En Alle­magne, une femme se réveille après 28 ans passés dans le coma


Imaginez passer 28 ans dans le coma est se réveiller tout d’un coup. Il y a 28 ans, en vogue à cette époque, Aujourd’hui, presque tout le monde a un cellulaire, un ordinateur et ou une tablette. Étant donné qu’elle réapprend à vivre, cela va être sûrement très long
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En Alle­magne, une femme se réveille après 28 ans passés dans le coma

 

par  Nicolas Prouillac

 

La dernière fois qu’elle avait vu son fils, Omar avait quatre ans. Munira Abdulla était venue le cher­cher à l’école en voiture, pour le rame­ner dans leur maison d’Al-Aïn, aux Émirats arabes unis. Mais sur le trajet, la femme de 32 ans a percuté un bus scolaire. Avant l’im­pact, la mère a protégé son fils, qui s’en est tiré avec une simple bosse sur la tête. Munira Abdulla, elle, est tombée dans un coma profond des suites d’un violent trau­ma­tisme crânien. Mais ce 22 avril 2019, The Natio­nal nous apprend qu’elle s’est réveillée.

Elle se trou­vait alors dans une chambre d’hô­pi­tal en Alle­magne, où elle a été trans­fé­rée en avril 2017. Omar Webair a désor­mais 32 ans et il n’a jamais songé à bais­ser les bras.

« Je n’ai jamais aban­donné car j’ai toujours eu le senti­ment qu’elle se réveille­rait un jour », raconte-t-il aujourd’­hui.

Pour­tant, avant qu’elle n’ar­rive en Alle­magne, où elle a commencé à montrer des signes de réac­ti­vité, rien ne lais­sait espé­rer les méde­cins qu’elle puisse se réveiller un jour.

C’est le prince d’Abou Dabi Moham­med ben Zayed Al Nahyane lui-même qui a auto­risé la famille à faire hospi­ta­li­ser Munira Abdulla en Alle­magne, où les docteurs lui ont prodi­gué diffé­rentes théra­pies physiques pour empê­cher la dété­rio­ra­tion de ses muscles.

« Notre but prin­ci­pal était de permettre à son état de conscience fragile de se déve­lop­per dans un corps sain, comme une plante déli­cate a besoin d’une terre fertile pour pous­ser », explique le neuro­logue Ahmad Ryll.

Munira Abdulla est aujourd’­hui de retour aux Émirats arabes unis. Son état s’est consi­dé­ra­ble­ment amélioré, lui permet­tant d’avoir de brèves conver­sa­tions et d’ex­pri­mer ce qu’elle ressent. Elle reçoit encore de nombreux soins.

« Toutes ces années les méde­cins m’ont répété que son cas était déses­péré, et qu’il n’était inutile de pour­suivre les trai­te­ments », raconte Omar. « Mais à chaque fois que le doute s’im­misçait en moi, je me mettais à sa place et j’ai fait ce que j’ai pu pour que son état s’amé­liore. »

Ses efforts ont payé.

https://www.ulyces.co/

Viol : dans le coma depuis 10 ans, elle donne naissance à un enfant


Une femme dans un état végétatif demandant des soins et surveillance 24/24 h depuis environs 10 ans, a accoucher d’un bébé. Comment elle a pu être violée ? Comment il se fait que personne n’a remarqué sa grossesse ? Comment un homme peut profiter ainsi de personnes aussi vulnérables ?
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Viol : dans le coma depuis 10 ans, elle donne naissance à un enfant

 

bébé naissance

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Crédits : iStock

par Brice Louvet, rédacteur scientifique

Aux États-Unis, une femme plongée dans un état végétatif depuis une dizaine d’années aurait il y a quelques jours donné naissance à un petit garçon. La police de Phoenix, en Arizona, vient d’ouvrir une enquête pour agression sexuelle.

Une quasi-noyade avait laissé il y a une dizaine d’années cette femme dans un état végétatif. Elle réside depuis au Phoenix Hacienda HealthCare, qui lui prodigue des soins 24 heures sur 24. Une surveillance accrue, et pourtant, quelques jours après Noël, l’impensable s’est produit : la jeune femme a accouché d’un petit garçon en bonne santé. Personne ne la savait enceinte. Une enquête vient d’être ouverte pour agression sexuelle

« Cette affaire fait actuellement l’objet d’une investigation par la police de Phoenix », a confirmé à l’agence Reuters le sergent Tommy Thompson.

