Le Codex Atlanticus de Léonard de Vinci accessible en ligne


On sait que Léonard de Vinci était doué dans divers domaines. Il a écrit et  dessiné dans des recueils de tout ce qu’il touchait. Un autre codex a été mis en ligne. On peut y accéder facilement et il y a énormément de choses intéressantes à regarder.
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Le Codex Atlanticus de Léonard de Vinci accessible en ligne


Perrine Tiberghien

Connaissez-vous les Codex de Léonard de Vinci ? Après le célèbre Codex Arundel, un autre recueil de notes est mis à disposition des internautes.

Les Codex de Léonard de Vinci sont ses recueils de notes : des dessins, des observations et des idées notées dans divers manuscrits. On estime qu’il en existe 25 : certains sont plus spécialisés sur un domaine précis, d’autres touchent à différents sujets. Il faut dire que le génie italien n’a pas été avare d’idées, tant en astronomie qu’en cartographie, comptabilité, anatomie, géologie, architecture ou même armement…

Des milliers de dessins de Léonard de Vinci

Le Codex Atlanticus rédigé il y a 5 siècles est à redécouvrir en ligne. Ses 12 volumes et ses milliers de dessins ont été numérisés et sont accessibles sur un site dédié. Il faut s’armer d’un peu de patience pour trouver toutes les occurrences, tant le sommaire est riche. Les dessins, observations et notes sont classées selon le domaine : géométrie et algèbre, architecture, sciences naturelles, machines ou sciences humaines. C’est dans ce codex que l’on trouve par exemple le dessin de l’aile mobile… et bien d’autres œuvres encore.

Aucune inscription n’est nécessaire pour accéder aux différents contenus. Ils peuvent être visualisés recto verso, et sont accessibles facilement sur tablette et mobile également. La recherche est aussi facilitée par ordre chronologique. Rendez-vous sur l’interface du Codex Atlanticus !

https://www.commentcamarche.net/

Le plus vieux texte d’Amérique


Le plus vieux texte de l’Amérique vient des Mayas. Ce fut un calendrier des mouvements de Vénus qui ne serait qu’une partie d’un document qui aurait probablement contenu 20 pages
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Le plus vieux texte d’Amérique

 

 

Le texte le plus ancien jamais retrouvé en Amérique est exposé dans un musée de Mexico pour la première fois. Il s’agit d’un traité maya d’astronomie a été écrit entre 1021 et 1154. Tout à fait fascinant!

Le mystérieux manuscrit de Voynich enfin décodé par une IA ?


Le manuscrit de Voynich qui aurait été écrit entre 1404 et 1438 qui a toujours été un mystère total, commencerait à céder ses secrets grâce à des chercheurs canadien qui fait des algorithmes et on utilisé l’intelligence artificielle ainsi que Google Traduction et un document Déclaration universelle des droits de l’Homme qui est traduit en 230 langues.
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Le mystérieux manuscrit de Voynich enfin décodé par une IA ?

 

Marc Zaffagni
Journaliste

Deux informaticiens pensent être parvenus à identifier la langue du manuscrit de Voynich, un texte rédigé au XVe siècle et qui était jusqu’ici impénétrable. Pour cela, ils se sont aidés d’une série d’algorithmes et du service Google Traduction.

Depuis sa découverte au XXe siècle, de nombreux historiens et cryptographes se sont évertués, en vain, à déchiffrer le manuscrit de Voynich. C’est peut-être finalement une intelligence artificielle (IA) qui y est parvenue. Greg Kondrak et Bradley Hauer, deux chercheurs en informatique et spécialistes en traitement du langage naturel de l’université de l’Alberta (Canada), ont créé une série d’algorithmes grâce à laquelle ils ont pu analyser cet alphabet inconnu et identifier la langue utilisée.

