Une erreur de Donald Trump propulse une entreprise de Calgary


Pour une fois, une erreur de Donald Trump a été positive, bon peut-être pas pour les Américains, mais pour les Canadiens plus précisément à Calgary. Son lapsus a fait une publicité gratuite pour une entreprise de chaussettes fusées et comme c’est le temps des fêtes, il y a plus de vente et une paire de chaussettes de vendue, l’entreprise donne 3 paires à des organismes de charité. Sacré président, il a réussit quand même a faire un peu de bien à son insu
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Une erreur de Donald Trump propulse une entreprise de Calgary

Donald Trump en gros plan.

Le président Trump lors d’un point de presse à la Maison-Blanche.

PHOTO : ASSOCIATED PRESS / ANDREW HARNIK

Radio-Canada

Un lapsus du président américain Donald Trump, mardi soir, a profité à une petite entreprise de chaussettes de Calgary.

Alors qu’il s’adressait à une foule rassemblée à Boca Raton, en Floride, le président américain a voulu dire que les États-Unis avaient établi un autre record boursier, mais au lieu de parler du stock market [marché boursier], il a plutôt parlé de sock rocket [chaussette fusée].

Sur les médias sociaux, les internautes se sont bien amusés de l’erreur et l’expression #sockrocket est rapidement devenue tendance sur le réseau social Twitter.

À Calgary, l’entreprise Sock Rocket a aussi profité de la méprise. Cette compagnie vend des chaussettes avec des motifs colorés depuis plus de trois ans.

Tommy Zizian est le fondateur de l’entreprise. « J’ai trouvé ça drôle », dit-il.

Le mot-clic sockrocket existait avant ça, mais c’est certain que ça lui a donné un élan. Nous avons eu plus de publicité en une journée que depuis notre création, il y a trois ans! Tommy Zizian, fondateur de Sock Rocket

Nous avons envoyé un message à Donald Trump le remerciant de la publicité gratuite et lui demandant d’acheter des chaussettes.

Tommy Zizian ajoute qu’il a reçu plus de commandes venant des États-Unis depuis l’incident.

Avec Noël, c’est vraiment arrivé au moment parfait, dit-il.

Pour chaque paire achetée, l’entreprise donne trois paires de chaussettes à des organismes de charité comme Centraide.

Tommy Zidian est heureux de savoir que ces organismes profiteront aussi de cette erreur.

Avec les informations de l’émission Eye Opener

https://ici.radio-canada.ca/

Les chats semblent parfois porter des chaussettes, et la génétique l’explique


Eux appellent cela des chaussettes, moi, je trouve que cela ressemble plus a des mitaines ou pantoufles. Bon, vous avez sans doute déjà vu des chats qui semblent porter des chaussettes ou mitaines, et bien cela est une mutation génétique, mais qui heureusement, ne les rends pas moins mignons, bien au contraire … On peut voir cela chez les chiens, souris, cochons, chevaux, cerfs et même chez les oiseaux, Chez l’homme c’est une tache sur le front et sur une partie des cheveux
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Les chats semblent parfois porter des chaussettes, et la génétique l’explique

Aux États-Unis, Socks (chaussettes en français) fait partie des noms les plus donnés aux chats. | ViniLowRaw via Unsplash

 

Aux États-Unis, Socks (chaussettes en français) fait partie des noms les plus donnés aux chats. | ViniLowRaw via Unsplash

Repéré par Audrey Renault

Une anomalie est à l’origine de ces taches sur leur pelage.

Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Popular Science

Si votre chat noir a les pattes toutes blanches ou, inversement, que votre matou immaculé semble avoir trempé ses griffes dans la suie, vous dites sûrement affectueusement qu’il porte des chaussettes. Le phénomène est si répandu chez les félins qu’aux États-Unis, Socks (chaussettes en français) fait partie des noms les plus donnés aux chats. À l’image de Bill Clinton qui baptisa ainsi son minet noir à pattes blanches.

