Le Saviez-Vous ► Les 5 choses à savoir sur le papillon


Les papillons nous ont quittés depuis quelque temps, ils nous reviendront au printemps. Un monde sans papillon, serait un monde bien triste. Ils sont utiles pour l’environnement. Parmi plus ou moins 150 000 espèces différentes, c’est en Amérique du Nord que nous avons le champion du papillon migrateur.
Nuage


Les 5 choses à savoir sur le papillon

Les 5 choses à savoir sur le papillon© Pixabay

Avec ses belles ailes colorées, cet insecte attire tous les regards. Papillon de jour ou papillon de nuit, voici de quoi en savoir plus sur lui.

Quel est le rôle du papillon ?

Tout comme les abeilles, le papillon est un insecte pollinisateur. Grâce à sa bouche en forme de trompe, Il va se poser sur une fleur pour se nourrir de son nectar. En s’envolant, il emporte involontairement avec lui des grains de pollen qui s’accrochent à son corps poilu, jusqu’à la fleur suivante. Il est donc un maillon essentiel dans la reproduction des plantes. Selon une étude, on estime même que 70 à 80% des plantes à fleurs dans le monde ont besoin des insectes pour survivre. Lorsqu’il en est encore au stade de chenille, le papillon a, là aussi, un rôle important pour l’écosystème. La chenille, qui fait des trous dans les feuilles qu’elle mange, permet mieux à la lumière de passer, améliorant ainsi la photosynthèse des arbres. Elle sert aussi de nourriture à de nombreux animaux, comme les oiseaux.

Combien de temps le papillon vit-il ?

On estime qu’il existe environ 150 000 espèces différentes de papillons. La durée de vie varie d’une espèce à l’autre, mais n’est jamais très longue. Les espèces de petite taille sont celles qui vivent le moins longtemps, à peine quelques jours. Mais d’autres espèces peuvent tenir bien plus. C’est notamment le cas du papillon citron, un papillon qui hiberne et peut dépasser les 10 mois. En revanche, le cycle de vie de ces insectes est toujours le même : d’abord oeuf, ils se transforment en chenille, puis en chrysalide, avant de terminer papillon. Au fur et à mesure que leur vie d’adulte s’écoule, leurs couleurs vives deviennent plus fades, et leurs ailes si fragiles s’abiment à force de se frotter contre les plantes. Jusqu’au moment où ils sont trop faibles pour voler.

Le Monarque, un papillon record

Ce papillon est le champion toutes catégories de la migration. Chaque année entre août et octobre, plusieurs millions de ces insectes orangés avec des bordures noires quittent les Etats-Unis et le Canada pour se rendre au Mexique. Le périple faisant 4 000 km, ils se reproduisent au fil du voyage. Du coup, ce sont leurs descendants qui retournent au printemps suivant dans le nord. Selon une étude publiée dans la revue Nature Communications, le papillon monarque arrive à retrouver son chemin car il serait doté d’un véritable compas magnétique interne. Cette migration est un phénomène unique, et est même considérée comme l’une des merveilles du monde.

Le papillon cendre, un insecte dangereux

De couleur beige, avec un corps recouvert de poils, cet insecte nocturne est une vraie terreur. La faute, justement, à ces poils qui sont très urticants. Un seul contact avec la peau, et vous vous retrouvez recouverts d’éruptions cutanées, avec de grosses démangeaisons. Les oedèmes sont même possibles. Les papillons cendres vivent en Amérique du Sud, et notamment en Guyane française, dans les mangroves. Plusieurs fois par an, ils débarquent en grand nombre en ville, attirés par la lumière des habitations. Il faut alors éteindre toutes les lumières et ne pas laisser sécher son linge dehors.

