La police d’Ottawa sonne l’alarme sur une nouvelle escroquerie téléphonique


Un supposé  policier, un numéro de téléphone plausible donne une arnaque par téléphone pour soutirer de l’argent via internet. Une belle confusion pour permettre a des gens a se faire avoir .. Mais pourtant ce n’est pas la façon de faire des policiers
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La police d’Ottawa sonne l’alarme sur une nouvelle escroquerie téléphonique

 

La police d’Ottawa est la recherche de malfaiteurs à l’origine d’une nouvelle arnaque téléphonique. Les fraudeurs disent être des policiers et exigent que les résidents paient une amende par transfert électronique.

En cas de refus, ils menacent d’envoyer des policiers au domicile des personnes afin de prélever l’argent. Les fraudeurs utilisent un numéro de téléphone qui commence par 1-911 pour rendre l’appel plausible.

La police d’Ottawa informe la population qu’il s’agit d’un faux numéro vraisemblablement créé via Internet.

Elle ajoute qu’il s’agit d’une escroquerie et que les résidents ne doivent en aucun cas envoyer de l’argent.

La police recommande aux résidents de raccrocher et d’appeler le Centre antifraude du Canada.

 

Centre antifraude du Canada
1-888-495-8501

http://actualites.ca.msn.com

Les escroqueries en ligne peuvent être d’une simplicité déconcertante


Si vous faites des achats en lignes, il faut user de vigilance pour éviter de se faire arnaquer tout comme les courriels qui vous invitent a cliquer sur un lien dans le but d’entrer dans vos données personnelles .. On en parle souvent et pourtant nombre de personnes continuent a se faire prendre au jeu
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Les escroqueries en ligne peuvent être d’une simplicité déconcertante

 

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MONTRÉAL – Avez-vous déjà reçu un courriel affirmant qu’un colis n’avait pu être livré et vous invitant à ouvrir la pièce attachée pour des détails?

Ou alors un courriel semblant provenir de votre institution financière vous demandant de changer votre mot de passe?

Les escroqueries concernant les banques et le commerce en ligne peuvent être bien simples, mais efficaces, avertissent les experts.

Avec la popularité croissante des transactions bancaires et du magasinage en ligne, les consommateurs se doivent d’être conscients des stratagèmes pour obtenir des renseignements personnels et financiers, a souligné Kevin Haley, de Symantec, fabricant de programmes de sécurité pour logiciels.

«Ils ne sont pas ces pirates incroyablement brillants», a fait valoir M. Haley, administrateur dans l’équipe d’intervention en sécurité de Symantec à Culver, en Californie.

«Ce sont de bonnes escroqueries faisant appel à notre curiosité et notre désir de savoir ce qui en est. Ils peuvent nous piéger à cliquer sur ces trucs. Tout comme un bon escroc dans le monde réel, ils savent quels sont nos besoins primaires», a-t-il ajouté.

D’autres fois, la cyberfraude peut être plus sournoise.

John — un nom emprunté — s’est fait voler 17 000 $ en ligne de son compte chèque et a vu des dépenses lui être chargées sur sa marge de crédit et des fausses cartes de crédit à son nom.

«J’ai ouvert mon ordinateur portable et vérifié en ligne, et tout l’argent était parti», a-t-il relaté, ajoutant ignorer comment son ordinateur avait été infecté, mais qu’il fonctionnait de manière «étrange».

«C’est un sentiment horrible. Vous vous sentez si vulnérable.»

John a retrouvé les sommes perdues après que sa banque eut déterminé qu’il avait été victime de fraude.


L’Association des banquiers canadiens indique que les fraudes bancaires en ligne ont causé des pertes d’environ 8,5 millions $ en 2010, selon ses plus récentes données disponibles.

En plus des vols d’argent et de renseignements personnels, les consommateurs devraient aussi se méfier de l’achat de biens sur des sites frauduleux.

L’analyste Barry Elliott, du Centre antifraude du Canada, recommande aux consommateurs d’appeler une entreprise pour vérifier l’adresse de son site web.