Ces chaussettes poilues sont le fruit d’une anomalie génétique appelée piébaldisme. Il s’agit d’une mutation du gène KIT qui provoque une distribution inhabituelle et inégale des mélanocytes, les cellules responsables des poils et de la coloration de la fourure.

Lorsque le chat est encore à l’état embryonnaire, ses mélanocytes sont regroupés vers son dos, où sa colonne vertébrale finira par se former. Au fur et à mesure que le fœtus se transforme en chaton, les cellules pigmentaires se dispersent dans tout le corps. Si les mélanocytes sont répartis uniformément, le chat aura un pelage unicolore. Mais chez de nombreux animaux, les cellules se propagent de façon irrégulière, ce qui donne lieu à toutes formes de motifs, d’un simple effet moucheté aux fameuses chaussettes.

De rares cas chez les êtres humains

Les scientifiques ont longtemps pensé que chez les animaux touchés par le piébaldisme, les mélanocytes ne se déplaçaient pas à la bonne vitesse pour couvrir complètement le corps de l’animal avant son développement, d’où la répartition hétérogène de la couleur. Mais de récentes recherches suggèrent que les cellules pigmentaires de ces animaux ne se divisent pas assez souvent, ce qui laisse l’animal en développement sans matériel biologique suffisant pour un pelage monochrome.

Une anomalie génétique bénigne qui n’est pas la seule à pouvoir modifier la toison d’un chat. Les siamois ont ainsi une forme d’albinisme sélectif très spéciale qui leur permet de diminuer la production de mélanine en fonction de la température de leur corps.

Cela explique l’apparence ombrée du siamois, dont l’abdomen, la partie la plus chaude de son corps, est de couleur sable, tandis que les extrémités comme la queue, les oreilles et les pattes, plus froides, sont d’un brun sombre.

Si nous avons l’habitude de constater le piébaldisme en majorité chez les chats, il est également très fréquent chez les chiens, les souris, les cochons, les chevaux, les oiseaux ou encore les cerfs. Dans de rares cas, il touche également les humains, chez qui il se manifeste généralement par une tache blanche sur le front et dans une partie de la chevelure.

http://www.slate.fr/

Des chiens dressés pour détecter le paludisme


On utilise beaucoup l’odorat des chiens pour détecter toutes sortes de choses dont des maladies. Dernièrement, des chiens dressés ont réussi à détecter sur des chaussettes portées par des enfants le paludisme avant même qu’apparaissent les symptômes comme la fièvre.
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Des chiens dressés pour détecter le paludisme

 

© getty.

On savait que les chiens pouvaient sentir chez les humains les signes de certains cancers et le risque de coma diabétique. Des chercheurs pensent avoir aussi réussi à en dresser pour renifler le paludisme chez les enfants qui n’ont pas encore de symptômes, grâce aux chaussettes.

Des chercheurs du Royaume-Uni et des experts de l’ONG Medical Detection Dogs en Gambie ont mené l’expérience, qui a consisté à entraîner des chiens pendant des mois à s’immobiliser lorsqu’ils ont reniflé une chaussette contaminée. Leurs résultats ont été présentés lundi à la conférence annuelle de la société américaine de médecine tropicale à La Nouvelle-Orléans (Louisiane).

Les chaussettes provenaient d’enfants de Gambie, dont une partie avaient été testé positifs pour le parasite du paludisme mais n’avaient pas de fièvre.

Mis au banc d’essai après leur dressage, les chiens ont correctement détecté 70% des chaussettes d’enfants infectés par le parasite du paludisme, qui génère une odeur distincte sur la peau humaine, et que le super odorat canin parvient apparemment à sentir, même si ce n’est que des traces sur une chaussette.

Détection rapide

Le but de cette technique est d’avoir un test de détection rapide, peu cher et non invasif pour détecter le paludisme, qui est transmis par des moustiques infectés. Le nombre annuel de morts est estimé à 445.000 dans le monde. Et le nombre de cas a augmenté ces dernières années, selon l’Organisation mondiale de la santé.

Les chercheurs pensent que leur technique peut encore s’améliorer en précision, au fur et à mesure que les chiens seront entraînés sur un plus grand nombre de chaussettes. Pour l’expérience, les chaussettes avaient été congelées au Royaume-Uni le temps du dressage, ce qui pourrait avoir limité l’efficacité.