Focus sur le papillon de nuit

Comme leur nom l’indique, la majorité de ces papillons vivent… la nuit. Mais certains volent de jour. De manière générale, ils sont de forme triangulaire, avec une couleur assez terne, imitant la teinte des végétaux. Lorsqu’ils se reposent la journée, ils sont ainsi mieux camouflés pour échapper aux prédateurs. Ils ont un odorat particulièrement développé. Enfin, la lune leur sert de repère pour s’orienter. Lorsqu’on allume la lumière, l’insecte va alors prendre l’ampoule électrique comme nouveau repère et voler autour.

https://www.geo.fr/

De fausses chenilles pour étudier les vrais impacts de la biodiversité


 

Une étude dont les matériaux nécessaires ne pas très chers. De la pâte à modeler et des tiges de métal pour faire des fausses chenilles et ainsi mieux cerné les prédateurs qui pourraient sauver la santé des arbres urbains. Le problème n’est pas vraiment la diversité des essences d’arbres, mais de la manière qu’ils sont répartis. Comme quelques villes ont connu la destruction de plusieurs frênes à cause de l’agrile du frêne.
Nuage

 

De fausses chenilles pour étudier les vrais impacts de la biodiversité

 

Une fausse chenille dans un arbre.

Des chenilles en pâte à modeler sont installées sur des branches d’arbre dans différents parcs de Montréal. Photo : Radio-Canada/Renaud Manuguerra-Gagné

Des appâts bien spéciaux se retrouvent dans les parcs de la région de Montréal cet été : des chenilles en pâte à modeler. Cette technique, en apparence simple, va permettre de mieux comprendre comment la biodiversité des plantes urbaines influe sur la présence de prédateurs qui contrôlent les insectes nuisibles.

Un texte de Renaud Manuguerra-Gagné, de Les années lumière

À première vue, on pourrait croire à une décoration faite par des enfants : un morceau de pâte à modeler enroulé autour d’un fil de fer.

Une dame tient la tige dans ses mains.

Un morceau de pâte à modeler est enroulé autour d’un fil de fer. Photo : Radio-Canada/Renaud Manuguerra-Gagné

Pour des prédateurs tels que des oiseaux ou des araignées, cela ressemble toutefois davantage à une proie facile d’accès. Et pour les chercheurs qui en récupéreront les morceaux, c’est un trésor d’informations.

« On a un énorme manque d’informations en ce qui concerne la diversité des prédateurs en zone urbaine », explique Alain Paquette, professeur en biologie à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et l’un des deux chercheurs responsables du projet.

Ce manque pourrait bien être comblé à la fin de l’été grâce aux centaines de leurres déployés dans des parcs de la région de Montréal.

En environnement, tout est lié

Un main met en évidence le leurre dans l'arbre.

Ce morceau de pâte à modeler ressemble à une proie facile d’accès pour des prédateurs tels que les oiseaux ou les araignées. Photo : Radio-Canada/Renaud Manuguerra-Gagné

Les chercheurs veulent tracer un meilleur portrait de ce qui influence l’état de santé des arbres dans les villes, qui sont loin d’être des endroits qui facilitent leur croissance.

« Dans la nature, tout est relié », assure Bastien Castagneyrol, chercheur à l’Institut national de la recherche agronomique en France, dans la région de Bordeaux, qui gère ce projet de l’autre côté de l’Atlantique. « Le type d’arbres qu’on retrouve dans les villes va influencer le type d’herbivores qui les peuplent et, par la suite, les prédateurs qu’on retrouve », explique-t-il.

À première vue, beaucoup de grandes villes semblent avoir une bonne diversité d’arbres. Il y a à Montréal, par exemple, jusqu’à 322 essences différentes, alors qu’il en pousse en moyenne 50 dans une même région au Québec.

Le problème, c’est qu’elles sont très mal réparties. Jusqu’à 60 % des arbres ne correspondent en fait qu’à trois espèces : l’érable argenté, l’érable de Norvège et le frêne. La situation est semblable dans la région de Toronto avec l’érable, le cèdre et le frêne, qui forment 50 % des arbres urbains.

Ce monopole peut avoir d’importantes conséquences lors de l’arrivée d’espèces invasives comme l’agrile du frêne qui a fait des ravages et mené à la mort de millions d’arbres.

Un des moyens de contrôler ces espèces invasives réside chez leurs prédateurs, mais ces animaux sont fortement influencés par le type d’arbres d’une région.

« On veut faire un bilan de quel type de prédateur se trouve à quel endroit dans les villes, explique Alain Paquette. On veut aussi étudier comment nos choix d’essences d’arbres influent sur le type de prédateurs qu’on rencontre et si, en retour, leur présence peut aider à protéger les arbres. »

Appâts simples, traces complexes

 

Des images montrant différentes marques de prédateurs.

