Ce psychologue ukrainien enterre vivants ses patients pour les soigner


Une thérapie que je ne voudrais pas essayer. La seule fois que j’accepterais de me coucher dans un cercueil et être enterrée, sera que la vie me quittera.
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Ce psychologue ukrainien enterre vivants ses patients pour les soigner

 

Crédits : Andreï Zhelvetro

par  Malaurie Chokoualé

Imaginez que lors d’une séance chez le psy, celui-ci vous prescrive un séjour express dans un cercueil fraîchement recouvert par de la terre meuble pour vous tranquilliser.

C’est exactement ce qu’a décidé de proposer le psychologue de Kiev Andreï Zhelvetro. Le média britannique Mirror expliquait le 25 septembre que dans le cadre de ses thérapies psychologiques – sans pour autant préciser ce qu’il désire soigner –, Zhelvetro invite ses patients à se faire enterrer vivants, la tête paisiblement posée sur un coussin blanc, le regard vissé au couvercle.

Après d’ultimes goulées d’air frais, le patient s’allonge de tout son long dans la boîte. Zhelvetro commence alors à donner des pelletées énergiques jusqu’à recouvrir presque entièrement le cercueil ; seul un tuyau dépasse alors du monticule, donnant un peu d’air au « mort-vivant » du jour, pendant ses quelques heures sous terre. Andreï Zhelvetro raconte avoir créé ce traitement il y a quelques années – il aurait été la première personne à l’essayer. Selon lui, cette expérience, qu’il décrit comme une résurrection, aide à se sentir vivant.

Ce traitement pour le moins inhabituel a été rendu célèbre après qu’un villageois a trouvé douze cercueils vides abandonnés dans une forêt proche de la capitale, avec leurs tombes préalablement creusées. Après enquête, la police a réussi à remonter jusqu’à Zhelvetro, qui a admis sans complexe la nature de ses méthodes. La police a ensuite tenté de l’arrêter pour empêcher de nouvelles thérapies en boîte, mais personne n’a jamais voulu témoigner de son plein gré contre Zhelvetro et aucun blessé n’a jamais été regretté. Le psychologue a ainsi pu poursuivre ses activités.

On se demandait il y a quelques temps s’il y avait encore des risques d’être enterré vivant aujourd’hui, apparemment oui.

Sources : Mirror Online

https://www.ulyces.co/

Rester 30 heures dans un cercueil? Le jeu glaçant d’un parc d’attractions


30 heures pour 300 $, cela ne vaut pas vraiment la peine de rester étendu dans un cercueil, c’est long, a moins d’en profiter pour faire des gros dodos
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Rester 30 heures dans un cercueil? Le jeu glaçant d’un parc d’attractions

 

Image d’illustration © getty.

Source: News San-Antonio

Le samedi 13 octobre prochain aux États-Unis, des claustrophobes auront pour défi de rester 30 heures dans un cercueil. Le gagnant remportera 300 dollars.

Ce concours insolite est organisé par le parc d’attractions américain Six Flags de la ville de Saint-Louis, dans le Missouri. Mettant à l’épreuve des claustrophobes, le but du jeu est de rester allongé dans un cercueil étroit pendant 30 heures.

Seules les sorties pour se rendre aux toilettes seront autorisées, tout candidat quittant son cercueil pour un autre motif sera automatiquement éliminé.  

Les participants, qui doivent avoir plus de 18 ans, seront invités à prendre leurs oreillers et couvertures. Ils auront également le droit aux téléphones portables pour faire passer le temps, des bornes de recharge seront installées.

Le gagnant de ce concours remportera 300 dollars, ainsi que des billets VIP pour entrer dans le parc. 

 

https://www.7sur7.be/

En Égypte, découverte d’un atelier de préparation des momies enfoui dans le désert


Une découverte qui est assez différente des autres, mais qui ont un rapport avec les momies en Égypte. Sous terre, les archéologues ont trouvé un endroit ou étaient momifiés les morts, avec des chambres et bains funéraires, cercueils, momies, et même un masque en métal orné de pierres précieuses.
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En Égypte, découverte d’un atelier de préparation des momies enfoui dans le désert

 

Crédits : Ramadan B. Hussein, University of Tubingen

par  Clara Lalanne

 

Comme le rapporte un article posté le 14 juillet 2018 sur le site de l’université de Tubingen, des chercheurs viennent de découvrir une nécropole égyptienne perdue au milieu du désert de Saqqara, près de la pyramide de Djoser, dans laquelle les prêtres de l’Antiquité se rendaient pour momifier les morts.