Le manuscrit de Voynich est un codex du XVe siècle. Long de 240 pages manuscrites, il est accompagné de dessins de plantes, de nus et d’observations astronomiques. À ce jour, il est considéré comme le plus important cryptogramme non résolu. Toutes sortes d’hypothèses ont été émises quant à la langue d’origine du texte : latin, italien, arabe coranique, moldave, thaï, pinyin. Pour sa part, l’équipe de l’université de l’Alberta penchait au départ pour l’arabe.

Plusieurs analyses du manuscrit de Voynich ont penché pour un guide botanique. L’analyse pratiquée à l’aide de l’intelligence artificielle a amené les chercheurs à confirmer cette hypothèse. © DP

Plusieurs analyses du manuscrit de Voynich ont penché pour un guide botanique. L’analyse pratiquée à l’aide de l’intelligence artificielle a amené les chercheurs à confirmer cette hypothèse. © DP

    80 % des mots figurent dans un dictionnaire hébreu

    Pour vérifier leur théorie, les chercheurs ont entraîné leurs algorithmes en se servant d’échantillons du texte de la « Déclaration universelle des droits de l’Homme » dans 380 langues différentes. Et, contre toute attente, la machine a estimé que le manuscrit de Voynich avait été rédigé en hébreu. Les chercheurs se sont ensuite employés à tenter de traduire ce texte. Pour ce faire, ils sont partis de l’hypothèse de base que le cryptage reposait sur des alphagrammes, technique qui consiste à réorganiser les lettres d’un mot dans l’ordre alphabétique pour former des anagrammes. Ils ont alors conçu un algorithme capable de déchiffrer les mots.

    « Il s’est avéré que plus de 80 % des mots existaient dans un dictionnaire hébreu, mais nous ne savions pas si, pris ensemble, ils avaient un sens. »

    Greg Kondrak et Bradley Hauer se sont tournés vers un confrère parlant hébreu pour savoir si la première phrase du texte traduite avec cet idiome était cohérente. Réponse négative. Les chercheurs ont alors tenté de convertir la phrase hébreu en anglais en se servant tout simplement du service Google Traduction. Et là, ils ont obtenu quelque chose…

    Le manuscrit de Voynich serait un guide botanique

    Dans la langue de Shakespeare, la première phrase du manuscrit dirait :

    « She made recommendations to the priest, man of the house and me and people ».

    Traduite en français, cela signifie : « Elle a fait des recommandations au prêtre, à l’homme de la maison, à moi et aux gens ».

    Une phrase d’introduction bien curieuse, a lui-même admis le professeur Kondrak. Ce dernier estime que seule la contribution d’historiens spécialisés en hébreu ancien pourrait aider à une interprétation plus cohérente de ces traductions étant donné la syntaxe atypique qui a été employée.

    Bref, pour le moment, le manuscrit de Voynich garde encore son mystère. Cependant, les chercheurs concluent leur article scientifique paru dans Transactions of the Association for Computational Linguistics en soutenant que le texte est probablement de l’hébreu avec les lettres réarrangées pour suivre un ordre fixe. L’étude a révélé plusieurs mots pris individuellement signifiant « fermier », « air », « lumière », « feu ». Les auteurs estiment que cela conforte l’hypothèse déjà émise plusieurs fois que le manuscrit de Voynich serait en fait un guide botanique. Forts de cette première expérience, ils comptent continuer à affiner leur algorithme et l’appliquer à d’autres manuscrits anciens.

    CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Le manuscrit de Voynich est un casse-tête pour les historiens et les cryptographes, qui n’ont toujours pas réussi à percer son mystère.

  • Grâce à la puissance des algorithmes, des chercheurs de l’université de l’Alberta (Canada) pensent avoir identifié la langue du texte utilisée sous forme d’anagrammes.

