Ne pas se fier aux apparences


L’Être, humain s’est accaparé de la terre en pensant d’abord à ses propres besoins, au lieu d’essayer de trouver les meilleures solutions pour cohabiter avec l’environnement
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Ne pas se fier aux apparences



Ne pas se fier aux apparences.  Ce n’est pas le chevreuil qui travers la route, mais la route qui traverse la forêt de façon indécente


Inconnu

Prendre son déjeuner en forêt


 

Dans mon coin de pays, on peut voir des chevreuils de très près. De nature nerveuse, ils ont tendance à fuir au moins les bruits suspects. Cet homme en Ontario aime bien manger en forêt justement pour le plaisir de voir les chevreuils tout près. Cependant, je déplore ce comportement, car iles chevreuils  peuvent devenir moins méfiants face à l’humain qui pourrait avoir d’autres projets que l’admiration devant ces bêtes magnifiques.
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Prendre son déjeuner en forêt

 

Un chevreuil qui vient de naître avec une patte manquante


Ce chevreuil fut amené chez le vétérinaire après sa naissance, car il lui manquait une partie d’une patte. On a dû l’amputer du reste pour prévenir l’infection. Une infirmière l’a pris en charge au début, ce fut difficile, mais cet animal a surmonté son handicap et maintenant, il peut courir comme tout chevreuil. Il vit avec des chiens et un cheval avec lequel il s’entend bien, sans compter qu’il sait réconforter des gens malades
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Un chevreuil qui vient de naître avec une patte manquante

 

 

Sécurité routière: nourrir le chevreuil l’hiver, une pratique dangereuse


On aime les animaux sauvages comme les chevreuils qu’on rencontre parfois. Avec nos hivers, les gens bien intentionnés donnent des aliments à ces belles bêtes sans savoir qu’en fait nous causons plus de tort que de bien. Les chevreuils quittent leur habitat pour être nourris par l’homme et les mettent en danger face aux prédateurs, et à la domestication, au braconnage et bien sûr les accidents de la route. Sans compter que leur flore bactérienne est adaptée à la saison froide, alors leur donner une alimentation différente comme une carotte demande plus d’énergie et peuvent mourir des difficultés digestives. Alors mieux vaut les observer de loin tout en respectant leur manière de vivre
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Sécurité routière: nourrir le chevreuil l’hiver, une pratique dangereuse

 

Un chevreuil traverse une route en bondissant. Le... (photo carlos osorio, archives associated press)

Un chevreuil traverse une route en bondissant. Le cerf de Virginie est impliqué dans plus de 5000 accidents de la route chaque année au Québec.

PHOTO CARLOS OSORIO, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS

PIERRE GINGRAS

La Presse

Le Québec a établi un record d’accidents de la route impliquant un chevreuil, en 2016. Voilà une des raisons qui incitent le gouvernement à vouloir interdire le nourrissage du cervidé en hiver. Cette pratique est d’ailleurs nocive pour la santé de l’animal, voire mortelle, en plus d’être un vecteur de maladies.

Explications.

Le nourrissage hivernal favorise les accidents de la route au moment où le chevreuil devrait être en forêt.

PHOTO FOURNIE PAR LA VILLE DE MONT-TREMBLANT

Les chevreuils sont souvent attirés par dizaines sur les sites de nourrissage. Sur cette photo du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, on peut en compter plus de 40.

PHOTO FOURNIE PAR LE MINISTÈRE DES FORÊTS, DE LA FAUNE ET DES PARCS

DES MILLIERS D’ACCIDENTS DE LA ROUTE

En dépit des nombreuses campagnes du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs pour dissuader le public de nourrir le cerf de Virginie en hiver, cette activité reste une pratique très répandue dans certaines régions. À tel point que Québec veut y mettre un terme. Paradoxalement, explique le biologiste François Lebel, coordonnateur de la gestion du cerf de Virginie au Québec, le nourrissage hivernal nuit même à la survie de l’animal. Et avec l’augmentation du nombre de chevreuils aux lieux d’alimentation, le risque d’accidents routiers grimpe. En 2016, on en a compté plus de 5600, faisant 2 morts et 240 blessés, un sommet en cinq ans.