«Ce que nous constatons en ce qui a trait au magasinage en ligne — et je crois qu’il s’agit du plus grand risque pour tous — est que les sites frauduleux sont si bien faits qu’il est dur de déterminer ceux qui sont illicites», a soutenu M. Elliott.

Les gens doivent aussi se méfier de ce qui semble trop beau pour être vrai en termes d’escompte, a-t-il ajouté.

Les consommateurs peuvent signaler l’achat de biens contrefaits au Centre antifraude, et plusieurs entreprises canadiennes ont embarqué dans le bateau, a-t-il souligné.

«Cela nuit à l’emploi au pays si vous commandez des produits contrefaits en Chine, par exemple. C’est dans notre intérêt pas seulement pour protéger les entreprises canadiennes, mais aussi les consommateurs canadiens pour notre propre économie», a argué M. Elliott.

Visa Canada compte des outils pour les consommateurs et les commerçants pour aider à prévenir la fraude en ligne, dont une technologie de puce dans les cartes de crédit et des systèmes de vérification des coordonnées.

Visa commence aussi à offrir des alertes de transaction sur téléphones mobiles, a indiqué Michael D’Sa, chef des systèmes de sécurité de paiements à Visa Canada.

http://www.985fm.ca

Votre ordi bloqué par une amende liée à la pornographie juvénile?!


Une alerte sérieuse d’un nouveau virus qui est très mais très méchant et semble t’il visent les internautes canadiens et comme toujours, assurez-vous que votre antivirus soit a jour
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Votre ordi bloqué par une amende liée à la pornographie juvénile?! 

 

 

Une nouvelle arnaque visant spécifiquement les internautes canadiens se propage sur le Web et cause bien des ennuis. On ouvre son ordinateur et une fenêtre «pop-up» apparaît mentionnant que l’ordinateur a été verrouillé pour cause de violation des lois canadiennes. On doit payer une amende pour débloquer l’appareil.

C’est une tentative de fraude, un «scareware»: logiciel qui a pour but de faire peur. Malheureusement, sachez que le fait de donner une somme d’argent aux fraudeurs qui se cachent derrière le message ne vous redonnera pas accès à votre ordinateur.

Lorsqu’on est pris avec cet avertissement, on doit carrément reformater l’ordinateur, c’est la seule manière de s’en sortir.

Par contre, il existe plusieurs moyens de prévenir ce genre de situation.

L’arnaque en détail

 

Le message frauduleux apparaît à l’écran d’ordinateurs infectés sous forme de fenêtre pop-up qu’il est impossible de fermer.

En gros, le message avise que l’ordinateur a été bloqué à cause de la violation d’une loi canadienne concernant le matériel pornographique juvénile qui peut entraîner une peine d’emprisonnement d’une durée de 5 à 7 ans. Pour débloquer l’ordinateur, on doit payer une amende de 100$ à la compagnie Ukash.

Scareware

Ce genre de tentative de fraude est appelé scareware, ou attaque malveillante par la peur: on tente de provoquer une certaine angoisse avec des arguments forts pour que l’internaute veuille agir rapidement, sans vraiment réfléchir, dans le but de mettre fin à l’affaire.

Cette arnaque est particulièrement bien faite: imaginez quelqu’un qui, effectivement, a fréquenté des sites à caractère porno, et qui voit apparaître ce message. Cette personne pourrait se dire «merde, il y avait peut-être du matériel montrant des juvéniles… comme je ne veux pas que les autres utilisateurs de l’ordi le sache, je vais payer cette amende le plus vite possible et tout sera réglé.» C’est exactement ce qu’est un scareware, on laisse croire qu’en agissant rapidement on évitera les ennuis alors qu’en réalité, c’est l’inverse.

On utilise cette stratégie de toutes sortes de manières. Un autre exemple: les fenêtres pop-up qui s’ouvrent et disent «Votre ordi est infecté par un virus, cliquez ici pour résoudre le problème». Encore une fois, on utilise la peur pour arnaquer les gens et inciter à suivre les directives.

