Le Saviez-Vous ► Souffrez-vous d’anuptaphobie ? Les signes qui ne trompent pas


Bien cette phobie, n’est vraiment pas mon cas. j’apprécie vraiment le célibat. Cependant, d’autres ne le tolère pas et en font même une phobie. Ils ont tellement peur de rester seul, qu’ils arrivent qu’ils s’entourent de personnes toxiques.
Nuage


Souffrez-vous d’anuptaphobie ? Les signes qui ne trompent pas

par Julie Legendart

On a presque toutes dans notre entourage quelqu’un qui éprouve une peur panique à l’idée d’être célibataire. Il se peut que vous-même souffriez de ce qu’on appelle « l’anuptaphobie » dans le jargon scientifique. Voici quelques signes qui ne trompent pas.

Il est tout à fait naturel de vouloir partager les moments importants de notre vie avec quelqu’un, que ce soit un ami, un membre de note famille ou un amoureux. Mais chez certaines personnes, ce besoin d’être deux, et plus précisément en couple, frise le désir compulsif. Désir qui en réalité correspond souvent à la peur d’être seul. Cette crainte porte un même un nom : « l’anuptaphobie ». Voici 5 symptômes typiques.

Au début d’une relation vous vous emballez très (voire trop) vite

Vous avez tendance à vous jeter au cou du premier mec qui vous tape dans l’oeil et à vivre vos premières semaines d’idylle avec une passion intense. « J’ai peut-être trouvé le bon », vous dites-vous souvent. Sauf que presque toujours, une fois que l’euphorie du début s’estompe, vous vous rendez compte, qu’en réalité vous n’avez pas grand-chose en commun, ni grand-chose à vous dire. Ce que vous auriez probablement remarqué un peu plus tôt si vous n’étiez pas tétanisée à l’idée de rester seule.

Vous n’avez jamais rompu avec quelqu’un

De votre point de vue, « mieux vaut être mal accompagnée, que seule ». Du coup, vous n’avez jamais mis fin à l’une de vos relations amoureuses, même quand vous saviez qu’il était préférable d’en arriver là. Rassurez-vous : si vous avez toujours été la larguée de l’histoire, cela ne signifie pas nécessairement que vous le méritiez ou que vous n’êtes pas digne d’être aimée, mais simplement que cette relation n’était pas la bonne.

Vous planifiez toujours tout

L’imprévu ne vous fait pas peur, à condition qu’il rende votre existence plus intéressante. Une rencontre fortuite mais heureuse lors d’une soirée un peu ennuyeuse décuplera par exemple votre soif d’aventure. Ce qui vous effraie en revanche, c’est le fait d’être inoccupée. Du coup, vous programmez mille sorties le week-end, avec le plus de gens possible, pour toujours avoir quelque chose à faire et surtout toujours quelqu’un à voir. Sinon, c’est la panique à bord.

Vous déprimez sec quand vous êtes toute seule

Si les trous blancs dans votre emploi du temps vous effraient, c’est précisément parce que vous n’aimez pas vous retrouver toute seule. Vous n’êtes en effet pas de ces personnes qui apprécient (y compris lorsqu’elles sont en couple) de se retrouver seules avec elles-mêmes de temps à autre pour faire le point. Quoiqu’il advienne, vous recherchez désespérément la compagnie de quelqu’un. Sans quoi, vous risquez sérieusement de déprimer.

Vous êtes facilement parano

Contrairement à ce qu’on peut parfois entendre, la sensibilité n’a rien d’une marque de faiblesse. Vous ne devriez donc jamais avoir peur ou honte d’exprimer à voix haute ce que vous ressentez. Après tout, nous éprouvons tous des sentiments et le fait d’être sensible prouve votre capacité à accepter et montrer vos émotions, ce qui est une bonne chose. Mais chez les personnes atteintes d’anuptaphobie, la moindre remarque ou le moindre petit geste de la part de votre partenaire peut déclencher des émotions aux proportions démesurées. S’il vous « avoue » par exemple qu’il trouve une actrice attirante ou qu’il ne vous répond pas dans la seconde parce qu’il est occupé à faire quelque chose d’autre, vous vous dites illico qu’il fait cela parce qu’il n’est pas heureux avec vous et qu’il risque de vous quitter d’un instant à l’autre. Ce que vous souhaitez empêcher à tout prix, bien sûr, puisqu’il s’agit de votre plus grande peur.

Comment gérer cette peur de rester seul.e ?

Comme toutes les phobies, la peur pathologique de rester seule est profondément ancrée en vous. Il sera donc difficile d’y trouver une explication rationnelle, puisqu’elle se rattache rarement à un événement précis de votre vie, mais plutôt à des enchaînements de situations et de rencontres qui ont façonné votre existence et vos rapports aux autres. D’ailleurs, il est souvent difficile de surmonter sa peur. Mais rassurez-vous : il existe des solutions pour la gérer, et mieux vivre avec au quotidien.