Un « incident extrêmement troublant »

« En tant qu’organisation, Hacienda HealthCare est fermement résolue à faire la lumière sur ce qui représente pour nous une affaire sans précédent, a de son côté déclaré David Leibowitz, porte-parole d’Hacienda HealthCare, dans un communiqué, qui prend bien évidemment conscience d’un incident extrêmement troublant » impliquant l’un de ses résidents. « Alors que les lois fédérales et nationales sur la vie privée nous interdisent de discuter publiquement de la santé ou du cas d’un patient, Hacienda a et continuera de coopérer pleinement avec les forces de l’ordre et tous les organismes de réglementation compétents concernant cette affaire », peut-on lire.

Cette affaire a par ailleurs fait émerger certaines voix particulièrement porteuses, dont celle de la militante Tasha Menaker, à la tête d’une association luttant contre les violences sexuelles et domestiques dans l’Arizona. La jeune femme exhorte la police à procéder à des prélèvements d’ADN auprès du personnel de la cliniqueafin d’identifier le coupable de cette agression

«Il n’est pas rare que les agresseurs fassent plusieurs victimes, ce qui nous inquiète, a-t-elle déclaré. De nombreux auteurs d’agression sexuelle recherchent en réalité des situations dans lesquelles des personnes se trouvent dans des positions isolées ou vulnérables».

Il ne s’agit pas d’une première

On note par ailleurs que ce n’est pas la première fois que l’établissement – spécialisé dans les soins de santé en Arizona pour les nourrissons, les enfants, les adolescents et les jeunes adultes souffrant de maladies chroniques et de troubles de développement – se retrouve au centre de ce genre d’affaire. Des cas similaires de maltraitance ont également été signalés en 2013, explique le Washington Post. Une enquête avait en effet révélé qu’un membre du personnel, depuis licencié, avait fait «des déclarations sexuelles inappropriées » à quatre patients.

Source

https://sciencepost.fr/

Il se réveille après douze ans dans le coma


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    Une vraie dévotion et d’espoir qu’une mère a pu s’occuper de son fils tétraplégique qui s’est réveillé après 12 ans dans le coma.
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    Il se réveille après douze ans dans le coma

    © getty.

    Par: Deborah Laurent

    Un homme s’est réveillé après 12 ans de coma en Chine. Sa mère se trouvait à son chevet quand Wang Shubao a ouvert les yeux.

    Il avait 36 ans en 2006 quand il a été victime d’un terrible accident de voiture qui l’a laissé tétraplégique. Sa mère l’avait installé sous son toit, espérant qu’il sorte un jour du lourd sommeil dans lequel le drame l’avait plongé.

    Sa patience a été récompensée. Depuis douze ans, Wei Mingying, 75 ans, s’occupe de son grand garçon avec une dévotion qui force l’admiration. Elle a expliqué aux journalistes qu’elle le baignait tous les jours et le nourrissait par sonde gastrique. Elle le masse et le change de position pour lui éviter les escarres.

    Elle a remarqué un changement dans l’attitude de son fils il y a un mois. Elle avait détecté quelques brefs sourires. Pour le moment, Wang est incapable de parler ou de bouger. Mais il répond à sa mère en lui souriant et il rit devant ses émissions de télévision favorites.

    Le record du coma le plus long est détenu par Edwarda O’Bara, en Floride, qui est décédée en novembre 2012 après avoir passé 42 ans dans le coma sans jamais avoir repris conscience.

    https://www.7sur7.be/

Il meurt huit ans après avoir avalé une limace pour un pari


Un jeune homme très sportif, pour s’amuser a accepter un défi d’avaler une limace, il y a 8 ans. La  semaine dernière, il est mort a cause de ce défi.
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Il meurt huit ans après avoir avalé une limace pour un pari

 

 

Sam Ballard, un ancien espoir du rugby australien, est mort jeudi dernier après avoir avalé une limace pour un pari en 2010. Il avait 28 ans.