Chaque animal ou insecte laisse une trace distinctive sur les chenilles en pâte à modeler.  Photo : Béla Eötvös et Gabor Lövei

En déployant jusqu’à 800 fausses chenilles dans trois parcs de la région de Montréal, les chercheurs espèrent trouver des traces des prédateurs qui s’y cachent.

« Les animaux qui vont s’en prendre à la pâte à modeler y laisseront des traces distinctives, explique Bastien Castagneyrol. Les traces en forme de V indiquent les marques d’oiseaux. Certains trous de petite taille témoignent d’attaques de mandibules d’insectes. Et si on est chanceux, on peut voir des marques distinctives de dents qui témoignent de la présence de rongeurs ou de reptiles. »

En même temps, les chercheurs prendront aussi des informations sur les dégâts subis par les arbres sur lesquels se sont déroulées leurs recherches, comme la présence d’insectes s’attaquant au tronc ou aux feuilles.

En comparant la présence de prédateurs aux dégâts subis par les arbres, il sera possible d’avoir une idée de l’impact des prédateurs sur la santé des arbres.

Le grand public à la rescousse

Des fils de métal entourés de pâte à modeler et piqués dans du styromousse.

Jusqu’à 800 chenilles seront installées dans trois parcs du sud-ouest de Montréal. Le projet pourrait ensuite s’étendre à d’autres secteurs de la métropole, et même à d’autres villes. Photo : Radio-Canada/Renaud Manuguerra-Gagné

Si tout se déroule bien, les chercheurs espèrent transformer leur étude en projet de science participative, en intégrant dès l’an prochain le public et même des écoles.

Bien qu’il soit difficile de s’assurer que toutes les chenilles sont identiques, cette méthode aiderait à voir les différences entre plusieurs régions de la ville de Montréal, et même dans d’autres villes au Canada ou en France.

Rappelons que la santé des arbres en ville sera de plus en plus importante à l’avenir, surtout avec le rôle qu’ils ont à jouer dans le combat contre les vagues de chaleur, dont le nombre et la durée risquent d’augmenter avec les changements climatiques.

https://ici.radio-canada.ca/

28 occasions lors desquelles la nature nous fait dire « NON »


La nature est magnifique, parfois, elle peut être assez glauque. Elle fait ses propres scènes d’horreur.
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28 occasions lors desquelles la nature nous fait dire « NON »

Dans la nature, tout n’est pas nécessairement aussi beau ou hilarant que ce à quoi nous sommes habitués. Elle a un côté obscur.

D’une mère mille-pattes protégeant ses petits en passant par une colonie de guêpes en construisant un nid autour d’une poupée désarticulée, ces images montrent les choses les plus effrayantes que mère nature a à offrir. Faites défiler la page pour mettre votre courage à l’épreuve et votez pour vos préférées.

N° 1 – Ce cratère de lave semble aspirer les âmes des damnés en enfer.

N° 2 – Un bernard-l’hermite utilisant la tête d’une poupée en guise de coquille.

3 – Des guêpes ayant construit un nid autour d’une poupée désarticulée.

N° 4 – Cette grenouille a été trouvée un matin toute sèche et flétrie à l’extérieur d’un magasin. Le gérant s’est dit : « essayons de la mettre dans de l’eau », et mince, elle est revenue à la vie.

N° 5 – Un nid de frelons abandonné que mon père a trouvé dans son abri de jardin alors qu’il n’y était pas entré pendant quelques années. La tête appartient à une statue en bois avec laquelle le nid abandonné a fusionné.

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N° 6 – Une mère mille-pattes protégeant ses petits.

N° 7 – Une personne en charge du lac a trouvé le renard (qui s’est noyé) dans la glace, a extrait le bloc et l’a posé sur la glace afin d’éloigner les gens de celle-ci.

N° 8 – Le cymothoa exigua est un type de parasite qui pénètre par les branchies des poissons, dévore leur langue, et la remplace.

N° 9 – Des enveloppes de fleurs mortes dans mon jardin. Elles ressemblent à des masques de mort.