La première des choses à faire consiste à s’enlever de la tête que le bonheur passe automatiquement par une vie de couple. D’ailleurs certains couples ne sont pas heureux, même s’ils font tout pour apparaître comme le couple parfait en société. Une fois que vous avez bien intégré cette notion, recentrez-vous sur vous-même. Évaluez-vous à votre juste valeur, effectuez des activités qui vous plaît, avancez dans votre carrière, concrétisez vos rêves… Dites-vous bien que vous pouvez atteindre ses objectifs par vous-même, car vous êtes suffisamment forte pour y arriver. Vous n’en ressortirez que plus sereine et épanouie. Et, qui sait, c’est peut-être à cet instant précis que l’amour pointera le bout de son nez. Et le bon, cette fois.

https://www.terrafemina.com

Les Chinoises peuvent désormais louer un faux boyfriend pour faire du shopping


C’est vraiment honteux et misérable de louer un homme pour magasiner, se faire donner des éloges sur nos achats. Ceci a pour but d’attirer les femmes célibataires dans les centres commerciaux. Les hommes sont des étudiants et le salaire est dérisoire.
Nuage

 

Les Chinoises peuvent désormais louer un faux boyfriend pour faire du shopping

 

par  Laura Boudoux

Porter leurs sacs remplis de fringues, les complimenter sur leur nouvelle paire de chaussures ou encore partager un repas dans le food court : les boyfriends d’un jour sont multi-tâches, rapportait le Retail Insight Network début septembre 2018.

En Chine, plusieurs centres commerciaux proposent à leur clientes de louer les services d’un faux petit ami, dans l’espoir d’attirer plus de femmes célibataires au sein de leurs allées étincelantes. Les hommes, soigneusement habillés en costume, se tiennent devant des écrans, dont les images sont censées représenter leur emballage façon « Ken fait les boutiques ». Après avoir choisi qui sera leur « shopping boyfriend » pour la journée, les clientes passent à la caisse : d’un à deux yuans de l’heure (0,13 – 0,26 €). À ce prix-là, aucun contact physique n’est autorisé.

Derrière la plupart de ces personal shoppers d’un nouveau genre se cachent de jeunes étudiants désireux d’arrondir leurs fins de mois. Alors que certains clients ne s’approchent que pour prendre quelques clichés en compagnie des faux lovers, d’autres franchissent le pas et contractent les services de ces petits amis spécialisés en lèche-vitrine. Le retour client ? Les femmes se disent globalement déçues par l’expérience, réalisant que faire son shopping avec un parfait étranger, rémunéré – très faiblement –, n’était pas l’activité la plus agréable à s’offrir un samedi aprèm.

C’est à l’occasion des fêtes de fin d’année de 2017 qu’un tel service a été proposé pour la première fois en Chine, dans la province de Haïnan. L’opération marketing a ensuite gagné les centres commerciaux du Hebei et du Shandong, au sud de Pékin, lors de la journée internationale des droits des femmes, le 8 mars dernier. Il semblerait que cette pratique peu éthique a depuis convaincu plus de responsables de malls, malgré son goût très discutable.

Source : Retail Insight Network

Qui sont les «incels», dont se réclame Alek Minassian, le tueur de Toronto?


Incel pour célibataire involontaire avait été créé d’abord un soutien et d’entraide pour les hommes et femmes qui n’avaient jamais de rendez-vous. Mais certains hommes dans les réseaux sociaux, on reprit cette idée pour les hommes seulement qui n’arrivent pas avoir une satisfaction sexuelle. Alek Minassian avait des propos misogyne, de haine et il a tué avec un véhicule-bélier plusieurs personnes majoritairement des femmes. Il s’est inspiré Elliot Rodger qui en 2014 a fait 6 morts avant de se suicider. C’était pour lui un châtiment pour les femmes qui l’avaient rejeté
Nuage

 

Qui sont les «incels», dont se réclame Alek Minassian, le tueur de Toronto?

 

Le mouvement controversé a des racines canadiennes.

 

  • Agence France-Presse

Misogynie froide ou frustration rageuse? Le mouvement « incel », dans le collimateur des enquêteurs après l’attaque au véhicule-bélier de Toronto, renvoie à des personnes animées d’un mépris des femmes, voire d’une haine, accusées d’être responsables de leur insatisfaction sexuelle.

Cette piste est explorée par la police canadienne qui a reconnu que les 10 morts et les 14 blessés de l’attaque lundi sont « majoritairement des femmes ».

Message énigmatique

Alek Minassian, 25 ans, le conducteur de la camionnette qui a foncé dans la foule lundi, faisant 10 morts et 14 blessés, « a posté sur Facebook un message énigmatique » quelques minutes avant d’ensanglanter la rue Yonge, a indiqué la police.

Facebook a reconnu avoir désactivé le compte de l’assassin présumé, mais des médias canadiens ont pu saisir une capture d’écran du dernier message qui dit notamment:

« La Rébellion Incel a déjà commencé! Nous allons renverser tous les Chads et les Stacys! Vive le Gentleman Suprême Elliot Rodger ».

Sous-culture web

Les termes employés dans ce message renvoient au lexique privilégié sur les sites internet de la sous-culture « incel », abréviation anglophone pour « involontairement célibataire », tels que certains forums Reddit ou 4chan, ou surtout Incels.me qui recense des milliers d’utilisateurs mais dont l’accès est interdit aux femmes.