Nous vous avions raconté la triste histoire de Sam Ballard voici quelques mois. Pour rappel, le jeune homme, alors âgé de 19 ans en 2010, avait honoré un pari fait avec des amis en acceptant de manger une limace. Un pari un peu stupide aux conséquences pourtant dramatiques: après avoir ingéré le gastéropode, le robuste rugbyman est tombé malade, infecté par le angiostrongylus cantonensis, une espèce de nématode qui peut se propager chez l’être humain via les rats ou les mollusques.

Après un coma qui aura duré plus d’un an, le jeune homme s’est réveillé tétraplégique. Sam Ballard a pu quitter l’hôpital trois ans plus tard, en chaise roulante motorisée. Cependant, il faisait régulièrement des crises et était alimenté par une sonde.

L’état de santé du jeune Australien s’est aggravé ces dernières semaines. Après huit ans de combat contre la maladie, Sam Ballard s’est éteint la semaine passée à l’âge de 28 ans. Ses funérailles auront lieu ce jeudi.

https://www.7sur7.be/

Le Saviez-Vous ► Un Polonais est sorti de 19 ans de coma


C’est un cas très rare qui à été édité en juin 2007 et modifié en novembre 2009. Un homme qui tombe dans le coma pendant 19 ans au temps du communisme en Pologne et se réveille 19 ans après alors que son pays fait partie de l’Union européenne et l’OTAN. En plus, il avait 4 enfants et pendant ces années il est maintenant grand-père de 11 petits enfants. Ce sera toute une rééducation et reprendre le temps perdu
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Un Polonais est sorti de 19 ans de coma

 

Un cheminot polonais est sorti d’une période de 19 ans de coma. Il s’est réveillé dans un monde transformé…

Lorsqu’il est tombé dans le coma à la suite d’un accident, c’était à l’époque communiste. Depuis, la Pologne est entrée dans l’Union européenne et l’Otan.

19 ans… 19 ans de coma, et il se réveille… C’est l’histoire rarissime d’un cheminot polonais. Tout commence à l’été 1988. Jan Grzebski, cheminot à l’époque, a un accident : il est heurté par un wagon. Blessé à la tête, il continue tout de même à travailler. Puis progressivement, il cesse de parler et de bouger. Il a développé une tumeur au cerveau. Le verdict est impitoyable : les médecins ne lui donnent qu’un mois à vivre, deux au maximum. Jan Grzebski tombe dans le coma.

Pour sa femme, hors de question de le laisser, Gertruda s’occupe alors de lui. Il y a deux ans, même s’il était toujours inconscient, il a commencé à prononcer des mots et à avoir des petites réactions. Et en avril, les progrès continuent, il parle tout d’abord doucement puis de plus en plus fort. A l’époque de son accident, il était père de quatre enfants. Aujourd’hui, il a onze petits-enfants. A savoir aussi que Jan Grzebski est tombé dans le coma à l’époque communiste, au temps des magasins vides et de toutes les pénuries. Entre-temps, la Pologne est entrée dans l’Union européenne et l’Otan.

http://www.europe1.fr/

Les ados sont fous de Four Loko, à tort!


C’est la deuxième fois que j’ai un billet sur le Four Loko, une boisson énergisante fort en alcool et en sucre. (le sucre cache le goût de l’alcool qui équivaut 4 verres de vin dans une seule canette.). Une nouvelle marque est sur le marché québécois le FCKD UP qui en plus contient de la caféine. Le plus surprenant le mélange des trois est interdit au Canada, et pourtant, ils sont vendus dans des commerces. Malheureusement, les adolescents en sont friands et peut provoquer des palpitations, tremblement et pire un coma éthylique
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Les ados sont fous de Four Loko, à tort!

 

JOE RAEDLE VIA GETTY IMAGES

Elles pourraient vous envoyer directement aux urgences.

Les boissons énergisantes ont la cote chez les adolescents, malgré les dommages qu’elles peuvent causer à la santé. Mais qu’en est-il lorsque de l’alcool est ajouté à ce cocktail explosif?