En passant, Ukash est une vraie compagnie de paiement britannique semblable à PayPal qui a déjà publié une alerte concernant une fraude similaire pour prévenir les internautes au Royaume-Uni.

Alerte de Ukash pour prévenir la fraude

Quoi faire?

Comme pour toutes les tentatives de fraudes sur le Web, il faut la dénoncer au Centre antifraude du Canada afin d’éviter que d’autres internautes se fassent prendre.

Cette fraude-ci, nommée a déjà été signalée à l’organisme qui a publié un avertissement à cet effet sur leur site Web en avril 2012.

Consulter l’avertissement du Centre antifraude du Canada

Maintenant en ce qui concerne l’ordinateur qui est bloqué, il y a de grosses chances pour que le système d’exploitation soit infecté. C’est la raison pour laquelle il est impossible de fermer la fenêtre d’avertissement.

Dans ce cas, la solution la plus sûre est de faire appel à quelqu’un qui s’y connaît car la marches à suivre pour résoudre le problème peut être complexe quand on n’est pas un pro de l’informatique.

Nos experts du forum 911 Ordi donnent la marche à suivre pour se sortir de l’embarras. Vous pouvez consulter la rubrique à ce sujet ici:

Consulter la rubrique pour résoudre le problème du Scareware UKash

*Vous pouvez aussi aller voir un des techniciens diplômés de Insertech Angus à Montréal. Du même coup, vous encouragerez l’organisme d’insertion sociale en informatique écolo que je parraine.

Infos sur le service de réparation d’Insertech Angus

Vaut mieux prévenir que guérir!

L’apparition d’une fenêtre du genre qui bloque complètement l’ordi est lié à un virus ou autre fichier malveillant qui s’est installé sur l’appareil. Le programme en question bloque l’ordinateur et fait apparaître le message d’avertissement.

Avec une bonne suite de protection, l’appareil aurait été protégé et l’utilisateur alerté que quelque chose cloche. Pour bien profiter de son ordinateur et éviter les ennuis, vaut donc mieux protéger son ordinateur.

Combiné à la vigilance, on a un arsenal complet qui diminue considérablement les chances qu’une telle situation se produise.

http://www.francoischarron.com

Perdre sa maison à son insu


Ceux qui ont une ou des maisons a eux, doivent être vigilent pour éviter certaines fraudes grâce au vol d’identité.  Tout documents, prescriptions,  lettre qui contiennent nos adresses devraient être déchiqueté.  Nos cartes crédits, assurance sociale etc .. doivent être protégé de certains yeux
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Perdre sa maison à son insu

 

 

Michel Munger
Argent

Les propriétaires de maisons vivent un cauchemar quand leur banque les contacte concernant une hypothèque qu’ils n’ont jamais prise. Pourtant, c’est une menace rattachée à la forte croissance des vols d’identité.

Selon le Centre antifraude du Canada, les pertes liées au vol d’identité ont bondi de 20% de 2009 à 2011, pour atteindre 13,3 M$. Ni le Centre, ni Statistique Canada n’isolent de données sur la fraude faite sur les biens immobiliers. Toutefois, les pertes par dossier se situent souvent dans les six chiffres.

Le croisement entre le vol d’identité et la fraude immobilière est mal connu et personne n’est vraiment à l’abri, avertit Brigitte Beauchesne, vice-présidente de la compagnie d’assurance titres Chicago.

«Le fraudeur peut vendre notre propriété à notre insu, lance-t-elle. Les cas de fraude que nous voyons le plus touchent les maisons qui n’ont plus d’hypothèque. Les fraudeurs vont prendre des pièces d’identité et aller chercher une nouveau prêt, pour ensuite disparaître avec l’argent.»

Le prêt non payé pousse la banque à contacter le vrai propriétaire, exerçant les recours habituels du prêteur. Ultimement, la maison peut être saisie.

«Une cliente nous a téléphoné concernant un condo acheté récemment, ajoute Laurent Nadeau, chef de la direction pour le Québec chez Service de titres FCT. Une deuxième hypothèque a été enregistrée sur sa propriété. Elle a dû la vendre.»