Dans ce lieu rarement préservé, les membres du clergé préparaient les corps avant l’enterrement des défunts, pour faciliter leur voyage vers l’au-delà. Le site se trouve à plus de 30 mètres sous la terre, et se compose de plusieurs chambres et bains funéraires. Les archéologues y ont ainsi retrouvé des cercueils, des objets rituels, ainsi que cinq momies, conservées dans ces profondeurs depuis de longs siècles. L’une des autres découvertes importantes de cette excavation est celle d’un masque, retrouvé dans l’un des cercueils de la chambre. Réalisé en argent doré, avec des yeux fait de minéraux précieux comme l’onyx ou la roche volcanique obsidienne, une telle pièce n’avait pas été retrouvée depuis 1939.

Crédits : University of Tubingen

Pour Ramadan Badry Hussein, le chef de l’équipe qui a réalisé la découverte, « très peu de masques en métaux précieux ont été conservés jusqu’à nos jours, car les tombes de la plupart des dignitaires égyptiens ont été pillées au cours de l’Antiquité […] la découverte de ce masque est sensationnelle ».

 Grâce à des examens plus approfondis, l’équipe a également pu déterminer l’identité du porteur du masque : il s’agissait du Second Prêtre de la Mère de la Déesse Mut et Prêtre de la Déesse Niut-shaes, qui aurait vécu entre 664 et 404 avant J.-C.

Crédits : Ramadan B. Hussein/University of Tubingen

Cette découverte permet également de mieux comprendre les rites funéraires pratiqués par les Égyptiens dans l’Antiquité. Les bassins entourés de briques étaient probablement utiliser pour sécher les corps à base de sel, et pour préparer les bandages et les huiles avant la momification.

Chaque pot étant étiqueté, des chimistes vont même pouvoir travailler sur leur composition. Enfin, ils ont également découvert des figurines mortuaires et des pots en albâtre, qui servaient à conserver les organes des défunts.

« Nous sommes sur une véritable mine d’or d’information », a conclu le chercheur.

Crédits : Ministère égyptien des antiquités

Source : Université Tuebingen

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Ce cercueil rose gonflable a été inventé pour se détendre en vacances


Un cercueil pour vos vacances, cela vous tente ? Il est gonflable et peut donc aller sur l’eau. Bon, ce n’est pas donné, car je trouve que c’est onéreux.
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Ce cercueil rose gonflable a été inventé pour se détendre en vacances

 

Crédits : Andrew Greenbaum

par  Ulyces

Le designer canadien Andrew Greenbaum a le sens de l’humour noir.

Son dernier projet en date, révélé le 4 juillet sur son compte Instagram et repéré aujourd’hui par Mashable, a fait beaucoup parler – et pour cause : il s’agit d’un cercueil gonflable tout rose pour chiller sur la plage sans perdre de vue sa finitude.

De son propre aveu, il a eu l’idée il y a trois ans mais n’a pu réaliser un prototype que maintenant. Il estime qu’il lui faudrait aux alentours de 15 000 dollars (près de 13 000 euros) pour pouvoir le vendre en série. Il attend de voir si l’intérêt est assez vif pour débuter un Kickstarter. Au vu des centaines de commentaires qu’il a reçus, ça a en tout cas fait marrer beaucoup de monde.

* Chiller : C’est un mot québécois emprunté à l’anglais « to chill », qui signifie « se détendre » ou « passer du bon temps ». Utilisé en tant qu’adjectif ou en tant que nom (ex : il est chill), il désigne quelque chose de plaisant et d’agréable. (personnellement en temps que québécoises je n’ai jamais employé ce terme. Nuage)

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S’allonger dans son cercueil au café de la mort


C’est glauque, personnellement, je trouve qu’une promenade dans les sentiers, sur le bord de la mer pour les plus chanceux ou des endroits reposants amenant à la méditation que d’être enfermé dans un cercueil pour réfléchir au sens de la vie ou de sa propre mort
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S’allonger dans son cercueil au café de la mort

 

À Bangkok, un café propose à ses clients... (Photo AFP)

À Bangkok, un café propose à ses clients de s’allonger dans un cercueil.

