Le Saviez-Vous ► Pourquoi croisons-nous les doigts pour nous porter chance ?


Il y a des gestes anodins qu’on est très loin d’en savoir l’origine. Se croiser les doigts qui sont supposés nous porter chance aurait probablement des origines chrétiennes. Les premiers chrétiens étaient persécutés et ils se croisaient les doigts en formant une croix, signe de reconnaissance entre eux. Il y a aussi l’idée que cela était supposé aussi a repousser l’esprit malin.
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Pourquoi croisons-nous les doigts pour nous porter chance ?

 

George Hodan

George Hodan

par Olivier

“Courage pour ton examen, je croise les doigts pour toi“. On a tous en tête cette phrase dite par quelqu’un qui nous est proche et qui nous souhaite bonne chance pour un évènement, pour un examen, pour quelque chose d’inattendu.

Mais qu’en est-il réellement ? Qu’est-ce qui explique que nous croisons les doigts pour nous porter chance ?

Il y a des origines à ce croisement des doigts, qui ramènent aux premières persécutions subies par les tout premiers chrétiens au début de notre ère. Ceux-ci étaient persécutés et en signe de reconnaissance, ils croisaient les doigts. C’était un moyen pour eux d’établir un signe de reconnaissance dans leur malheur. D’où peut-être le lien actuel avec la chance.

Ainsi, on croise les doigts (l’index et le majeur) avec pour but de former une croix qui renvoie à Jésus et à la crucifixion afin d’invoquer la présence divine du Christ à ses côtés.

Il existe enfin une autre explication : quand une personne voulait exaucer un vœu, elle plaçait son index sous celui d’une autre personne afin que l’intersection des deux doigts forme une croix qui symbolisait l’union. Les personnes qui croisaient leurs doigts souhaitaient établir un point d’intersection qui concentrerait tous les esprits positifs. De fait, ce symbole renvoyait déjà à l’idée de chance et de bonheur. Il est possible que le fait de croiser les doigts renvoie aussi à l’origine de l’expression latine “Vade retro Satanas” qui consiste à prononcer cette phrase en croisant les doigts avec pour but de chasser le diable ou les mauvais esprits.

Croiser les doigts n’est donc pas une expression anodine, elle vient du fond des âges et fait allusion de manière indirecte à toute une part de notre Histoire occidentale.

George Hodan

Sources : l-anecdote, L’express, Omnilogie, Hellocoton – Photo principale : Peter67

https://lesavaistu.fr/

Un chercheur français a décodé un sortilège d’amour inscrit sur un papyrus égyptien


Un vieux papyrus écrit par des chrétiens égyptiens donnait les directives pour un sortilège d’amour. Probablement que cela était pour rendre accessible une femme déjà mariée ou que la famille de cette dernière était un obstacle
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Un chercheur français a décodé un sortilège d’amour inscrit sur un papyrus égyptien

 

par  Laura Boudoux

 

C’est un sortilège d’amour magique que contient ce papyrus vieux d’au moins 1 300 ans, rapporte Live Science. 

Korshi Dosoo, chercheur de l’université de Strasbourg, a déchiffré le message qui met en scène deux créatures ressemblant à des oiseaux et dessinée par des Coptes. Probablement utilisé lors de rituels, le papyrus montre que la créature ailée de gauche place son bec dans celui de l’oiseau de droite, qui semble avoir « un clou » au-dessus de la tête. Un bras entoure également le couple, aussi connecté par ce que Korshi Dosoo estime être « une chaîne, un lien, ou un pénis ». La créature de droite possède enfin deux oreilles – ou deux cornes – potentiellement présentes pour montrer qu’il s’agit d’une femelle.

