Changer le monde


Je crois que le plus bel accomplissement de toute ma vie est d’avoir des enfants et des petits enfants. J’aimerais aussi changer le monde pour que mes petits-enfants puissent vivre dans la sécurité sur une terre en santé
Nuage

 

Changer le monde

 

 

Je ne changerais mes petits-enfants pour rien au monde, mais j’aimerais pouvoir changer le monde pour mes petits-enfants

Auteur ?

La routine


On veut plus, on voudrait qu’il se passe quelque chose dans notre vie de différent, mais rien n’arrive tout seul, il faut que nous bougions pour que les choses changent
Nuage

 

La routine

 

Si on ne change rien dans sa vie et qu’on reproduit sans cesse la même routine, il ne faut pas s’étonner, il ne faut pas s’étonner que rien ne se produise

Inconnu

Changement


C’est une responsabilité en temps qu’adulte d’enseigner aux enfants à la maison le respect, la patience, enfin tout ce qui peut rendre le monde meilleur. C’est un des meilleurs moyens de changer le monde en commençant à la base
Nuage

 

Changement

 

« Le véritable changement dans notre société commence dans nos foyers, c’est avec nos actions qu’on apprend aux enfants le vrai sens de la vie. »

Andrea

Changement en soi


Si on veut que les choses changent vraiment, il faut faire un effort pour faire partie de ces changements
Nuage

 

Changement en soi

 

Tout changement implique le changement de soi car, si l’être humain ne change pas lui-même, il ne pourra changer durablement le monde dont il est responsable.

Pierre Rabhi

Changement


Au rythme que nous allons, nous devrions prendre des mesures pour donner un meilleur avenir aux futures générations. Arrêtons de dire qu’il est trop tard, chacun de nous peuvent faire l’impossible pour eux
Nuage

 

Changement

 

Il est temps de changer de civilisation, pour nous, pour nos enfants, pour les enfants de nos enfants.

Jean-Marie Pelt

L’attente


Attendre que les autres, que la situation changent, à remettre à demain, on finit qu’on passe notre vie à attendre. On accuse les autres d’être ce que nous sommes, alors que nous n’avons rien fait pour changer nous-même
Nuage

 

 

L’attente

 

 

Pendant des années, j’ai attendu que ma vie change. Mais maintenant, je sais que c’était elle qui attendait que moi, je change

Fabio Volo

Changer le monde


Il y a beaucoup qui critiquent sur tout. Ils ne sont jamais contents ce qui leur arrive et ils se plaignent constamment. Ces gens, ne lèveront pas un petit doigt pour changer les choses
Nuage

 

Changer le monde

 

Si le monde ne te convient pas, tu n’as qu’à le changer.

Marc Soulier dit Yal Ayerdhal

Les changements


On se plaint souvent que les choses ne vont pas comme nous voudrions, on accuse aussi souvent les autres, les évènements et autres d’être la source de nos malheurs. Alors, que si vraiment nous voulons changer les choses, il faut commencer à agir nous-même
Nuage

Les changements

 

 

Si on attend que les changements qu’on souhaite arrivent seuls, on les attendra longtemps.
Par contre si on se donne les moyens personnellement de changer les choses, les changements arrivent plus rapidement.
Soyons chacun et chacune l’acteur de notre vie, le personnage principal et non un figurant

Louis Berger

Changer le monde


Les enfants sont les adultes de demain, il est vraiment nécessaire de leur apprendre les bonnes valeurs, si nous ne voulons pas laissé en héritage, les guerres, des disputes et l’indifférence
Nuage

 

Changer le monde

 

 

Vous voulez changer le monde ?
Commencez par donner de la bonté et des valeurs à vos enfants

Inconnu

Les préjugés nous mènent droit dans le mur: la science le prouve


Il est difficile de changer d’idées à ceux qui ont de gros préjugés. Surtout si l’environnement leur donne selon eux raisons à leurs idées. C’est que le cerveau évalue le coût en rapport des bénéfices et les préjugés ne valent pas nécessairement le coup pour se réajuster. Ce qui veut dire que ce n’est pas demain que les préjugés s’abaisseront
Nuage

 

Les préjugés nous mènent droit dans le mur: la science le prouve

 

LEGENDE | Pierre-Selim via Flickr CC License by

LEGENDE | Pierre-Selim via Flickr CC License by

Repéré par Peggy Sastre

Qu’importe que le choix soit mauvais: s’il est soutenu par un «biais cognitif intrinsèque», notre cerveau va résister coûte que coûte au changement.

Dans la vie, nous faisons parfois de mauvais choix. Et souvent, ces choix reposent sur des préjugés –ou des «biais cognitifs intrinsèques»– à cause desquels, même si tout nous dit que nous avons tort, nous allons avoir tendance à persévérer dans l’erreur. Pourquoi? Parce que le coût de la correction est supérieur, pour notre cerveau, au bénéfice qu’il en escompte.

Telle est l’une des conclusions d’une étude en passe d’être publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS). Menée au Japon, aux États-Unis et en Grande-Bretagne par une équipe de cinq chercheurs en sciences cognitives dirigée par Arman Abrahamyan, de l’Université de Stanford, elle s’intègre dans des recherches sur l’apprentissage adaptatif –le fait que, dans un contexte d’incertitude, le cerveau s’adapte en calculant la balance coût/bénéfice d’une action en fonction des expériences passées. Un réflexe qui peut littéralement nous sauver la vie.

Le revers de la médaille, c’est que, lorsque des préjugés sont ancrés dans notre cervelle, parce qu’il nous ont été bénéfiques par le passé –à l’échelle de notre histoire individuelle et, surtout, évolutive–, il est atrocement difficile d’en changer, même s’ils nous poussent à prendre une mauvaise décision.

Apprendre à faire le bon choix

Pour examiner ce phénomène, les scientifiques ont élaboré un processus expérimental assez simple: devant un écran d’ordinateur, leurs participants devaient prédire l’apparition d’un point lumineux (à gauche ou à droite), en fonction de ses localisations précédentes.

Dans une première expérience, cette localisation était totalement aléatoire, pour permettre d’évaluer les biais personnels des volontaires –préféraient-ils inconsciemment la gauche ou la droite? Ces préjugés établis, les scientifiques allaient demander à leurs cobayes d’effectuer la même tâche, sauf que la localisation du point lumineux était cette fois-ci déterminée par un modèle probabiliste, prenant à la fois en compte les différentes localisations du point et les choix des participants. Une seconde expérience grâce à laquelle les scientifiques allaient pouvoir analyser la propension des sujets à modifier leurs prédictions en fonction des leçons de l’expérience et observer l’effet considérable des préjugés sur la prise de décision.

On notera que ce travail confirme les vertus déjà connues de l’éducation sur la modération de la force des préjugés: les participants ayant poursuivi des études jusqu’au doctorat ou équivalent étaient les plus susceptibles de modifier leur prédiction si la précédente était incorrecte. Une atténuation qui reste cependant limitée –même après avoir effectué la tâche des milliers de fois, la grande majorité des participants n’allaient pas réussir à apprendre à faire le bon choix, qu’importe leur niveau scolaire.

Pour les scientifiques, le phénomène relève d’un biais de confirmation inconscient: quand l’environnement est d’équerre avec nos préjugés, nous lui faisons confiance. Par contre, s’il y a conflit entre la réalité et nos préjugés, ce sont ces derniers qui auront probablement le dernier mot. Tant pis s’ils nous mènent droit dans le mur.

http://www.slate.fr/