N° 10 – Le champignon les doigts du diable.

N° 11 – Quelle tête !

N° 12 – Il y a tellement d’abeilles dans le mur que leur miel dégouline d’une prise

N° 13 – Un ver originaire d’Antarctique appelé Eulagisca gigantea.

N° 14 – Une chenille à tête de serpent.

N° 15 – Cette chouette occupée a tué plus de 70 lemmings et a entouré son nid de leurs dépouilles fraîches.

N° 16 – Un mille-pattes dévoré par une vipère a trouvé le chemin de la sortie.

N° 17 – Cet arbre dans le Nebraska a été frappé par la foudre la veille.

N° 18 – Une nouvelle patte pousse sur la queue de ce lézard ?

N° 19 – Des fourmis rouges ont créé une île flottante avec leurs corps pour échapper à l’inondation de Houston.

N° 20 – J’étais sur le point de montrer à mes enfants que les carapaces de cigales ne sont ni dégoutantes ni effrayantes, lorsque…

N° 21 – Ces pythons réticulés se sont séparés d’eux-mêmes selon leur couleur juste après l’éclosion.

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N° 22 – Un renne (Rangifer Tarandus) présentant des bois qui perdent leur velours, en Amérique du Nord.

N° 23 – Une ruche construite autour de carillons éoliens chez un ami.

N° 24 – Le rondeau mouton a des dents ressemblant à celles des humains.

N° 25 – La mouche sans ailes Penicillidia se fixe à la tête d’une chauve-souris et ne la quitte jamais.

N° 26 – Ce gecko à trois queues.

N° 27 – Une souris sur mon porche qui porte la tête de son ennemie vaincue.

N° 28 – Un éboulement à Taïwan.

https://bridoz.com/

Le Top des animaux drôles


Il y a des bêtes qui ont vraiment un air burlesque, mais ils sont magnifiques
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LE TOP DES ANIMAUX DRÔLES

Il y a les animaux archi mignons et les franchement laids. Et entre ces deux extrêmes, il y a cette catégorie d’animaux qui nous font rire

  Voici notre top des animaux drôles.

Ce chien qui ressemble à l’acteur Samuel L. Jackson

Chien Samuel L Jackson

L’ibijau gris

Ibijau gris

On vous a déjà démontré les habilités de camouflage de l’ibijau gris. Avec cette photo, on comprend pourquoi il doit fermer les yeux pour se cacher!

La poule soie

Poule soie

On retrouve cette poule domestique très docile un peu partout dans le monde. Ce qui la distingue, outre son plumage pour le moins fournis, ce sont les cinq doigts qu’elle a à chaque patte (les poules en ont habituellement que quatre), et surtout sa chaire noire!

Ce spécimen de tortue de la Mary River

Tortue Marye River

Avec son allure punk, cette tortue australienne fait immanquablement sourire. Mais ce look rigolo cache un sérieux problème. Les algues qui recouvrent le spécimen sont un signe que l’habitat de cette torture unique est menacé.  En 2008, lors que ce cliché a été pris, plusieurs groupes  de protection de la faune étaient déjà à pied d’œuvre pour tenter de stopper la construction d’un barrage sur la rivière Mary. Avec cette photo éloquente, ils avaient enfin la mascotte idéale pour les aider dans leur lutte.  En novembre 2009, le projet de barrage a été abandonné. Une histoire qui finit bien.

La chenille Iron Man

Chenille Iron Man

Le tamarin empereur

Tamarin empereur

On retrouve ce petit primate moustachu en Amérique du Sud.

http://www.canald.com

Découverte d’une étrange créature à deux têtes La chenille serpent


C’est une étrange chenille, mais inoffensive. Elle apparait comme un serpent a deux têtes et 3 yeux pour faire peur à d’éventuels prédateurs qui aimerait bien avoir un repas copieux
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Découverte d’une étrange créature à deux têtes

 

Découverte d'une étrange créature à deux têtes

La chenille serpent

Dans un jardin de Santa Fe en Argentine, une habitante est tombée sur une étrange créature. Avec un corps longiligne de 10 centimètres, elle ressemblait à un serpent avec «deux têtes» et «trois yeux».