  • Mais encore faut-il que des historiens spécialisés en hébreu ancien puissent trouver un sens à ces écrits.

https://www.futura-sciences.com

Le Saviez-Vous ► Livres anciens et très rares


Malgré l’ère numérique, les livres sont d’une grande richesse, en espérant qu’ils ne disparaîtront pas. Certains livres ont passé le temps et sont devenus rare et inestimables
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Livres anciens et très rares


Bibliothèque du Queen’s College (Angleterre)
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1- Le Codex Calixtinus ou Compostellus 


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Rare et très prisé des pèlerins qui empruntent chaque année la mythique route de Compostelle, le Codex Calixtinus est un ouvrage unique rédigé au XIIe siècle dont on croyait que les quatre livres qui le composent avaient été compilés et préfacés  par le Pape Calixte II. Aussi surnommé le Livre de Saint-Jacques, il semble avoir été rédigé par un moine du Poitou du nom de Aymerci Picaud et est essentiellement composé de livres liturgiques, dont le dernier consiste en un guide pour les pèlerins qui empruntent le chemin vers la tombe de Saint-Jacques, à Compostelle.


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Avec les premiers guides de la ville de Rome, il est considéré comme un ancêtre du guide touristique! Il décrit le chemin en parlant de l’emplacement des églises, des sources d’eau potable et même des coutumes locales! Il est conservé à la cathédrale Saint-Jacques-de-Compostelle et est désormais sous haute surveillance après un vol survenu en 2011. L’ouvrage a été retrouvé un an plus tard, dans un très bon état, dans la maison d’un électricien qui avait travaillé 25 ans pour la cathédrale et qui habitait tout près.

2- Le Codex Gigas ou la Bible du Diable


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Ce manuscrit médiéval datant du XIIIe siècle vaut son nom à son impressionnante taille : 97 cm de haut sur 50 cm de large, 22 cm d’épaisseur et… 165 lbs! Le tout relié dans une reliure blanche en cuir de veau. Il s’agit jusqu’à présent du plus grand manuscrit médiéval connu. Non seulement est-il unique au monde, mais il contient aussi une immense enluminure du Diable, ce qui lui vaut de plus son surnom. Nous savons qu’il a été rédigé au cours du XIIIe siècle par un moine bénédictin dans le monastère de Podlažice, situé jadis dans l’ancien royaume de Bohème et aujourd’hui en République Tchèque.


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Ce livre rassemble en réalité plusieurs textes. Une Bible en latin (Ancien et Nouveau Testament), d’anciens textes médicaux, une chronique des Bohémiens, ainsi qu’un calendrier. Sa richesse et sa valeur, outre sa taille, viennent aussi des immenses enluminures, qui sont de superbes esquisses colorées servant à imager/appuyer différentes parties des textes du livre. Le livre fait désormais partie de la collection de la Bibliothèque nationale de Suède et est aussi célèbre en raison d’une légende. Son auteur aurait fait un pacte avec le Diable pour pouvoir le rédiger…

3- Les oiseaux d’Amérique de John James Abudon 


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Amoureux des oiseaux et de l’art, ce livre est pour vous! Moins rare que les autres puisqu’il en reste environ 120 exemplaires dans le monde, il n’en est pas moins extraordinaire de par sa taille et la qualité exceptionnelle de son contenu. Il est le résultat de plus de vingt ans de travail réalisé par un ornithologue et naturaliste des XVIII-XIXe siècles du nom de John James Abuubon.


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Il voulait documenter tous les oiseaux du continent américain et a ainsi réalisé 435 aquarelles en format géant, réunies en un seul imposant ouvrage de 99,5 par 67 centimètres! Le livre a une grande valeur encyclopédique encore aujourd’hui, en raison notamment de la précision de ses dessins. Le dernier exemplaire vendu par la maison Sotheby’s a atteint les 11 millions de dollars aux enchères! Il a par ailleurs été exposé en janvier 2011 au Musée de la Civilisation de Québec, puisque la collection de livres du Séminaire de Québec en contient un volume.