PHOTO AFP

Agence France-Presse
BANGKOK

 

À Bangkok, un café propose à ses clients de s’allonger dans un cercueil… Une façon de se mettre en tête le principe d’impermanence de la vie cher au bouddhisme, avant de démarrer la journée.

Ce café, dit de «prise de conscience de la mort», vient d’être créé par un intellectuel bouddhiste dans un quartier branché de la capitale thaïlandaise. À la carte, des boissons sucrées baptisées «naissance», «mort», «vieillesse» ou «souffrance».

On y pénètre au terme d’une allée sombre surmontée de panneaux lumineux posant des questions comme «Quel est ton but dans la vie? »

Au centre du lieu se trouve un cercueil, sous une épitaphe en anglais teintée d’humour noir: «Eventually you can bring nothing» («Ici, on n’emporte rien», sous-entendu des richesses matérielles vers l’au-delà). C’est l’attraction principale des clients du «café de la mort». On s’y glisse et on s’y laisse enfermer un moment.

«Je me sens comme à un enterrement», confie Duanghatai Boonmoh, une Bangkokienne de 28 ans ayant retrouvé le sourire devant un smoothie au chocolat, après être passée par la case cercueil.

«La première chose qui m’est venue à l’esprit, c’est: « Et si personne ne l’ouvre »… C’est sans doute ça qu’on ressent à l’approche de la mort», confie-t-elle, après s’être laissée enfermer dans le cercueil blanc à dorures, à l’intérieur tapissé de tissu rose pâle.

Remède bouddhiste

Le créateur du lieu, Veeranut Rojanaprapa, se défend d’être dans une démarche commerciale, dans une ville qui compte nombre de cafés bizarres – celui-ci où les clients s’habillent en sirènes, celui-là où ils se déguisent en licornes…

Ce professeur d’université spécialisé dans les études sur le vieillissement des populations assure qu’il s’agit d’une application pratique des conclusions de ses recherches sur «la conscience de la mort».

«Nous nous sommes rendu compte qu’avoir conscience de la mort diminue l’avidité et la colère», explique le sociologue.

Il se dit persuadé qu’une véritable prise de conscience individuelle du principe d’impermanence est la clef pour guérir la société de la violence et de la corruption.

«Quand on a conscience de sa propre mort, on fait le bien. C’est ce que nous enseigne bouddha», explique ce bouddhiste fervent.

Guérir de la superstition

Or si l’immense majorité des Thaïlandais se disent bouddhistes et multiplient les offrandes aux temples, c’est surtout par superstition, sans réflexion profonde sur la foi bouddhiste et le principe d’impermanence, dit-il.

Le fait de placer un vrai cercueil au milieu de son café est aussi une façon de pousser les jeunes Thaïlandais, souvent happés par leurs téléphones portables, à opérer un retour à la réalité.

«Quand les adolescents s’allongent dans le cercueil et que nos employés le ferment, avec l’obscurité et l’exiguïté, ils prennent conscience d’eux-mêmes… et des choses qu’il leur reste à faire dans la vie», explique le professeur.

Il n’est pas le premier à développer cette idée de s’allonger dans un cercueil pour prendre conscience de sa mortalité. Un temple bouddhiste de la région de Bangkok propose depuis des années cette expérience, censée purifier le karma du participant. Et une forme de méditation bouddhiste, pratiquée dans certains temples jusqu’à un passé récent, suppose que les moines méditent en présence d’un cadavre et supportent la vue de sa décomposition au fil des jours.

Mais dans le voisinage du café «de la mort», tous les voisins n’apprécient pas de voir le panneau «quel est ton but dans la vie?» en rentrant chez eux par cette allée faisant office de raccourci.

«C’est vraiment très dérangeant. Cela me fait bizarre quand je passe là, j’envisage de ne plus prendre ce raccourci», se plaint un voisin sur un groupe Facebook regroupant des habitants du quartier.

«J’adore que les gens se plaignent, ça veut dire qu’ils réfléchissent à la mort», se félicite le créateur du lieu.

