Les corps de 5.400 victimes du génocide de 1994 découverts au Rwanda


 

Après plus de 20 ans, les corps sont retirer des charniers au Rwanda. On parle à toutes les années d’un génocide lors de la première guerre mondiale, pourtant d’autres pays ont vécu aussi de tel drame. Environs 8 000 Tutsis et Hutus ont été tué a tous les jours pendant 100 jours
Nuage

 

Les corps de 5.400 victimes du génocide de 1994 découverts au Rwanda

 

© photo news.

Les autorités rwandaises ont communiqué la découverte des corps de 5.400 personnes victimes du génocide de 1994.

 Les dépouilles ont été extraites de 26 charniers situés dans les districts de Masaka et de Kicukiro (Kigali), a indiqué jeudi Naphtal Ahishakiye, secrétaire de direction d’Ibuka, organisation représentant des survivants du génocide.

Un résident de Kicukiro, survivant du génocide, a guidé les autorités jusqu’aux charniers, a précisé M. Ahishakiye.

La recherche d’éventuels autres charniers se poursuit, a encore dit M. Ahishakiye.

Quelque 18.000 corps ont été retrouvés depuis avril. Plus de 800.000 Tutsis et Hutus modérés ont été tués en l’espace de 100 jours en 1994.

https://www.7sur7.be/

Dernières révélations sur les Vikings


Qui sont les Vikings ? En fait, on ne connait que très peu de chose sur ce peuple qui ont arpenté les mers. Quelques vestiges ici et là, mais pour mieux les cerner, il faudrait encore plus de preuves de leurs présences dans divers pays en Europe et aussi en Amérique du Nord. Grâce a de nouvelles techniques, nous pourrions mieux suivre leur périple et chercher aux bons endroits
Nuage

 

Dernières révélations sur les Vikings

 

La tombe de Ridgeway Hill contenait les corps de 54 vikings, tous décapités. ©Lion TV

La tombe de Ridgeway Hill contenait les corps de 54 Vikings, tous décapités. © Lion TV

Les découvertes archéologiques les plus récentes concernant les Vikings remontent à 2009 et 2014. Un charnier de 54 corps décapités et une forteresse circulaire, qui permettent d’en savoir davantage sur ces guerriers navigateurs. Parallèlement, un nouvel outil pourrait faire avancer la recherche sur les Vikings : l’imagerie satellitaire.

Malgré tous les fantasmes que suscitent les Vikings, leur civilisation reste encore mystérieuse. Le manque d’écrits d’époque complique la tâche des historiens et les découvertes archéologiques concernant ce peuple sont peu nombreuses. Les plus récentes sont celles de Ridgeway Hill, en Angleterre, en 2009, et Vallo, au Danemark, en 2014.

Un charnier permet de mieux connaître les envahisseurs

À Ridgeway Hill, des ossements d’hommes âgés d’une vingtaine d’années ont été retrouvés : cinquante-quatre corps décapités, dont les têtes ont été empilées sur un côté de la sépulture. La datation au carbone 14 place ces hommes au XIe siècle. À cette époque, les raids vikings en Angleterre étaient récurrents, malgré les accords passés avec le roi, Aethelred II « le Malavisé». Afin de mettre un terme à ces attaques, ce dernier a ordonné d’exécuter tous les hommes danois présents dans le royaume, le 13 novembre 1002, jour de la Saint-Brice. Des massacres similaires ont peut-être eu lieu à Bristol, Gloucester et Londres.

Qui étaient ces hommes dont on a coupé la tête il y a plus de 1000 ans ? Des données laissent à penser qu’il s’agirait de guerriers Jomsvikings, une tribu de mercenaires exclusivement masculine. Les dents limées, par exemple, était une pratique courante chez ces guerriers afin d’intimider leurs ennemis. Selon la légende, ces combattants faisaient également face à leur bourreau pour prouver leur bravoure. Or tous les corps trouvés dans le charnier ont été décapités par l’avant. Preuve supplémentaire de leur identité, les écrits de la reine Emma, épouse de Aethelred II, témoignent de la présence de Jomsvinkings sur les terres anglaises.