Selon Steven Lindsay, entomologiste à l’université britannique de Durham et auteur principal de l’étude, la technique pourrait un jour être utilisée « aux points d’entrées dans les pays, de la même façon que les chiens sont dressés pour détecter des fruits, des légumes ou des drogues dans les aéroports ».

Prévenir la diffusion de la maladie

« Cela pourrait aider à prévenir la diffusion du paludisme dans les pays qui l’ont éradiqué, et permettre aux gens qui ne savent pas qu’ils sont infectés par le parasite du paludisme de recevoir un médicament antipaludisme », poursuit-il.

https://www.7sur7.be/

Les chaussettes à rayures étaient déjà appréciées dans l’Égypte ancienne


Je trouve cela bluffant ! On dirait de vieilles pantoufles tricotées d’enfants, mais ces pantoufles ont quand même 1 700 ans et vienne de l’Égypte ancienne. C’est grâce a de nouvelles technologies qu’on peut voir la couleur est et les rayures de ces chaussettes.
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Les chaussettes à rayures étaient déjà appréciées dans l’Égypte ancienne

 

chaussette rayures Egypte

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Image en fausse couleur de la chaussette réfléchie par infrarouge. Crédits : Dyer et al, PLOS One

par Brice Louvet

Une nouvelle technique d’imagerie non invasive a récemment permis d’analyser une chaussette d’enfant à rayures vieille de 1 700 ans retrouvée en Égypte. Trois colorants naturels et plusieurs modes de tissage auraient été utilisés.

Les détails de l’étude sont rapportés dans Plos One.

Si vous avez des chaussettes à rayures dans vos placards, dites-vous que vous n’êtes pas les seuls. Certains anciens Égyptiens en portaient aussi. Une équipe de paléontologues du British Museum de Londres s’est en effet récemment appuyée sur une nouvelle technique d’imagerie multispectrale pour analyser une petite chaussette portée par un enfant il y a 1 700 ans environ. Celle-ci a été retrouvée à Antinoupolis, une ancienne cité romaine basée en Égypte. Il en ressort que les habitants de la cité ont utilisé plusieurs colorants – garance (rouge), pastel (bleu) et réséda (jaune) – pour colorer la chaussette. Plusieurs modes de tissage – doubles et séquentiels – ainsi que des fibres torsadées ont ensuite permis de faire les rayures.

« Il était intéressant de constater que les différentes rayures colorées trouvées sur la chaussette de l’enfant avaient été créées à l’aide d’une combinaison de trois colorants naturels », explique Joanne Dyer, du département de recherche scientifique du musée et principale auteure de l’étude.

Une découverte rendue possible grâce à une toute nouvelle technique d’imagerie non invasive.

« Le procédé d’imagerie est un moyen beaucoup moins cher, moins fastidieux et moins destructif d’étudier les textiles anciens, poursuit-elle. Auparavant, vous deviez prendre un petit morceau de matériau provenant de différentes zones. Et cette chaussette date de 300 après Jésus-Christ. C’est minuscule, fragile et il aurait fallu détruire physiquement une partie de cet objet ».

Trois colorants naturels auraient ici été utilisés comme base pour produire six ou sept couleurs différentes, travaillées ensuite pour former plusieurs rayures. L’analyse de ce textile – et d’autres – par imagerie multispectrale permettra d’en apprendre davantage sur l’évolution du textile à cette époque.

« L’Antiquité tardive est une très longue période, de 200 à 800 apr. J.-C., poursuit la chercheuse. Pendant cette période en Égypte, il se passe beaucoup de choses. Il y a la conquête arabe de l’Égypte, les Romains quittent l’Égypte. Ces événements affectent l’économie, le commerce, l’accès aux matériaux, ce qui se reflète dans la manière dont les gens fabriquaient et portaient ces objets ».

