Le Saviez-Vous ► Le plus petit chat sauvage au monde


Quand on parle de chat sauvage, on pense à un gros chat comme un lion, guépard, tigre et autres, mais il existe un mignon petit chat sauvage qui vit au Sri-Lanka. Il vit la nuit et il est un chasseur comme tous les autres chats.
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Le  plus petit chat sauvage au monde

Une vraie merveille de la nature. 

La nature est pleine de trésors et de surprises. Par exemple, connaissiez-vous le chat rubigineux ? Il s’agit du plus petit chat sauvage au monde, et il est absolument adorable !

Un matou de poche

Vivant dans les forêts du Sri Lanka, mais aussi en Inde et au Népal, le chat rubigineux mesure entre 35 cm et 48 cm. Il est donc vraiment tout petit. Créatures nocturnes, ces chats se cachent la majeure partie de la journée dans des grottes ou dans les arbres afin d’éviter les prédateurs. Leur activité principale se déroule donc la nuit. 

Ainsi, lorsque la nuit tombe, le petit félin part à la chasse pour se nourrir. S’il consomme principalement des rongeurs et des oiseaux, le chat rubigineux ne dit pas non aux grenouilles et autres lézards !

Comme le bison d’Amérique, le capucin noir, le lémurien à front roux et plusieurs autres animaux sauvages, le chat rubigineux figure également sur la liste des espèces menacées. Principalement parce que son habitat naturel, les forêts de feuillus, est en déclin.

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En Australie, un chat sauvage décime à lui seul une colonie d’oiseaux rares


J’aime les chats et je suis bien contente que Ma Fripouille ne soit pas une tueuse en série. Cependant, je comprends le dilemme de l’Australie avec un animal intrusif au pays. Ils sont maintenant présents à 99.8 % sur le territoire australien ce qui entre 2 a plus de 6 millions de chats et qui sont responsable de 377 millions d’oiseaux et de 649 reptiles chaque année. Beaucoup d’espèces sont menacées. Les castrés ne les arrêtent pas à chasser. Alors qu’elle serait la meilleure solution ? Tous les tuer ? Brigitte Bardot qualifie cela comme un génocide, ce qui est vrai, mais les chats font tout autant. Je trouve cela triste qu’il en arrive jusque-là, mais entre la faune et les chats …
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En Australie, un chat sauvage décime à lui seul une colonie d’oiseaux rares

Les chats, de dangereux meurtriers, à l'origine de la mort de 377 millions d'oiseaux et 649 millions de reptiles chaque année. | Jonnelle Yankovitch via Unsplash

Les chats, de dangereux meurtriers, à l’origine de la mort de 377 millions d’oiseaux et 649 millions de reptiles chaque année. | Jonnelle Yankovitch via Unsplash

Repéré par Ines Clivio

Repéré sur The Atlantic

L’histoire d’un chat qui sème la terreur dans une réserve ornithologique

Il est tard. La nuit est tombée sur la ville de Mandurah en Australie. Dans la réserve des sternes néréis, une espèce en voie de disparition endémiqued’Australie, il n’y a que quelques cris d’oiseaux pour briser le silence.

Une forme se détache entre les arbres. C’est un chat blanc et élancé, ce bandit a déjà étripé plusieurs dizaines d’oisillons. On le chasse, mais il reviendra plusieurs fois cette nuit-là. Il fera fuir moins d’un mois plus tard les quelques 220 oiseaux qui s’étaient installés là, après avoir tué à lui seul huit adultes et quarante petits.

À Mandurah, tout le monde est sous le choc. C’est que les sternes néréis avaient disparu depuis longtemps de la région. Mais en septembre, une petite cinquantaine avait été observée et la ville avait décidé de clôturer la zone pour leur permettre d’y faire leur nid.

Sensibles à la présence humaine, on avait demandé à la population de se tenir éloignée des oiseaux et de veiller à ce que chiens et chats domestiques fassent de même. C’était sans compter les chats sauvages, ou plutôt l’unique chat sauvage qui a entrepris de décimer chaque nuit la colonie d’oiseaux. Les filatures nocturnes du voisinage et des équipes de biologistes n’y ont rien fait.

Face à la menace, les oiseaux ont cessé de s’intéresser à leurs petits. Ils ne les protégeaient même plus des rapaces

. «La colonie s’est complètement désintégrée», se désole Claire Greenwell, une biologiste qui a participé aux filatures du félin, interviewée par The Atlantic.

