Un cachalot femelle enceinte s’échoue en Sardaigne l’estomac saturé de plastique


Avant de mettre de l’argent pour aller sur Mars, ou de reconstruire des monuments, il serait temps de s’occuper de s’occuper de nos océans et de l’environnement en général. Cela n’a aucun sens qu’une baleine meurt a cause de plastique comme l’assiette de plastique, filet de pêche, des sacs de plastiques … et son bébé n’a jamais pu naitre.
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Un cachalot femelle enceinte s’échoue en Sardaigne l’estomac saturé de plastique

Illustration. © getty.

Par Maxime de Valensart

Source: National Geographic, Le Parisien

Un cachalot femelle a été retrouvée morte sur une plage près de Porto Cervo, une cité balnéaire de Sardaigne. Son estomac était rempli de 22 kilos de plastique, rapporte le National Geographic. Le bébé qu’elle portait est également décédé.

Dans son estomac, les scientifiques de l’ONG SEAME Sardinia ont retrouvé des filets et des lignes de pêche, des sacs plastiques (si récents qu’on pouvait lire les codes-barres), des tuyaux et des assiettes en plastique.

« C’est comme si toute notre vie quotidienne était là, mais dans son estomac », a déploré le biologiste marin Luca Bittau au magazine scientifique.

L’organe de la bête était rempli au deux tiers de plastique. Ses intestins étaient également encombrés.

Le cas de cet animal s’ajoute à la longue et sinistre liste des animaux marins « pollués » par le plastique. Ce dernier recouvre le fond des mers et des océans, là où viennent manger les cachalots à la recherche de calamars, dont le ballet ressemble à un sac plastique virevoltant au fond de l’eau. C’est donc souvent par erreur que les cachalots ingèrent cette pollution et remplissent leur estomac, parfois jusqu’au décès. Dans le cas de cette femelle enceinte, la cause exacte de sa mort n’a pas encore été établie avec précision par les scientifiques.

L’UE interdit le plastique à usage unique

Selon un rapport récent de Greenpeace, la majorité des 150.000 à 500.000 tonnes (!) de macro-déchets en plastique qui entrent chaque année en Europe par voie maritime finissent dans la mer Méditerrannée. L’UE a réagi à cette problématique en adoptant un texte qui interdit l’usage d’une dizaine de produits en plastique à usage unique à partir de 2021: les gobelets en polystyrène expansé, les cotons-tiges, les pailles, les couverts, les assiettes, les touillettes et les tiges de ballons. A eux seuls, ces catégories de produits représentent 70% des déchets présents dans les océans et sur les plages.

https://www.7sur7.be/

Voici tous les fichiers personnels que vous abandonnez dans un ordinateur public


Je savais que les ordinateurs publics pouvaient dévoiler bien des secrets de ceux qui l’utilisent. Il est important de prendre conscience que si nous n’effaçons pas nos données, d’autres pourraient les utiliser. Malgré tout cela ne semble pas inquiété certaines personnes ou groupes des conséquences de ces oublis
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Voici tous les fichiers personnels que vous abandonnez dans un ordinateur public

 

COMPUTER FILES

 

Pensez-vous à effacer vos traces après avoir ouvert une pièce jointe en utilisant un ordinateur public? Nous avons retrouvé 899 fichiers personnels sur un seul ordinateur public de l’aéroport du centre-ville de Toronto. Des photos de famille aux papiers d’identité, en passant par des documents internes d’entreprises… et même du département d’État américain.

Un texte de Thomas Gerbet

En m’asseyant dans la salle d’ordinateurs offerte aux passagers à l’aéroport Billy Bishop, de Toronto, j’ai eu la surprise de découvrir la boîte de courriels encore ouverte d’une étudiante de l’Université Carleton, d’Ottawa.

« Les gens ne font vraiment pas attention », me suis-je dis en la déconnectant.

Je n’étais pas au bout de mes surprises.