Rappelons que bien que le principe de la “chaussette” existe depuis le paléolithique, les anciens Égyptiens seraient de leur côté à l’origine des premières chaussettes en laine tricotée. Elles présentaient notamment un espace réservé pour le gros orteil. Ces chaussettes étaient ensuite portées avec des sandales.

Source

https://sciencepost.fr/

Truc Express ► TRUCS DE GRAND-MÈRE EN HIVER : Ne laissez plus le froid paralyser vos orteils !


Les pieds en hiver, pauvres pieds ! Ce n’est pas le temps de mettre des bottes de fantaisie en hiver. Car les pieds ca gèlent vite
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TRUCS DE GRAND-MÈRE EN HIVER : Ne laissez plus le froid paralyser vos orteils !

TRUC 1 : le journal dans les bottes

Le problème avec les bottes -même si elles sont de grande qualité- est l’accumulation de l’humidité. Il faut toujours s’assurer que le feutre n’est pas humide. Après avoir lu votre journal, insérez des pages au fond de vos bottes ainsi que sur les côtés. Le papier absorbera les particules d’eau et vous aurez les pieds au sec !

Journal Bottes

TRUC 2 : le vinaigre pour le nettoyage

Les abrasifs sont très salissants pour les bottes et les souliers. Solution : mélangez un peu d’eau avec un peu de vinaigre pour ensuite nettoyer avec un chiffon. Il n’en faut pas plus pour leur redonner fière allure !

Souliers Vinaigre

TRUC 3 : un entraînement pour les pieds !

La circulation sanguine est un enjeu important pour les pieds exposés au froid. La preuve est qu’on a souvent plus froid lorsqu’on est immobile. Pour l’activer, des spécialistes suggèrent de bouger fréquemment et même de faire des exercices avant de sortir. Un de ceux-là consiste à pointer les orteils vers le haut et vers le bas à une vingtaine de reprises avant d’enfiler vos bottes.

TRUC 4 : la pire erreur

L’erreur la plus fréquente avec les pieds : la compression des bas. Lorsqu’on met plusieurs paires de bas, on soumet le pied à une pression inutile qui l’empêche de conserver sa chaleur normalement. Conseil, sortez avec UNE bonne paire de bas.

Joey Olivier
Rédacteur Web – MétéoMédia

 

https://www.meteomedia.com

Trisomique, John a crée son entreprise de vente de chaussettes


 

Dire qu’il n’y a pas si longtemps, les trisomiques étaient considérer par plusieurs comme inutile. Il a fallu que les parents relèvent les manches et croient en leur enfant atteint de trisomie. L’autre jour, j’avais un billet sur une jeune fille atteint de trisomie qui a lancé sa propre affaire de boulangerie  avec sa mère, et voilà un jeune homme qui est chef de sa propre entreprise de chaussettes fantaisiste, grâce à son père … C’est un grand pas pour eux. Ils sont capables de participer à l’économie et ils ont tant à donner
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Trisomique, John a crée son entreprise de vente de chaussettes

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Atteint de trisomie 21, ce jeune homme est connu pour son amour des chaussettes colorées, rigolotes ou fantaisistes qu’il prend soin d’accorder chaque jour à son humeur matinale. Aidé de son père, il a fait de cette passion une petite entreprise : Les chaussettes folles de John, un magasin de chaussettes en ligne. Et ce qu’il propose, c’est de trouver chaussette à votre pied !

John Lee Cronin a toujours voulu faire affaire avec son père. Et s’il ne savait pas précisément dans quel domaine, une simple discussion autour de sa passion pour les chaussettes sera finalement une révélation.

Pour faire de son rêve d’entreprise une réalité, John, 21 ans, s’est associé à son père. Pendant que Mark Cronin l’aide à construire le site Internet, John travaille sur le design des produits. Et, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a une imagination débordante !

Les 500 modèles de chaussettes que propose le duo père-fils ont tous des motifs originaux, reflets d’une multitude de personnalités différentes. Des partitions de musique aux cochons volants en passant par les spéciales mariage… tous les goûts sont dans les chaussettes de John !