Les hommes qui n’ont jamais eu –ou que très rarement– de relations sexuelles, « malgré de nombreuses tentatives » sont la quasi majorité, et il est strictement proscrit de raconter sur ces forums « ses expériences sentimentales ou sexuelles réussies ».

« Chads » et « Stacys » sont ainsi des termes utilisés dans cette communauté pour désigner respectivement un archétype d’hommes et de femmes épanouis sexuellement.

De manière générale, le langage employé y est cru, violent et souvent raciste.

La sous-culture « incel » s’inscrit dans un mouvement « masculiniste » et sexiste plus large sur internet, appelé « manosphère », se voulant une réponse au regain de popularité du féminisme.

Assassin misogyne

La référence dans le message à Elliot Rodger renvoie à l’auteur de la tuerie d’Isla Vista, en 2014 en Californie. Cet homme avait fait six morts sur le campus d’une université de Santa Barbara, avant de se suicider. Il avait expliqué dans une vidéo diffusée avant son crime que cette attaque planifiée était un « châtiment » pour les femmes qui l’avaient rejeté.

« Je massacrerai jusqu’à la dernière blonde gâtée pourrie et prétentieuse que je verrai (…) Toutes ces filles que j’ai tant désirées, elles m’ont toutes rejeté et regardé de haut comme si j’étais un sous-homme », disait cet Américain de 22 ans.

Selon l’avocat de la famille Rodger, le jeune homme souffrait du syndrome d’Asperger, une forme d’autisme comprenant des troubles des interactions sociales ou de la communication. Alek Minassian souffrait de la même maladie, selon sa mère.

Idéologie​​​​​​

Le terme « incel » a été inventé à la fin des années 1990 par une Canadienne qui voulait que son site internet serve de plateforme « de soutien et d’entre-aide » pour les hommes et les femmes qui comme elle « étaient célibataires ou seuls et qui n’avaient jamais de rendez-vous galants« , a-t-elle expliqué au Globe and Mail, horrifiée que son concept ait été dévoyé de la sorte.

Aujourd’hui, « incel » et la manosphère en général constituent une idéologie à part entière dont le but est de « terroriser les femmes et les normies« , ceux qui ont une vie sentimentale et sexuelle normale, estime le journaliste Arshy Mann qui a longuement enquêté sur le sujet.

S’il est avéré que Minassian a rédigé le « message énigmatique » sur son profil Facebook, et qu’il faisait bien partie de la communauté « incel », son attaque au véhicule-bélier découlerait d’une idéologie haineuse bien énoncée et condamnée devant les tribunaux comme telle, note M. Mann sur Twitter.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

e

Célibataire? Attention à votre alimentation!


En temps que célibataire, c’est clair que ne pas prendre la peine de se faire des repas satisfaisants et le plus possibles équilibrés, c’est tout le corps qui en souffre
Nuage

 

Célibataire? Attention à votre alimentation!

 

Célibataire? Attention à votre alimentation!

L’étude a pris en compte tous les âges et tous les niveaux d’éducation.Photo Cover Media

Selon une nouvelle étude américaine menée par la Queensland University of Technology, les célibataires ont plus de chance de manger mal et donc de prendre du poids.

Pour parvenir à cette conclusion, les docteurs Katherine Hanna et Peter Collins, de l’École des sciences du QUT, ont utilisé 41 études antérieures.

C’est la première grande enquête sur la recherche de lien entre célibat et poids. Les résultats ont été publiés dans la revue Nutrition Reviews. Les deux scientifiques ont également remarqué que, d’une manière générale, les hommes sont plus susceptibles d’avoir de mauvaises habitudes alimentaires.

«Dans nos résultats, on constate que les personnes qui vivent seules ont une alimentation plus faiblement diversifiée et une consommation inférieure de certains groupes d’aliments de base comme les fruits, les légumes et le poisson, a expliqué la Dre Hanna. La recherche suggère que vivre seul peut représenter un obstacle à une alimentation saine, liée aux rôles culturels et sociaux de la nourriture et de la cuisine. Par exemple, un manque de motivation et de plaisir dans la cuisine et / ou manger seul conduit souvent les gens à se préparer des repas simples ou à opter pour des plats tout préparés.»

L’étude s’est penchée sur tous les âges et tous les niveaux d’éducation, y compris aussi les divorcés. Tous avaient une bonne raison pour ne pas préparer de repas sains.

Pour la Dre Hanna plusieurs stratégies peuvent être mises en place pour contrer ce cercle vicieu: il faut rendre la nourriture saine plus accessible, développer des lieux où l’on peut manger à plusieurs ainsi que des programmes culinaires pour les célibataires.

http://fr.canoe.ca/

Invisible Boyfriend : pas de petit ami ? Inventez-le !