Composées d’eau carbonisée, de sucre, d’arômes naturels et artificiels et de colorant, les boissons Four Loko affichent aussi une teneur en alcool à 11,9 %. Vendues en canettes de 568 ml, c’est l’équivalent de quatre verres de vin, en plus d’une teneur en sucre correspondant à 13 cuillères à thé. Mais il y a pire : la nouvelle marque québécoise FCKD UP ajoute de la caféine (sous forme de guarana) à sa boisson. Méchant trio ! Il faut savoir que la guarana contient naturellement de la caféine. Et il est pourtant interdit de vendre des mélanges d’alcool et de caféine au Canada. Manifestement, il vaudrait revoir la rigueur des lois canadiennes.

Ce qui inquiète simultanément, c’est la popularité de ces boissons. Même si ses fabricants respectent les normes d’étiquetage et les règlements concernant l’âge légal pour consommer de l’alcool, son réel public cible est habituellement plus jeune. Bien souvent, il ne connaît pas du tout sa tolérance à l’alcool. Pour cause, de plus en plus de cas de coma éthylique ou d’hospitalisations causées par une ingestion plus ou moins importante de ces boissons font les manchettes. TVA Nouvelles rapportait d’ailleurs en début de semaine qu’une jeune femme de 20 ans était tombée dans le coma après avoir bu une seule canette de Four Loko.

En matière de sucre, un contenant de Four Loko ou de FCKDUP contient plus que la limite quotidienne à ne pas dépasser selon les plus récentes recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), soit l’équivalent de 12 cuillères à thé de sucres libres par jour pour un adulte moyen. Pour les enfants, l’OMS recommande même de viser un apport maximal de 5 % de l’énergie totale, ou l’équivalent de 6 cuillères à thé par jour. De plus, le sucre et les saveurs masquent le goût de l’alcool. Pas étonnant que cela encourage les jeunes adultes à en consommer jusqu’à plus soif.

Les adolescents sont les plus grands consommateurs de boissons sucrées au pays. Selon la Coalition québécoise sur la problématique du poids, les garçons de 14-18 ans en consomment en moyenne un demi-litre (500 ml) par jour. Les filles du même âge en consomment en moyenne un tiers de litre ou l’équivalent d’une canette par jour. Et cela ne tient même pas compte de leur apport en jus de fruits. Ça fait beaucoup de sucre!

Étant donné la teneur en alcool importante – et de caféine dans le cas des boissons FCKDUP – de ces boissons, cela entraine son lot d’effets secondaires : palpitations cardiaques, tremblements, perte de conscience, coma éthylique… Et puisque ce type de boisson est souvent indirectement publicisé auprès des jeunes adultes, il est urgent d’agir collectivement pour éviter qu’elles ne causent davantage de dégâts.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Le Saviez-Vous ► L’incroyable parcours médical de John Fitzgerald Kennedy


Comment ce 35e président des États-Unis, a pu se hisser vers la victoire des élections présidentielles du pays en 1961, alors que médicalement, il fût vraiment hypothéqué. La douleur, les infections fut son quotidien. Il faut avouer que cet homme avait une volonté de fer
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L’incroyable parcours médical de John Fitzgerald Kennedy

 

Santé : l'incroyable parcours du combattant de John Kennedy

John F. Kennedy, 35e président des États-Unis, a connu un parcours médical chaotique

© CNP/ADMEDIA/SIPA

Lise Loumé

Spécialiste santé au pôle digital de Sciences et Avenir

Douleurs chroniques, infections nosocomiales, maladies rares… Le 35e président des États-Unis a connu un parcours médical chaotique durant toute sa vie, que deux neurochirurgiens retracent dans une étude.

Quand John Fitzgerald Kennedy devient président des États-Unis en 1961, il est – à 43 ans – le plus jeune élu à ce poste de l’histoire du pays. Fort de son âge, il marque les esprits par son dynamisme et un sourire en toutes circonstances. Mais l’image était bien trompeuse : le 35e président américain était en mauvaise santé, souffrant de douleurs lombaires chroniques et invalidantes. De plus, il a multiplié tout au long de sa vie maladies et infections, qui lui vaudront à quatre reprises l’extrême onction, racontent deux neurochirurgiens dans un article du Journal of Neurosurgery : Spine publié le 11 juillet 2017. Un parcours médical chaotique que les auteurs sont parvenus à retracer grâce au recueil de compte-rendus et images médicales provenant des différents médecins qui se sont occupés de JFK de son enfance jusqu’à son assassinat en 1963.