La nature n’a visiblement pas fini de nous fasciner. Pour preuve, l’étrange créature qui suscite le débat depuis plusieurs semaines sur le net. Le spécimen en question a été repéré dans un jardin par une habitante de Santa Fe en Argentine. Intriguée par son aspect, Lujan Eroles a capturé plusieurs photos et vidéos qu’elle a postées en février sur son profil Facebook.

Les images n’ont pas mis longtemps à faire réagir les internautes. Il faut dire que la créature en question présente effectivement un aspect pour le moins inhabituel. Dotée d’un corps longiligne d’une dizaine de centimètres, elle semble présenter «deux têtes» et «trois yeux» disposés de part et d’autre. Une allure qui lui donne un peu des airs de serpent. 

D’ailleurs, certains ont pensé qu’il s’agissait bien d’un serpent dont le corps aurait été endommagé. Mais non, son identité est tout autre : il s’agit en réalité d’une chenille de papillon.

ESPÈCE MYSTÉRIEUSE

On peut en avoir la confirmation lorsque la créature est retournée dans la vidéo : on peut apercevoir de minuscules pattes sous elle. D’après les experts, il s’agirait plus précisément d’une chenille de Sphingidés ou Sphinx, une famille de lépidoptères d’assez grande taille et qui sont pour la plupart nocturnes ou crépusculaires.

Certains commentaires et médias affirment même que le spécimen en question serait une chenille de grand sphinx de la vigne (Deilephila elpenor). Toutefois, cette espèce étant uniquement présente en Europe et en Asie, des spécialistes ont contredit cette théorie. L’identité exacte de la chenille reste donc pour le moment un mystère.

Néanmoins, son aspect n’est pas si étrange. Les chenilles de plusieurs papillons sont connues pour se déguiser afin d’échapper aux prédateurs.

«Les chenilles sont les hot-dogs de la nature et de nombreux animaux les voient comme un en-cas savoureux», a expliqué au National Geographic Katy Prudic, entomologiste de l’Université d’Arizona.

DES CHENILLES EXPERTES EN DÉGUISEMENT 

Avant de devenir des papillons, les chenilles ont en effet un aspect très simple et souvent inoffensif. Elle ont également une masse de graisse importante qui les rend encore plus délicieuse. Pour éviter de servir de repas aux autres animaux, de nombreuses chenilles ont ainsi mis au point des stratégies pour se camoufler.

Tandis que certaines se fondent dans la végétation ou imitent par exemple les crottes d’oiseau, les chenilles de Sphingidés ont décidé de miser sur la crainte que les serpents suscitent.

Du point de vue d’un oiseau, «vous pensez avoir trouvé un hot-dog délicieux que vous allez manger mais il se tourne et gonfle sa tête pour ressembler à un serpent», a décrit Katy Prudic.

L’effet est alors immédiat : «le prédateur va souvent lâcher la proie ou s’enfuir», a poursuivi la spécialiste.

Dans le cas présent, la chenille est passée experte dans l’art du déguisement, affichant des couleurs très ressemblantes et allant jusqu’à présenter un œil qui semble cligner comme un vrai.

INOFFENSIVE

«Je n’avais jamais rien vu de semblable. C’était exactement comme un serpent et ses yeux étaient tellement étranges», a confié Lujan Eroles au Daily Mail. «J’ai regardé vers le bas et j’ai vu l’étrange animal, j’ai eu peur sachant qu’il pouvait être venimeux».

Une preuve que la stratégie de la chenille est parfaitement au point puisque les Sphingidés ne sont en réalité pas toxiques, du moins pour les humains.

Leur développement et la durée de leur métamorphose varient en fonction de l’espèce et de l’environnement, notamment de la température. À l’heure actuelle, quelque 1 450 espèces de Sphingidés sont répertoriées.

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Le top des animaux drôles


Il existe des animaux qui par leur apparence sorte de l’ordinaire de ce que nous connaissons
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Le top des animaux drôles

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Ce chien qui ressemble à l’acteur Samuel L. Jackson

Chien Samuel L Jackson

L’ibijau gris

Ibijau gris

On vous a déjà démontré les habilités de camouflage de l’ibijau gris. (le lien ne fonctionne pas Ndlr) Avec cette photo, on comprend pourquoi il doit fermer les yeux pour se cacher!