C’est épouvantable ! Quand tu es rendu de chercher une  »preuve » d’un amoureux (amoureuse) qui en fait est un mensonge pour faire taire la soi-disant pression sociale d’être célibataire, ça craint. Est-ce que les gens cherchent un amour parfait alors qu’eux même ne sont pas parfait ?
Nuage

 

Invisible Boyfriend : pas de petit ami ? Inventez-le !

 

 

 

Le petit copain virtuel est facilement personnalisable. © Capture d’écran Invisible Boyfriend

 

Par YANN SOUDÉ

L’application vient en aide aux célibataires en leur proposant d’inventer un petit ami virtuel. Objectif : se débarrasser de la pression sociale.

Il n’existe pas. Pourtant, il (elle) pourrait être l’homme (la femme) de votre vie. L’âme soeur dont vous avez toujours rêvé, sans jamais oser y croire vraiment. Un bel étudiant brun de 25 ans, « drôle et téméraire », une avocate plus mûre, « douce et timide », un acteur « coquin et sarcastique »… Grâce àInvisible Boyfriend (et son pendant féminin, Invisible Girlfriend), vous avez la possibilité de créer le ou la petit(e) ami(e) parfait(e). Nom, âge, personnalité, centres d’intérêt et même apparence physique : il n’existe presque aucune limite. Le service permet même à ses utilisateurs de renseigner les circonstances de la rencontre avec l’être aimé (bar, avion, fête, vacances, escalade…). Tout ça pour quoi ? Pour « enfin avoir un copain auquel vos amis pourront croire ».

Se débarrasser d’un tel fardeau social – car le fait de ne pas être en couple semble en être un – a un prix. Et pas n’importe lequel. Pour faire taire la curiosité de vos proches ou de vos collègues de travail, il vous faudra débourser 25 dollars (soit environ 22 euros) par mois. Assez pour mettre en scène un amour factice via des échanges de SMS, quelques lettres manuscrites et même un message vocal sur votre répondeur. À l’autre bout de la ligne, pas de robot. Un employé d’Invisible Boyfriend, parfois plusieurs, endosse le rôle de l’amoureux.

Tester des techniques de drague

Lancée fin janvier, l’application a déjà conquis 50 000 personnes, majoritairement des femmes (54 %). Elle était pourtant dans la tête de son cofondateur, Matthew Homann, depuis près de dix ans.

« À cette époque, j’étais sur le point de divorcer, raconte-t-il. Au boulot, j’étais sous pression. On me faisait comprendre qu’être célibataire était mal perçu. Et puis mes parents me demandaient s’ils devaient garder une place pour ma femme à Thanksgiving… »

Aujourd’hui, trois « types » de clients utilisent l’application.

« Beaucoup se servent d’Invisible Boyfriend comme d’une preuve, pour crédibiliser un mensonge qu’ils racontaient déjà », reprend l’entrepreneur.

À côté de cela, d’autres recherchent simplement quelqu’un avec qui discuter, ou, dans de plus rares cas, un terrain d’entraînement.

« L’application leur permet de tester leurs techniques de drague », s’amuse Matthew Homann.

Journaliste pour le Time, Charlotte Alter a tenté l’expérience avec Leonardo DiCaprio (pas le vrai, bien évidemment). Un amoureux virtuel aux intérêts prononcés pour « l’environnement, Titanic et les petites voitures ». Elle voulait parler « enfants et féminisme », mais a vite saisi les limites de l’application. Dans son récit, elle déplore l’impossibilité « d’entretenir des conversations sérieuses ».

« Ce n’est pas notre objectif, rétorque le cofondateur d’Invisible Boyfriend. L’idée est de fournir à l’utilisateur une preuve, pas de le forcer à tomber amoureux ou à confier des secrets inavouables. »

Alors qu’un service de livraison de fleurs pourrait bientôt être proposé, l’application devrait être disponible en Europe cet été.

http://www.lepoint.fr/

Au Japon, on peut désormais se marier… toute seule


Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais me semble qu’il y aurait bien d’autres rêves qu’une célibataire pourrait faire qu’un semblant de mariage
Nuage

Au Japon, on peut désormais se marier… toute seule

Publié par Laure Gautherin

Toutes celles qui n’ont pas trouvé le prince charmant mais rêvent tout de même d’une cérémonie célébrant le plus beau jour de leur vie pourront voir leur voeu se réaliser. Plus besoin d’avoir une moitié pour se marier !

Se marier est un rêve universel semble-t-il. Ajoutez à cela la pression encore présente d’une société dans une femme, passé un certain âge ne peut pas être célibataire vous obtenez des générations de jeunes femmes pour qui noce rime avec accomplissement. Mais plutôt que de passer sa vie à chercher sa moitié, au risque de passer à côté d’autres belles choses ou de ne pas tomber, finalement, sur son âme-soeur, et donc, de ne pas pouvoir vivre le potentiel plus beau jour de notre vie, sachez mesdames qu’être célibataires ne vous empêchera pas de dire « oui ».

Explications.