Des douleurs au dos qui s’accentuent lorsqu’il sauve un membre de son équipage à la Navy

Même si JFK a connu enfant la scarlatine (une forme particulière d’angine), puis plus tard la maladie d’Addison (une insuffisance surrénale rare qui altère les activités hormonales de l’organisme) et des maladies gastro-intestinales chroniques graves, c’est sa douleur au dos qui lui a été le plus handicapant, expliquent les neurochirurgiens. Le président serait né avec une articulation lombo-sacrée instable, qui ne se traduit pas immédiatement par une dégénérescence visible sur les radios, mais qui se révélera très douloureuse au fil du temps.

Les premiers maux seraient survenus en 1937, lorsque le jeune Kennedy, alors étudiant à l’Université de Harvard, se blesse en jouant au football américain. Un handicap qui l’empêche d’intégrer l’armée trois ans plus tard. Mais grâce à l’influence de son père, homme politique et diplomate américain, il obtient une place sur un navire de l’US-Navy, la marine de guerre américaine.

En 1943, soit en pleine Seconde Guerre mondiale, le vedette-torpilleur de JFK coule, frappé par un navire japonais. Il sauve un membre de l’équipage blessé, nageant avec lui pendant cinq longues heures avant de rejoindre l’île la plus proche ! L’événement, qui vaudra à JFK une médaille méritée pour conduite héroïque, est relaté dans les livres d’histoire aux États-Unis, mais très peu savent que cet acte de bravoure a exacerbé les problèmes de dos du futur président. Moins d’un an plus tard, il subit la première des quatre opérations de la colonne vertébrale qu’il connaîtra dans sa vie, entre 1944 et 1957.

Corset, béquilles et antidouleurs au quotidien

Les douleurs de JFK continuent en 1946, alors qu’il est candidat à la Chambre des représentants pour le 11e district du Massachussetts. Il est décrit comme « paralysé » par un membre de son équipe de campagne, rapportent les auteurs de l’étude. Il porte un corset et bénéficie de soins quotidiens. Un ancien conseiller politique raconte que JFK se déplace à cette époque en béquilles, qu’il prend soin de cacher lors de ses représentations publiques. Il est opéré une deuxième fois, pour placer un implant au niveau de la colonne vertébrale afin de soulager ses douleurs. Une opération à haut risque, puisqu’il souffre au même moment de la maladie d’Addison…

Après 7 années à la Chambre des représentants, Kennedy est élu au Sénat. Une infection urinaire grave le plonge dans le coma. Et lors de sa convalescence à Palm Beach, en Floride, il contracte une infection nosocomiale, provoquée par un staphylocoque… La plaie opératoire ne cicatrise pas. Lors d’une troisième opération de la colonne vertébrale, l’implant est retiré. Dès lors, le disque situé entre les vertèbres s’écrase peu à peu… Injections d’antidouleurs et cocktails à base de métamphétamine, que le président prendra presque toute sa vie, n’y feront rien : il souffrira de manière chronique du dos, avec des phases de rémission. Mais peu avant son assassinat, il est de nouveau dans une phase de fortes douleurs. Selon les auteurs de l’étude, il portait son corset lorsqu’il a été tué.

https://www.sciencesetavenir.fr

Une victime d’agression sort du coma et apprend que la province a donné ses biens


3 ans dans le coma après une agression et se réveille ayant tout perdu parce que le curateur a liquidé tous ses biens .. A t-il considéré comme mort clinique ? Je ne sais pas ce que la loi dit sur ce sujet, mais il devrait y avoir un fond de sureté au cas où qu’une personne revient à la vie.
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Une victime d’agression sort du coma et apprend que la province a donné ses biens

 

Le visage de Marcel Blanchette.

Marcel Blanchette a été traumatisé une deuxième fois lorsqu’il est sorti du coma et a appris que le gouvernement s’était débarrassé de tous ses biens. Photo : CBC/Laura Glowacki

Un homme victime d’une agression violente à Winnipeg lance une poursuite judiciaire de 93 778 $ contre le tuteur et curateur public du Manitoba. Marcel Blanchette soutient que l’agence n’aurait pas dû se débarrasser de tous ses biens pendant qu’il était dans le coma.

