre du programme NextSTEP, elle a sollicité les idées de six entreprises privées pour concevoir une station spatiale habitée en orbite cislunaire.

http://www.futura-sciences.com

Les plus belles constructions architecturales de l’année 2016, selon les lecteurs du site ArchDaily


L’architecture est un art, une création qui est construite selon l’imagination de l’architecte
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Les plus belles constructions architecturales de l’année 2016, selon les lecteurs du site ArchDaily

Les lecteurs du site d’architecture ArchDaily ont élu les plus belles constructions de l’année 2016. Celles-ci rentraient dans différentes catégories: architecture dans un espace public, de sport, d’éducation, pour la santé, les maisons et immeubles résidentiels…

Ci-dessous, retrouvez en photos les  gagnants, des édifices bâtis aux quatre coins du monde, de New York au château de Versailles.

Prix de l’architecture commerciale

MVRDV / ArchDaily

Crystal Houses, Pays-Bas.

Prix de l’architecture religieuse

Nicolás Campodonico / ArchDaily

Capilla San Bernardo, Argentine.

Prix de l’architecture d’hospitalité

Secondfloor Architects / ArchDaily

Yellow Submarine Coffee Tank, Thaïlande.

Prix de l’architecture de sports

3Arquitectura / ArchDaily

Sonora Stadium, Mexique.

Prix de l’architecture des soins pour la santé

Foster + Partners / ArchDaily

Maggie’s Cancer Centre Manchester, Grande-Bretagne.

Prix de l’architecture publique

Luís Pedro Silva Arquitecto / ArchDaily

Leixões Cruise Terminal, Portugal.

Prix de la rénovation.

WORKac / ArchDaily

The Stealth Building, Etats-Unis.

Prix des bureaux

LEGORRETA + LEGORRETA + Rogers Stirk Harbour + Partners / ArchDaily

BBVA Bancomer Tower, Mexique.

Prix des meilleurs produits appliqués

Dominique Perrault Architecte / ArchDaily

Rénovation du Pavilion Dufour du Château de Versailles, France.

Prix de l’architecture pour l’éducation

COBE / ArchDaily

Frederiksvej Kindergarten, Danemark.

Prix de l’architecture à petite échelle

ICD-ITKE University of Stuttgart / ArchDaily

ICD-ITKE Research Pavilion 2015-16, Allemagne.

Prix de l’architecture culturelle

Herzog & de Meuron / ArchDaily

Elbphilharmonie Hamburg, Allemagne.

Prix de l’architecture industrielle

ARCHSTUDIO / ArchDaily

Tangshan Organic Farm, Chine.

Prix pour les maisons

spaceworkers / ArchDaily

Casa Cabo de Vila, Portugal.

Prix de l’architecture d’intérieur

Supermachine Studio / ArchDaily

Hubba-to, Thaïlande.

Prix pour les immeubles résidentiels

BIG / ArchDaily

VIΛ 57 West, Etats-Unis.

http://quebec.huffingtonpost.ca