En ouvrant le dossier « Téléchargements » de l’ordinateur, j’ai découvert des centaines de documents personnels, certains laissés là depuis plusieurs mois. Après avoir ouvert une pièce jointe, des personnes avaient oublié que le fichier restait enregistré dans le dossier.

Exemples de documents retrouvés dans ce seul ordinateur :

    • Photo d’un permis de conduire
    • Captures d’écran d’un relevé de carte de crédit
    • Photos d’un enfant
    • Liste de soumissions d’une entreprise américaine de conseils en technologie
    • Contrat signé d’un employé d’une école
    • Liste des membres d’un club sportif canadien avec noms, courriels, âges et dates de naissance
    • Rapport remis à une entreprise pour évaluer son « expérience client »
    • Demande remplie et signée pour obtenir une vérification de casier judiciaire
    • Travail d’une étudiante de l’Universté McGill et un autre de l’Université de Windsor
    • Billets d’avion
    • Liste des participants à une compétition d’aviron en Ontario avec leur catégorie de poids


Photo d’un permis de conduire trouvée sur l’ordinateur public (nous avons ajouté du flou). Photo : Radio-Canada/Thomas Gerbet

J’ai facilement retrouvé le Néo-Zélandais J.S., qui a laissé sur l’ordinateur assez d’information pour se faire voler son identité. Il m’a écrit se souvenir d’avoir navigué sur Internet « en buvant un café » à l’aéroport de Toronto, il y a quelques mois. Mais il ne se rappelle pas avoir téléchargé des documents personnels sur l’ordinateur, peut-être « accidentellement ». Est-il inquiet? Pas vraiment, simplement « contrarié ».

« Si certaines organisations veulent mes informations personnelles, elles vont les avoir facilement. Cellulaires, Facebook, courriels, compte bancaire en ligne…. On est en 2017, on laisse des empreintes technologiques partout. Personne n’a la sécurité qu’il pense avoir », dit-il. « Il n’y a pas grand-chose que je peux faire maintenant. »

Les conseils d’un expert

« Lorsque vous utilisez un ordinateur public, c’est à haut risque », explique François Daigle, spécialiste en sécurité de l’information à la firme Okiok. « Il se peut qu’il y ait un keyloger (enregistreur de frappe) installé sur l’ordinateur, ce qui permettra de copier les mots de passe. »

L’expert conseille aux utilisateurs de vider le cache et les fichiers temporaires à la fin d’une session. Il recommande aussi de redémarrer l’ordinateur pour s’assurer qu’il n’y a plus rien en mémoire.

La responsabilité sur le dos de l’utilisateur

L’aéroport du centre-ville est géré par Ports Toronto, mais c’est la compagnie Nieuport Aviation Infrastructure Partners qui a la responsabilité du terminal d’embarquement des passagers, qui comprend la salle d’ordinateurs.

« Ces ordinateurs sont équipés de quelques protections », indique la porte-parole de Nieuport AIP, Sarah Borg-Olivier. « Cependant, comme tout ordinateur public, c’est à chaque utilisateur d’exercer son jugement et de protéger les informations personnelles qu’ils entrent ou les fichiers qu’ils téléchargent sur ces ordinateurs. »

L’expert en sécurité informatique recommande toutefois aux responsables techniques de ces ordinateurs publics de mettre au moins une note de sécurité à côté des machines « pour encourager à protéger les mots de passe, et pour se décharger de toute responsabilité ». Il leur conseille également d’activer un nettoyage des fichiers temporaires à chaque fermeture de session.

Informations sur des diplomates américains

Sur un document de trois pages, j’ai retrouvé une liste de noms de diplomates rattachés au département d’État américain et au département de l’Agriculture. On pouvait y trouver des informations sur leur poste à l’étranger, leur pourcentage de prime de risque, de prime de pénibilité et de prime liée au coût de la vie.