Un texte, partiellement endommagé et rédigé suivant l’alphabet grec, encadre le dessin. Il y est fait mention du Christ, d’Adam, ou encore d’Ahitophel, un conseiller du roi David qui finit par le trahir dans l’Ancien Testament. Korshi Dosoo estime que cette page devait probablement appartenir au grimoire d’un sorcier. Il pense ainsi que le papyrus était probablement utilisé dans des cas de triangle amoureux, ou lorsqu’un homme ne parvenait pas à épouser celle qu’il aimait. 

« Les textes chrétiens d’Égypte qui mentionnent les sorts d’amour sous-entendent souvent que le problème n’est pas que la femme n’aime pas l’homme, mais qu’il n’a pas accès à elle parce qu’elle est protégée et isolée par sa famille, ou déjà mariée à quelqu’un d’autre », explique Korshi Dosoo.

La découverte de l’universitaire français est considérable. Elle démontre en effet qu’alors que l’Égypte était majoritairement musulmane et chrétienne, les croyances autour de la magie et des sorts persistaient. « Cette image mettait probablement en valeur l’aspect performant du sort. Le client trouvait certainement que ces étranges dessins étaient un supplément important à l’atmosphère créée par le rituel », analyse Korshi Dosoo. L’histoire ne dit pas si le sortilège d’amour donnait des résultats…

Source : Live Sciences

https://www.ulyces.co/

En Indonésie, le peuple de Toraja cohabite avec ses morts


Une tradition ancestrale qui semble-t-il se perd sur une île en Indonésie. Mais ce rite funéraire est assez étrange pour nous qui enterrons nos morts le plutôt possible
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En Indonésie, le peuple de Toraja cohabite avec ses morts

 

Crédit photo : Shutterstock

Par Mélissa Becquet

Pour ce peuple de l’île de Sulawesi, la mort n’est pas une fin mais une prolongation de la vie.

Alors que les occidentaux s’empressent d’enterrer leurs défunts, par respect, sur l’île indonésienne de Sulawesi, à Toraja, les morts font partie intégrante de la vie quotidienne.

Pour de nombreuses personnes, le simple fait de parler ou d’évoquer la mort met dans l’inconfort. À Toraja, en Indonésie, il faut parfois compter des semaines, des mois, voire des années pour que des funérailles aient finalement lieu. Là-bas, les morts sont plus que jamais considérés comme vivants…

Attention : certains lecteurs pourraient trouver certaines images choquantes.

 

Un membre de la famille ajuste les lunettes portées par Tappang Rara, décédé en 2006 à 65 ans.

Retirés dans les montagnes de l’île de Sulawesi, les Torajas, un groupe ethnique indigène à majorité chrétienne, pratique un étonnant rite funéraire. La mort ne les effraie pas. Et en attendant que des funérailles soient organisées, les familles gardent le corps de leur défunt chez eux et s’occupent de lui comme s’il était un simple malade.

Dans un documentaire, le National Geographic rapporte :

« Un défunt qui réside toujours à la maison n’est pas mort. »

C’est pourquoi le défunt est impliqué dans un véritable séjour funéraire durant lequel il reçoit, plusieurs fois par jour, des prières et des offrandes sous forme de nourriture, de boissons ou d’autres présents.

Crédit photo : Shutterstock

Le défunt est lavé puis habillé par sa famille qui entretient avec lui des conversations, comme s’il était encore en vie. Chez les Torajas, la mort n’est qu’un sommeil prolongé. Pour eux, cette coexistence n’a d’ailleurs rien de morbide. L’une des personnes interrogées explique :

« Nous n’avons pas peur du corps mort parce que notre amour pour nos ancêtres est beaucoup plus grand que notre peur. »

Autrefois, des feuilles et des herbes traditionnelles étaient frottées sur le corps du mort pour le conserver. Aujourd’hui, c’est une solution à base de formol qui est injectée dans le corps, stoppant ainsi la putréfaction. Le corps se momifie et se change en statue figée dans le temps.

Crédit photo : Muslianshah Masrie

Dans cette communauté, la relation physique entre les morts et les vivants se poursuit longtemps après, à travers un rituel appelé Ma’nene (« faire quelque chose pour les grands-parents »), symbolisé par des secondes funérailles.