Les sternes néréis n’auront passé que quatre mois à Mandurah.

La menace féline

Cette histoire, c’est surtout celle d’une espèce endémique qui a évolué sans jamais avoir été confrontée au chat. Il faut dire que l’Océanie est le seul continent avec l’Antarctique, où la faune s’est développée sans ce félin. C’est pourquoi le massacre des sternes néréis a pris une telle ampleur alors qu’il n’y avait qu’un seul prédateur.

Les chats sauvages sont désormais présents sur 99,8% de l’île qui abrite 83% d’espèces endémiques, peu préparées à leurs attaques. D’après les estimations d’une étude parue en 2017, ils seraient entre 2,1 millions et 6,3 millions à rôder sur les terres australiennes et responsables de la mort de 377 millions d’oiseaux et 649 millions de reptiles chaque année.

Cet incident à Mandurah fait écho à la décision du gouvernement australien en 2015 d’abattre deux millions de chats sauvages. Une mesure que Brigitte Bardot avait qualifié de «génocide animalier inhumain et ridicule».

Comme alternative, on avait évoqué la méthode «Trap, Neuter, Return» soit «capturer, castrer, libérer» pour que la population de chats sauvages s’éteigne d’elle-même, sans avoir à l’exterminer froidement. Ce félin de Mandurah était pourtant castré. À court terme, la mesure est donc inefficace pour protéger la faune australienne.

L’Australie se retrouve alors face à un dilemme: les chats ou la faune. À coup de saucisses empoisonnées, il semblerait que le choix soit déjà fait.

http://www.slate.fr/

L’Aus­tra­lie va tuer deux millions de chats avec des saucisses de kangou­rou empoi­son­nées


Je comprends le gros problème qu’à l’Australie avec une estimation de 6 millions de chats sauvages qui sont une espèce animale invasive. À chaque fois qu’une espèce s’introduit volontairement ou non dans ce pays, c’est un désastre monumental. Il devrait avoir une autre solution moins radicale avec la stérilisation des chats beaucoup moins cruel.
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L’Aus­tra­lie va tuer deux millions de chats avec des saucisses de kangou­rou empoi­son­nées

 

par  Nicolas Prouillac

Les terribles saucisses empoi­son­nées

L’Aus­tra­lie a un plan machia­vé­lique pour se débar­ras­ser des chats sauvages qui font une héca­tombe dans les rangs de sa faune native.

À héca­tombe, héca­tombe et demi : le gouver­ne­ment austra­lien prévoit de larguer des saucisses empoi­son­nées au-dessus des zones où sévissent les matous, pour en éradiquer au moins deux millions, rappor­tait CBS Newsle 26 avril.

Il faut d’abord savoir que plus de 80 % de la faune austra­lienne ne se retrouve nulle part ailleurs dans le monde. Et on ne parle pas seule­ment des kangou­rous et des koalas, car de très nombreuses espèces de rongeurs s’y épanouissent depuis des millé­naires. Hélas, depuis deux siècles et l’ar­ri­vée des colons britan­niques, ces petits animaux tombent comme des mouches sous les crocs de leurs chats, dont on estime aujourd’­hui qu’ils sont entre deux et six millions à vivre dans la nature sauvage.

Ceci étant dit, la réponse au problème du gouver­ne­ment austra­lien n’a pas peur de la radi­ca­lité. Il s’est ainsi juré d’éra­diquer deux millions de chats sauvages du pays d’ici 2020, à grand renfort de largages de saucisses empoi­son­nées. Les chats sont censés mourir un quart d’heure après inges­tion de la saucisse. Les saucisses mortelles sont faites de viande de kangou­rou, de graisse de volaille, d’herbes, d’épices et d’un poison appelé 1080, létal pour les animaux.

« Il faut qu’elles soient bonnes », a expliqué Shane Morse au New York Times. « Ce sera leur dernier repas. »

Natu­rel­le­ment, les défen­seurs des animaux austra­liens sont scan­da­li­sés par le projet, qu’ils quali­fient d’ « horri­ble­ment cruel ». Mais les largages auront bien lieu.