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Jeune chef d’entreprise engagé, John verse un pourcentage de ses ventes à des causes nobles comme le cancer du sein, la trisomie 21 ou l’autisme. Avec lui, chaque cause qui le touche a sa paire.

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Il verse aussi 5% de son chiffre d’affaire aux Jeux Olympiques spéciaux.

En effet, John est un athlète olympique spécial. Il n’y a qu’à voir la liste de sports dans lesquels John a concouru : raquette, basket-ball, soccer, hockey, bowling… Des expériences qui lui ont permis de devenir l’homme qu’il est aujourd’hui.

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Toutes les commandes passées sont chouchoutées. John assure la livraison des commandes locales et prépare les petits paquets en prenant soin de glisser une note manuscrite à l’attention de ses clients. Et il n’est pas rare de trouver quelques sucreries à l’intérieur…

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Comme tout chef d’entreprise, John a des responsabilités et travaille dur chaque jour. Il participe à des événements commerciaux, assure des rendez-vous avec des fournisseurs et crée même des vidéos de promotion sur le compte Facebook de son entreprise.

Les chaussettes de John rencontrent un vrai succès. La preuve : de 50 commandes par jour en février, l’entreprise a depuis passé la barre des 1 000 commandes par jour !

Envie de vous faire plaisir et de faire plaisir ? Pour acheter les chaussettes hautes en couleurs de John, ça se passe ici !

http://positivr.fr

La science explique (enfin) le mystère de la disparition des chaussettes


Il se perd environs 84 millions de chaussettes par mois. Pourquoi une paire de chaussettes perd son jumeau? Il se perd en chemin ? C’est la laveuse ou la sécheuse qui les avalent…? Ou si tout est une question mathématique ?
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La science explique (enfin) le mystère de la disparition des chaussettes

 

Photo : SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

Voilà un mystère qui remue sans doute l’humanité depuis que la chaussette (ou la machine à laver) existe. Pourquoi les chaussettes disparaissent-elles après une lessive ? A croire qu’une force surnaturelle engloutirait nos bas, laissant derrière elle des alter ego orphelins.

84 millions de chaussettes perdues par mois

Pour comprendre ce phénomène récurrent, deux chercheurs se sont lancés à la recherche de la chaussette perdue, financés par Samsung pour le lancement de sa nouvelle machine à laver. Dans une étude dévoilée le 24 avril par la presse britannique, le statisticien Geoff Ellis et le psychologue Simon Moore ont constaté qu’un Anglais moyen perdait 1264 chaussettes au cours de sa vie.

Porté à la population du Royaume-Uni (de 64 millions d’habitants contre 66 millions en France), ce sont 84 millions de ces vêtements qui disparaissent chaque mois. En interrogeant 2000 personnes, les chercheurs ont pu déterminer les causes les plus fréquentes de ces terribles pertes.

Les chaussettes se perdent souvent en tombant de leurs étendoirs, emportées par le vent, nichées derrière un radiateur ou tout autre meuble. Rappelons que la chaîne allemande Das Erste avait elle aussi enquêté sur la question en février dernier, prouvant que les chaussettes peuvent disparaître entre le joint de la machine et le tambour.

Êtes-vous prédisposé à perdre vos chaussettes ?

Mais selon la dernière étude, ces disparitions ne sont pas uniquement laissées au hasard. Les hommes seraient par exemple plus prompts à la perte de chaussettes. Seuls 26% d’entre eux contre 44% des femmes affirment que leur lessive se termine avec un nombre pair. Les chercheurs ont même mis au point un algorithme qui permet de jauger les probabilités de perdre ses chaussettes.

La formule : (L (p x f)) + C (t x s)) – (P x A)

L = Le volume de linge à laver, calculé en multipliant le nombre de personnes dans le foyer (p) par le nombre de machines lancées dans la semaine (f).
C = La complexité du lavage, calculé en multipliant le nombre de différents types de machines
(de couleurs sombres ou claires) faites dans la semaine (t) par le nombre de chaussettes lavées dans la semaine (s).
P = L’attitude vis-à-vis de la lessive, calculée sur une échelle de 1 à 5, lorsque 1 signifie « Profonde aversion » et 5 est une « Sincère joie ».
A = L’attention, mesurée par la somme totale de toutes les précautions prises au moment de lancer chaque machine à laver
(vérifier les poches, dérouler les manches, mettre les vêtements à l’endroit ou déplier les chaussettes).