Tous les deux ans environ, les familles ouvrent les cercueils de leurs défunts pour une grande réunion avec les morts. Ils les retirent de leur tombeau, les nettoient et les revêtissent de nouveaux vêtements. Cette pratique témoigne du respect et de l’amour qu’ont les vivants pour leurs morts.

Crédit photo : Muslianshah Masrie

Selon la croyance des Torajas, les funérailles marquent le moment où l’âme quitte définitivement la Terre et commence son long et difficile voyage jusqu’à Pooya, la dernière étape de l’au-delà, là où l’âme se réincarne.

Et parce qu’ils pensent que les buffles sont les porteurs de l’âme dans l’au-delà, les familles en sacrifient un grand nombre pour faciliter le voyage du défunt.

Crédit photo : Oscar Espinosa

Chez les Torajas, les morts sont souvent enterrés plusieurs années après leur trépas, le temps pour la famille de réunir suffisamment d’argent pour organiser des funérailles à leur hauteur. Elles durent parfois plusieurs jours et peuvent coûter bien plus cher qu’un mariage, soit plus de 68 000 euros.

Près de Rantepao, Sulawesi, des cousins ​​et des soeurs entourent Syahrini Tania Tiranda, âgé de trois ans, qui est mort la veille. Ils la touchent et lui parlent. Pour eux, elle doit faire un malade.

PHOTO DE BRIAN LEHMANN, NATIONAL GEOGRAPHIC

Une tradition ancestrale, mais qui tend à être de moins en moins pratiquée par les Torajas avec le développement du christianisme dans la région.

Une autre façon de se souvenir des morts.

http://positivr.fr/

3 tombes musulmanes, les plus anciennes de France, découvertes à Nîmes


L’Histoire est en constante évolution, et l’archéologie tente de raconter le passé à travers les indices qui ressortent du passé.
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3 tombes musulmanes, les plus anciennes de France, découvertes à Nîmes

 

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L'une des 3 tombes musulmanes découvertes à Nîmes. © Inrap

L’une des 3 tombes musulmanes découvertes à Nîmes. © Inrap

3 squelettes placés sur le côté, la tête regardant dans la direction de La Mecque : ces sépultures constituent les 1ers indices de la présence de communautés de musulmans dans le sud du pays au début du Moyen-Age

PREUVES. Ce sont des fouilles menées par l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) qui sont à l’origine de cette découverte. Elles ont été menées préalablement à la construction d’un parking souterrain, avenue Jean-Jaurès à Nîmes. Les archéologues ont mis au jour un quartier résidentiel antique de la cité, ainsi qu’une vingtaine de sépultures. Parmi elles, 3 ont particulièrement attiré leur attention. Il s’agit de tombes qui montrent clairement des rites funéraires musulmans : les corps de trois hommes étaient placés sur le côté, la tête regardant dans la direction de La Mecque.

« On savait que les musulmans étaient venus en France au 8e siècle mais on n’avait jusqu’alors aucune trace matérielle de leur passage », explique à l’AFP l’anthropologue Yves Gleize, de l’Institut national  de recherches archéologiques préventives  (INRAP), principal auteur d’une recherche publiée dans la revue Plos One.

« On disposait de quelques pièces de monnaie et de fragments de céramique, signes d’échanges commerciaux mais rien de plus », précise le chercheur.

En cela, la situation de l’Hexagone est bien différente de celle de la Péninsule Ibérique qui a été sous occupation arabe pendant des siècles.

Selon l’AFP, des analyses des ADN prélevés sur des dents et les os indiquent qu’ils étaient originaires d’Afrique du Nord. Ils étaient âgés respectivement de 20 à 29 ans pour l’un, d’une trentaine d’années pour le deuxième, et de plus de 50 ans pour le troisième. Ils n’avaient aucune trace de blessure.