Carrie Bradshaw avait lancé le mouvement en se mariant à elle-même dans un épisode de Sex & the City mais au Japon, cette tendance a pris un nouveau tournant avec l’organisation de solos weddings (mariages solos) par l’agence de voyage Cerca Travel, basée à Kyoto. Plutôt que des excursions de couple ou de groupe, cette entreprise a ainsi décidé de mettre les femmes seules à l’honneur en les aidant à vivre le plus beau jour de leur vie, sans chéri ! Les forfaits proposés commencent à environ 2 000€ et comprennent, sur 2 jours, toutes ces étapes que doivent passer les futures mariées.

Le premier jour, la cliente pourra faire des essayages de robes de mariée (ou du kimono traditionnel, au choix) dans une boutique connue puis constituer son bouquet avec une fleuriste. Elle sera ensuite conduite à l’hôtel où elle dormira et pourra s’offrir des soins ou des plats gastronomiques pour se détendre.

 Le lendemain, c’est le jour J ! A 9h30, elle sera accompagnée au salon de beauté Karin où elle sera maquillée, coiffée et habillée, le tout, immortalisé par un photographe professionnel. Le shooting se poursuivra dans le jardin japonais du Shugakuin Kirara Sanso où la mariée pourra poser dans sa tenue dans un cadre idéal. Pour cette étape, un partenaire fictif est même disponible en option. L’après-midi sera enfin consacrée à l’étude et au choix des photos prises au cours de cette aventure et qui seront rassemblées sur clé USB mais aussi dans un album, envoyé dans les jours qui suivent.

Le solo wedding fait le buzz au Japon © Capture d’écran

Ce service un peu spécial (ouvert aux étrangers) a été lancé en juin et, s’il fait aujourd’hui le buzz, n’a pour le moment eu qu’une poignée de clientes. Elles sont cependant toutes ravies.

« C’était fabuleux, témoigne ainsi une trentenaire. Je fréquente quelqu’un mais j’ai abandonné l’idée de me marier. J’ai quand même toujours voulu porter une robe de mariée et je ne voulais pas avoir de regrets… Et je ne voulais pas non importuner mon compagnon. » « Merci pour ce jour, confie une célibataire. Mon rêve de petite fille s’est réalisé, à 38 ans. C’était vraiment comme dans un rêve. »

Si tout le monde est heureux alors…

http://www.aufeminin.com

Messieurs, il est temps de laver vos draps !


Comment ils font dormir dans des draps qui n’ont pas été lavés pendant plusieurs mois !! Beurk ! Bon, ils sont célibataires et il semble aimé la compagnie des acariens …
Nuage

 

Messieurs, il est temps de laver vos draps !

 

Selon une étude britannique, les hommes célibataires ne changeraient les draps de leur lit que… quatre fois par an !

C’est du propre ! Selon une étude britannique,

71% des hommes célibataires ne changent leurs draps que quatre fois par an (55% d’entre eux sont âgés de 18 à 25 ans). Pire, seuls 32% des sondés les lavent quand un(e) invité(e) passe la nuit chez eux et deux tiers attendent que plusieurs personnes aient dormi dans le lit pour faire une lessive.

La plupart des hommes seuls ne possèdent en fait qu’une seule paire de draps (contre trois pour les femmes célibataires).

« Nous avons été très alarmés par le manque apparent d’hygiène de certains répondants. Des draps sales contiennent des dizaines de milliers de cellules mortes de la peau que nous laissons chaque nuit et sont un habitat parfait pour les acariens. Or, ceux-ci peuvent causer des allergies, de l’asthme et des rhinites. De plus, en laissant le lit devenir impure, on favorise le développement de punaises de lit très difficiles à déloger » a commenté Jed MacEwan, porte-parole de la société Ergoflex ayant réalisé l’étude, sur le Dailymail.

Pourquoi ne pas les laver plus souvent ?

Près d’un homme sur deux explique qu’un lavage des draps tous les 3 mois est jugé suffisant et acceptable. Pour 22%, il n’est vraiment pas nécessaire de les changer plus souvent et moins d’un cinquième des répondants ne se soucient même pas de la question. Pourtant 17% reconnaissent qu’une partenaire potentielle a déjà été rebutée par la propreté de leur literie.

Dans les couples, les femmes prennent les choses en main !

Dans les couples, les draps sont changés plus souvent (toutes les 2 semaines et demie). Logique puisque dans 81% des cas, ce sont les femmes qui s’occupent de la literie ! D’ailleurs, même chez les célibataires, elles lavent plus souvent leurs draps que les hommes (tous les 15 jours environ).

http://sante.planet.fr

Célibataire: bien manger quand on est seul


Personnellement, il est très rare que j’achète des repas tout préparé, je fais mes repas moi-même et même la vinaigrette pour les salades. Je n’aime pas particulièrement cuisiné mais par contre j’aime mangé correctement .. c’est pas compliqué .. Je vous conseille un site qui peut aider a planifier des repas et même  ce site fait les calcules pour divisé ou augmenter les quantités d’une recette .. http://www.soscuisine.com
Nuage

 

Célibataire: bien manger quand on est seul

 

manger seul

© iStockphoto

La pizza se retrouve souvent sur la table des célibataires qui n’ont pas la motivation pour cuisiner un repas pour une seule personne.