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En Indonésie, le peuple de Toraja cohabite avec ses morts


Une tradition ancestrale qui semble-t-il se perd sur une île en Indonésie. Mais ce rite funéraire est assez étrange pour nous qui enterrons nos morts le plutôt possible
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En Indonésie, le peuple de Toraja cohabite avec ses morts

 

Crédit photo : Shutterstock

Par Mélissa Becquet

Pour ce peuple de l’île de Sulawesi, la mort n’est pas une fin mais une prolongation de la vie.

Alors que les occidentaux s’empressent d’enterrer leurs défunts, par respect, sur l’île indonésienne de Sulawesi, à Toraja, les morts font partie intégrante de la vie quotidienne.

Pour de nombreuses personnes, le simple fait de parler ou d’évoquer la mort met dans l’inconfort. À Toraja, en Indonésie, il faut parfois compter des semaines, des mois, voire des années pour que des funérailles aient finalement lieu. Là-bas, les morts sont plus que jamais considérés comme vivants…

Attention : certains lecteurs pourraient trouver certaines images choquantes.

 

Un membre de la famille ajuste les lunettes portées par Tappang Rara, décédé en 2006 à 65 ans.

Retirés dans les montagnes de l’île de Sulawesi, les Torajas, un groupe ethnique indigène à majorité chrétienne, pratique un étonnant rite funéraire. La mort ne les effraie pas. Et en attendant que des funérailles soient organisées, les familles gardent le corps de leur défunt chez eux et s’occupent de lui comme s’il était un simple malade.

Dans un documentaire, le National Geographic rapporte :

« Un défunt qui réside toujours à la maison n’est pas mort. »

C’est pourquoi le défunt est impliqué dans un véritable séjour funéraire durant lequel il reçoit, plusieurs fois par jour, des prières et des offrandes sous forme de nourriture, de boissons ou d’autres présents.

Crédit photo : Shutterstock

Le défunt est lavé puis habillé par sa famille qui entretient avec lui des conversations, comme s’il était encore en vie. Chez les Torajas, la mort n’est qu’un sommeil prolongé. Pour eux, cette coexistence n’a d’ailleurs rien de morbide. L’une des personnes interrogées explique :

« Nous n’avons pas peur du corps mort parce que notre amour pour nos ancêtres est beaucoup plus grand que notre peur. »

Autrefois, des feuilles et des herbes traditionnelles étaient frottées sur le corps du mort pour le conserver. Aujourd’hui, c’est une solution à base de formol qui est injectée dans le corps, stoppant ainsi la putréfaction. Le corps se momifie et se change en statue figée dans le temps.

Crédit photo : Muslianshah Masrie

Dans cette communauté, la relation physique entre les morts et les vivants se poursuit longtemps après, à travers un rituel appelé Ma’nene (« faire quelque chose pour les grands-parents »), symbolisé par des secondes funérailles.

Tous les deux ans environ, les familles ouvrent les cercueils de leurs défunts pour une grande réunion avec les morts. Ils les retirent de leur tombeau, les nettoient et les revêtissent de nouveaux vêtements. Cette pratique témoigne du respect et de l’amour qu’ont les vivants pour leurs morts.

Crédit photo : Muslianshah Masrie

Selon la croyance des Torajas, les funérailles marquent le moment où l’âme quitte définitivement la Terre et commence son long et difficile voyage jusqu’à Pooya, la dernière étape de l’au-delà, là où l’âme se réincarne.

Et parce qu’ils pensent que les buffles sont les porteurs de l’âme dans l’au-delà, les familles en sacrifient un grand nombre pour faciliter le voyage du défunt.

Crédit photo : Oscar Espinosa

Chez les Torajas, les morts sont souvent enterrés plusieurs années après leur trépas, le temps pour la famille de réunir suffisamment d’argent pour organiser des funérailles à leur hauteur. Elles durent parfois plusieurs jours et peuvent coûter bien plus cher qu’un mariage, soit plus de 68 000 euros.

Près de Rantepao, Sulawesi, des cousins ​​et des soeurs entourent Syahrini Tania Tiranda, âgé de trois ans, qui est mort la veille. Ils la touchent et lui parlent. Pour eux, elle doit faire un malade.