Source : CBS News

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Votre chat est prêt à vous tuer, selon la science


Ben oui, si les chats étaient plus gros, ils pourraient être aussi dangereux que les lions ! Ce n’est vraiment pas le cas !! Il y a des s conclusions d’études qui fait sourire.
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Votre chat est prêt à vous tuer, selon la science

Les chats présentent une personnalité similaire aux lions d’Afrique, selon une étude. [PATRICK PLEUL / DPA / AFP]

Les chats ne seraient pas que de gentilles boules de poils qui vous réchauffent lors des longues soirées d’hiver. Derrière cette apparence rassurante se cache un animal sauvage, expliquent les scientifiques. 

Une étude menée par les chercheurs de l’Université d’Edimbourg(Ecosse) et le zoo du Bronx à New York avance ainsi que la personnalité des chats domestiques est similaire à celle des chats sauvages et autres félins.

Pour en arriver à cette conclusion, les scientifiques ont utilisé le test de personnalité intitulé « modèle des big five« , utilisé fréquemment en psychologie. Celui-ci permet d’établir un type de personnalité en fonction de cinq critères : l’extraversion, le caractère consciencieux, l’ouverture à l’expérience, l’agréabilité et le névrotisme.

LES CHATS PROCHES DES LIONS D’AFRIQUE

En appliquant ce test aux chats et à différents animaux sauvages, les chercheurs ont ainsi établi qu’il n’existait aucune différence entre la personnalité des chats et celle des lions d’Afrique : ils aiment dominer, sont impulsifs, anxieux et colériques.

Pour résumer, s’ils étaient plus grands, ils n’hésiteraient sans doute pas à tuer leur maître. Mais rassurez-vous, les chats peuvent aussi être affectueux, joueurs et sociables… comme peuvent l’être les lions.

Maintenant que vous connaissez les intentions de votre chat, voici une infographie pleine d’humour issue du site oatmil.com qui pourrait vous aider à anticiper d’éventuels mauvais coups.

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Les rats adultes sont des proies trop coriaces pour les chats


On a toujours cru qu’un chat est un excellent prédateur contre les souris et les rats. Sauf qu’un chat aimes bien des proies faciles comme les souris et les oiseaux, mais un rat, surtout s’il est adulte, n’est vraiment pas dans leur corde.
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Les rats adultes sont des proies trop coriaces pour les chats

 

Les chats de New York préfèrent manger des détritus que des rats | Dmitry Ulitin via Unsplash CC License by

Les chats de New York préfèrent manger des détritus que des rats | Dmitry Ulitin via Unsplash CC License by

Repéré par Barthélemy Dont

Contrairement à ce que tout le monde croit, les chats sauvages ne sont pas des prédateurs très efficaces contre les rats.

 

Repéré sur The Atlantic

Pour tout le monde, l’antagonisme entre rats et chats est une évidence. Dès l’enfance, on nous apprend que l’essence même du chat est d’être le prédateur de la souris et autres rongeurs. Et que celle de la souris est d’être la proie du chat. Avec cette idée profondément ancrée, beaucoup pensent donc que les chats sont la meilleure solution pour se débarrasser de rongeurs un peu trop envahissants. En juillet, des Parisiens ont même réclamé à leur bailleur social l’introduction de chats pour débarrasser l’immeuble des nuisibles.

Pourtant, selon une récente étude, félins et rongeurs ne seraient pas les ennemis jurés que l’on pensait. Michael H. Parsons, un chercheur américain qui projetait d’étudier les rats new-yorkais (tellement omniprésents qu’ils ont leur propre page Wikipedia) a vu son terrain d’étude envahi par des chats sauvages. Qu’à cela ne tienne, il a décidé d’étudier les interactions entre les deux animaux. Après cinq mois d’observation, il s’est aperçu que les chats étaient de très mauvais chasseurs de rats.

Les souris, oui, les rats, bof

Pendant toute cette période, les caméras détectrices de mouvements n’ont enregistré que deux rats tués, alors que 150 se trouvaient sur la zone d’étude. Les chats sont très bons pour capturer des souris. Mais pour les rats, c’est une autre paire de manche. Adultes, ils peuvent être jusqu’à dix fois plus gros qu’une souris. Et ils sont autrement plus féroces.

Grégory Glass, un professeur de l’université de Floride, explique à the Atlantic: «Une fois que les rats atteignent une certaine taille, les chats préfèrent les ignorer et vice-versa».