Par Rim Boukhssimi , journaliste , Montréal, Canada

Préparer un repas santé pour une seule personne n’a rien de très motivant. Commander une pizza devient un réflexe pour nombre de célibataires. Pourtant, il suffit de peu pour bien manger, même quand on est seul.

Il suffit souvent de développer quelques réflexes simples côté épicerie et de changer sa manière de concevoir ses repas pour faire du bien à sa santé et à son moral. On oublie les dépliants de restaurant dans le fond du tiroir et on s’assure d’avoir à portée de main des ingrédients passe-partout pour se concocter des petits plats santé, sans passer des heures à la cuisine. Parce que le but à ne jamais perdre de vue, c’est le plaisir de manger!

Jamais de frigo et d’armoires vides

 

Julie Aubé, nutritionniste, divise en trois catégories les aliments à toujours avoir chez soi: ceux du garde-manger, ceux du frigidaire et ceux du congélateur.

Dans le garde-manger

Dans le garde-manger, il faut des féculents: des pâtes, du riz, du couscous, le tout idéalement de blé entier.

«On ne pense pas beaucoup au couscous, pourtant c’est un aliment tellement rapide à préparer!, s’exclame Julie Aubé. Il suffit d’hydrater quelques minutes la semoule avec de l’eau chaude puis d’y ajouter ce qu’on veut: quelques tomates, du fromage feta, du poulet et voilà un bon repas coloré, frais et santé.»

On pense aussi à avoir des conserves de poisson (thon, saumon, sardines), qui peuvent agrémenter salade ou pâte, ainsi que des légumineuses.

«Les légumineuses sont très saines, on peut les trouver en conserve, c’est une très bonne source de protéine et elles ne coûtent pas cher», souligne la nutritionniste.

Ainsi, à notre salade de couscous, pourquoi ne pas rajouter des pois chiches en conserve ou des haricots rouges? On peut également garnir son garde-manger d’alternatives pour agrémenter ses plats comme de la tomate séchée, des artichauts et, bien sûr, toutes sortent de fines herbes pour assaisonner les plats et décorer les assiettes.

Dans le frigo

Il est facile de se décourager à l’idée de sortir les chaudrons pour une seule personne et de se contenter d’un repas rapide sur le coin de la table!

Dans le frigo, on a toujours des œufs. Ils offrent une multitude de possibilités rapides, simples et délicieuses. Que ce soit le matin, le midi ou le soir, on peut se régaler d’omelettes, de frittata ou même de crêpes salées. On garde aussi une belle place pour le fromage, bonne source de protéine.

«Ayez aussi du yaourt nature, un aliment versatile parfait pour les marinades, les vinaigrettes, les déjeuners et les desserts», ajoute la nutritionniste.

Dans le congélateur

Dans le congélateur, l’idéal serait d’avoir des fruits et légumes congelés rapides à préparer et qui se gardent longtemps, ainsi que des crevettes pour agrémenter les plats et du pain.

«On mange rarement seul un paquet de pain tranché ou de pita en deux jours, explique Julie Aubé. Pensez à le congeler, car il se conserve assez longtemps et il suffit de le mettre quelques minutes au four pour qu’il retrouve sa fraicheur.»

En ce qui concerne la viande, on peut en acheter en grande quantité, souvent moins chers, et congeler des portions. Et faire son épicerie deux fois par semaine permet de renouveler ses produits et de planifier ses repas, même à court terme.

Aimer cuisiner et penser santé

 

Même quand on aime cuisiner, il est facile de se décourager à l’idée de sortir les chaudrons pour une seule personne et de se contenter d’un repas rapide sur le coin de la table!

«Une recette est conçue pour 4 à 6 personnes? Faites là quand même au lieu de faire des calculs compliqués pour avoir les ingrédients pour un repas en solitaire, explique Julie Aubé. Au lieu d’un repas pour quatre, ça fera un souper et trois repas congelés pour la semaine.»

On aura ainsi «en banque» des lunchs santé et fait maison où on peut piocher.

Cuisiner en groupe

 

On peut aussi cuisiner en groupe trois ou quatre plats différents et chacun repart avec une variété de lunch et de souper. Ou encore, pour les fins gourmets, s’inscrire à des ateliers, de préparation pour cuisiner avec un professionnel et ramener des repas à congeler pour le mois. Mme Aubé propose également de réunir quelques collègues célibataires et de se créer un club d’échange de repas

«Chaque jour ce sera l’un de vous qui apportera un repas cuisiné pour les autres, explique-t-elle. Cela rompt la monotonie des midis et on ne cuisine plus que pour soi.» 

Et si vraiment une envie de restaurant vous prend, il y a possibilité de faire des choix santé et nutritifs.

«Si on va au restaurant occasionnellement, je dirais de se faire plaisir parce qu’une alimentation saine inclut des gâteries, précise la nutritionniste. Par contre, si vous y allez souvent, à cause du travail, il faut être plus vigilant.»