La découverte a été possible grâce à une image satellite montrant une forme circulaire. ©Aarhus Universitet

Trace de la forteresse de Vallø, découverte grâce à une vue satellitaire. ©Aarhus Universitet

Plus récemment, une forteresse circulaire a été découverte à Vallo, au Danemark. Il s’agit de la cinquième construction de ce type connue dans le pays, et la première exhumée depuis 60 ans. Les archéologues tentent de définir son âge ou, plus précisément, quand elle a été détruite. En effet, les fondations en bois calcinées de la porte du nord témoignent d’un incendie. Cet évènement rend donc plus difficile la datation au carbone 14. Même si peu de preuves du passage des guerriers nordiques ont été trouvées (une perle de verre typique des Vikings), les archéologues ne désespèrent pas. La forteresse se situait au bord d’un fjord. Les chercheurs espèrent donc trouver les vestiges d’un port, voire d’une embarcation dans les prochaines années.

L’image satellite pour repérer des sites 

Un nouvel outil pourrait bientôt faire avancer la recherche sur les Vikings : l’imagerie satellitaire. Elle est actuellement testée dans des zones susceptibles d’avoir abrité des sites vikings. Un premier essai, en Islande, a été concluant : des fondations ont été repérées. Des fouilles ont confirmé l’observation. Elles ont mis au jour des restes enfouis de bâtiments en tourbe et un muret de 15 cm de haut.

Cette nouvelle technologie intéresse particulièrement les archéologues américains. D’après les sagas nordiques, les Vikings explorèrent les côtes d’Amérique du Nord dès 985. La plupart des expéditions évoquées dans ces récits historiques sont difficiles à retracer. La méthode satellitaire pourrait permettre d’en savoir plus sur la présence et les déplacements des Scandinaves sur le continent nord-américain.

Françoise de Vaugelas

http://www.nationalgeographic.fr

Squelettes trouvés Peut-être un charnier de la Peste noire


La peste a noire a eu sa page d’histoire .. et semble vouloir aujourd’hui, raconter sa version .. avec cette découverte de ce charnier qui aurait peut-être été a l’époque de la grande épidémie du 14e siècle
Nuage


 

Squelettes trouvés

Peut-être un charnier de la Peste noire

 

 Peut-être un charnier de la Peste noire

Crédit photo : AFP

Une douzaine de squelettes ont été déterrés lors de travaux dans la City à Londres

TVA Nouvelles selon AFP

Une douzaine de squelettes ont été déterrés lors de travaux dans la City à Londres, le quartier financier de la capitale britannique. Les experts pensent qu’il pourrait s’agir d’un immense charnier de victimes de la Peste noire, qui a frappé l’Europe au Moyen-âge.

Pendant des travaux de construction d’une ligne ferroviaire, on a découvert les ossements soigneusement alignés de 13 adultes à 2,5 mètres de profondeur.

Les archéologues pensent qu’il pourrait y avoir bien d’autres victimes d’enterrées à cet endroit. Selon plusieurs documents datant du 16e siècle, il pourrait y avoir jusqu’à 50 000 cadavres.

«C’est une découverte très importante», a souligné Jay Carver, qui dirige l’équipe d’archéologues travaillant sur ce projet ferroviaire.

«Nous allons mener des tests sur les squelettes dans les mois à venir pour établir les causes de leur mort, pour voir s’il s’agit de victimes de la peste du 14e siècle ou de résidents d’une époque ultérieure, pour déterminer leur âge et tenter de trouver des indices afin de savoir qui ils étaient. Mais à ce stade, tout semble indiquer qu’il s’agit de ce cimetière établi en urgence au 14e siècle», a-t-il ajouté.

(AFP)

Cette découverte suscite l’espoir de mieux comprendre la grande épidémie de Peste noire et de découvrir avec précision quel virus en a été le responsable.

Dès que les analyses seront terminées, les ossements seront replacés au même endroit ou dans un autre cimetière.

Dès que les archéologues auront terminé leur travail, les travaux de forage du projet Crossrail pourront débuter. Cette nouvelle ligne doit traverser la capitale britannique d’est en ouest, reliant notamment la City à l’aéroport de Heathrow.

La Peste noire a tué près de 1,5 million de Britanniques au 14e siècle, soit près d’un tiers de la population. La maladie a décimé 25 millions d’Européens.

http://tvanouvelles.ca