Document interne du Département d’État américain avec la liste des primes (en %) accordées à des diplomates (nous avons flouté des informations). Photo : Radio-Canada/Thomas Gerbet

On retrouve aussi d’autres informations comme les besoins de cours de langue des mêmes diplomates. Malgré notre invitation, le département d’État américain n’a pas pas voulu faire de commentaires.

« Nous ne pouvons pas nous exprimer sans connaître l’authenticité des documents allégués qui peuvent avoir été obtenus sans autorisation », répond le porte-parole du département d’État, Frankie Sturm.

Attention, vous possédez aussi des informations sur d’autres personnes

Dans un fichier Excel, j’ai pu retrouver la liste des membres d’une équipe sportive amateure, avec leurs nom, sexe, âge, date de naissance et adresse courriel.


Liste de membres d’une association sportive canadienne (nous avons flouté des informations). Photo : Radio-Canada/Thomas Gerbet

Mis au courant que ses informations traînaient sur un ordinateur public, D.W., une des personnes présentes sur la liste, nous a répondu qu’il n’est « pas trop dérangé » par cette situation.

« Quelqu’un de notre club a fait une erreur et on va les prévenir. »

Réaction différente d’une autre membre, S.L., qui m’a fait part de son « malaise » face à cette situation indépendante de sa volonté.

Même une carte d’embarquement contient des informations personnelles sensibles


Billet de train (nous avons flouté des informations). Photo : Radio-Canada/Thomas Gerbet

Le code-barre des cartes d’embarquement contient des données qu’un pirate informatique peut utiliser contre vous. On peut y retrouver des informations comme l’adresse, le courriel ou le numéro de voyageur fréquent.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Japon: un code-barres collé à l’ongle pour personnes âgées perdues


C’est peut-être une bonne idée, mais ce qui me rend mal à l’aise, c’est de considérer les gens comme un numéro par ces codes-barres. Bon, c’est probablement mieux que de porter ce genre d’identification sur des vêtements
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Japon: un code-barres collé à l’ongle pour personnes âgées perdues

 

Une ville japonaise a trouvé un moyen de retrouver le domicile et l’identité de personnes âgées atteintes de démence et perdues: un code-barres collé à un ongle de la main ou d’un doigt de pied.

Une société d’Iruma, au nord de Tokyo, a créé de petits autocollants comportant chacun un numéro d’identité différent afin d’aider les familles à retrouver leurs proches égarés, a expliqué le service d’assistance sociale de la ville.

Cette étiquette, qui fait partie d’un service gratuit lancé ce mois-ci pour la première fois au Japon, ne mesure qu’un centimètre de côté.

« Pouvoir fixer ce code sur un ongle est un grand avantage », a déclaré un responsable municipal à l’AFP. « Il existe déjà des étiquettes d’identité fixées sur certains vêtements et chaussures mais les gens ne les portent pas toujours ».

Si une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer ou d’une autre affection se trouve désorientée, la police trouvera la mairie dont dépend le malade, son numéro de téléphone et l’identité du porteur grâce au code-barres.

Ces pastilles restent fixées en moyenne deux semaines même si elles sont mouillées, a indiqué le responsable en se fondant sur de récents essais.

Le Japon fait face à un net vieillissement de sa population: Les séniors (plus de 65 ans) devraient représenter 40% de la population vers 2060.

Si une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer ou d'une autre affection se trouve désorientée, la police trouvera la mairie dont dépend le malade, son numéro de téléphone et l'identité du porteur grâce au code-barres © Toshifumi KITAMURA AFP

Si une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer ou d’une autre affection se trouve désorientée, la police trouvera la mairie dont dépend le malade, son numéro de téléphone et l’identité du porteur grâce au code-barres © Toshifumi KITAMURA AFP

Les accidents de voiture mortels impliquant des conducteurs âgés sont aussi un problème croissant dans un pays où 4,8 millions de personnes de 75 ans ou plus ont toujours en poche le permis de conduire.

La police japonaise imagine divers moyens pour leur faire rendre définitivement ce document, le dernier en date étant une ristourne de 15%, soit 90 yens (75 centimes d’euro), sur les bols de nouilles dans des restaurants.