UNE QUESTION DE DENSITÉ

La population de cerfs de Virginie au Québec, concentrée dans l’ouest et le sud de la province et en Gaspésie, s’élève à quelque 240 000 têtes. Le nombre d’accidents de la route est avant tout attribuable à la densité d’animaux sur le territoire, à l’importance du réseau routier et de la circulation. C’est la Montérégie qui détient le record dans ce domaine : 982 accidents l’an dernier (1 mort, 52 blessés). En Estrie, où l’on retrouve la plus grande densité de cerfs de Virginie, les accidents se chiffraient à 871 (38 blessés) et on en a dénombré 549 dans les Laurentides, où le nourrissage est très en vogue.

EN DEHORS DE LEURS RAVAGES

Au Québec, les chevreuils se regroupent en décembre dans leurs ravages, quartiers d’hiver où ils sont relativement protégés de la neige par un couvert de conifères. Ils accèdent aux ressources alimentaires en circulant dans les mêmes sentiers, réduisant ainsi l’énergie dépensée. Les lieux de nourrissage poussent les cervidés à quitter leur habitat naturel et à s’aventurer sur la voie publique pour s’y rendre. En 2016, pas moins de 529 carcasses de chevreuils provenant du secteur Mont-Tremblant-Lac-Saguay ont été récupérées sur la route, en grande partie l’hiver. D’autres municipalités des Hautes-Laurentides et de l’Outaouais vivent la même situation.

UN BILAN ROUTIER ENCORE PLUS IMPORTANT

Les conducteurs québécois doivent déclarer tout accident impliquant un animal de 25 kg et plus, un règlement toutefois ignoré par un grand nombre, surtout si les dommages au véhicule sont minimes. Si bien que le nombre d’accidents de la route impliquant un chevreuil est probablement plus important que ne l’indiquent les statistiques. Novembre est le mois où on dénombre le plus d’accidents : 1010 sur un bilan annuel de 5622 en 2016. C’est la période du rut. Devenus hyperactifs, les mâles circulent énormément. De décembre à la mi-avril, on comptait 1800 accidents, nombre qui pourrait baisser sensiblement si les chevreuils restaient confinés dans leurs ravages.

UN RÉGIME ALIMENTAIRE NOCIF

Les gens nourrissent les chevreuils pour les observer de plus près et leur apporter un supplément alimentaire hivernal. Or, en début d’hiver, la flore bactérienne du système digestif de l’animal change complètement pour s’adapter à un régime alimentaire composé de ramilles. La digestion de carottes, laitues, maïs, fourrage et autres exige souvent plus d’énergie que cette nourriture n’en fournit. Il est fréquent, indique le biologiste François Lebel, que des cerfs pourtant en bonne santé meurent en raison de complications digestives.

« L’animal doit notamment réchauffer cette nourriture en l’avalant, une dépense énergétique considérable. C’est comme si on se nourrissait de Popsicles tout l’hiver. »

LA TRANSMISSION DE MALADIES

Pour les biologistes, la sécurité routière n’est qu’un des aspects négatifs du nourrissage hivernal. Hors de ses ravages, le cerf n’est plus dans son habitat naturel. Augmenter artificiellement la densité des bêtes à un endroit donné favorise la transmission de maladies ou de parasites comme la tique porteuse de la maladie de Lyme, qui profite alors d’une dissémination accrue. Des prédateurs comme le coyote ou le loup seront inévitablement attirés sur les lieux. La situation est aussi propice au braconnage. De plus, le chevreuil voudra inévitablement varier son menu et dégustera arbres et arbustes ornementaux qui seront à sa portée, notamment les haies de thuyas.