Marcel Blanchette, 52 ans, dit ne pas se souvenir de l’attaque du 2 décembre 2014 lors de laquelle il a subi des fractures au crâne, au nez et à un oeil, et une hémorragie au cerveau.

Après des opérations chirurgicales, M. Blanchette a été dans le coma pendant plusieurs semaines. Il ne parlait plus à sa famille biologique et n’avait pas laissé de testament ni de directives médicales à suivre par les fonctionnaires.

Le 12 janvier 2015, les médecins ont signé une ordonnance qui nommait le tuteur et curateur public du Manitoba responsable des affaires financières et personnelles de M. Blanchette.

C’est trois mois plus tard, pendant qu’il était hospitalisé au Centre des sciences de la santé de Winnipeg, que M. Blanchette a appris qu’il avait perdu son appartement et qu’un employé du gouvernement affecté à la gestion de ses affaires avait distribué tous ses biens personnels.

« En sortant du coma aux soins intensifs, je devais faire face à la réalité que j’étais victime une deuxième fois, dit l’homme en retenant ses larmes. J’étais vraiment anéanti. J’ai tout perdu de ce qui m’appartenait dans la vie. »

http://ici.radio-canada.ca

Les parents lui chantent "La Reine des neiges", la petite fille sort du coma


Cette petite fille qui était près de la mort, mais elle s’est rétablie d’une façon spectaculaire. On s’entends que ce n’est pas les chansons de la Reine des Neiges,qui a fait sortir l’enfant du coma,  mais pour la présence des parents qui chantaient. Même si on croit qu’une personne dans le coma n’entende pas, je crois qu’il est important de leur parler quand même …
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Les parents lui chantent « La Reine des neiges », la petite fille sort du coma

Les airs du film de Walt Disney "La Reine des neiges" ont sorti la petite fille du coma.

Les airs du film de Walt Disney « La Reine des neiges » ont sorti la petite fille du coma.

Photo: Sipa

ROYAUME-UNI – Une petite fille gravement malade, qui était tombée dans le coma, en est sortie. Dans son sommeil, ses parents lui ont chanté les airs de « La Reine des neiges », dessin animé de Walt Disney qu’elle adorait. Quand elle s’est réveillée, elle a dit les avoir entendus.

C’est un vrai petit miracle. A Oldham, en Angleterre, la petite Millie Moran, gravement malade et qui était en train de s’éteindre, a connu une guérison miraculeuse après que sa famille lui a chanté les chansons du film de Walt Disney La Reine des neiges.

L’histoire est rapportée par le quotidien The Mirror. La petite fille, âgée de 4 ans, est née avec une myéloméningocèle, un défaut rare creusant un trou de 8 centimètres dans sa moëlle épinière et qui lui a causé une immense cicatrice dans le dos. La petite fille souffre aussi d’un pancréas endommagé, d’une hydropcéphalie, et d’hyperinsulinisme.

Millie a été transportée à l’hôpital le 22 décembre 2014 avec une infection à la poitrine. Quelques jours plus tard, à l’approche de Noël, son  problème pulmonaire s’est aggravé et elle est tombée dans le coma. Quelques heures avant, elle avait été autorisée à ouvrir certains de ses cadeaux, et, toute excitée, avait découvert sous le papier déchiré, un jeu de karaoké pour chanter les airs de La Reine des neiges.

Les médecins avaient perdu espoir

Quand la petite fille est tombée dans le coma, ses parents, Emma Jaune et Michael Moran Clarke, et ses grands-parents, Vicky et Jason Shaw, ont refusé de se laisser abattre. Et ils ont commencé à chanter les airs du dessin animé de Disney.

« Millie était sur le point de mourir », raconte sa maman. « Nous ne pensions pas qu’elle allait survivre. Mais nous avons continué à chanter parce qu’elle aime cet air, et nous voulions faire le plus possible comme si elle était à la maison. On avait juste le petit espoir qu’elle nous entende. »

D’après les médecins, Millie, qui souffre également d’une maladie pulmonaire chronique, d’épilepsie et se déplace en fauteuil roulant, est le seul enfant au monde avec une telle combinaison de maladies. Son cas paraissait si désespéré que les médecins avaient même conseillé à la famille de la baptiser à l’hôpital. Mais, après plus d’un mois dans le coma, elle a fait un « rétablissement miraculeux », et a pu sortir en février dernier.