« La réalisation de plusieurs datations radiométriques sur les trois individus permet d’en préciser l’âge : entre le 7e siècle et le 9e siècle de notre ère » écrit l’Inrap dans un communiqué de presse.

 Jusqu’à présent, la plus ancienne sépulture musulmane découverte en France, à Marseille, datait du 13e siècle. Une autre mise au jour à Montpellier pourrait remonter au 12e siècle.

« L’ensemble de ces données suggère que les squelettes découverts dans les tombes de Nîmes appartenaient à des soldats berbères enrôlés dans l’armée omeyyade durant l’expansion arabe en Afrique du Nord » au 8e siècle reprend l’Inrap.

Coexistence des Musulmans et Chrétiens

Les lignées génétiques maternelles et paternelles des trois squelettes sont relativement rares dans la population française moderne, soulignent-ils. Par rapport à la Péninsule Ibérique ou à l’Italie, il est clair que l’impact génétique de l’occupation arabe est bien moindre en France, pointent les chercheurs.

Pour Yves Gleize, « l’analyse archéologique, anthropologique et génétique de ces sépultures du début de l’époque médiévale à Nîmes fournit des preuves matérielles d’une occupation musulmane au 8e siècle dans le sud de la France ».

Cependant, il n’est pas possible avec ces indices de savoir quelle était la taille de ces communautés dont la présence est aussi attestée dans des textes anciens qui relatent la présence de musulmans à Nîmes entre 719 et 752. Mais ils ne sont pas restés très longtemps.

Charles Martel a pris le contrôle de la ville en 737, cinq ans après la victoire décisive de Poitiers contre les Sarrasins, la détruisant peut-être pour punir la population qui avait accepté la protection des musulmans, supputent ces anthropologues.

Signe d’une possible coexistence de ces musulmans avec les populations autochtones, les trois tombes étaient relativement proches de sépultures chrétiennes. Et toutes ces tombes se trouvaient à l’intérieur d’une enceinte romaine qui devait délimiter une communauté urbaine, précisent les chercheurs. Plusieurs historiens ont avancé l’hypothèse qu’à Narbonne, un temps sous domination musulmane au début du Moyen-Age, les populations locales ont peut-être accepté une sorte de protection pour, en échange, pouvoir préserver leurs lois et leurs traditions. La découverte des sépultures de Nîmes paraît conforter cette hypothèse d’une relation plus complexe entre les communautés musulmane et chrétienne au début du Moyen-Age

selon Yves Gleize.

OL avec AFP

http://www.sciencesetavenir.fr/

Un papyrus de l’Évangile en vente sur eBay sauvé par un chercheur


Drôle d’endroit pour trouver un manuscrit ancien surtout qu’à l’origine, il aurait dû être offert en don à des scientifiques. J’aurais bien aimé savoir ce que dit ce bout de texte, voir les différences avec le texte actuel, surtout qu’il date de plus de 200 ans après J.C
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Un papyrus de l’Évangile en vente sur eBay sauvé par un chercheur

 

INSOLITE – L’histoire du docteur Geoffrey Smith, c’est un peu celle d’un Indiana Jones « 2.0 ». Spécialiste de l’histoire du christianisme (et tout particulièrement des débuts de la religion) à l’université du Texas, ce dernier a remarqué sur eBay une étrange enchère en janvier dernier, rapporte le New York Times. Un papyrus grec de l’Evangile selon Saint-Jean était effectivement en vente au prix initial de 99 dollars.

« Je ne pensais pas que ce type de vente ne pouvait être autorisé sur ce site », explique le chercheur cité le New York Times, qui a donc contacté directement le vendeur l’exhortant de mettre fin aux enchères sur le champ.

 Demande entendue puisque le vendeur en question a mis fin à la vente, laissant ainsi Geoffrey Smith étudier ce fragment de papyrus.