DES CHEVREUILS DOMESTIQUÉS

Le nourrissage artificiel provoque aussi un début de domestication du chevreuil, indiquent les biologistes. Ils deviennent familiers, n’ont plus peur des humains et s’installent parfois à demeure non loin des endroits où on les nourrit régulièrement. Si bien que, même au cours de l’été, ils deviennent une nuisance pour la circulation routière, en plus de se servir allègrement dans les jardins de plantes ornementales et potagères. À Mont-Tremblant, certains chevreuils vivent dans la municipalité depuis déjà quelques générations. Les autorités ont pourtant fait des efforts considérables au cours des récentes années pour dissuader la population de nourrir les cerfs.

INTERDICTION DANS LES ÉTATS DU VERMONT ET DE NEW YORK

Source de problèmes pour les animaux et les humains, le nourrissage hivernal pourrait cependant être réglementé dans les municipalités, mais seulement une minorité d’entre elles font des efforts pour contrer le phénomène. À Duhamel, dans l’Outaouais, le nourrissage est une attraction touristique depuis longtemps. Pourtant, dans les États limitrophes du Vermont et de New York, nourrir le chevreuil est interdit sur tout le territoire, et ce, l’année durant. Au Québec, le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs estime qu’il devra éventuellement réglementer ou même interdire partout ce type d’alimentation artificielle.

http://www.lapresse.ca/

Un cimetière de fossiles découvert à la Côte belge


C’est immense comme découvertes datant de plusieurs millions d’années à différentes époques, comme un groupe d’une cinquantaine de morse, et quelques années avant, ils avaient trouvé des chevaux sauvages, un chevreuil, des coquillages, et même un cône de conifère
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Un cimetière de fossiles découvert à la Côte belge

 

Photo prétexte. © thinkstock.

Une concentration unique d’ossements fossilisés de mammifères décédés il y a des milliers d’années a été découverte dans les eaux côtières belges, rapporte jeudi l’Institut flamand de la mer (VLIZ). Ce cimetière d’un genre particulier est localisé dans le chenal appelé « Het Scheur », face à Zeebrugge.

« Il s’agit d’une découverte remarquable », selon le VLIZ.

Ces 25 dernières années, des os avaient déjà été retrouvés par hasard dans l’estuaire de l’Escaut occidental, notamment par des pêcheurs néerlandais qui ont attiré l’attention de paléontologues associés au Musée d’histoires naturelles de Rotterdam. Ces paléontologues ont alors inspecté le chenal Het Scheur pour effectuer des recherches complémentaires. En juillet dernier, ces experts et ceux du VLIZ ont effectué deux missions conjointes avec le navire de recherche du VLIZ, RV Simon Stevin.

Ils ont confirmé la présence de centaines de fossiles appartenant à au moins 50 morses du Pléistocène (de -2,58 millions d’années à -11.700 ans). C’est la colonie de morses située la plus au sud parmi celles du Pléistocène connues.

Depuis 1996, plusieurs restes de divers mammifères marins de l’Eocène ont également été retrouvés dans le chenal, probablement d’une espèce encore inconnue. Ils dateraient d’il y a 40 millions d’années.

Les recherches effectuées avec le navire RV Simon Stevin ont permis de dégager en outre huit restes de morses, des fragments d’os de chevaux sauvages, d’aurochs, de bisons des steppes et d’un chevreuil, sans compter les coquillages et un cône de conifère.

Tous ces matériaux vont bien entendus être analysés plus en profondeur. Des forages ciblés sont notamment prévus pour se faire une meilleure idée de la composition géologique et de l’étendue des couches où ont été trouvés les fossiles.

http://www.7sur7.be

Parole d’enfant ► Sauver Bambi


Il y a des fois que Mlle a des propos déroutants. Enfin, elle comprend que plus on construit des maisons, plus les animaux sauvages perdent du territoire, et elle s’inquiète pour les chevreuils qui  parfois viennent manger des carottes au fond de la cour qui est juste derrière un bois
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Sauver Bambi

 

Grand-maman raconte :
Derrière la maison de Mlle, il y a une petite forêt qu’on peut observer des oiseaux, des écureuils et parfois des cerfs.
Mlle me demande