Cette initiative, a été lancée le 25 novembre par les forces de l’ordre de la préfecture centrale d’Aichi, en association avec une chaîne de restaurants de « ramen », des nouilles japonaises accommodées avec des soupes de différentes façons.

http://www.lepoint.fr/

Le Saviez-Vous ► Inventions de la NASA dont on ne se passerait plus!


L’exploration spatiale nous, on fait découvrir les beautés de l’espace, mais à un prix fort, pourtant grâce a ses explorations, nous pouvons profiter des multiples inventions qu’on ne peut maintenant plus s’en passé. Voici une petite liste, mais sachez qu’il y a beaucoup plus, et ce, dans plusieurs domaines, la découverte de l’espace nous as ouvertes bien des portes
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Inventions de la NASA dont on ne se passerait plus!

 

Saviez-vous? - Inventions de la NASA dont on ne se passerait plus!

Photo Kovalenko Inna – Fotolia.com

Stéphanie Godbout

 

Le programme spatial américain n’a pas seulement permis à l’homme de marcher sur la lune. Du GPS aux codes à barres en passant par le laser pour la chirurgie des yeux et les mousses à mémoire de forme, nombreux sont les produits qui ont bénéficié des avancées technologiques de la NASA.

Les recherches et inventions de la NASA, c’est aussi un grand pas pour nous faciliter la vie au quotidien. Voici notre petite liste des inventions de la NASA qu’on utilise tous les jours… ou presque!

Détecteur de fumée

Lors de la construction dans les années 70 de Skylab, la première station spatiale américaine, la NASA fait appel au géant Honeywell pour concevoir un appareil capable de détecter différents niveaux de fumée et de gaz nocifs, et avertir les astronautes d’un problème potentiel dans la station. L’ubiquité du détecteur de fumée de nos jours est le gage de son succès.

Filtre à eau

Si le concept des filtres à eau date du début des années 50, la NASA a poussé l’idée bien plus loin. Les astronautes devaient pouvoir purifier leur urine et conserver l’eau pure pendant une longue période.

Introduite par la NASA, la filtration au charbon permet notamment de neutraliser les agents pathogènes et de tuer les bactéries. Cette méthode est largement empruntée aujourd’hui pour les filtres à eau à usage résidentiel comme ceux de la marque BRITA.

Préparation pour nourrissons

Au début des années 80, les scientifiques de la NASA cultivent des algues pour vérifier leur utilité lors de longs vols spatiaux. Ils découvrent qu’elles sont particulièrement riches en deux acides gras, retrouvées auparavant uniquement dans le lait maternel. Aujourd’hui, la majorité des préparations pour nourrissons en contiennent.

Lentilles antirayures

À cause de la saleté et de la poussière retrouvées dans l’espace, la NASA a dû inventer un enduit protecteur pour ses équipements aéronautiques, tout particulièrement pour les visières de casques d’astronautes.

Cet enduit est dorénavant appliqué sur les lentilles de plastiques, plus sécuritaires et légères que celles en vitre, les rendant 10 fois plus résistantes aux égratignures.

Thermomètre auriculaire

La compagnie Diatek, en association avec le laboratoire Jet Propulsion de la NASA, lance en 1991 le thermomètre auriculaire.

Ce dernier tire avantage du senseur infrarouge originalement développé par la NASA afin de mesurer le rayonnement des astres lointain. Désormais, il est possible de lire la température du corps en 2 secondes et surtout, d’éviter d’avoir recours au thermomètre rectal.

Outils sans fil

Black & Decker avait élaboré des outils sans fil avant de collaborer avec la NASA. Depuis la création d’une perceuse lunaire sans fil servant à prélever des échantillons de la lune, le fabricant a repris ses recherches pour développer des outils sans fil plus légers disposant d’une batterie avec une autonomie plus longue.

http://fr.canoe.ca/