Devant cette menace, les deux experts conseillent aux propriétaires l’achat d’une de leurs assurances de titre immobilier, ainsi que des mesures de prévention au quotidien.

«L’assurance de titre coûte 200 $ pour une résidence unifamiliale, une somme payable au moment de la transaction, indique Brigitte Beauchesne. Elle est valide tant que la personne demeure propriétaire. C’est peu coûteux comparativement aux dépenses entraînées par une fraude.»

En cas de fraude immobilière, l’assureur aura le mandat de défendre le propriétaire et de rembourser l’hypothèque frauduleuse. Comparativement, les services des émetteurs de cartes de crédit restaurent une identité volée, sans couvrir la maison.

Prévenir au lieu de guérir

L’exercice du gros bon sens aidera aussi le propriétaire à ne pas s’exposer à une fraude, souligne Mme Beauchesne.

 «Il faut protéger son identité, en ne divulguant pas des informations personnelles ou des documents à n’importe qui. Des vérifications peuvent être faites au registre foncier pour s’assurer que rien n’est publié contre le titre de propriété.»

Le site protegemonidentite.ca conseille d’autre part de ne jamais traîner son numéro d’assurance sociale dans son portefeuille.

De plus, les gens doivent faire preuve d’une saine méfiance envers tous, poursuit M. Nadeau.

«Les fraudeurs sont souvent des gens avec lesquels nous avons des liens. Ce sont des membres de la famille ou des amis proches.»

http://tvanouvelles.ca

La fraude par téléphone fait de plus en plus de victimes


C’est je crois la troisième fois que je met un billet sur ce sujet, mais c’est important de bien comprendre que les arnaques se font de différentes façon  et très convaincante.

Prenez garde à la fraude téléphonique, dit la GRC

Arnaque téléphonique: «Hi, this is Microsoft!»

Méfiez vous des numéros confidentiels et des gratuités Et une compagnie tel que Microsoft n’appellera surement pas pour parler de la lenteur de votre ordinateur
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La fraude par téléphone fait de plus en plus de victimes

La fraude par téléphone fait de plus en plus de victimes

Crédit photo : Agence QMI

Par Martine Veillette | Agence QMI

Une nouvelle forme de fraude téléphonique a pris naissance en 2010 et ne cesse de faire des victimes.

Les fraudeurs appellent leur victime potentielle et se font passer pour un technicien de Microsoft ou tentent de lui vendre un antivirus. Les enquêteurs du service de police de Longueuil ont noté une hausse du nombre de fraudes de ce genre depuis octobre.

Selon le Centre antifraude du Canada (CAFC), la fraude par vente de logiciel antivirus n’a cessé d’augmenter depuis mars 2010 et représente aujourd’hui de 70 à 80 % des appels quotidiens au centre. Toujours selon le CAFC, cette hausse démontre que cette méthode d’escroquerie fonctionne.

Quand ils appellent leur victime, les fraudeurs font état de la lenteur de l’ordinateur dans le but de le contrôler à distance. Ils essaient ainsi de subtiliser l’identité de leur victime pour lui voler de l’argent ou installer un logiciel malveillant.

Certains tentent de vendre des logiciels antivirus en demandant des paiements de 200 $ à 300 $ par crédit via Paypal.

Dans tous les cas répertoriés par les enquêteurs du service de police de Longueuil, il s’est avéré que les appels téléphoniques ont été réalisés avec un numéro de téléphone confidentiel.

Les victimes

Selon l’agent Patrick Barrière du service de police de Longueuil, tout le monde peut être victime de ce genre de fraude.

«Si tu as un téléphone et un ordinateur, tu es susceptible d’être victime. »

Au Centre antifraude du Canada, on indique que « les criminels adorent tomber sur des personnes seules qui ont envie de parler.»

À ceux qui pensent être victimes de ce type de fraude, l’agent Barrière suggère de téléphoner au 911. Un policier produira un rapport et une enquête sera enclenchée.