– Pourquoi il y a une forêt interdite ?
– Ce n’est pas une forêt interdite, c’est un terrain privé !
– Il n’y a pas de maison
– Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de maison que c’est à personne
– Il ne faut pas de maison, parce que Bambi va mourir, il n’aura plus de quoi se nourrir
Il.faut pas tuer Bambi sinon, je serai obliger d’appeler la police et j’aime papa et maman, ils ne faut pas qu’ils aillent en prison
– Ils ne chassent pas et ne tuent pas des animaux
– Tu aimerais voir ta fille en prison ?
Moi non plus, tu ne pourras plus voir ta fille juste la visite
Pis moi, je donne des carottes à Bambi pour le regarder
C’est bien que tu n’essaies pas de l’apprivoiser
– Moi, je veux juste le regarder

Ana-Jézabelle, 5 ans /  5 juin 2017

Ils n’ont pas la même mère mais ….


Même si ces animaux ne sont pas de la même espèce et donc, évidant qu’ils n’ont pas non plus les mêmes parents, ils se ressemblent beaucoup
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Ils n’ont pas la même mère mais …

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Portera2767

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Charlotte Reeves

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Polina Pavlova

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Warren Photographic

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Kala Munk

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Coincé dans une boule de lampadaire, ce chevreuil s’en est finalement sorti


Comment cette boule de lampadaire s’est retrouver accessible aux animaux. Ce pauvre chevreuil a dû vivre des moments de stress intense. Heureusement, il est sain et sauf
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Coincé dans une boule de lampadaire, ce chevreuil s’en est finalement sorti

 

Le chevreuil a passé la nuit avec la tête piégée. 

Le chevreuil a passé la nuit avec la tête piégée.

Photo : NYS Department of Environmental Conservation/Facebook

Aux Etats-Unis, un chevreuil s’est coincé la tête dans une boule de lampadaire. Bloqué pendant toute une nuit, le malheureux animal s’est finalement libéré de son carcan grâce à la persévérance d’un agent de conservation de l’environnement.

 

Les circonstances de l’incident demeurent floues. Dans la nuit du 2 mai aux alentours de New-York, un chevreuil s’est malencontreusement coincé la tête dans une boule de lampadaire. Le malheureux cervidé s’est ensuite réfugié dans les bois, où il a erré jusqu’au matin, piégé dans son globe blanc.

Vers 9h45, les agents du Department of Environmental Conservation de New-York, chargés de surveiller la faune et la flore locales ont été avisés de cette situation délicate. L’officier Jeff Hull s’est alors précipité à la rescousse du chevreuil repéré à quelque 18 mètres de la route dans un quartier résidentiel, selon le récit partagé par l’organisme sur Facebook.

Jeff Hull, l'homme qui a libéré le chevreuil.

Jeff Hull, l’homme qui a libéré le chevreuil.

Photo : NYS Department of Environmental Conservation/Facebook

Deux tentatives et une chute

« Jeff Hull s’est approché du chevreuil. Mais à la première tentative, le globe humide a glissé de ses mains et le chevreuil s’est précipité vers un arbre mort, causant la chute de l’animal », écrivent les agents.

Fort heureusement, l’animal a été libéré de son joug sphérique au second essai.

« Il a lancé son manteau sur le globe et l’a saisi des deux mains alors que le chevreuil se débattait et luttait pour se libérer ».

La bête dégagée a pu rejoindre les bois sans blessure. Quant à l’agent :

« Il a une bonne histoire à raconter et quelques bleus. Mais son intégrité est sauve ».

http://www.metronews.fr/i

 

Les ours ne dorment plus et les lièvres sont morts de peur


 

Si l’absence de grands froids et de neige fait le plaisir des uns, il fait aussi le malheur des autres, c’est aussi vrai dans le monde animal.
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Les ours ne dorment plus et les lièvres sont morts de peur

 

Les ours sont plus grognons, les orignaux sont attaqués par des tiques, les chevreuils s’empiffrent d’herbe et les lièvres blancs courent pour leur vie comme jamais. Ce mois de décembre anormalement chaud dérègle le monde animal.