 

Spécialisée en histoire ancienne, Evelyne Ferron

http://www.historiatv.com

Le Saviez-Vous ► Certains Romains n’étaient pas fans du premier livre


Quand l’écriture est apparu, le besoin de laisser des écrits s’est fait sentir. On commença sur la pierre, sur tesson de poterie, et même sur des os, puis le papyrus … Jusqu’au e-book aujourd’hui.
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Certains Romains n’étaient pas fans du premier livre

 

Codex Sancti Paschalis | Christopher John via Flickr CC License by

Codex Sancti Paschalis | Christopher John via Flickr CC License by

Repéré par Camille Malnory

A l’heure du débat ebook-papier, rappelons que le tout premier livre n’a pas fait consensus dans l’ancienne Rome.

Ebook ou livre papier ? La bataille du support numérique contre le bon vieux livre relié est toujours d’actualité et les deux camps ont leurs ardents défenseurs. D’un côté, ceux qui arguent que l’ebook est une révolution du monde du livre: il est pratique, léger et on peut en avoir plein à porter de mains sur une tablette. De l’autre, ceux pour qui le livre doit rester en papier, parce qu’il sent bon, qu’il décore les appartements et que les pages qui craquent quand on les tourne font partie du plaisir de la lecture. Si le marché numérique est encore plutôt confidentiel –l’ebook représentait 2.3% du chiffre d’affaires des éditeurs en 2014–, ne doutons pas que notre façon de lire changera dans les années à venir.

Le bouquin n’en est cependant pas à son premier débat. Il y a près de 2000 ans, une nouvelle forme de livre faisait son apparition et provoquait lui aussi des débats, comme le rappelle la BBC.

Au premier siècle de notre ère, les Romains étaient déjà familiers avec l’écriture, et donc avec la lecture. Les monuments étaient gravés de lettre capitales, les citoyens lettrés écrivaient sur des tablettes de cire et les bibliothèques regorgeaient d’ouvrages de philosophie et d’art. Sauf que le livre n’était ni carré, ni relié, ni même en papier. Il s’agissait de rouleaux de papyrus faisant en général trois mètre de long. Compliqué alors de le lire debout, la meilleure technique à l’époque consistait à s’asseoir derrière un bureau. Autre défaut du papyrus: la matière est fragile, se déchire et résiste très mal à l’humidité et aux variations de température.

Le premier livre après le papyrus

Et puis vient le codex, grande révolution dans l’histoire du livre, qui pallie à tous les défauts du rouleau de papyrus: petit, relié, protégé par une couverture et fait en parchemin, beaucoup plus solide. Le poète Martial (environ 40 ap. JC-100 ap. JC) est le premier à l’évoquer dans ses Épigrammes (écrits entre 84 et 86 après JC):

«Toi, qui aspire à ce que mes petits livres puissent être partout avec toi et qui veut avoir des compagnons pour un long voyage, achète ceux-ci, avec de petites pages en parchemin: donne tes rouleaux aux grands auteurs –une seule main peut me tenir.»

Si on ne connaît toujours pas la vraie origine du codex, reste qu’il a été un immense pas en avant pour le livre. Mais les Romains se déchirent à cause de lui. D’un côté, les païens et les Juifs veulent conserver leur bon vieux rouleau de papyrus, qu’ils ont l’habitude d’utiliser. De l’autre, les Chrétiens s’enthousiasment pour ce nouveau support pratique. On connaît la suite: les païens et les rouleaux de papyrus se sont lentement éteints jusqu’au VIe siècle. Le codex et plus tard le livre tel qu’on le connaît ont donc fait leur chemin dans nos sociétés.