Plus le chiffre obtenu sera haut, plus vous aurez de risque de perdre vos chaussettes. En simulant l’équation, nous obtenons par exemple -67 pour une personne seule et maniaque, contre 70 pour une famille nombreuse peu scrupuleuse. N’oubliez pas cependant que la solution la plus efficace pour ne pas perdre ses chaussettes reste de marcher en tongs.

http://www.metronews.fr/

Le chat, les chaussettes, les chaussons et les chaussures : mais pourquoi les aime-t


Les odeurs ! Pour nous, animaux sur deux pattes, nous cachons nos odeurs par des parfums sur le corps, dans l’air, sur les vêtements bref partout, mais pour nos boules de poils, l’odeur humaine sont très intéressantes pour eux, cela leur permet de savoir des choses sur nos faits et gestes
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Le chat, les chaussettes, les chaussons et les chaussures : mais pourquoi les aime-t-il tant ?

 

Crédits photo : Vladimir Agafonkin – Flickr

Marie-Hélène Bonnet
Comportementaliste du chat

Vous êtes l’heureux humain d’un chat ? Alors vous n’ignorez pas la passion des félins pour les chaussettes et les chaussures. Mais pourquoi les chats les aiment-ils tant ? Qu’y trouvent-ils d’intéressant ?

Rassurez-vous, votre chat est normal !

Le récit de votre journée… sur vos pieds !

Les chats raffolent de nos pieds et de ce qui les approche. Non pas que les odeurs de transpiration les attirent, ils sont plutôt intéressés par les phéromones qui résident dans ces zones de notre corps ! En fait, ils lisent « le journal de votre journée » en inspectant vos pieds et ce qui s’y rapporte.

L’odorat et les phéromones sont à la base de la communication entre chats. Il s’agit d’un transfert de phéromones volatiles dans l’air.

Des études ont démontrés que 90 à 95% des phéromones félines sont identiques aux phéromones humaines.

Les phéromones humaines ne nous servent plus à grand-chose aujourd’hui. Nous ne savons plus les décrypter. Toutefois notre cerveau continue de nous les faire émettre à chaque mot ou chaque pensée. Quelles parties du corps diffusent ces phéromones ? Le cou, les aisselles, les paumes des mains et des voûtes plantaires !

chat chaussure
© Flickr – Gerard McGovern

Nos chaussures et chaussettes sont des mines d’informations

Nos pieds sont plus accessibles pour les chats, mais surtout, le port de chaussures, chaussettes et autres chaussons permet de conserver les phéromones de la journée au même endroit. En effet, lorsque nous nous lavons les mains, les phéromones sont évacuées. Nos aisselles ou notre cou, où les chats aiment tant se blottir, sont moins faciles d’accès, sauf lorsque nous sommes au lit.

Mais, parce qu’il y a un mais, notre cou à l’air libre ne stocke pas ces précieuses molécules, et celles de nos aisselles sont souvent perturbées par les déodorants que nous utilisons.

chat chaussure
© Flickr – debra

Les phéromones de nos pieds sont plus « lisibles » pour nos compagnons qui tentent de rassasier leur légendaire curiosité ! Ils vont donc tenter d’interpréter toute notre journée, et parfois il faut chercher les phéromones du début de journée recouvertes par les dernières, en se frottant ou en léchant cela devient plus facilement interprétable pour nos chats préférés.

chat chaussette
© Flickr – jeffreyw

Je me souviens d’un chat qui volait les chaussures du voisin sur le rebord de fenêtre pour les décrypter à son rythme dans son panier, et d’un maitre très ennuyé de devoir les rapporter à leur propriétaire !