Il faut faire attention aux portions qui sont toujours plus généreuses, ensuite essayer de remplacer les frites par de la salade, mais avec la vinaigrette à part. La salade est toujours un choix santé, mais pas quand elle baigne dans une sauce crémeuse hyper calorique! Essayer également d’écouter votre faim et cesser de manger quand vous êtes rassasié et s’il en reste dans l’assiette, prenez-le à emporter, ça vous fera un lunch le lendemain!

http://www.servicevie.com

Les «sheng nu», ces Chinoises celibataires «dont personne ne veut»


Être grand parent et perpétué la lignée est une chose mais obliger une personne a se marier en jouant la carte de la manipulation émotionnelle est un coup bas. Je pense ce qui me choque le plus c’est que les hommes chinois plus âgés n’ont pas ce même jugement quand ils sont célibataires Autant ils évoluent sur le plan technologique autant sur l’aspect humain il ont beaucoup de retard
Nuage

 

Les «sheng nu», ces Chinoises célibataires «dont personne ne veut»

 

Une femme prend son petit-déjeuner seule dans un restaurant pendant qu’un homme lave les vitres à l’extérieur de l’immeuble.

PHOTO PETER PARKS, AFP

Virginie Mangin
Agence France-Presse
Pékin

Cela fait presque un an que Xu, jolie Chinoise trentenaire, fréquente le «Jardin de la joie», un club de rencontre de célibataires à Pékin pour échapper à sa condition de «sheng nu», ces femmes, littéralement, «dont personne ne veut» et de plus en plus nombreuses.

«J’espère y trouver un mari», raconte-t-elle installée devant une table de majong où elle attend son rendez-vous de la soirée, un célibataire trié sur le volet par sa «coach», l’employée du club qui suit son dossier.

«Je cherche juste quelqu’un avec qui j’aie des affinités mais aussi qui soit dans une meilleure situation financière que moi», explique cette directrice de marketing, propriétaire de son logement et qui gagne très bien sa vie.

Xu, qui préfère ne donner ni son nom, ni son âge, est l’une des milliers de «sheng nu» qui viennent au club régulièrement dans l’espoir d’y trouver leur futur mari.

Les «sheng nu», ces centaines de milliers de femmes sans homme, surtout citadines, diplômées et indépendantes financièrement, sont devenues un véritable phénomène de société en Chine. Le terme à connotation très péjorative peut être traduit par «celles qui restent» ou «celles dont on ne veut plus».

Ouvert en 2003, le «Jardin de la joie» compte aujourd’hui deux emplacements à Pékin et plus d’une dizaine de milliers de membres. Une centaine de célibataires viennent s’y inscrire chaque semaine dans le but d’échapper au stigmate.

«Pour rien au monde je n’aimerais être appelée sheng nu», explique Summer, 26 ans, qui vient au club pour la première fois.

«Les hommes ne veulent pas d’une femme de 30 ans», un âge considérée comme déjà avancé pour le mariage en Chine. «C’est important pour eux qu’elle soit encore jolie».

Le terme – dont l’équivalent masculin n’existe pas – est apparu pour la première fois en 2007. Depuis le gouvernement l’a inscrit officiellement dans son lexique comme «toute femme célibataire de plus de 27 ans».

Un sondage très médiatisé publié en 2010 a entériné définitivement le nouveau phénomène sociologique. Organisé par la Fédération chinoise de la femme, le sondage révèlait qu’il y avait 180 millions d’hommes et femmes célibataires en Chine et que 92% des hommes interrogés estimaient qu’une femme devait se marier avant l’âge de 27 ans.

Depuis, livres et films sur le sujet fleurissent et les magazines féminins ne se lassent d’expliquer pourquoi tant de Chinoises restent sur le carreau dans un pays qui compte bien plus d’hommes que de femmes.

«L’apparition du phénomène a plusieurs origines. D’une part les jeunes aujourd’hui travaillent beaucoup et ont peu de lieux de rencontre en dehors de leur travail», explique Wu Di, sociologue, qui vend ses conseils 130 dollars la séance et vient de publier un livre sur le sujet.

«D’autre part, on dit traditionnellement en Chine qu’on doit « se contenter » d’être marié. Le mariage n’a jamais été synonyme de bonheur. Or, dans la nouvelle génération de femmes, beaucoup vivent très bien seules et ne voient pas l’intérêt d’abaisser leur niveau de vie pour se marier», ajoute la sociologue.

Pourtant la pression sur ces femmes est énorme. Conscient des déséquilibres démographiques liés à la politique de l’enfant unique, le gouvernement lance régulièrement des campagnes qui promeuvent un mariage jeune.

Il n’est pas rare de voir des femmes arrêter leur carrière à 30 ans et tout lâcher pour faire plaisir à leur entourage soucieux de voir leur seul enfant fonder une famille à son tour.

«La vraie raison pour laquelle je viens au club, c’est pour ne pas décevoir mes parents. J’aimerais les rendre heureux», raconte Xu.

D’ailleurs le slogan du «Jardin de la joie» joue sur cette corde filiale pour attirer ses membres. « Tu es célibataire ? Pense aux sentiments de papa/maman. Ne les inquiète plus», peut-on lire sur une pancarte à l’entrée.