Ce constat est parfaitement illustré par l’une des vidéos de Parsons:

Contrairement à Tom, un vrai chat sauvage ne s’obstinerait pas à poursuivre Jerry. Ce sont des prédateurs opportunistes qui préfèrent s’attaquer aux proies faciles comme des souris ou des oisaux. Ce n’est que s’il a très faim qu’un félin s’attaquerait un rat adulte, chose qui a peu de chances de se produire dans une grande ville où la nourriture est abondante. L’un des chercheurs interrogé par The Atlantic témoigne même avoir déjà vu des chats sauvages et des rongeurs se nourrir dans les même piles de déchets, au même moment.

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Le plus petit chat sauvage du monde tient dans le creux de votre main


On dirait un chaton, mais ne vous trompez pas, c’est un chat sauvage qui vit en Inde et au Sri-Lanka. C’est un chat léopard qui est d’une grande agilité tout étant très mignon
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Le plus petit chat sauvage du monde tient dans le creux de votre main

 

Crédits : BBC

par  Mehdi Karam

 

Un léopard dans un corps de chaton. Le 11 janvier, BBC One diffusait le premier épisode de la série de documentaires intitulés Big Cats.

L’occasion pour l’Angleterre – et, depuis, pour le monde – de s’émouvoir face à la plus petite espèce de chat sauvage au monde : le chat rubigineux, ou chat léopard de l’Inde. Croquignolet à souhait, ce félin rarissime pèse tout juste un kilo et ne se trouve qu’au Sri Lanka ainsi qu’en Inde.

Si le chat sur la vidéo ci-dessous ressemble à un chaton qui se serait pris pour Sherkan, il a pourtant quasiment terminé sa croissance. Quant à ses chances de survie, elles sont hélas très minces dans la jungle asiatique.

Ses meilleurs atouts sont ses yeux, six fois plus puissants que les nôtres et sensibles au moindre mouvement. On connaît encore mal cette espèce et l’impact que l’activité humaine a sur sa survie.

Source : BBC One

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Le chat marbré, un des félins les plus mystérieux au monde


Chez les félins, nous connaissons plusieurs animaux tels que le lion, tigre …. Il existe aussi un félin qui reste encore mystérieux, car on sait pas grand chose de cet animal. Un chat marbré, qui ressemble aux chats domestiques. Malheureusement, il est probablement en danger a cause de la déforestation
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Le chat marbré, un des félins les plus mystérieux au monde

 

Le chat marbré, un des félins les plus mystérieux au monde

Le chat marbré filmé en Chine.Capture d’écran Gentside Découverte

Tigre, lion, panthère, guépard, ces félins font probablement partie des animaux les plus connus et appréciés au monde. Pourtant, la famille des félins comporte bien d’autres espèces toute aussi fascinantes mais bien plus mystérieuses. C’est l’une d’entre elles que des pièges photographiques ont réussi à immortaliser en Chine: le chat marbré (Pardofelis marmorata).

Ce chat sauvage est originaire des forêts tropicales d’Asie du sud-est mais est particulièrement difficile à observer et identifier. D’une taille similaire à un chat domestique, il n’est pas très gros et est doté d’une fourrure tachetée qui le camoufle particulièrement bien dans son habitat. Très agile, le félin est de plus arboricole et plutôt nocturne, ce qui rend les rencontres encore plus rares.

Réussi à filmer un animal aussi élusif est donc une chance pour les spécialistes. Les nouvelles vidéos ont été capturées par des pièges photographiques installés dans la réserve naturelle de Gaoligongshan dans la province du Yunnan. Elles montrent au moins un spécimen se déplacer à travers la forêt, scruter les environs et même uriner en levant la queue.

UNE VIDÉO PLEINE D’INFORMATIONS

 

«Ce n’est pas la seule vidéo d’un chat marbré, mais [c’est] tout de même très excitant à voir», a commenté pour le National Geographic, Jim Sanderson, expert des petits félins et responsable du programme dédié pour la Global Wildlife Conservation.

Par le passé, des caméras avaient en effet déjà réussi à immortaliser le rarissime félin en pleine forêt notamment en Indonésie.

Néanmoins, les nouvelles séquences pourraient apporter des informations supplémentaires sur le comportement et le mode de vie du chat dont on sait aujourd’hui peu de choses. Par exemple, les images montrent que le félin maintient sa longue queue raide derrière lui, ce qui pourrait soutenir la théorie selon laquelle il s’en sert pour s’équilibrer durant ses déplacements.