PHOTO DE BRIAN LEHMANN, NATIONAL GEOGRAPHIC

Une tradition ancestrale, mais qui tend à être de moins en moins pratiquée par les Torajas avec le développement du christianisme dans la région.

Une autre façon de se souvenir des morts.

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Le Saviez-Vous ► 18 photos terrifiantes qui vont hanter vos nuits


Contente que nous soyons rendus à notre époque, quoiqu’il y a surement encore aujourd’hui, des outils tout aussi sordides que ceux d’antan
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18 photos terrifiantes qui vont hanter vos nuits

 

Ce sont des photos issues du passé, et c’est en grande partie cela qui rassure. Dans un premier temps.

Car quand on pousse le raisonnement un peu plus loin, l’inquiétude se fait ressentir et les grondements se multiplient…

Oui tout cela est bien derrière nous, et heureusement pour la plupart, mais ce furent des actes, des techniques, des objets, des ensembles d’outils utilisés il y a seulement un siècle, moins d’un siècle ou même encore aujourd’hui.

Logiquement, dans beaucoup de leurs cas, ces objets sont en rapport avec la religion et la science.

Comme quoi, rien ne change vraiment jamais à ce niveau-là, dans cette immense bataille pour déterminer qui prendra l’ascendant dans la course à l’explication de ce monde bien étrange…

Voici 18 photographies flippantes et gênantes pour vous et vous seul :

1. Des constatations médicales conservées au Musée Mütter

2. La chaise à sorcières, avec sa multitude de picots hérissés (XVIIIe)

3. Une armoire à poisons utilisée au XVIIème siècle

4. Durant un carnaval, au début du XXème siècle, un crâne de momie déposé sur un déguisement

5. Une moto de la marque Morton avec à côté d’elle (sur une sorte de side car), un cercueil.

6. Quelques lames utilisées spécialement pour faire les saignées (technique médicale que l’on croyait bénéfique jusqu’à la fin du XIXème siècle)

7. Dans les années 1930, à Londres, il était autorisé d’envoyer du gibier via La Poste

8. Un horrible « gros orteil » prothétique a été retrouvé dans le tombeau de Tabeketenmut, un Égyptien de haut rang, enfoui dans la nécropole de Thèbes, près de Luxor.

9. La parfaite petite mallette anti-vampires, utilisée au XIXème siècle

10. Une scie à os médicale

11. La prothèse d’un bras gauche utilisée par un homme entre 1850 et 1910

12. Un petit kit de morphine à utiliser en état d’urgence, durant la période victorienne au 19e siècle

13. Marie-Madeleine telle qu’elle apparaît dans la crypte de la basilique de Saint-Maximin la Sainte Baume (dans l’Oise, en France)

14. Des modèles anatomiques humains datant du XVIIème siècle

15. Deux artistes, dont une contorsionniste, durant une représentation. Tous les deux sont déguisés en diable.

16. L’œuvre du docteur Louis Auzoux : plusieurs pièces et parties d’un vagin que l’on peut manipuler avec prudence… pour en apprendre plus.

17. Un homme déguisé avec un costume d’Halloween de son époque. On est loin des lentilles de couleur que l’on met sur les yeux de nos jours, le maquillage, les bonbons, les déguisements achetés…

18. Une cage (elle aussi datant de l’époque victorienne) aux barreaux bien épais et solides a été construite autour de la surface d’une tombe, pour prévenir les possibles attaques de vampires sur les cadavres !

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Des lits qui se transforment en cercueil en cas de séisme !


Wang Wenxi, un retraité chinois de 66 ans vient de sortir son invention qui peut être très pratique pour la population chinoise. Un lit-séisme qui se transforme en cercueil quand les premières vibrations d’un tremblement de terre se font sentir. En fait, c’est comme un coffre qui se ferme pour se protéger et à l’intérieur des réserves d’eau et trousse de secours, aliments, et autres articles pour survivre en attendant les secours
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Des lits qui se transforment en cercueil en cas de séisme !