Et voilà pourquoi votre chat se roule dans les chaussures de votre mari, pendant que Minet mâchouille vos chaussettes ! Un mystère de plus résolu !

http://wamiz.com/

Les grands mystères de l’univers : les chaussettes qui disparaissent


Un mystère que probablement, tous ceux qui portent des chaussettes ont vécu, mais sans vraiment de réponse a moins d’élaborer des hypothèses satiriques sur la situation
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Les grands mystères de l’univers : les chaussettes qui disparaissent

 

Mystère ou malédiction ? Non les deux à la fois. Comment une chaussette peut-elle disparaître entre son entrée dans le panier à linge et son retour dans le tiroir ? Que celui (celle) à qui ce n’est jamais arrivé me jette la première pierre.


Au début, j’ai cherché une explication rationnelle parce qu’elles ne disparaissent pas comme ça, n’est-ce pas. N’est-ce pas ? Pourquoi vous ne dites rien ? Vous aussi ? Je me disais que l’autre était restée dans la machine, sous le lit, dans le panier à linge ou encore chez quelqu’un. Et puis quand tout le circuit avait été minutieusement contrôlé, quand tout était vide, la machine, le séchoir, le panier de linge sale, celui du linge repassé, quand les tiroirs avaient été contrôlés et les dessous de lit inspectés, j’eus comme un grand moment de solitude.


Avec mon esprit cartésien, j’ai commencé à examiner les espaces entre la paroi intérieure de la machine à laver et le tambour. J’ai inspecté le diamètre de ses trous et vérifié le filtre avec le regard d’un spécialiste en mécanique des glissements subversifs. Il a fallu me rendre à l’évidence : la vérité était ailleurs… Comment une chaussette, puis une autre, et encore et encore d’autres peuvent-elles disparaître, s’évanouir, se désintégrer dans un logement fermé par des murs en brique, des fenêtres avec double vitrage, une porte verouillée et des grilles scellées sur les aspirations ?


Puis j’ai regardé ma machine à laver d’un autre œil. Je me suis remémoré cette lessive aux enzymes gloutons qui mangeaient toutes les taches et qui a fait un flop parce que les consommateurs avaient pris le message au premier degré et avaient eu peur que la lessive ne bouffe également le linge. L’industrie de la chaussette était-elle de mèche avec les fabricants d’électro-ménager ? Ceci expliquait-il pourquoi je ne trouvais pas régulièrement de beurre ou d’œufs dans le réfrigérateur ?


La principale difficulté, c’est que la disparition n’est pas constatée de suite à la fin de la tournée de lessive. En effet personne ne vérifie que les chaussettes sont en nombre pair en vidant la machine à laver. Parce que votre entourage vous prendrait rapidement un rendez-vous chez un psy. C’est après, au moment de réaliser l’appairage que la terrible vérité apparaît. Et là, le chemin parcouru entre le panier à linge et les différents lieux de séchage est beaucoup plus difficile à suivre. C’est dehors en été et près du radiateur en hiver, ça reste un moment ici, puis on pousse le tout par là,… Alors je stocke consciencieusement l’orpheline et j’attends, j’espère la réapparition de sa jumelle. Qui ne revient jamais.


Il y a des solutions bien sûr, comme acheter des paires de chaussettes strictement identiques ou lancer la mode des chaussettes dépareillées. Voire ne plus porter de chaussettes. Mais je n’envisage pas encore l’amputation. On peut aussi les attacher ensemble au moment où on les enlève, ou alors jeter les orphelines. Mais là c’est une autre loi qui entre en vigueur et qui décrète que, lorsque vous jetez quelque chose, il se passe moins d’un jour pour que vous en ayez besoin. Et bien une fois la chaussette jetée, vous retrouvez sa sœur comme par enchantement, là où vous aviez déjà regardé dix fois.


Le pire, c’est qu’il n’y a pas de revendications sur ces rapts. Alors, forces magiques, gnome kleptomane, 5ème dimension ? Coincées dans un tiroir ou une chaussure, les chaussettes ont-elles décidé de se rebeller et de disparaître ? Et si j’installais des caméras partout, y compris à l’intérieur de la machine à laver ?

http://archives-lepost.huffingtonpost.fr