La poule soie

Poule soie

On retrouve cette poule domestique très docile un peu partout dans le monde. Ce qui la distingue, outre son plumage pour le moins fournis, ce sont les cinq doigts qu’elle a à chaque patte (les poules en ont habituellement que quatre), et surtout sa chaire noire!

Ce spécimen de tortue de la Mary River

Tortue Marye River

Avec son allure punk, cette tortue australienne fait immanquablement sourire. Mais ce look rigolo cache un sérieux problème. Les algues qui recouvrent le spécimen sont un signe que l’habitat de cette torture unique est menacé.  En 2008, lors que ce cliché a été pris, plusieurs groupes  de protection de la faune étaient déjà à pied d’œuvre pour tenter de stopper la construction d’un barrage sur la rivière Mary. Avec cette photo éloquente, ils avaient enfin la mascotte idéale pour les aider dans leur lutte.  En novembre 2009, le projet de barrage a été abandonné. Une histoire qui finit bien.

La chenille Iron Man

Chenille Iron Man

Le tamarin empereur

Tamarin empereur

On retrouve ce petit primate moustachu en Amérique du Sud.

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Le Saviez-Vous ► Une collection d’anciennes illustrations médicales


Les anciennes images médicales, un petit côté glauque, alors que la botanique et les animaux semblent un peu irréels
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Une collection d’anciennes illustrations médicales

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Squelettes de foetus – RUYSCH, Fredrik (1638-1731)

La Hagströmer Medico-Historical Library fondée en Suède pour préserver des ouvrages anciens sur l’histoire de la médecine a sur son site toute une collection de vieilles illustrations médicales, biologiques et naturalistes plus fantastiques les unes que les autres.

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Enfant louchant avec une capuche de correction – Bartisch, Georg (c. 1535-1606)

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Cellules nerveuses – GOLGI, Camillo (1843-1926)

 

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Naissance – SIEGEMUNDIN, Justine (1650-1705)

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Anémones de mer – AECKEL, Ernst (1834-1919)

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Magazine pour les amoureux des fleurs – PFEIFFER, August (1777-1842)

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BOURGERY, Jean-Baptiste (1797-1849)

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Chenille – LEDERMÜLLER, Martin Frobenius (1719-1769)

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Cellules nerveuses – RAMÓN Y CAJAL, Santiago (1852-1934)

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BARTISCH, Georg (c. 1535-1606)

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Microscope – LEDERMÜLLER, Martin Frobenius (1719-1769)

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Lymphe et vaisseaux sanguins dans la peau humaine – RETZIUS, Gustaf (1842–1919) & KEY, Axel (1832–1901)

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Soldat blessé – OTIS, George Alexander (1830-1881)

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Examen obstétrique – MAYGRIER, Jacques Pierre (1771-1835)

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Nausée

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ROQUES, Joseph (1771-1850)

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RUETE, Christian Georg Theodor (1810-1867)

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Georg Constantin d’Albanie – BÄRENSPRUNG, Friedrich Wilhelm Felix von (1822-1864) & HEBRA, Ferdinand von (1816-1880)

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Batraciens – HAECKEL, Ernst (1834-1919)

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Des couches de cellules dans l’embryon – HAECKEL, Ernst (1834-1919)

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Garçon avec éléphantiasis – ALIBERT, Jean Louis (1768–1837)

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Colibris – HAECKEL, Ernst (1834-1919)

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Ephélide Lentiforme – ALIBERT, Jean Louis (1766–1837)

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Muscles – BERRETTINI, Pietro da (1596-1669)

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Main mécanique artificielle – PARÉ, Ambroise (1510-1590)

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Plique multiforme – Jean Louis (1766–1837)

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Maladie mentale – ESQUIROL, Jean-Etienne-Dominique (1772-1840)

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Rhinoceros – GESNER, Konrad (1516-1565)

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Muscles – SPIEGEL, Adriaan van de (1578-1625)

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Squelette – ESTIENNE, Charles (1504–1564) & RIVIÈRE, Estienne de la (d. 1569)