Aujourd’hui, l’ebook est-il le nouveau codex, le support qui va faire disparaître le papier, comme cela a été le cas pour le rouleau de papyrus? On ne le sait pas encore. Pour le moment, on retourne à la lecture de Guerre et Paix… sur papier.

http://www.slate.fr/

Un manuscrit Mixtèque caché depuis des siècles a été déchiffré


Cela me fait penser au film le « Trésor national » avec Nicolas Cage. Un très vieux document qui en cacherait un autre, mais grâce à technique d’imagerie utilisée pour étudier la couleur des étoiles …
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Un manuscrit Mixtèque caché depuis des siècles a été déchiffré

 

Le HuffPost  |  Par Grégory Rozières

Ce qui est arrivé aux chercheurs d’une bibliothèque d’Oxford, c’est un peu le rêve fou du collectionneur qui s’apercevrait que sous une toile de Monet se cache un Rembrandt.

Ces chercheurs ont en effet réussi à déchiffrer un ancien et rare manuscrit Mixtèque qui se cachait sous le non moins rare codex Selden. Les codex sont les précieux (une vingtaine seulement) livres qui représentent tout l’héritage des civilisations mésoaméricaines: Mayas, Aztèques, Mixtèques, etc. Celui étudié par les chercheurs provient de la région mexicaine d’Oaxaca.

Le codex en question, Selden, date de 1560 environ et a survécu aux autodafés de l’inquisition espagnole. En forme d’accordéon et long, déplié, de cinq mètres, ce recueil de 20 pages est écrit sur du cuir de cerf recouvert d’une sorte d’enduit, le gesso. Un document déjà extrêmement précieux.

Mais dans les années 50, les chercheurs avaient « gratté » l’une des pages et trouvé une forme leur faisant penser que le codex était écrit sur un manuscrit encore plus ancien, rapporte le Guardian.

C’est seulement aujourd’hui que des chercheurs d’Oxford et d’universités néerlandaises ont réussi à reconstituer les pictogrammes et dessins en question, en utilisant une technique d’imagerie hyperspectrale, qui servait à l’origine aux astrophysiciens pour étudier la couleur des étoiles. Cette machine analyse un objet et peut « voir » des choses invisibles à l’oeil nu, effacées ou modifiées, en filtrant les différentes parties du spectre de la lumière.

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Une signification qui reste à trouver

Mais que dit ce manuscrit? Pour l’instant, 7 pages ont été analysées par les chercheurs.

« Ce qui est intéressant, c’est que le texte que nous avons découvert ne correspond pas aux autres anciens manuscrits mixtèques », explique Ludo Snijders, de l’université de Leiden et auteur principal de l’étude.  Notamment, la généalogie semble être unique.

On peut y voir plus de 20 personnages assis ou debout, tous tournés dans la même direction. Si ce genre de scène, dans les codex déjà connus, représente souvent un roi et son conseil, celles découvertes par les chercheurs comportent des hommes et des femmes, ce qui est inhabituel.

D’autres pages montrent des Mixtèques équipés de bâtons et de lances, des femmes aux cheveux rouges ou encore des noms de rivières. Un personnage spécial, grand et équipé d’une corde torsadée et d’un couteau en silex est également souvent présent. Si le nom semble proche d’un personnage important de deux lignées évoqué dans d’autres codex, il faudra des analyses plus poussées pour valider le lien.

C’est l’étape suivante pour les chercheurs: analyser l’ensemble des 20 pages du codex pour découvrir tout ce qui se cache sous l’enduit et mieux comprendre une civilisation complexe qui n’a laissé derrière elle que quelques écrits.

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Une page du codex Selden

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► Un livre dont les pages sont des énigmes mécaniques à résoudre pour les tourner


Je trouve ce genre de livre génial, un défi à relever
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Un livre dont les pages sont des énigmes mécaniques à résoudre pour les tourner

 

Brady Whitney a créé ce livre en bois dont chaque page est une énigme mécanique qu’il faut résoudre pour pouvoir la tourner et avoir accès à la page suivante.

Il appelle sa création « Codex Silenda« .

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http://www.laboiteverte.fr/