 

Le Saviez-Vous ►20 lieux parmi les plus flippants de la planète :


 

Il existe des endroits bizarres dont certains des drames se sont produit, d’autres des catastrophes ou encore fait par l’être humain pour des raisons obscures
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20 lieux parmi les plus flippants de la planète :

1. L’île aux poupées (Mexique)

@thisismyhorror

Cette petite île proche de Mexico était habitée par une seule personne : Julian Santana Barrera. C’est lui-même qui a accroché toutes ces poupées partout. L’homme les récupérait dans une rivière où une petite fille s’était noyée. Selon lui, il s’est senti investi d’une mission pour apaiser l’esprit de la fillette disparue. Après avoir fait ça durant 50 ans, il est mort d’une crise cardiaque, tout près de cette même rivière. Bref, un endroit pas forcément très accueillant !

2. Pripyat (Ukraine)

@imgur

Quelques instants après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, cette ville de 50 000 habitants a été évacuée par les autorités. Depuis, plus personne n’y a mis les pieds et l’endroit est devenu une véritable agglomération fantôme… Situé à seulement quelques kilomètres seulement du lieu exact de l’explosion, le site est évidemment toujours très radioactif.

3. Capela dos Ossos (Évora, Portugal)

@wikimedia

La « Chapelle des Os » a été construite par un moine (très bizarre), dans les années 1500. Ce dernier a souhaité décorer l’endroit avec les ossements de 5000 de ses confrères. Si ça ne suffit pas à vous glacer le sang, sachez que deux corps sont accrochés au mur et que l’un d’entre eux est celui d’un enfant.

4. Le Grand Hotel Prishtina (Pristina, Kosovo)

@wikimedia

Avec ce qui s’y est passé, l’hôtel ne porte plus très bien son nom valorisant de « Grand ». En effet, durant la guerre qui a déchiré les Balkans pendant les années 90, les Serbes utilisaient le bâtiment pour torturer et exécuter les prisonniers

5. Les catacombes (Paris, France)

@virtualtourist

Le réseau de tunnels caché sous la ville lumière fait plus de 320 kilomètres et abrite, selon les principales estimations, plus de 6 millions de corps. Certaines parties des catacombes sont ouvertes au public sous forme de musée, mais les autres sont interdites d’accès. Cependant, ça n’empêche pas des milliers de curieux de s’y aventurer chaque année.

6. La forêt Aokigahara (Mont Fuji, Japon)

@thepostmortempost

Cette forêt a beau être très belle, son surnom « la forêt du suicide » ne donne pas envie de s’y aventurer. Pourtant, depuis 60 ans, plus de 100 personnes s’y donnent la mort chaque année, et personne ne sait pourquoi. Une situation très inquiétante que les autorités locales ne savent pas comment arrêter.

7. Les cercueils suspendus (Sagada, Philippines)

@petervandever

Oui oui, vous avez bien vu. Plusieurs cercueils sont accrochés à la falaise ! Il s’agit de l’œuvre de tribus locales qui respectent une tradition ancestrale. Ces derniers pensent qu’en agissant de la sorte, les défunts seront plus proches du paradis. En tout cas, bon courage aux alpinistes et aux randonneurs qui tombent dessus par hasard !

8. Le Vieux Cimetière Juif (Prague, République Tchèque)

@audioguideforprague

Vieux de 600 ans, ce cimetière abrite quelque 12 000 tombes. Comme le veut la tradition juive, aucun corps ne doit être déplacé. Du coup, avec le temps, il y a eu de moins en moins d’espace et les tombes se sont rapprochées. Aujourd’hui, on estime que 100 000 corps sont présents en ce lieu.

9. L’île de Queimada Grande (Brésil)

@tarringa

L’île est petite est n’a rien de bien effrayant, en revanche, ses habitants sont un vrai danger de mort. En effet, cette terre au large du Brésil est le repère du Jararaca-ilhoa, une vipère dorée qui est l’un des serpents les plus dangereux de la planète. Et sur place, les scientifiques en ont recensé plus de 4 000. Il s’agit du seul endroit au monde où l’on trouve cette espèce. Et franchement, on ne va pas s’en plaindre !