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Choléra – BAUMGÄRTNER, Karl Heinrich (1798-1886)

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« Cupping »

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Le Saviez-Vous ► Top 8 des bestioles les plus dangereuses du monde


Heureusement, ces insectes ne sont pas présents au Québec, enfin pour le moment. Elles sont dangereuses et souvent douloureuses
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Top 8 des bestioles les plus dangereuses du monde

Voici le top 8 des bestioles les plus dangereuses du monde :

1. Le moustique tigre

Crédit photo : Gordon Zammit – thinkstockphotos.fr

Le moustique tigre est l’animal le plus mortel pour l’homme. Vecteur de maladies meurtrières ou graves comme le paludisme, la fièvre jaune, le Chikungunya ou le virus Zika, il tue chaque année environ 725 000 personnes.

2. Le Reduviidae ou réduve

Crédit photo : Alexandre Ribeiro dos Santos – thinkstockphotos.fr

Son nom vient du latin reduviæ, qui signifie dépouille, car il aspire le sang et la chair de ses proies. En anglais, il porte le doux nom d’Assassin bug (insecte assassin). En effet, les réduves font 10 000 morts par an.

Ce n’est pas leur piqûre qui est dangereuse, mais leurs déjections. Une fois piqué, on se gratte et on favorise la pénétration du parasite, qui entraine la maladie de Chagas, une maladie mortelle si elle n’est pas traitée à temps.

3. La mouche Tsé-tsé

Crédit photo : Geoffrey Attardo – thinkstockphotos.fr

La mouche Tsé-tsé ou Glossine cause elle aussi environ 10 000 morts par an, car elle peut être porteuse d’un virus qui transmet la trypanosomiase africaine, plus connue sous le nom de maladie du sommeil. Cette maladie est endémique dans certaines régions de l’Afrique subsaharienne et est mortelle lorsqu’elle n’est pas traitée.

4. La chenille Lonomia Obliqua

Crédit photo : Centro de Informações Toxicológicas de Santa Catarina – Wikimedia Commons

Si vous avez le malheur de vous frotter contre une chenille du genre Lonomia Obliqua, une heure après avoir constaté quelques rougeurs, vous serez pris de vertiges, puis de nausées, votre vue se troublera et des lésions commenceront à apparaître sur votre peau. Ensuite, des troubles rénaux surviendront et vous serez plongé dans un coma irréversible deux jours plus tard. Enfin, seulement si vous êtes coincé en pleine forêt amazonienne sans accès aux secours, car un traitement a été mis au point.

5. La Phoneutria ou Araignée-banane

Crédit photo : ivkuzmin – thinkstockphotos.fr

On trouve les Phoneutria dans les plantations bananières. Une seule morsure de cette araignée suffit à tuer un homme. Le venin libère une puissante neurotoxine qui bloque la transmission des signaux nerveux en direction des muscles. La respiration devient difficile et les muscles se raidissent. Chez les hommes, la morsure provoque également une érection très douloureuse qui peut durer plusieurs heures. Heureusement, un sérum antivenimeux existe.

6. La veuve noire

Crédit photo : KIKA_PHOTO – thinkstockphotos.fr

Le venin de la veuve noire ou Latrodectus mactans est un neurotoxique périphérique, le plus dangereux de tout le monde animal. Il entraine la libération d’acétylcholine et de catécholamines. Cette araignée qui mesure 1 à 1,5 cm se reconnaît à la tache rouge qu’elle porte sur le dos.

La douleur ne se fait ressentir que 10 à 15 minutes après la morsure. Elle se traduit par : une douleur au point d’injection, des contractures musculaires, des douleurs abdominales, dorso-lombaires, des céphalées et enfin par une dystonie neurovégétative, un sérum antivenimeux existe également pour les morsures de veuve noire.

7. L’Atrax

Crédit photo : By Tirin at the English language Wikipedia, CC BY-SA 3.0, via wikimedia commons

L’Atrax Robustus est certainement la plus redoutable des mygales. Cette araignée citadine au comportement agressif peut atteindre jusqu’à 7 cm de long et son venin est très toxique. Ses chélicères, très puissants, peuvent traverser une chaussure ou un jean. Sa morsure provoque une vive douleur et son venin neurotoxique perturbe le fonctionnement du système nerveux.