D’après les spécialistes, les pattes de l’animal lui donneraient une grande agilité dans les arbres mais l’utilité de sa queue n’a pas encore pu être confirmée. De même son alimentation reste floue. Si certains penchent pour un régime plutôt constitué d’oiseaux, d’autres à l’instar de Jim Sanderson évoquent aussi des chauves-souris.

La séquence filmée en Chine démontre par ailleurs que le chat marbré présente des comportements similaires aux autres félins, comme le marquage du territoire.

«Comme de nombreux autres félins, la vidéo montre le mâle marquer son territoire en aspergeant de son urine la végétation voisine», a fait remarquer le spécialiste au National Geographic.

UN FÉLIN MENACÉ

 

De même que son mode de vie, la situation actuelle de la population mondiale du chat marbré reste difficile à déterminer, en raison de sa vaste zone de répartition et de son caractère élusif. Des estimations évoquées par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) indiquent qu’il resterait quelque 10 000 spécimens dans la nature.

Mais il pourrait y en avoir nettement moins. L’UICN considère que la population est en déclin et menacée principalement par la dégradation de son habitat liée à la déforestation qui frappe l’Asie du sud-est. Une déforestation alimentée par l’agriculture et les plantations d’huile de palme. C’est pourquoi l’organisme a classé Pardofelis marmorata dans la catégorie «Vulnérable».

En Chine, toutefois, l’espèce est considérée comme en danger critique d’extinction. Dans plusieurs régions dont l’Indonésie et la province chinoise du Yunnan, la chasse du chat marbré est d’ailleurs interdite.

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Chats sauvages


 

Quand on parle de chat, on pense tout de suis au chat domestique, mais il y a des chats qui sont aussi sauvages, les lions, tigres, léopards cougars … Et d’autres encore méconnus de notre répertoire
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Chats Sauvages

 

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Ces douze espèces de félins sont souvent méconnues du grand public. Pourtant, bien qu’ils n’aient pas la taille imposante des lions, tigres et autres léopards, ces félins sont tout aussi impressionnants.

Ces chats sauvages ressemblent à s’y méprendre à nos chats domestiques qui viennent chercher des caresses sur nos genoux avec leur pelage rayé ou tacheté et leurs bouilles adorables.

La majorité de ces espèces de chats sauvages se trouvent dans le désert du Sahara ou encore dans les forêts de Sibérie et sont très bien adaptées à leur environnement.

Malheureusement, la plupart sont menacés d’extinction à cause de la chasse ou de la destruction de leur habitat naturelle.

Le chat des sables (Felis margarita):

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Le Chat de Pallas (Otocolobus manul):

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Le Chat pêcheur (Prionailurus viverrinus):

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Le Chat à pieds noirs (Felis nigripes):

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Le Chat bai (Pardofelis badia):

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Le caracal (Caracal caracal):

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Le Jaguarondi (Puma yagouaroundi):

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Le Chat des pampas (Leopardus colocolo):

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La Panthère nébuleuse (Neofelis nebulosa):

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Le Chat-léopard (Prionailurus bengalensis):

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Le serval (Leptailurus serval):

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Le Lynx du Canada (Lynx canadensis):

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Les chats hybrides, des animaux domestiques dangereux ?


Je trouve que ces chats sont magnifiques, cependant, jouer avec la génétique des chats domestiques en les croissants avec des chats sauvages pourrait être dangereux. Car les chatons héritent autant des deux espèces. De toute manière, il y a déjà tellement de chats sans abris et de plusieurs races que nous peinons a trouver des familles pour eux
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Les chats hybrides, des animaux domestiques dangereux ?

 

Par Charlotte Grenier

Crédits photo : AussieGold – Flickr

Les félins hybrides rencontrent un succès de plus en plus important parmi les amateurs de chats. Issus d’un croisement entre des chats domestiques et des félins sauvages, dont le plus connu est le Savannah, ces hybrides séduisent par leur physique particulier et leur exotisme.

Aux États-Unis, le grand public est particulièrement friand de ces croisements leur donnant l’impression d’avoir un animal sauvage chez eux. Mais les spécialistes commencent à regretter une législation trop laxiste au sujet de ces félins. Des groupes de protection animale, soucieux des conséquences de la présence de tels chats dans les foyers, ont lancé une pétition pour limiter leur possession et leur élevage dans le pays.