10. Le siège du Parti Communiste bulgare (Buzludzha, Bulgarie)

@imgur

Caché dans les montagnes des Balkans, voici l’ancien siège du Parti Communiste bulgare. Aujourd’hui, le lieu est abandonné et des graffitis recouvrent les murs. Ce lieu unique et hors du temps ressemble à un vaisseau spatial. Impressionnant…

11. Le Stanley Hotel (Este Park, Colorado, USA)

@imgur

Depuis les années 70, des centaines de voyageurs ayant dormi à l’hôtel ont rapporté des activités qui relèvent du paranormal. Et en seulement une nuit passée sur place, le célèbre auteur d’horreur Stephen King a trouvé l’inspiration pour écrire « Shining ». Pour ceux qui ont vu le film, imaginez l’atmosphère sur place !…

12. L’hôpital militaire de Cambridge (Aldershot, Angleterre)

@GetHampshire

Entre 1878 et 1996, cet hôpital a soigné des milliers de soldats anglais et des civils. Malheureusement, il a été obligé de fermer suite à un manque de fonds pour son entretien et à la présence d’amiante.

13. Le trou d’eau (Wimberley, Texas, USA)

@imgur

Cette source, populaire dans la région, détient un triste record. Depuis qu’elle est fréquentée de façon régulière, son trou d’eau a déjà aspiré 8 personnes vers le fond. Malheureusement, aucune d’entre elles ne s’en est sortie.

14. L’église Saint-Georges (Lukova, République Tchèque)

@Mon_Amie

Pour une de ses œuvres, l’artiste Jakub Hadrava a décidé de redonner vie à une église tchèque abandonnée en y installant des sculptures de fantômes faites de plâtre et de papier. Résultat, l’endroit fait froid dans le dos. Ceci étant dit, des touristes du monde entier s’y pressent pour admirer ses silhouettes !

15. Le château de Leap (Offaly, Irlande)

@Leicparanormal

Au centre de luttes pour le pouvoir pendant plus de 500 ans, ce château a une histoire particulièrement difficile. Dans les années 1500, une dispute éclate entre deux frères du clan O’Carroll, et l’un poignarde l’autre (un prêtre) devant toute sa famille. La scène se déroule dans la chapelle. Un épisode tragique qui aujourd’hui encore la vie du château.

16. La Collie des Croix (Šiauliai, Lituanie)

@imgur

Depuis plus de 150 ans, cette colline est un lieu extrêmement important pour les religieux de tout le pays. Ainsi, ils viennent fréquemment y déposer des croix pour montrer leur attachement à Dieu. Aujourd’hui, les estimations font office de plus 100 000 croix présentent sur la colline ! Mais comme vous pouvez le voir sur la photo, il suffit d’un peu d’imagination pour se rendre compte que l’endroit n’est pas du tout rassurant !

17. L’hôtel San Zhi (Taipei, Taïwan)

@imgur

La construction de cet hôtel en périphérie de Taipei a été stoppée après une inquiétante série d’accidents et de suicides. Toutes les victimes répertoriées sont des ouvriers travaillant sur le chantier. Beaucoup d’entre eux pensent que ces malheurs viennent du fait qu’une statue de dragon, un symbole très respecté à Taïwan, a été cassée sur le site. Aujourd’hui, le mystère reste entier…

18. Le pénitencier d’État de Virginie-Occidentale (Virginie-Occidentale, USA)

@missbluejuju

Plus de 100 exécutions ont eu lieu dans cette prison, ça branche quelqu’un d’y faire un tour ?

19. L’île de Poveglia (Italie)

@SeriousStrange

Aussi connue sous le nom de « l’île de la peste », Poveglia a été utilisée entre 1793 et 1814 pour mettre en quarantaine toutes les victimes de la fameuse maladie. Au total, ce sont près de 160 000 personnes qui y sont passées. Et leurs corps sont toujours enterrés dans le sol de l’île. Pire encore, plus tard, l’île a abrité une clinique psychiatrique dont le docteur réalisait des expériences étranges sur les patients avant de se suicider car il disait être hanté par des fantômes. Bref, un bout de terre maudit !

20. Le marché d’Akodessewa (Akodessewa, Togo)

@akodessewa-market

Au Togo, où beaucoup de gens pratiquent encore les religions indigènes, il n’y a pas mieux que le marché d’Akodessewa pour acheter une tête de singe. Pour les locaux, rien de bien fou. En revanche, pour les touristes, le dépaysement est des plus total…

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Le Saviez-Vous ►La petite histoire du corbillard – Véhicule du dernier voyage


Faire un dernier voyage, un dernier tour en auto pour se rendre au dernier repos. Le Corbillard a fait beaucoup chemin depuis que les hommes portent leur mors à leur dernière demeure
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La petite histoire du corbillard – Véhicule du dernier voyage

Véhicule ayant une place bien particulière dans l’imaginaire collectif, le corbillard constitue pour plusieurs un objet solennel associé à l’image traditionnelle du « croque-mort » habillé de noir.