Il recommande aussi de vérifier avec son interlocuteur si celui-ci est enregistré auprès de l’Office de la protection du consommateur.

«Si tu poses des questions, comme pour savoir s’il fait partie de l’office, la personne au bout du fil va raccrocher si c’est un fraudeur», estime-t-il. Il faut également se méfier des vérifications gratuites d’un système qui fonctionne bien.

Le Centre antifraude du Canada estime que si une personne, qui appelle de façon inattendue, prétend être en mesure de protéger l’ordinateur contre les virus, la meilleure chose à faire est de raccrocher. Il recommande de ne jamais divulguer d’information concernant l’accès à son ordinateur ou sa carte de crédit.

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Économie : Le hameçonnage prend de l’ampleur


Vous recevez sûrement des courriels d’institutions bancaires qui veulent réactivé votre compte et demandent des renseignements personnelles .. Ils semblent que beaucoup se font prendre .. alors que les banques et la caisse Pop n’y sont pour rien .. La prochaine fois transmettez ce courriel frauduleux aux banques concernés ainsi peut-être cela éviteras a certaines personnes de se faire prendre
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Économie : Le hameçonnage prend de l’ampleur

Photo : Agence QMI

Michel Munger
Argent

Petit à petit, le hameçonnage par courrier électronique et les autres formes de communications numériques sont devenus les principales sources de fraude au Canada. Ils ont entraîné 59% des pertes au deuxième trimestre 2011, un pourcentage en forte augmentation sur trois ans.

Selon les plus récents rapports du Centre antifraude du Canada, les escroqueries sur Internet et le sans-fil prenaient moins de place auparavant. Elles représentaient 46% des pertes en 2010… et 26% en 2008. Elles ont détrôné le téléphone et le fax.

La fraude, dans l’ensemble, a aussi le vent dans les voiles. Au Québec, la population s’est fait dérober 4 M$ lors des deux premiers trimestres de 2011. C’est l’équivalent du total de l’année 2010.

Une méthode couramment employée par les fraudeurs est le hameçonnage. C’est un courrier électronique dans lequel on affirme que votre compte bancaire risque d’être suspendu. Un lien mène à une page Web mise sur pied par le fraudeur, qui reproduit l’image de la banque. Le client est ensuite invité à divulguer des renseignements bancaires et personnels.

Les institutions financières ne peuvent prévenir l’envoi de tels messages, signale Nathalie Genest, porte-parole au Mouvement Desjardins. Elles peuvent tout de même combattre le hameçonnage avec efficacité.

«Nous avons un système de surveillance actif sept jours sur sept, 24 heures sur 24, précise Mme Genest. Nous intervenons rapidement pour faire fermer les sites qui hébergent [les fraudeurs]. Les résultats sont excellents parce que ça prend habituellement trois à quatre jours afin d’y arriver. Une surveillance en continu est la meilleure chose que nous pouvons faire.»

D’autre part, les clients qui ont reçu un message douteux peuvent le faire suivre à hameconnage@desjardins.com. Les banques canadiennes disposent aussi d’adresses semblables.

Le problème a commencé en 2005 et 2006 et Desjardins a réagi de façon visible pour le contenir, ajoute Nathalie Genest.

«Nous avons fait beaucoup d’interventions dans les médias pour informer la population du risque et de l’importance de se montrer prudent, indique-t-elle. Nous disons aux gens que Desjardins n’enverra jamais un message pour demander des renseignements personnels. Peu importe la menace faite, il ne faut pas y répondre.»

Pour sa part, l’Association des banquiers canadiens (ABC) rappelle sur son site Web que l’on peut repérer les faiblesses dans les messages des fraudeurs. Ils font des fautes de français et ne personnalisent pas leurs envois.

L’ABC suggère de faire preuve de scepticisme et de pointer sa souris sur le lien, pour voir que l’adresse proposée n’est pas celle de sa banque. Au lieu de cliquer dessus et d’envoyer des renseignements, l’association invite les gens à faire suivre le message à l’institution financière.

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