Shelly a 34 ans. Ultra diplômée, cette consultante dans une entreprise de relations publiques, revient tout juste des États-Unis.

Depuis son retour, elle n’ose plus voir sa famille en province et fuit même ses amies proches qui ne cessent d’arranger pour elle des rendez-vous galants.

«J’ai de la pression de tous les côtés. Je sens bien que ma mère est déçue et triste lorsqu’elle voit les petits-enfants de ses copines», dit-elle.

Shelly s’apprête à retourner aux États-Unis pour faire une deuxième maîtrise. En partie pour échapper au regard de ses collègues, parents et amis.

«Je pense rentrer en Chine à 40 ans. J’espère qu’à ce moment je serai tellement âgée, tellement « incasable » qu’on me laissera tranquille», lance-t-elle.

http://www.lapresse.ca

Japon : un impôt sur les beaux ?


Quand on fait un prix sur la beauté d’une personne, il me semble que c’est un signe que les critères de l’amour d’un couple ne sont que chimère. La richesse ne rendra pas plus sécurisant et encore moins le bonheur, si la complicité, l’entente n’existe pas et ce que l’on juge une personne laide ou beau n’a rien de louable pour personne  d’étiqueté ainsi les gens
Nuage

 

Japon : un impôt sur les beaux ?

L'acteur Masanobu Ando, surnommé "le Johnny Depp japonais".

L’acteur Masanobu Ando, surnommé « le Johnny Depp japonais ». © JOHN MACDOUGALL / AFP

L’économiste Takuro Morinaga entend combattre le célibat au pays du Soleil-Levant avec une idée étonnante. Et quelque peu discriminante..

Le Point.fr

Par Victoria Gairin

« Entre un beau gosse pauvre et un moche riche, lequel choisiriez-vous pour mari ? »

Discours bien rodé d’agent matrimonial ? Test existentiel échappé du dernier magazine féminin ?

Que nenni. C’est au Japon que la question a été posée, par un économiste de l’université de Dokkyo, dans la banlieue de Tokyo. Depuis un mois, Takuro Morinaga crée le buzz dans son pays en proposant une solution pour le moins originale à l’un des fléaux auxquels doit aujourd’hui faire face la société nippone : le célibat.

Son idée ? Taxer les beaux et diminuer l’impôt des moches. Un concept polémique, certes, mais efficace. Invité sur la chaîne Nippon TV, l’économiste s’en explique. Les hommes célibataires seraient classés en quatre grandes catégories : les beaux gosses, les normaux, les moyennement laids et les laids. Le taux d’imposition applicable aux beaux serait majoré de 100 %, ce qui doublerait leur impôt sur le revenu ; les moyennement laids bénéficieraient d’une réduction de 10 % et les laids de 20 %.

Femmes monopolisées

 

Pour un bel homme, jouissant de revenus plus que confortables, le taux d’imposition serait donc de 80 %. Si l’on ajoute les impôts locaux, le bellâtre laisserait près de 90 % de son salaire au fisc !

Chère payée, la belle gueule ?

Si l’on en croit Takuro Morinaga, c’est bien la seule solution pour endiguer le mal du pays. Il faut dire que, dans l’archipel, près de 50 % des hommes âgés de 30 à 35 ans sont toujours célibataires. La faute à la crise économique, qui a vu le revenu moyen de ses trentenaires chuter en l’espace de dix ans. De 47 000 euros, il est passé à 28 000. Or les femmes, elles, continuent de chercher un conjoint aux revenus au moins deux fois supérieurs aux leurs.

Résultat : les femmes sont monopolisées par une poignée de chanceux, dont la situation professionnelle n’est pas à plaindre. Et tant pis pour les autres ! L’hebdomadaire japonais AERA, qui a interviewé le spécialiste du célibat, souligne que les « entremetteuses » d’antan, qui parvenaient à caser de jeunes filles avec des hommes au physique pas franchement avantageux, ont aujourd’hui une marge de manoeuvre des plus restreintes.

Équilibrage des revenus

Il faut dire que l’argument qui motivait ces arrangements, l’emploi à vie, n’est plus vraiment de mise. Les femmes, ne pouvant plus se fier à une quelconque perspective à long terme, se rabattent sur ceux qui leur plaisent au premier coup d’oeil. Le seul moyen pour les laids de rivaliser avec les beaux serait donc l’équilibrage des revenus. Oui, mais qui sera chargé de juger du degré de beauté de ces messieurs ? Morinaga évoque un « conseil d’évaluation de la beauté », où siégera un jury composé de cinq femmes tirées au sort.

Tous les goûts sont peut-être dans la nature, mais cette fois-ci, c’est bien la majorité qui tranchera. Tels les jurés au cours d’un procès. Et les femmes jolies et donc avantagées, faut-il leur appliquer la même peine ? s’enquiert la journaliste d’AERA. Réponse du spécialiste :

« Les femmes qui séduisent les hommes et les mènent par le bout du nez ne sont pas forcément des beautés. » Parole d’expert.

En attendant que la taxe devienne effective au Japon, on se demande bien dans quelle catégorie se place Morinaga…

http://www.lepoint.fr