En tant que moyen d’amener les dépouilles des défunts vers leur dernière demeure, il a existé dans toutes les cultures sous différentes formes et de multiples appellations. Au point de vue étymologique, le mot « corbillard » provient de la ville française de Corbeil.

À l’origine, il désignait une sorte de péniche qui faisait la navette entre Corbeil et Paris. Il a ensuite été employé pour décrire un carrosse bourgeois. Quant à son sens actuel, il date de 1798.

La genèse

L’ancêtre du corbillard moderne naquit au Moyen Âge européen, époque où l’on adopta la coutume de construire des sarcophages de plus en plus lourds pour les défunts. Ces coffres (souvent faits de pierre) ne pouvant être transportés sur le lieu de l’inhumation, on les assembla sur place et ce furent plutôt les dépouilles mortelles qui furent déplacées. Sur son lit de mort, le défunt recevait les derniers sacrements (aspersion d’eau bénite, fumigation d’encens) par un ecclésiastique puis son corps était enveloppé dans un linceul de grosse toile appelée « sarpillière ». Seul le visage restait apparent. Le corps enveloppé était alors placé sur un brancard, appelé « bière », pour être porté, sur une courte distance, jusqu’au sarcophage selon un parcours rituel immuable. Après avoir déposé le corps dans le sarcophage et procédé au rituel de présentation du défunt, la « sarpillière » était cousue, enveloppant le visage. Les pauvres n’avaient pour leur part droit qu’à la « sarpillière » cousue pour être inhumés directement en terre et souvent en fosse commune.

Pour des raisons de respect, de nombreux rituels n’autorisèrent pendant longtemps que l’usage de la force humaine pour le déplacement des corps; l’emploi d’animaux comme le cheval étant tenu dans plusieurs cas comme étant indigne.

 Il fallut attendre le 18e siècle et une certaine sophistication des rites funéraires pour que se répande la pratique de transporter les défunts à l’aide d’un char hippomobile, lequel prit alors le nom de corbillard.

Au 19e siècle, ce dernier connut une importante expansion et des entreprises se constituèrent pour se lancer dans ce qui était devenu une industrie prospère. Parallèlement à cela, des véhicules magnifiques qui peuvent presque être qualifiés d’œuvres d’art furent assemblés à l’intention des clientèles aisées qui ne manquèrent pas d’ajouter ainsi tout le décorum voulu à leurs funérailles…

L’ère moderne

corbillard 1963

Avec les débuts de l’automobile au tournant du 20e siècle, le cheval céda peu à peu sa place au moteur à essence. Selon les historiens, ce fut le 15 janvier 1909 à Chicago que se déroulèrent les premières funérailles en Amérique à employer un corbillard motorisé. Le défunt se nommait Wilfred A. Pruyn et était de son état conducteur de taxi. Ne possédant aucun corbillard sans chevaux, l’entrepreneur funèbre H.D. Ludlow s’empressa de se procurer un véhicule automobile qu’il surmonta du châssis nécessaire au transport du cercueil. Le cortège qui traversa Chicago peu de temps après fut un tel succès que Ludlow décida de conserva le véhicule artisanal pendant les neuf semaines qui suivirent. Dans ce court laps de temps, quatorze autres dépouilles mortuaires l’empruntèrent pour rejoindre à leur tour le cimetière. Le corbillard moderne venait de naître bien qu’il eût encore un long chemin à parcourir pour devenir le véhicule que l’on connaît aujourd’hui…

En 2001, la compagnie Accabuilt, basée à Lima en Ohio, était devenue le principal fabricant de corbillards en Amérique du Nord, contrôlant pas moins de 70 % d’un marché certes modeste en comparaison des autres segments de l’industrie automobile, mais très stable. Elle produisait environ 1 500 véhicules par année (des modèles Cadillac et Lincoln) qu’elle revendait à un prix moyen de 80 000 $ US.

Par Éric Laliberté, bachelier en histoire

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