«Les ours ne dorment pas, mais il n’y a plus de petits fruits dehors. Est-ce qu’ils auront assez de nourriture?» s’inquiète Bruno Dumont, directeur de la faune à la Fédération des pourvoiries du Québec (FPQ).

«Les ours, a rappelé Bruno Dumont, aiment se laisser enterrer par la neige sous un arbre renversé.»

Proies faciles

Difficile d’hiverner ainsi, vu que la neige n’a pas recouvert tout le Québec.

La chaleur est aussi problématique pour les orignaux dans le sud-ouest du Québec.

«L’orignal vit dans un écosystème affecté», a résumé Bruno Dumont.

La tique d’hiver continue de s’y agripper et d’en sucer le sang, puisqu’elle n’est pas paralysée par le froid ni ensevelie sous la neige. Les orignaux perdent leurs poils à force de se gratter pour s’en débarrasser. Certains meurent.

Quant aux lièvres, ils ont de quoi trembler de peur. Chaque fin d’automne, le pelage de ces petits mammifères devient blanc pour qu’ils puissent se camoufler dans la neige pendant l’hiver. Résultat cette année: ils «brillent» dans des forêts sans neige. Leurs prédateurs et les chasseurs les repèrent de loin.

«Les chasseurs qui ont un peu de loisirs vont peut-être aller faire un petit tour dans les bois», estime Daniel Blanchard, président du Club de chasse, pêche et tir de Farnham.

Être une proie aux poils blancs ces jours-ci «n’est pas excellent», compatit Daniel Fortin, professeur au Département de biologie de l’Université Laval.

Il n’y a cependant pas de quoi s’angoisser pour la survie des lièvres, car, même s’ils passent un sale quart d’heure, ils se reproduisent trois ou quatre fois par an.

«Je ne m’inquiète pas trop pour eux. Je vais bien dormir ce soir», a-t-il dit en souriant.

De l’herbe à profusion

Pour l’instant, l’absence de neige fait quand même des heureux. Les chevreuils et les dindons sauvages n’ont qu’à se baisser pour manger de l’herbe.

«Ils n’ont pas besoin de gratter la neige», a dit Bruno Dumont de la FPQ.

Les écureuils, eux, se gavent tellement que certains deviennent obèses cette année, constate Patricia Presseau, directrice des collections du zoo Écomuseum à Sainte-Anne-de-Bellevue.

«Le sol n’est pas gelé, alors ils continuent à manger des matières végétales au sol», a-t-elle expliqué.

http://www.tvanouvelles.ca/

Un chevreuil blessé se rend à l’urgence


Un événement insolite, mais qui finis mal pour la bête. Je me demande par contre pourquoi ils n’ont pas choisi l’euthanasie
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Un chevreuil blessé se rend à l’urgence

 

Un chevreuil blessé se rend à l'urgence

Photo Fotolia

Un chevreuil blessé s’est rendu par lui-même dans un hôpital de Rochester, dans l’État de New York, lundi.

L’animal vraisemblablement heurté par un véhicule a réussi à entrer à l’intérieur de l’urgence du Strong Memorial Hospital, a rapporté TWC News, mardi.

Les employés ont réussi à maîtriser le chevreuil à l’intérieur, à 7 m de la porte d’entrée. La bête a été immobilisée sur une civière et sortie de l’établissement.

«C’est une situation très étrange, j’avais de la difficulté à croire ce que j’entendais sur les ondes lorsque l’appel concernant le chevreuil à l’hôpital est entré», a dit le chef de la sécurité publique Mark Fischer à TWC News.

Les blessures de l’animal étaient très sérieuses, mais il était assez mobile pour se traîner à l’urgence», a ajouté M. Fisher.

Il semble que l’animal ait subi des fractures sur plus d’une jambe. Il a dû être abattu en raison de la gravité de ses blessures.

http://fr.canoe.ca/