Quelques jours après, en discutant avec son grand-père, la petite fille lui a raconté qu’elle avait entendu les airs de La Reine des neiges chantés « quand elle était endormie, et se sentait très, très mal ». 

La maman de Millie a ensuite raconté : « Notre famille a réussi à rester forte pour notre petite fille, et je veux dire à toutes les autres familles de ne jamais perdre espoir. Il y a une lumière au bout du tunnel, il vous suffit de continuer. » 

Les parents ont aussi remercié un des médecins, le Dr Constantinos Kanaris, sans qui, disent-ils, leur petite fille n’aurait pas survécu.

http://www.metronews.fr/

L’anesthésie générale peut provoquer des pertes de mémoire


On conseille d’ailleurs après une opération qui demande une anesthésie générale de se remettre le plus tôt possible a exercer la mémoire, comme par exemple par la lecture, les mots croisés.
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L’anesthésie générale peut provoquer des pertes de mémoire

 

 

Les analgésiques permettent d’éliminer la douleur, les curares permettent de "paralyser" les muscles et donc d’éviter les mouvements du patient opéré. © AMELIE-BENOIST / BSIP / AFP

Par Marion Vagner

Les analgésiques permettent d’éliminer la douleur, les curares permettent de « paralyser » les muscles et donc d’éviter les mouvements du patient opéré. © AMELIE-BENOIST / BSIP / AFP

« Il ne faut jamais prendre une anesthésie générale à la légère. »

Ce sont les premiers mots du Professeur Beverley Orser, anesthésiste et chercheur au Sunnybrook Hospital de Toronto, lorsqu’elle présente sa dernière étude sur les effets de l’anesthésie générale sur la mémoire.

« On pense à tort que l’anesthésie est un doux sommeil, mais c’est un coma pharmaceutique. »

Un coma permis par l’association de trois substances : des analgésiques, des curares et des hypnotiques. Les analgésiques permettent d’éliminer la douleur, les curares permettent de « paralyser » les muscles et donc d’éviter les mouvements du patient opéré. Mais c’est aux hypnotiques, en charge de nous endormir et de nous faire « oublier » l’opération que le Docteur Orser s’est intéressée.

« L’observation de nos patients nous a poussé à faire cette étude : on a pu constater des problèmes cognitifs à l’issue d’opérations chez 37 % des adultes à leur sortie de l’hôpital, et chez 6 % d’entre eux après 3 mois. Et les chiffres sont encore plus importants chez les personnes âgées. »

Les effets des hypnotiques perdurent

Tous les hypnotiques agissent de la même manière sur l’organisme : ils « sur-activent » les récepteurs GABA A, responsables de la « libération » de l’acide gamma aminobutyrique GABA. Celui-ci permet de diminuer l’activité nerveuse des neurones sur lesquels il se fixe. Il est donc un neurotransmetteur inhibiteur du système nerveux central. Plus les récepteurs GABA A sont activés, plus il y a de GABA libérés par les neurones, plus il y a donc de freins à la transmission de l’influx nerveux : ainsi l’inhibition est grande et l’endormissement profond.

« Une des certitudes que nous avions est qu’une fois l’hypnotique éliminé du corps humain, les récepteurs GABA revenaient à leur état initial. Cela était partiellement contredit par les constatations cliniques, et c’est aujourd’hui prouvé par notre étude. »

Les chercheurs ont injecté des souris avec des doses assez basses d’anesthésiques, pour les endormir 20 minutes seulement (ce qui correspond « en temps humain » à la durée d’une opération chirurgicale moyenne). Après une semaine, les souris souffraient encore des effets cognitifs des hypnotiques.

PISTES. L’effet premier de ces hypnotiques étant la perte de mémoire, ces recherches soulèvent des pistes sur les conséquences de l’administration d’anesthésiants chez l’homme. L’équipe de recherche de Beverley Orser se focalise maintenant sur la manière de « remettre à leur état initial » les récepteur GABA A afin d’éviter ces effets secondaires sur la mémoire. Elle cherche également à comprendre pourquoi l’effet des hypnotiques administrés persiste, et quels pourraient être les autres fonctions cognitives affectées.

http://www.sciencesetavenir.fr/