Dans les années 1980, après qu’elle ait fait de nombreuses victimes en Australie, un antidote a été mis au point.

8. La Paraponera

Crédit photo : Graham Wise from Brisbane, Australia (Paraponera clavata) [CC BY 2.0 (http://creativecommons.org/licenses/by/2.0)%5D, via Wikimedia Commons

La Paraponera est une fourmi qui vit dans les forêts tropicales. On l’appelle également fourmi balle de fusil en raison de sa piqûre, dont la douleur est comparable à celle provoquée par un coup de fusil. La douleur peut être ressentie jusqu’à 24 heures après la piqûre.

Certaines populations indigènes amazoniennes du Brésil et de Guyane française utilisent les fourmis du genre Paraponera dans leur rite de passage pour les garçons, au moment de la puberté. L’initié doit montrer sa capacité à résister à la douleur de la façon la plus stoïque possible

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Une chenille collectionne ses anciens crânes sur sa tête


Une chenille très particulière, elle collectionne ses « têtes » à chaque mutation qui lui donne un petit air de chenille à la licorne. Mais cette corne a une utilité très importante pour sa survie
Nuage

 

Une chenille collectionne ses anciens crânes sur sa tête

 

Installée sur une feuille d'eucalyptus qu'elle s'apprête à déguster, voici Uraba lugens. © Donald Hobern / CC BY 2.0

Installée sur une feuille d’eucalyptus qu’elle s’apprête à déguster, voici Uraba lugens. © Donald Hobern / CC BY 2.0

Par Gouty Félix

COLLECTIONNEUSE. Il semblerait que « pokey », la chenille cactus de l’univers de Mario, posséderait finalement son pendant naturel.

Connu sous le nom de « dévoreur de feuilles » en Australie et Nouvelle-Zélande, la forme chenille du papillon de nuit Uraba lugens mesure environ 2 cm de long et se remarque par son apparence poilue, noire et jaune. Cette larve est l’ennemi numéro un des cultures d’eucalyptus, réduisant leurs feuilles à de simples nervures. En outre, elle possède une particularité énigmatique : au cours de sa croissance, elle peut « collectionner » ses précédents crânes, sur sa nouvelle tête, après chaque mue (une douzaine est généralement nécessaire au bon déroulement de sa croissance). Si la plupart des insectes mange ou se débarrasse complètement de leur précédent exosquelette après la mue, cette chenille préfère, elle, en constituer un appendice inerte telle une corne de licorne. D’après l’écologiste australienne Petah Low, spécialiste de ces animaux, cet empilement tiendrait grâce aux poils de l’insecte.

En février 2016, le docteur Low a mené plusieurs expériences, pour comprendre à quoi pouvait bien leur servir cette « corne ». Soupçonnant son implication dans un mécanisme de défense de l’animal, elle a placé (au cours de 6 essais) deux de ces chenilles – une avec cette collection de crânes sur la tête, et une autre sans – dans une boîte de Pétri, en compagnie de l’un de leurs prédateurs naturels, la punaise Cermatulus nasalis. Ce dernier se serre de son rostre, injectant une toxine paralysante dans le corps de sa proie, afin d’absorber sa chair interne. Résultat de quatre de ces six combats : la chenille sans « corne » a été achevé en une quinzaine de secondes, contre environ 120 pour la chenille « licorne ». L’empilement d’anciens crânes perché sur la tête d’Uraba lugens servirait donc de leurre face aux prédateurs, retardant leur estocade fatale. Plus précisément, il ne doit pas être ni trop haute ni absente, pour maximiser la survie de cette larve, selon le reste des résultats de Petah Low. Autrement dit, voici le genre de collections à garder sous contrôle.

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Une chenille à tentacules sensibles au son


Une bien drôle de chenille qui est sensible au son, elle déploie ses appendices quand un bruit se fait entendre
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Une chenille à tentacules sensibles au son

 

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Cette chenille découverte récemment au Pérou est du genre des Nematocampa, elle a la particularité d’avoir 4 appendices qui ressemblent à des tentacules sur son dos qui surgissent dès que le niveau sonore devient élevé.

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