Le chercheur date ce document entre 250 et 350 après Jésus-Christ et indique que sa taille correspond à peu-près à celle d’une carte de crédit. Sur un côté, sont inscrites six lignes de l’Évangile selon Saint-Jean alors que sur l’autre face apparaît un texte d’inspiration chrétienne non encore identifié. Rédigé en grec ancien, ce papyrus pourrait être d’une très grande importance pour le monde de la recherche. En effet, si toutes les hypothèses de Geoffrey Smith se confirment, ce serait la première fois qu’un texte issu du Nouveau Testament serait retrouvé sur un fragment issu d’un rouleau de papyrus (à l’inverse d’un codex qui était d’usage à l’époque).

Trafic de manuscrits

Reste que Geoffrey Smith ne digère pas vraiment l’idée d’être tombé sur un tel document en surfant sur eBay.

« Le fait que ce document ait émergé sur Internet en dit long sur la réalité du trafic de manuscrits et d’antiquités« , a-t-il déploré pointant le manque de surveillance de la part des sites concernés dans ce domaine.

Surtout que nous ne parlons pas là d’un timbre rare où autres objets pouvant être prisés des collectionneurs. Les textes bibliques en grec ancien figurent tout simplement parmi les plus anciennes traces de l’écriture chrétienne.

Dès lors, une question se pose. Comment un tel document a-t-il pu se retrouver sur eBay et pour des enchères dont le prix de départ a été fixé à 99 malheureux dollars ? Il se pourrait que ce fragment ait appartenu à Harold R. Willoughby, ancien spécialiste du christianisme décédée en 1962. Le vendeur est un parent de cet ancien professeur et a expliqué avoir trouvé ce papyrus dans de vieilles affaires de famille… Geoffrey Smith lui a donc demandé de faire don de ce papyrus à la communauté scientifique. Ce que l’intéressé n’a visiblement pas encore fait.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► L’origine de cette tradition de croiser les doigts ?


Croisés les doigts fut d’abord un symbole, un signe distinctif et plus tard la superstition pour souhaiter la chance
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L’origine de cette tradition de croiser les doigts ?

    On distinguera l’origine religieuse de l’origine païenne :

  • Le croisement des doigts trouve son origine au temps des premiers chrétiens qui, étant persécutés, se cachaient. En signe de reconnaissance, ils se croisaient les doigts. Ce n’est que plus tard, dans l’Angleterre du Moyen Âge que la connotation anti-malheur des doigts croisés fait son apparition. La croix du Christ contre le mauvais œil en quelque sorte…

  • Quand une personne souhaitait que son ami réussisse, il mettait son index sous celui de son copain, formant alors une croix de leurs doigts. En effet, dans l’imaginaire des païens la croix représente l’union parfaite et le bien. Le symbole portait chance.

http://omnilogie.fr/

Le Saviez-Vous ► Pourquoi croit-on que passer sous une échelle porte malheur ?


Je ne me suis jamais empêché de passer sous une échelle et je trouve dommage que certaines personnes croient a ce genre de superstition. Dans le fond, on donne un pouvoir aux superstitions par nos croyances et non pour la réalité
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Pourquoi croit-on que passer sous une échelle porte malheur ?

 

 

Illustration[CC / Seabamirum ]

Selon une superstition très répandue, passer sous une échelle porterait malheur.

L’échelle a une symbolique particulière pour les chrétiens, puisqu’elle avait été adossée à la croix du Christ afin de le hisser pour le crucifier.

Poser une échelle était donc associé à l’image de la trahison de Judas et la mort de Jésus. Il y a aussi une autre référence biblique, une échelle posée contre un mur depuis le sol forme un triangle et les croyants associent à cette forme géométrique l’image de la Sainte-Trinité. Passer dans ce «triangle» était considéré comme une profanation.

Au Moyen Age, elle sera également associée à l’image de la mort par pendaison, puisque le condamné devait passer sous l’échelle dressée contre la potence et utilisée pour attacher la corde.

http://www.directmatin.fr/