Un instinct sauvage encore très présent

L’un des arguments les plus soutenus par les signataires de cette pétition est que les hybrides n’ont pas de sauvage que l’apparence. Un tel physique irait de pair avec un comportement très proche de celui de leurs ancêtres prédateurs, ce qui peut entraîner rapidement des problèmes dans la maison.

« Ils sont passionnants au début, et adorable quand ils sont petits, mais en grandissant ils peuvent devenir des animaux dont les gens ne sont pas capables de s’occuper », explique Daniel Lutz, membre de l’Animal Legal Defense Group.

Daniel Lutz, tout comme les autres associations signataires de la pétition, craint que ces félins hybrides très exigeant ne finissent par être abandonnés par leurs maîtres. Or, les populations de chats errants posent déjà un certain nombre de problèmes, comme la mise en danger de certaines espèces animales leur servant de nourriture. On imagine alors très bien les conséquences d’une population d’hybrides sauvages errant, des prédateurs encore plus redoutables !

Contrôler la population comme celle des grands félins

La pétition en question demande donc que les chats hybrides soient traités de manière similaire aux grands félins (lynx, puma etc…), de sorte que leur population ne devienne jamais hors de contrôle. Parmi les signataires, on compte d’ailleurs quatre sanctuaires pour grands félins, bien conscient de la menace que peut représenter une population sauvage d’hybrides.

© Shayhaas – Flickr

Particulièrement restrictive, la pétition entend entre imposer la stérilisation systématique des chats issus d’un croisement avec un félin sauvage, que leur adoption nécessite un permis spécial et que les hybrides de compagnie soient au moins issus de la quatrième génération depuis le croisent entre le félin sauvage et le chat domestique.

Des demandes très strictes donc, qui ne sont pas sans déplaire aux éleveurs de ces races très particulières. Car à leurs yeux, ces chats sont d’exceptionnels animaux de compagnie, qui ont déjà prouvé à de multiples reprises qu’ils s’entendent à merveille avec les enfants et les autres animaux. 

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Le chat, cet animal pas encore domestique


Pourquoi identifier des gènes qui rendraient les chats plus domesticables et laissant leur petit côté sauvage. Le chat est le seul animal avoir accepté volontairement de vivre avec l’être humain en nous rendant même service avec leur talent de chasseurs ..
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Le chat, cet animal pas encore domestique

 

Si le chien est domestiqué depuis des millénaires, et s’est donc parfaitement adapté à sa vie auprès de l’Homme, qu’il imite de plus en plus au fil des siècles, il en va tout autrement pour le chat.

Une domestication incomplète

Anthrozoologue britannique,  le Dr John Bradshaw affirme que la « domestication du chat est incomplète, en ce qui concerne son besoin de chasser et sa capacité à se socialiser ».  Et d’ajouter « C’est pourquoi, malgré des heures passées à regarder Minou dans les yeux, vous ne pourrez jamais savoir ce qu’il pense ». Pour lui, les chats ont « un visage assez inexpressif ».

Mais pourquoi ?

Parce que le chat vit auprès de l’homme depuis bien moins longtemps que le chien, mais aussi parce que les chats domestiques sont pour la plupart (88%)stérilisés. Une précaution prise par les maîtres responsables afin d’éviter la naissance de progénitures non-désirées, et pour préserver la santé de leur compagnon à 4 pattes.

80% des chatons engendrés par des chats errants

Ainsi, les chats sauvages se reproduisent bien plus que leurs congénères vivant confortablement dans une maison ou un appartement douillet. Les chats sauvages et errants engendrent 80% des chatons venant au monde chaque année.

Ils transmettent leur instinct de chasseur indépendant à leurs petits, et obtenir une lignée de chats réellement domestiqués semble donc impossible, ou du moins très difficile.

Nos félins de salon sont adorables lorsqu’ils courent après le point rouge d’un laser, ou attaquent pendant des heures un morceau de ficelle. Mais ces comportements demeurent incroyablement similaires à celui des chats vivant dans la nature.

Le chat vraiment domestique se caractérise par un petit nombre de gènes.

« Si nous pouvions identifier ces gènes, nous pourrions peut-être donner naissance à un chat plus adapté à la vie urbaine »

 souligne le Dr Bradshaw.

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